Nissan : le ridicule du nationalisme japonais
La politique de gribouille du Japon aboutit certes à la mise à l’écart de Carlos gone n’est ne change rien au rapport capitalistique sauf à enfreindre toutes les règles internationales. Par parenthèse une perspective qu’on ne peut totalement exclure compte tenu du soir retour du nationalisme économique mais aussi culturel du Japon. Exemple le retour de la chasse aux baleines. Jusque-là la direction générale de Nissan s’était refusé à convoquer sur demande de l’actionnaire principal qui est Renault une assemblée générale pour envisager l’éventuel remplacement de Carlos gone. Or Nissan ne cesse de reculer la réunion de cette assemblée générale où Renault avec ses alliés sera majoritaire. En faite la tentative de déstabilisation de l’alliance Renault et des entreprises qui la composent n’aura pas servi à grand-chose sinon à flatter l’orgueil des Japonais. C’est finalement un peu sous la contrainte que Nissan décide enfin d’organiser une assemblée générale pas immédiatement mais en avril ! Une manière de reculer encore l’échéance Le constructeur d’automobiles japonais Nissan a en effet annoncé jeudi dans un communiqué avoir entamé le processus d’organisation d’une assemblée générale extraordinaire mi-avril, afin d’entériner la révocation de Carlos Ghosn et de nommer un nouveau membre choisi par Renault.
Le dirigeant de 64 ans, détenu depuis plus de deux mois au Japon pour des malversations financières présumées, a été révoqué fin novembre de la présidence du conseil d’administration, mais seule une AG peut le démettre de son poste d’administrateur.
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