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Archive mensuelle de septembre 2020

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Marchés financiers : poursuite du yo-yo

Marchés financiers : poursuite du yo-yo

 

Les marchés financiers traduisent finement les incertitudes relatives à l’économie en se caractérisant par des mouvements de yo-yo.  Pas vraiment étonnant car le vent d’optimisme est souvent contrarié le lendemain par un courant pessimiste. La vérité c’est qu’on ne connaît pas encore réellement l’ampleur de la baisse d’activité 2020 et surtout son incidence sur 2021. La question est de savoir quand on retrouvera le niveau de 2019 soit début 2022 soit plus tard en 2025 par exemple. Or personne ne peut le prévoir sérieusement car déjà tendanciellement la croissance était déjà à la baisse fin 2019 pour des raisons structurelles.

Le mois d’août se solde par une hausse de 3,42% pour le CAC 40 et de 2,86% pour le Stoxx 600, qui ramène ainsi à 11,86% sa baisse depuis le début de l’année. Il a notamment été marqué par un rebond de près de 15% du secteur européen du transport et du tourisme, illustration des espoirs de retour progressif à la normale de la vie économique après le choc du confinement quasi général.

Sur le marché des devises, le dollar reste orienté à la baisse face aux autres grandes devises (-0,27%) en l’euro en profite pour remonter au-dessus de 1,1950 dollar après avoir touché 1,1965, son plus haut niveau depuis mai 2018.

L’”indice dollar”, qui mesure les fluctuations de la monnaie américaine face à un panier de référence, s’achemine vers un recul de 1,3% en août, son quatrième mois consécutif de baisse, un mouvement alimenté notamment par l’anticipation d’une prolongation de la stratégie ultra-accommodante de la Réserve fédérale, renforcée par les annonces de cette dernière jeudi dernier.

Sur les marchés obligataires européens, la tendance reste à la remontée des rendements: celui du Bund allemand à dix ans, référence pour l’ensemble de la zone euro, finit la journée à -0,394%, en hausse d’un peu plus d’un point de base par rapport à vendredi et de près de 14 points sur l’ensemble du mois d’août.

De l’autre côté de l’Atlantique, le rendement des Treasuries à dix ans retombe sous 0,71%, en recul de près de deux points.

Le Brent gagne 0,28% à 45,94 dollars le baril après avoir atteint son plus haut niveau depuis mars à 46,53 et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) prend 0,4% à 43,14 dollars. En l’état de l’équilibre offre demande, sauf événement géostratégique, le cours du baril ne devrait pas dépasser 50 $ pendant assez longtemps.

Croissance Allemagne : révision en baisse en 2021

Croissance Allemagne : révision en baisse en 2021

 

 

L’Allemagne- comme d’autres pays- ne cesse de bricoler ses prévisions économiques pour l’année en cours et 2021. Des modifications souvent de l’épaisseur du trait pour justifier soit un certain optimisme soit au contraire des mesures d’austérité ( comme au Royaume-Uni).

Ces modifications paraissent globalement très fragiles car elles dépendent surtout de l’environnement international surtout pour l’Allemagne grand pays exportateur. Le gouvernement d’Angela Merkel s’attend donc à ce que les conséquences de la pandémie de coronavirus sur l’économie allemande soient un peu moins sévères que prévu cette année ( -6 % au lieu de -6,3 % en 2020 pour la croissance) mais s’apprête à revoir à la baisse sa prévision de reprise pour 2021, a-t-on appris lundi auprès de deux sources.

Le ministre de l’Economie, Peter Altmaier, présentera mardi les prévisions de croissance révisées du produit intérieur brut (PIB) allemand, qui a subi au premier semestre sa plus forte contraction en temps de paix.

En avril dernier, au plus fort de l’épidémie de Covid-19, Berlin a dit s’attendre à un rebond de 5,2% du PIB en 2021 après un plongeon de 6,3% en 2020.

“La reprise l’an prochain sera quelque peu moins forte que prévu initialement”, a déclaré un responsable informé de cette nouvelle évaluation.

Aucun commentaire n’a pu être obtenu auprès du ministère de l’Economie.

Une source proche de la coalition au pouvoir a déclaré vendredi à Reuters que le gouvernement devrait ramener sa prévision de contraction du PIB pour 2020 à moins de 6%. La France de son  côté par exemple s’est félicitée d’une baisse de l’activité réduite à 10 % au lieu de 11 % pour 2020  , un recours à la méthode Coué pour encourager le redressement !

Mercenaires internationaux : les États-Unis ne veulent pas de la résolution de l’ONU

Mercenaires internationaux : les États-Unis ne veulent pas de la résolution de l’ONU

 

Le projet de  résolution de l’ONU vise  les mercenaires qui agisse pour des motifs financiers ou idéologiques notamment dans les rangs des organisations islamistes. Mais les Etats-Unis ont opposé lundi leur veto à ce projet de résolution de l’Onu sur les étrangers combattant dans les rangs de mouvements tels que l’Etat islamique .

Les 14 autres membres du conseil ont voté en faveur de ce texte consacré à la lutte antiterroriste rédigé par l’Indonésie.

Le projet est “pire que pas de résolution du tout”, a déclaré l’ambassadrice américaine aux Nations Unies. “Il ne fait même pas référence à la première étape cruciale – le rapatriement vers les pays d’origine ou de nationalité. Les Etats-Unis ne participeront pas à une farce aussi cynique et délibérément inconsciente”, a poursuivi Kelly Craft.

L’administration américaine souhaite que les extrémistes faits prisonniers à l’étranger soient renvoyés dans leur pays pour y être poursuivis, alors que la France et la Grande-Bretagne préfèrent qu’ils soient jugés “au plus près de l’endroit où (leurs) crimes ont été commis”.

Plusieurs milliers d’étrangers sont détenus par les Forces démocratiques syriennes (FDS), mouvement à dominante kurde soutenu par les Etats-Unis, qui a été à la pointe du combat contre Daech dans le nord-est de la Syrie. Des dizaines de milliers de femmes et d’enfants de djihadistes de nationalités syrienne ou étrangères sont également entre leurs mains.

Le projet de résolution invite les Etats à faciliter “le retour des enfants dans leur pays d’origine, selon les modalités appropriées et au cas par cas”.

 

Suez dit non à Veolia

Suez dit non à Veolia,

 

 

Suez emploie 30 000 personnes en France et 90 000 au total dans le monde et ne voit pas vraiment de raison d’être rachetée par son concurrent Veolia. Veolia qui veut profiter de la situation fragile d’Engie pour lui racheter sa participation dans Suez avant de lancer une OPA.

Le problème c’est que l’absorption de Suez serait sans doute susceptible de créer des synergies mais en même temps de bouleverser les structures des deux entreprises avec aussi à la clé des suppressions d’emplois pour cause de doublons. C’est en tout cas le point de vue de Suez qui a rejeté lundi le projet d’offre d’achat présenté la veille par Veolia en opposant sa volonté d’indépendance à l’intention affichée par son principal concurrent de créer un “champion français” de l’eau et des déchets.

 

Veolia a proposé dimanche de racheter l’essentiel de la participation d’Engie dans Suez, numéro deux mondial de la gestion de l’eau et des déchets, pour environ 2,9 milliards d’euros, en évoquant la possibilité d’une offre sur le reste du capital. Une opération autour de 10 milliards

Le conseil d’administration de Suez, réuni dans la journée, juge que l’offre “non sollicitée” de Veolia est “porteuse de grandes incertitudes” et il a “réitéré à l’unanimité sa totale confiance dans le projet stratégique fortement créateur de valeur de Suez en tant que société indépendante”, explique le groupe dans un communiqué.

Il ajoute que “la stratégie proposée engendrerait des disynergies et des pertes d’opportunité en France et à l’international” et estime que “la complexité du processus retenu conduirait à deux années de perturbations opérationnelles au moment où, dans le contexte post-Covid, les équipes sont focalisées sur la mise en œuvre de leur plan stratégique”.

Suez estime que l’offre de Veolia “génère des préoccupations sur l’avenir des activités de traitement et de distribution de l’eau en France et sur l’emploi au regard du montant des synergies espérées”.

Dans un communiqué diffusé dimanche, Engie a déclaré qu’il allait étudier cette proposition “dans les prochaines semaines”.

Les marchés financiers, eux, ont applaudi lundi le projet de Veolia: l’action Suez a bondi de 18,5% sur la journée en Bourse de Paris tandis que Veolia gagnait 5,73% et Engie 4,67%.

Le PDG de Veolia, Antoine Frérot, s’est déclaré convaincu de la réussite de son offre lors d’une téléconférence, tout en soulignant la nécessité de jouer un rôle actif dans la concentration du secteur.

“La concentration va continuer, elle est au début encore, mais nous aurons un jour certainement un acteur global d’origine chinoise”, a-t-il dit. Pas sûr cependant que pour la France cela représente un véritable intérêt. En effet, la plupart des clients sont des collectivités qui en cas  regroupement de Suez et de Veolia subiraient la loi du monopole avec sans doute des conséquences non négligeables sur le coût des prestations. Les autorités de la concurrence vont certainement prendre en compte sérieusement cette dimension avant d’autoriser le regroupement éventuel. Notons que Veolia est  impliquée dans plusieurs scandales de corruption en France mais aussi à l’étranger.

« Menace terroriste élevée » (Darmanin)

« Menace terroriste élevée » (Darmanin)

 

 

A la-veille du procès des attentats de janvier 2015 à Charlie Hebdo, à Montrouge et à l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes à Paris , le ministre de l’intérieur rappelle que la menace terroriste est élevée en France avec notamment plus de 8000 personnes radicalisées dangereuses . Le ministre de l’intérieur a sans doute raison mais cela lui donne aussi l’occasion d’affaiblir  le projecteur sur le champ global de préoccupation sécuritaire. En effet, ce qui semble préoccuper aujourd’hui les Français, c’est aussi l’insécurité générale avec la montée des crimes et délits, des incivilités quotidiennes sur fond de  remise en cause générale de l’autorité notamment de l’État.

De ce point de vue,  la politique de Darmanin  est très contestée car se bornant trop à des déclarations médiatiques sans lendemain. Il lui est reproché  de singer Sarkozy avec une efficacité encore moins grande.

Ceci étant, la France engagée sur nombre de théâtres internationaux constitue évidemment une cible privilégiée pour le terrorisme.

Lors d’un discours prononcé au siège de la DGSI (Direction général de la Sécurité intérieure), le ministre de l’Intérieur a souligné que trente-deux attentats avaient été déjoués en France depuis 2017.

Dans la matinée, Jean-François Ricard, qui dirige le Parquet national antiterroriste (Pnat), avait précisé sur franceinfo que les services de renseignement avaient mis en échec au moins une demi-douzaine de projets d’attentats depuis janvier.

“Je voudrais insister sur le fait que (la menace terroriste) demeure à un niveau extrêmement élevé sur le territoire national. Nous devons donc maintenir notre plus grande vigilance”, a insisté Gérald Darmanin.

Il a rappelé que depuis 2017, dix attaques sur le territoire national – dont trois cette année, le 3 janvier à Villejuif, le 4 avril à Romans-sur-Isère et le 27 avril à Colombes – avaient abouti à la mort d’une vingtaine de personnes.

“L’ouverture du procès (des attentats de janvier 2015) est l’occasion pour nous de rappeler que la lutte contre le terrorisme islamiste est une grande priorité du gouvernement. Elle exige une mobilisation totale”, a ajouté le ministre de l’Intérieur.

“La composante extérieure de la menace doit continuer à faire l’objet de toute notre attention. La perpétuation de cette menace est notamment due à la forte résilience de l’Etat islamique qui avait anticipé sa défaite (militaire) en adaptant sa structure”, a poursuivi Gérald Darmanin.

“Mais c’est la menace endogène, dans nos murs, qui est devenue la plus prégnante et la plus forte, celle qui mobilise le plus l’attention des services de renseignement.”

Cette menace représente un “défi croissant” pour les services de renseignement qui “assurent le suivi de 8.132 individus inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste”.

Gérald Darmanin a également précisé que 505 individus condamnés pour terrorisme islamiste étaient actuellement recensés dans les prisons françaises, “auxquels s’ajoutent malheureusement 700 détenus de droit commun susceptibles de radicalisation”.

De son côté, Jean-François Ricard a fait le point sur le sort des Français ayant combattu aux côtés des djihadistes et de leur entourage.

“Nous savons (…) qu’il y a environ 250 Français, hommes et femmes adultes, qui se trouvent en détention” dans la zone irako-syrienne, ainsi qu’environ 300 enfants, a-t-il dit, en ajoutant que 170 adultes, autant de femmes que d’hommes, étaient revenus en France dans le cadre des accords de coopération policière avec la Turquie.

“Chaque fois qu’une de ces personnes revient en France, elle est jugée”, a insisté le magistrat.

Concernant ceux qui ont déjà été jugés et emprisonnés, 45 seront libérés cette année et 63 l’an prochain, a précisé Gérald Darmanin. Le suivi de ces anciens détenus doit être une des priorités voire la priorité numéro un des services de l’Etat, a-t-il souligné.

Macron, tuteur du Liban ?

Macron, tuteur du Liban ?

Avec deux voyages en très peu de temps Macron se positionne en tuteur du Liban.  La situation évolue dans le sens que propose le président de la république avec la possible nomination d’un Premier ministre au profil neutre et la mise en place d’un gouvernement d’experts. L’objectif pour Macron et de s’assurer d’une part que l’aide internationale ira bien à la population et que des réformes structurelles pourront redresser le pays.

Je vous en ai fait la promesse : je reviens à Beyrouth pour faire le point sur l’aide d’urgence et bâtir avec vous les conditions de la reconstruction et de la stabilité”, dit le président dans un tweet en français et en arabe.

Alors que la formation des gouvernements nécessite généralement plusieurs mois de tractations entre les différentes formations politiques et composantes religieuses du Liban, Mustapha Adib a annoncé lundi vouloir former rapidement un gouvernement d’experts et a promis d’engager des réformes immédiatement pour jeter les bases d’un accord avec le Fonds monétaire international (FMI).

“La fenêtre d’opportunité pour notre pays est étroite et la mission que j’ai acceptée est fondée sur le fait que toutes les forces politiques en ont conscience”, a-t-il déclaré après avoir été officiellement chargé par Michel Aoun de former un nouveau gouvernement. Ce volontarisme devrait être favorablement accueilli par le président français.

Premier chef d’Etat étranger à se rendre dans la capitale sinistrée, deux jours après l’explosion, il avait alors plaidé pour des réformes destinées à renforcer la lutte contre la corruption et à réduire les dépenses publiques.

Selon des responsables libanais de haut rang, la médiation d’Emmanuel Macron a été cruciale dans les 48 heures ayant précédé l’émergence d’un consensus autour du nom de Mustapha Adib, alors que les discussions sur la nomination du Premier ministre étaient dans l’impasse la semaine dernière.

Le précédent gouvernement, dirigé par Hassan Diab, a démissionné le 10 août, six jours après l’explosion.

Emmanuel Macron a été reçu dans la soirée par la chanteuse Fairouz, considérée comme un trésor national et une incarnation de la paix à même de transcender les rivalités politiques et religieuses. Devant son domicile, des manifestants brandissant des slogans tels que “Pas de gouvernement par ou avec des assassins !” ou “Ne Soyez pas du mauvais côté de l’histoire” attendaient le président devant le domicile de l’artiste âgée de 85 ans. “Adib non !”, ont scandé certains.

Le poste de chef du gouvernement est censé revenir à un sunnite selon le système de partage du pouvoir en vigueur au Liban et le nom de Mustapha Adib, ambassadeur du Liban à Berlin depuis 2013, a notamment reçu dimanche le soutien officiel du Courant du futur, la principale formation sunnite dirigée par Saad Hariri, qu’Emmanuel Macron devait rencontrer dans la soirée.

Au total, Mustapha Adib, docteur en droit et en sciences politiques qui fut le conseiller de l’ancien Premier ministre Najib Mikati, a reçu le soutien de 90 des 120 députés siégeant actuellement au Parlement libanais.

La France, qui a administré le Liban pendant l’entre-deux-guerres, est à la pointe des efforts visant à sortir le pays de la crise. Paris a organisé une conférence des donateurs il y a deux ans. Plus de 11 milliards de dollars avaient été alors promis par les bailleurs de fonds, à condition que le pays, qui a entamé des discussions avec le FMI en mai dernier, engage des réformes qui n’ont

Le coronavirus : conséquences néfastes sur le progrès médical

Le coronavirus : conséquences néfastes sur le progrès médical

 

 

L’attention  majeure concentrée sur le Coronavirus se fait au détriment du traitement d’autres maladies affirme l’organisation mondiale de la santé. En cause, le fait que certaines pathologies lourdes sont décalées dans leur traitement voir ignorées D’après une enquête mondiale de l’OMS,  parmi les services les plus touchés figurent les vaccinations de routine (70%), le planning familial (68%) et le diagnostic et le traitement du cancer (55%), tandis que les services d’urgence ont été perturbés dans près d’un quart des pays ayant répondu.

La région de Méditerranée orientale, qui s’étend jusqu’à l’Afghanistan, la Syrie et le Yémen, a été la plus touchée, suivie par l’Afrique et l’Asie du Sud-Est, selon le rapport. Le continent américain ne fait pas partie de l’enquête.

Depuis que les cas de COVID-19 ont été identifiés pour la première fois en décembre, le SARS-CoV-2 a entraîné la mort de près de 850.000 personnes dans le monde, selon le dernier décompte de Reuters.

Les chercheurs estiment que les décès non liés au coronavirus ont également augmenté à certains endroits, en partie à cause des perturbations des services de santé, bien que celles-ci soient plus difficiles à calculer.

Il est “raisonnable de prévoir qu’une perturbation même modeste des services de santé essentiels pourrait entraîner une augmentation de la morbidité et de la mortalité due à des causes autres que le COVID-19 à court, moyen et long terme”, dit le rapport.

L’impact pourrait perdurer bien après la pandémie, met en garde l’OMS, car en essayant de rattraper le retard dans les services, les pays peuvent se retrouver dépassés par le manque de ressources.

Coronavirus France : 3.000 nouveaux cas en 24 heures

Coronavirus France : 3.000 nouveaux cas en 24 heures

Baisse du nombre ce lundi avec 3.000 cas en France, alors que ce nombre était très nettement supérieur depuis le milieu de la semaine dernière, mais le bilan est souvent moins élevé le lundi, le nombre de tests étant moins élevé le dimanche.

L’agence Santé publique France en signale précisément 3.082, soit 2.331 de moins que la veille. Le chiffre le plus élevé depuis la levée du confinement avait été atteint vendredi, avec 7.379 nouveaux cas.

La moyenne des sept derniers jours, qui permet d’aplanir les écarts quotidiens, atteint toutefois un nouveau record lundi, pour la quatrième journée consécutive, avec 5.167 nouveaux cas, alors qu’elle était de 272 le 27 mai, deux semaines après la fin du confinement.

Le nombre de patients hospitalisés s’élève quant à lui à 4.582, soit 47 de plus que dimanche, tandis que celui des personnes en réanimation passe de 402 à 409.

Le nombre de patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 est en hausse pour le deuxième jour consécutif après avoir été en baisse pendant près de deux semaines.

Vingt-neuf décès supplémentaires ont par ailleurs été recensés, ce qui porte le bilan à 30.635 morts depuis le début de l’épidémie.

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