Marie Lebec, l’archétype du député carriériste d’en marche
On la voit depuis quelque temps sur les plateaux télé tenter d’expliquer la politique de Macron. Sans beaucoup de succès tellement elle maitrise mal son sujet ; sans parler de son charisme proche de celui d’une planche à repasser. Et en plus avec la même prétention, la même arrogance que Macron. Elle a 28 ans, fait partie du fameux réseau des instituts d’études politiques qui ont noyauté en marche. Elle est jeune mais pourtant a déjà à son compteur de nombreux slaloms entre les partis politique des républicains en passant par le centre, les socialistes et maintenant avec en Marche. Bref, le cursus habituel des oligarques qui ont transformé la politique en métier. Extrait de wikipédia : « Elle est diplômée de l’Institut d’études politiques de Bordeaux en affaires publiques et représentation des intérêts,……Elle s’engage politiquement, tout d’abord à Louveciennes, au sein d’un conseil municipal des jeunes. En 2007, à l’occasion de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, elle adhère à l’Union pour un mouvement populaire (UMP), et commence à militer, notamment au sein des Jeunes populaires2. Plus tard, elle s’engage aux côtés d’André Vanhollebeke, maire de Louveciennes et président départemental des Yvelines du Nouveau Centre3, pour la campagne des élections municipales de 2014. Présente en 14eposition sur sa liste, elle n’est pas élue. La liste à laquelle elle appartient est reléguée dans l’opposition par une autre liste de droite, UMP, dans une campagne dure entre les deux listes qui mène à l’annulation du premier scrutin puis à la confirmation de ce premier scrutin dans une nouvelle élection. Elle est, pendant 18 mois, attachée parlementaire de Christian Franqueville (Parti socialiste), député-maire de Bulgnéville, à l’Assemblée nationale. En avril 2016, elle s’engage pour En Marche !. Elle participe à l’organisation du mouvement dans la 4e circonscription des Yvelines et à la mise en place du comité de Louveciennes. Elle occupe en parallèle un poste de consultante au sein du bureau du cabinet Euralia. Ce cabinet fait du lobbying notamment auprès d’élus français et du parlement européen8. »En clair elle n’a pratiquement jamais travaillé hors de la politique, ce qui ne l’empêche pas d’être membre de la commission des Affaires économiques de l’Assemblée. Dans le parti en Marche, ils sont des dizaines et des dizaines à présenter le même profil de carriéristes incompétents, courtisans et au surplus méprisants.
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