Relocalisations : mais comment ?
. «Délocaliser notre industrie a été une faute majeure. Maintenant il faut relocaliser», expliquait de son côté le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le 14 mai.
A la relocalisation brutale et immédiate s’opposent de nombreuses raisons. La première c’est que la France a perdu une bonne partie de ses capacités industrielles et de recherche. En 20 à 30 ans, on a perdu 1 million d’emplois et en même temps le savoir-faire. Il Faudrait trouver évidemment dés investisseurs ce mais également réinvestir dans la formation aussi bien des cadres que des ouvriers. La seconde difficulté tient à la complexification des processus de production qui fait que nombre d’éléments de production viennent de l’étranger. Une reproduction relocalisation totale apparaît difficile. Elle ne pourrait être que progressive et sans doute ceux situés sur des secteurs très stratégiques et très pointus, lorsque notamment cela remet en cause la souveraineté française. Le problème est tellement complexe qu’on a de la difficulté à savoir ce qui est réellement produit en est ce qui ne l’est pas ainsi la célèbre marque Renault, considéré comme un étendard français ne fabrique en France environ 30 % de sa production, encore un peu moins pour Peugeot. À l’inverse dés marches étrangère fabriquent au moins en partie certains produits entre France, Toyota par
Une hypothèse relocalisation ne pourra s’inscrire que dans le temps et après un examen complexe et approfondi des différentes filières, des forces et des faiblesses du pays. En attendant peu de choses changeront sauf sans doute dans le secteur agricole là les choses peuvent aller mais en tenant compte aussi de l’État de ne nos echanges internationaux et de notre balance commerciale favorable.
. «Délocaliser notre industrie a été une faute majeure. Maintenant il faut relocaliser», expliquait de son côté le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le 14 mai.
A la relocalisation brutale et immédiate s’opposent de nombreuses raisons. La première c’est que la France a perdu une bonne partie de ses capacités industrielles et de recherche. En 20 à 30 ans, on a perdu 1 million d’emplois et en même temps le savoir-faire. Il Faudrait trouver évidemment dés investisseurs ce mais également réinvestir dans la formation aussi bien des cadres que des ouvriers. La seconde difficulté tient à la complexification des processus de production qui fait que nombre d’éléments de production viennent de l’étranger. Une reproduction relocalisation totale apparaît difficile. Elle ne pourrait être que progressive et sans doute ceux situés sur des secteurs très stratégiques et très pointus, lorsque notamment cela remet en cause la souveraineté française. Le problème est tellement complexe qu’on a de la difficulté à savoir ce qui est réellement produit en est ce qui ne l’est pas ainsi la célèbre marque Renault, considéré comme un étendard français ne fabrique en France environ 30 % de sa production, encore un peu moins pour Peugeot. À l’inverse dés marches étrangère fabriquent au moins en partie certains produits entre France, Toyota par
Une hypothèse relocalisation ne pourra s’inscrire que dans le temps et après un examen complexe et approfondi des différentes filières, des forces et des faiblesses du pays. En attendant peu de choses changeront sauf sans doute dans le secteur agricole là les choses peuvent aller mais en tenant compte aussi de l’État de ne nos echanges internationaux et de notre balance commerciale favorable.
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