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Archive mensuelle de septembre 2020

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Automobile : grosse chute de 20 %

Automobile : grosse chute de 20 %

 

Une terrible chute de 20 % qui surprend d’autant plus les constructeurs attendaient plutôt à une légère augmentation comme en juin et juillet. Cela semble révéler que l’augmentation précédente était due phénomène de rattrapage qui est aujourd’hui réalisé. Le marché retrouve sa tendance baissière même si la diminution devrait être moins sensible d’ ici la fin de l’année. Au total depuis le début de l’année, le baisse atteint de l’ordre de 32 % ! Le marché automobile constitue souvent un bon indicateur du comportement des ménages qui certes ont réduit leurs achats pour des questions conjoncturelles liées à la crise sanitaire mais aussi pour des tendances plus structurelles qui concernent le rapport aux équipements lourds et aux dépenses importantes.

 

Elections américaines : manipulation russe identifiée par Facebook

Elections américaines : manipulation russe identifiée par Facebook

Comme en 2016, des manipulations de l’opinion ont été identifiées cette fois par le réseau Facebook lui-même. L’objectif serait de détourner les électeurs de gauche du candidat Joe Biden en le discréditant.

Par le passé, la Russie a réfuté les accusations d’ingérence émises par les Etats-Unis et a déclaré ne pas interférer avec la politique d’autres pays.

Les constatations de Facebook rejoignent l’évaluation des représentants du contre-espionnage américains publiée le mois dernier, selon laquelle Moscou utiliserait la désinformation par internet pour saper la campagne de Joe Biden.

Un représentant de la campagne de Trump a déclaré que le président serait réélu « à la loyale et sans avoir besoin d’ingérences étrangères

 

Coronavirus États-Unis : 32.000 nouveaux cas

 Coronavirus États-Unis : 32.000 nouveaux cas

32.087 cas supplémentaires, ce qui porte le bilan des Etats-Unis à 183.050 morts et 6.004.443 infections.

ADP : suppression de 1400 postes

ADP : suppression de 1400 postes

 

Conséquence directe de la crise sans précédent qui affecte le transport aérien «des mesures de départs volontaires qui concerneraient jusqu’à 1.400 salariés, dont 700 qui ne seraient pas remplacés», affirme l’Unsa Sapap dans un communiqué. Ces postes seraient «supprimés dans un premier temps, en attendant la reprise de l’activité», a précisé à l’AFP Laurent Garssine, secrétaire général du 3e syndicat d’ADP.

ADP emploie environ de 6.300 personnes. Le gestionnaire des aéroports parisiens souhaite négocier un accord d’activité partielle de longue durée (APLD), un accord de performance collective (APC) et un dispositif de rupture conventionnelle collective (RCC). Avec ce dispositif la direction espère économiser environ 60 millions par an.

Relance : les «sous-préfets» aux champs !

 Relance : les «sous-préfets» aux champs !

 

La ministre de la Transformation et de la fonction publique Amélie de Montchalin a annoncé curieusement la nomination prochaine de sous-préfets à la relance. De jeunes énarques qu’on envoie en expédition sur ce qui est considéré comme le terrain ou le retour des sous-préfets aux champs !  Une curieuse décision quand on sait que les sous-préfectures n’ont pratiquement plus aucun rôle, ni sur le plan administratif encore moins sur le plan économique à part par exemple la gestion du fichier des associations de la loi de 1901. La question s’est souvent posée de leur suppression pure et simple.

« Sur le terrain, partout en France, le premier ministre a pris la décision d’installer des sous-préfets à la transformation et à la relance », qui devront « nous remonter tous les blocages administratifs, de procédures, de dispositifs très compliqués », a indiqué la ministre.

Selon Amélie de Montchalin, ces fonctionnaires seront chargés de simplifier la mise en œuvre du plan de relance, qui doit être présenté jeudi 3 septembre. « Nous, on va avoir l’impression depuis Paris d’avoir mis 100 milliards [d'euros] sur la table, a-t-elle expliqué. Mais certains, peut-être, vont nous dire, ça n’arrive pas chez moi. C’est contre ça qu’il faut qu’on agisse. »

 

Ce seront « de jeunes hauts fonctionnaires », dont la mission sera « surtout de débloquer, de s’assurer que quand on décide à Paris, il se passe quelque chose sur le terrain (…). Ils entreront en fonction en même temps que le plan de relance, début 2021, pour que non seulement on ait mis sur la table les moyens, mais que ce plan d’investissements, de transformation, devienne concret », a encore ajouté Amélie de Montchalin. Une déclaration d’une banalité confondante qui manque vraiment de conviction.

 

Macron: position risquée au Liban ?

Macron: position risquée au Liban ?

 

Avec deux voyages en très peu de temps Macron se positionne en tuteur du Liban.  La situation évolue dans le sens que propose le président de la république avec la possible nomination d’un Premier ministre au profil neutre et la mise en place d’un gouvernement d’experts. L’objectif pour Macron et de s’assurer d’une part que l’aide internationale ira bien à la population et que des réformes structurelles pourront redresser le pays. Pour l’instant la classe politique responsable de la désagrégation économique fait le dos rond car elle attend surtout l’aide monétaire internationale. Il n’est pas certain que cette classe politique accepte de ce désengager du pouvoir et des pratiques de corruption qui la nourrisse et qui entretient le clientélisme. Pas certain non plus que le choix d’un ambassadeur comme premier ministre qui a été le conseiller d’un responsable politique milliardaire largement bénéficiaire de la corruption soit très apprécié par le peuple.

Je vous en ai fait la promesse : je reviens à Beyrouth pour faire le point sur l’aide d’urgence et bâtir avec vous les conditions de la reconstruction et de la stabilité”, dit le président dans un tweet en français et en arabe.

Alors que la formation des gouvernements nécessite généralement plusieurs mois de tractations entre les différentes formations politiques et composantes religieuses du Liban, Mustapha Adib a annoncé lundi vouloir former rapidement un gouvernement d’experts et a promis d’engager des réformes immédiatement pour jeter les bases d’un accord avec le Fonds monétaire international (FMI).

“La fenêtre d’opportunité pour notre pays est étroite et la mission que j’ai acceptée est fondée sur le fait que toutes les forces politiques en ont conscience”, a-t-il déclaré après avoir été officiellement chargé par Michel Aoun de former un nouveau gouvernement. Ce volontarisme devrait être favorablement accueilli par le président français.

Premier chef d’Etat étranger à se rendre dans la capitale sinistrée, deux jours après l’explosion, il avait alors plaidé pour des réformes destinées à renforcer la lutte contre la corruption et à réduire les dépenses publiques.

Selon des responsables libanais de haut rang, la médiation d’Emmanuel Macron a été cruciale dans les 48 heures ayant précédé l’émergence d’un consensus autour du nom de Mustapha Adib, alors que les discussions sur la nomination du Premier ministre étaient dans l’impasse la semaine dernière.

Le précédent gouvernement, dirigé par Hassan Diab, a démissionné le 10 août, six jours après l’explosion.

Emmanuel Macron a été reçu dans la soirée par la chanteuse Fairouz, considérée comme un trésor national et une incarnation de la paix à même de transcender les rivalités politiques et religieuses. Devant son domicile, des manifestants brandissant des slogans tels que “Pas de gouvernement par ou avec des assassins !” ou “Ne Soyez pas du mauvais côté de l’histoire” attendaient le président devant le domicile de l’artiste âgée de 85 ans. “Adib non !”, ont scandé certains.

Le poste de chef du gouvernement est censé revenir à un sunnite selon le système de partage du pouvoir en vigueur au Liban et le nom de Mustapha Adib, ambassadeur du Liban à Berlin depuis 2013, a notamment reçu dimanche le soutien officiel du Courant du futur, la principale formation sunnite dirigée par Saad Hariri, qu’Emmanuel Macron devait rencontrer dans la soirée.

Au total, Mustapha Adib, docteur en droit et en sciences politiques qui fut le conseiller de l’ancien Premier ministre Najib Mikati, a reçu le soutien de 90 des 120 députés siégeant actuellement au Parlement libanais.

La France, qui a administré le Liban pendant l’entre-deux-guerres, est à la pointe des efforts visant à sortir le pays de la crise. Paris a organisé une conférence des donateurs il y a deux ans. Plus de 11 milliards de dollars avaient été alors promis par les bailleurs de fonds, à condition que le pays, qui a entamé des discussions avec le FMI en mai dernier, engage des réformes .

Le problème c’est qu’on voit mal la classe politique largement responsable de la désagrégation économique et politique accepter des réformes qui lui permettent de s’enrichir grâce à la corruption généralisée. Une corruption qui profite aux différents clans. De ce point de vue l’intervention de Macon n’est pas sans risque.

Déflation : le danger pour l’Europe

Déflation : le danger pour l’Europe

La déflation qui caractérise la baisse d’une activité générale et le recul des prix constitue un danger majeur pour toute l’Europe. On savait que l’ensemble de l’Europe connaîtrait un choc de croissance en 2020 mais cela risque de se prolonger s’il est accompagné par un phénomène de déflation qui caractérise un écoulement de la demande et des prix.

La première estimation de l’inflation pour le mois d’août, publiée mardi par Eurostat, fait état d’un taux de – 0,2% (contre + 0,2% attendu). Un recul tiré en large partie par l’énergie et les produits industriels non énergétiques. Mais la tendance est profonde, comme le montre la chute inédite du niveau de l’inflation sous-jacente – hors effets volatils de l’énergie et de l’alimentation – qui tombe à son plus bas niveau historique, à 0,4% sur un an, contre 1,2% en juillet. La baisse en France est de – 01 %.

La banque centrale européenne convient elle-même qu’une inflation de l’ordre de 1 % ne reviendra pas avant 2022. Le problème, c’est que la banque centrale européenne a choisi comme premier objectif de déverser des milliards de liquidités à taux zéro voire négatif pour soutenir l’activité. Une politique des taux qui nourrit la désinflation. Logiquement,  l’objectif central de la banque centrale européenne était de juguler l’inflation. Progressivement son rôle a évolué avec la crise vers le soutien à l’économie et à l’emploi. D’une certaine manière, la banque centrale se trouve coincée par sa politique de taux et plus généralement par le caractère particulièrement accommodant de sa politique monétaire.

 

Alliance avec Macron : Les Républicains condamnent

Alliance avec Macron : Les Républicains condamnent

 

Comme c’était prévisible,  Estrosi a déclenché une tempête en déclarant qu’il convenait que les républicains choisissent Macon comme futur candidat en 2022. Autant dire qu’il propose le suicide du parti qui, éliminé dès le départ à la course à la présidentielle,  aurait de moins en moins de raison d’exister d’autant que Macron ne se gêne pas de déstabiliser en piochant dans ses effectifs pour désigner les membres du gouvernement. Estrosi  en jugeant que le parti est complètement incapable de présenter un candidat crédible aux présidentielles de 2022 condamne en fait son  propre parti à disparaître et finalement l’ invite à suivre la sort du parti socialiste.

Tout en rappelant son attachement à sa famille politique, Estrosi juge néanmoins qu’elle n’a aucune chance de faire émerger un candidat en mesure de conduire la bataille en 2022. Pas même François Baroin. Interrogé sur les propos d’Estrosi, le maire de Troyes, lui, écarte tout rapprochement avec LREM. «Oui, j’ai un léger désaccord d’analyse avec Christian Estrosi…», ironise le président des maires de France auprès du Parisien en pointant «la politique ultratechnocratique et centralisatrice» du gouvernement qu’il combat. Beaucoup reprochent Estrosi d’être une véritable girouette qui par exemple s’est rapprochée de Macon en 2017 dans le perspective de la victoire de l’actuel président, puis de s’en être éloigné pour retrouver le soutien des républicains lors des élections municipales et maintenant de reprendre du champ avec son parti une fois élu.

 «Ne soyons pas des girouettes. Ne mettons pas notre drapeau dans notre poche. Soyons nous-mêmes !», plaide aussi la députée européenne Agnès Evren. «Nous n’avons aucune honte à avoir: la France a besoin de nos valeurs et de nos convictions. Si nous ne les défendons pas, elles seront reprises et trahies par d’autres. Nous serons mangés par les deux bouts, entre le RN et LREM», met-elle en garde. Il est évident que l’absence de candidats aux présidentielles événement central de la politique en France constitue un aveu de faiblesse indéniable qui conduit vers la marginalisation puis la quasi-disparition. Ce qui est pratiquement fait pour le parti communiste et bien en cours pour le parti socialiste.

«Ensauvagement»: une guerre sémantique en dentelle

«Ensauvagement»: une guerre sémantique en dentelle

Une guerre sémantique en dentelle est engagée au sein même du gouvernement en particulier entre le ministre de l’intérieur et le ministre de la justice. Le premier confirme le choix du mot ensauvagement pour qualifier la montée des très grandes violences en particulier contre les forces de l’ordre. Cette confrontation des concepts pourrait être intéressante si elle permettait d’analyser réellement les facteurs explicatifs de la montée des violences. Des facteurs multiples évidemment sociétaux, sociaux, économiques et politiques comme la déliquescence de l’autorité en général et de l’État en particulier. Cette confrontation serait utile si elle servait la stratégie d’action. Or pour l’instant il s’agit surtout d’une guerre en dentelle dans les médias et le salon des ministères. Ce que conclut d’ailleurs Castex mais  sans davantage d’efficacité.

À l’occasion d’un déplacement à Chateauroux (Indre) pour la rentrée scolaire, M. Castex avait nié toute divergence au sein de son gouvernement. «Fermez le ban: il n’y a aucune polémique», a-t-il affirmé. «Le vrai sujet, en revanche, c’est bien celui de mobiliser face à la montée des violences et de l’insécurité», a-t-il répliqué aux journalistes qui l’interrogeaient.

«La question n’est pas les mots qu’on emploie pour qualifier le phénomène, mais les actions que l’on met et que l’on va mettre en place pour y faire face», a-t-il ajouté. «Le ministre de l’Intérieur, comme l’ensemble du gouvernement, constate effectivement qu’il y a une montée du sentiment d’insécurité et je peux vous dire la totale mobilisation du gouvernement pour y faire face», a assuré M. Castex. Des propos de bon sens mais qui ne trouve guère écho sur le terrain compte tenu du manque de volonté politique à la fois pour engager une politique ferme contre les violences mais aussi pour sortir les banlieues -qui fournissent l’essentiel des troupes violentes- de leur ghetto. Rappelons à ce sujet que le rapport Borloo particulièrement apprécié qui proposait une stratégie globale vis-à-vis des quartiers sensibles a été enterré publiquement par Macron !

Coronavirus France : 4982 nouveaux cas en 24 heures

Coronavirus France : 4982 nouveaux cas en 24 heures

4982 nouveaux cas de coronavirus ont été recensés en France au cours des dernières 24h, selon les chiffres de Santé publique France. Dans ce même temps, 19 personnes sont décédées dans les hôpitaux après avoir contracté le covid-19, portant le total à 30.661 depuis le début de l’épidémie.

Au total, 4.006.077 cas ont été recensés en Europe pour 216.080 décès, alors que 2.281.959 personnes sont considérées guéries, selon un bilan réalisé par l’AFP à partir de sources officielles mardi 1er septembre à 16h40 GMT. Près d’un quart de ces cas ont été recensés en Russie (1.048.000). Suivent l’Espagne avec 470.973 cas, le Royaume-uni (337.168) et la France (315.497).

«La liberté de blasphémer» en France

 «La liberté de blasphémer» en France  

 

À la veille du procès des terroristes visant notamment Charlie hebdo, le président de la république a soutenu le principe de la liberté de blasphémer en France.  «Depuis les débuts de la Troisième République, il y a en France une liberté de blasphémer qui est attachée à la liberté de conscience. Je suis là pour protéger toutes ces libertés. Je n’ai pas à qualifier le choix de journalistes. J’ai juste à dire qu’en France on peut critiquer des gouvernants, un président, blasphémer, etc.», a-t-il répondu à la question d’une journaliste. Mais en bon politique, Macron a immédiatement rééquilibré son propos pour indiquer que sa position

ne s’appliquait pas aux caricatures de Charlie Hebdo, que cette liberté «implique en revers une décence commune, une civilité, un respect» et qu’avec «la liberté d’expression, il y a le devoir de ne pas avoir de discours de haine», citant notamment les réseaux sociaux.

Un double discours évidemment toujours très les ambigu de la part de Macron qui n’est guère de nature à clarifier son concept de laïcité. Mardi, Charlie Hebdo a décidé derepublier, en Une, les douze caricatures de Mahomet qui en avaient fait une cible des djihadistes et provoqué des manifestations parfois mortelles dans plusieurs pays musulmans. «Nous ne nous coucherons jamais. Nous ne renoncerons jamais», a déclaré le directeur de l’hebdomadaire satirique, Riss. Le Pakistan a condamné cette décision mardi soir avec «la plus grande fermeté» !

Le problème du vaccin pour les pays pauvres

Le problème du vaccin pour les pays pauvres

 

Dès maintenant se pose la questions de l’approvisionnement des vaccins pour les pays pauvres. En effet les pays développés sont engagés dans une course qui ressemble à une compétition douteuse pour pouvoir disposer d’un nombre de doses suffisantes à coup de milliards promis aux différentes industries pharmaceutiques. Cette course renchérit forcément le prix potentiel du vaccin et va écarter encore un peu plus les conditions d’accès des pays pauvres. Parmi les grands pays, Etats-Unis, Union européenne, Royaume-Uni, Canada, Japon ont commandé pour leurs populations un total d’au moins 3,1 milliards de doses, selon un comptage de l’AFP. Donald Trump détient le record de commandes puisque son gouvernement a signé des contrats garantissant au moins 800 millions de doses auprès de six fabricants, pour 330 millions d’habitants, à livrer dès la fin de l’année pour une partie. «Les Etats-Unis sont potentiellement en situation d’avoir trop de vaccins si tous les projets dans lesquels ils ont investi réussissent», dit Richard Hatchett directeur général de la Coalition pour l’innovation en matière de préparation aux épidémies (Cepi), depuis Londres dans une interview à l’AFP. ses doses avec d’autres pays.

Un dispositif a bien été élaboré par l’organisation mondiale de la santé permettre un approvisionnement équitable d’un vaccin mais les États-Unis ont refusé de s’y soumettre, ce qui évidemment va peser sur la demande et la répartition. L’OMS souhaiterait que les fournitures de vaccins soient accessibles à 20 % de la population dans chaque pays. Pour éviter les surenchères de prix l’organisation mondiale de la santé préconise des achats groupés dans le cadre qu’elle a mis en place. Le problème c’est que la plupart des pays adhèrent à la fois à ce dispositif commun de l’OMS mais commandent aussi en parallèle les doses qui leur paraissent nécessaires avec chacun des laboratoires potentiellement susceptibles de fournir un jour un vaccin.

Frontières de plus en plus fermées aux touristes français

Frontières de plus en plus fermées aux touristes français

 

La France est de plus en plus considérée par les pays étrangers comme une zone à risque et des mesures sont prises pour fermer les frontières aux  touristes français. Des touristes qui doivent souvent lorsqu’ils peuvent effectuer le voyage être soumis à des tests de stage et où soumettre à une forme de quarantaine

La France n’est pas le seul pays concerné comme zones à risques; par ailleurs chaque pays prend des mesures qui ne sont pas très coordonnées. Du coup, l’Allemagne, qui occupe la présidence tournante de l’Union européenne, a indiqué lundi 31 août vouloir harmoniser les restrictions de voyage au sein de l’UE. La durée de la quarantaine obligatoire (10 à 14 jours), la validité des tests de dépistage (de 48 à 96 heures avant l’arrivée) ainsi que la définition d’une «zone à risque» diffèrent en effet d’un pays à l’autre.

Coronavirus : un dépistage en 15 minutes

Coronavirus : un dépistage en 15 minutes

 

Un test de dépistage du virus pourrait être disponible dès la fins du mois de septembre annonce le laboratoire pharmaceutique suisse Roche.

 «Lors du lancement, 40 millions de tests rapides SARS-CoV-2 seront disponibles chaque mois. Cette capacité sera plus que doublée à la fin de cette année pour répondre à la demande de tests des systèmes de santé dans le monde entier», a indiqué Roche dans un communiqué.

Guerre Lagardère – Bolloré : le feuilleton continue !

Lagardère – Bolloré : le feuilleton continue !

 

 

Le feuilleton continue entre Lagardère et Bolloré. On vient d’apprendre que Bolloré a saisi le tribunal de commerce après le refus de Lagardère de réunir une assemblée générale extraordinaire. On se souvient que Lagardère avait été sauvé par Bolloré d’abord pour empêcher le fonds spéculatif Amber de prendre le pouvoir. Depuis, on a assisté un changement d’alliance. Bolloré s’est allié avec ce fonds spéculatif pour tenter de prendre la direction de Lagardère. Du coup, Lagardère s’est autorisé une petite manœuvre juridique pour conserver son pouvoir. Bolloré et Amber ont alors demandé une assemblée générale extraordinaire. Le conseil de surveillance de Lagardère a rejeté la demande de convocation d’une assemblée générale exceptionnelle émanant d’Amber Capital et de Vivendi, annonce lundi le groupe dans un communiqué.

“Le conseil de surveillance a étudié la demande conjointe d’Amber Capital et Vivendi de convocation d’une assemblée générale exceptionnelle. Il a considéré que les conditions juridiques ne sont pas réunies pour déroger au calendrier social connu de tous les actionnaires”, explique-t-il.

“Il a rappelé qu’il est garant de l’intérêt social du groupe, de son indépendance et de son intégrité. À ce titre, il doit le préserver dans un contexte particulier, où l’un des actionnaires ayant fait la demande est en concurrence directe avec Lagardère Publishing”.

“Cependant, en accord avec la gérance, le conseil de surveillance a décidé d’ouvrir un dialogue actionnarial constructif et apaisé”, ajoute Lagardère.

Amber Capital a demandé qu’une assemblée générale des actionnaires se tienne “dans les meilleurs délais” afin de procéder à une recomposition partielle du conseil de surveillance.

Le fonds d’investissement s’est associé à Vivendi dans le cadre d’un pacte d’actionnaires pour obtenir quatre sièges au conseil de surveillance. Le feuilleton est encore loin d’être terminé car Bernard Arnault, PDG du géant français du luxe LVMH, a affiché récemment son soutien à Arnaud Lagardère en confirmant sa prise de participation dans sa holding personnelle, Lagardère Capital & Management. Mais Bolloré n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle en matière de stratégie capitalistique et l’histoire est loin d’être terminée.

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