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Archive mensuelle de juillet 2018

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Record mondial de chaleur , pourquoi (Étienne Kapikian)

Record mondial de chaleur (Étienne Kapikian)

 

 

 Étienne Kapikian, prévisionniste à Météo France, explique qu’il. « Il faut prendre conscience que c’est ce qui nous attend de plus en plus dans le futur »,  sur  à franceinfo.

Franceinfo : Quels sont les endroits du globe touchés par ces fortes chaleurs ?

Étienne Kapikian : En France, on traverse un épisode caniculaire qui va sans doute se prolonger jusqu’au début du mois d’août. Mais nous sommes loin d’être les seuls concernés. Au mois de juillet, on constate une chaleur persistante avec des températures largement au-dessus des moyennes dans de nombreuses zones de la planète. Depuis le 14 juillet, le Japon connaît des températures inédites, autour de 40°C : c’est un record national. La chaleur humide y a déjà fait énormément de victimes. La Scandinavie également, en incluant la Finlande, a connu un trimestre exceptionnel, bien au-dessus de leurs moyennes de saison.  Le nord-ouest de la Russie, et notamment la région de Mourmansk, a dépassé les 30°C plusieurs jours d’affilée. Il y a aussi eu des extrêmes thermiques en Algérie. Au sud de l’Atlas, on va dépasser les 50°C certains jours.

En Asie centrale, c’est moins médiatisé, mais ils connaissent un mois de juillet exceptionnel entre le pourtour de la mer Caspienne et sur une partie de l’Iran et de l’Afghanistan avec des records absolus. À Erevan, la capitale de l’Arménie, on a atteint des records absolus, avec plusieurs jours au-dessus de 40°C. Le 4 juillet, à Bakou, en Azerbaïdjan, on a atteint 42,7°C.

Enfin, la Californie vit en ce moment même un épisode de chaleur spectaculaire. Au début du mois de juillet, il a fait 49°C en banlieue. Mardi 24 juillet, la vallée de la Mort a atteint les 59°C.

À quoi sont dûs ces records de température ?

Ils sont liés à des situations de blocage anticyclonique. Un peu partout dans le monde, des bulles de haute pression entretiennent des masses d’air très chaudes. C’est notamment le cas de l’Europe du Nord. Au Japon, c’est aussi un phénomène de dômes d’air chaud qui entretient des températures caniculaires. Et puis, bien sûr, le réchauffement climatique entraîne des canicules de plus en plus fortes.

Quant aux nombreux feux de forêt qui se sont déclenchés en Grèce mais aussi dans plusieurs pays d’Europe du Nord, ils sont le résultat d’une forte sécheresse persistante et de l’absence de pluie.

Une végétation sèche à laquelle vous apportez des températures très élevées : ce sont les ingrédients classiques pour favoriser la propagation d’incendies.

Va-t-il falloir s’habituer à ces épisodes de fortes chaleurs ?

C’est certain, oui. Il faut prendre conscience que c’est ce qui nous attend de plus en plus dans le futur. On s’apprête à battre de nouveaux records dans les années à venir. Les quatre années les plus chaudes sont les dernières : 2015, 2016, 2017, 2018. 2018 n’est pas terminée, mais on est parti pour figurer parmi les années les plus chaudes. Les modèles climatiques prévoient notamment que le réchauffement sera très fort dans les hautes altitudes soit dans les régions autour de l’Arctique.

La canicule n’est certes pas un phénomène nouveau : il y avait déjà des épisodes caniculaires au début du 20e siècle. Mais si on bat des records depuis quelques années, c’est parce que le climat se réchauffe. Et dans un climat plus chaud, on va forcément atteindre des températures plus élevées. À l’inverse, on aura de plus en plus de mal à battre les records de froid. Sur beaucoup de régions du globe, il va être difficile de continuer à vivre. Il y aura des conséquences sur l’être humain et sur l’agriculture.

 

 

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Coupe du monde: Benalla aaccéléré le bus pour faire plaisir à Macron

Coupe du monde: Benalla  a accéléré le bus pour faire plaisir à Macron

Tout le monde s’en doutait mais cette fois c’est le Canard Enchaîné qui le confirme, c’est bien Benalla présent lors de la réception des bleus qui a imposé une visite éclair de 12 minutes sur les Champs Elysées pour que Macron puisse accueillir les bleus à L’Elysée pour le journal de 20 heures. Voilà sans doute comment depuis des mois Benalla avait conquis les faveurs de Macron. Y compris en se frictionnant sévèrement avec les services officiels de police. Le Canard Enchaîné apporte ensuite une nouvelle information à propos de la soirée. Selon le journal, l’équipe de France était bien attendue sur le balcon du Crillon pour y brandir la coupe devant quelques 300.000 fans amassés place de la Concorde. Mais à cause du retard pris à l’Elysée, les Bleus ont fait l’impasse sur ce moment de communion avec leurs supporters. Pour appuyer cette théorie, le Canard Enchaîné publie une copie d’un mail adressé aux membres du Cercle de l’Automobile Club de France, voisin du palace parisien.

« Qu’ils viennent me chercher » (Macron)

« Qu’ils viennent me chercher » (Macron)

Sans doute une expression malheureuse de plus de Macron qui là ne peut s’empêcher de monter son dépit d’être sur la défense et qui tente de bomber le torse monarchique et autocratique pour impressionner comme un gamin dans une cour d’école. Macron menace  donc d’en découdre mais son entourage s’empresse d’indiquer qu’il est hors de question que le chef de l’Etat se rende dans la commission d’enquête parlementaire sur l’affaire Benalla. La constitution s’y opposerait en raison de la séparation des pouvoirs. Or rien ne figure de ce point de vue dans la constitution. Il n’est peut-être pas opportun que le chef de l’Etat réponde éventuellement à une  conviction de la commission d’enquête parlementaire mais s’appuyer sur des éléments juridiques relatifs à la constitution est un mensonge. De ce point de vue, l’exégète bienveillante  Marlène Schiappa déclare   »Moi, ce que j’entends quand le président de la République dit ‘le responsable, c’est moi, qu’ils viennent le chercher’, je pense qu’il parle de tous ces gens qui établissent des listes. ». Un éclairage qui n’éclaire pas grand-chose. Plus tard, l’entourage du chef de l’Etat a cependant précisé: « Rien dans les propos du Président de la République ne doit laisser penser qu’il va se faire auditionner. Ça n’est pas son souhait et ça n’est pas possible d’un point de vue constitutionnel ». 

Macron : un c’est « c’est moi » qui ne change rien

Macron : un c’est « c’est moi »   qui ne change rien

 

Poussé par l’opinion publique, par les médias et l’opposition Macron a été contraint de commencer la contre offensive à sa manière : de façon monarchique avec ses fameux : moi, je, moi, je. Par vraiment uen défense, un aveu en mettant en avant sa personne monarchique qui  n’a pu dissimiler que c’est bien lui qui a en fait décider de la faiblesse de la sanction à l’égard de Benalla. En fait un véritable aveu que la mansuétude vis à bis de Benalla n’est due qu’aux relations particulières qu’il entretenait avec l’intéressé depuis la campagne électorale. «La République exemplaire n’empêche pas les erreurs. S’ils cherchent un responsable, c’est moi et moi seul! Qu’ils viennent me chercher, a asséné le chef de l’État devant les députés LaREM. C’est moi qui ai fait confiance à Alexandre Benalla. C’est moi qui ai confirmé la sanction». » Qu’ils viennent me chercher «  une expression de défi assez inapproprié » et qui n’a pas beaucoup de sens. Macron tente de jouer les gros bras alors qu’il est en fait en position de faiblesse. Une réaction de gamin blessé dans une cour d’école plutôt que celle d’un chef d’Etat.

 

Iran : après le déluge de feu, un accord possible ! (Trump)

Iran : après le déluge de feu, un accord possible ! (Trump)

 

Toujours la même dialectique de Trump qui affirmait hier pouvoir détruire l’Iran par les armes et qui annonce maintenant qu’un accord n’est pas impossible. La dialectique des contraires : une annonce tonitruante un jour contrebalancée le lendemain par une posture très adoucie voire complètement contradictoire. Donald Trump s’est dit ouvert maintenant  à la négociation d’un « vrai accord » sur le nucléaire iranien, deux jours après une passe d’armes avec Téhéran par déclarations interposées. « Nous verrons ce qui se passera, mais nous sommes prêts à conclure un véritable accord, pas l’accord qui a été conclu par l’administration précédente, qui était un désastre », a déclaré le président américain dans un discours prononcé devant des vétérans de l’armée.

 

Sondage Affaire Benalla : 80% des Français indignés

Sondage Affaire Benalla : 80% des Français indignés

 

Huit Français sur dix se déclarent heurtés par les révélations sur Alexandre Benalla, un ex-collaborateur d’Emmanuel Macron accusé d’avoir commis des violences le 1er mai à Paris, selon un sondage Elabe pour BFM TV publié mardi. Près d’une personne interrogée sur deux (49%) se dit “tout à fait” choquée et 31% se disent “plutôt” choquées. “Cet état d’esprit est partagé par l’ensemble des Français, quelle que soit la catégorie sociodémographique et le segment politique, y compris chez les électeurs d’Emmanuel Macron du premier tour (de la présidentielle-NDLR)”, relève Elabe. A 75%, les sondés estiment par ailleurs qu’Emmanuel Macron, silencieux depuis le début de l’affaire Benalla, devrait s’exprimer sur le sujet et ne plus s’en tenir à des commentaires en petit comité.

Cette enquête a été réalisée lundi et mardi auprès d’un échantillon de 983 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Organisation de l’Élysée ; la Cour des comptes bienveillante

Organisation de l’Élysée ; la Cour des comptes bienveillante

 

 

 

La cour des comptes se montre un peu bienveillante vis-à-vis des dépenses de l’Elysée. En effet cette énorme machine qui fait double emploi avec le gouvernemenet dépense quand même 100 millions par an environ et emploie plus de 800 personnes. Des effectifs qui dépassent ceux de tout le gouvernement et qui démontre le centralisme démocratique proche en fait d’une monarchie républicaine.  Certes de améliorations ont été constatées es dernières années mais l’Elysées demeure encore la cathédrale étatique qui dirige le pays.  “La Cour constate que les progrès engagés ont été poursuivis, mais peuvent être encore complétés sur le plan de l’organisation, de la gestion et de l’immobilier”, écrit la cour des comptes  à l’occasion de la publication mardi de son rapport annuel sur les dépenses de la présidence. Le rapport porte sur l’exercice 2017, à cheval sur les quinquennats de François Hollande et d’Emmanuel Macron. Alors que les dépenses pour 2017 avaient été fixées à 100 millions d’euros, un prélèvement sur les réserves de 2,1 millions a été nécessaire et la dotation pour 2018 a été fixée à 103 millions, note la Cour. Elle estime que plusieurs dépenses devraient à l’avenir être intégrées au budget de l’Elysée pour mieux refléter la réalité. La présidence comptait 822 agents (en équivalent temps plein) au 31 décembre, soit 30 de plus qu’un an plus tôt, la hausse concernant particulièrement la sécurité informatique et le groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR). Les dépenses consacrées aux déplacements présidentiels sont quasi-stables par rapport à 2016, précise-t-elle.

Comme depuis plusieurs années, la Cour appelle de ses vœux une stratégie globale et à long terme en matière immobilière et précise qu’un “schéma” est à l’étude.

Benalla : le directeur de cabinet se sacrifie

Benalla : le directeur de cabinet se sacrifie

 

Il est évident que tout dans l’audition du directeur de cabinet, Patrick Strzoda, démontre une volonté de mettre à labri Macron. Patrick Strzoda s’est attribué l’exclusive responsabilité de l’affaire Benalla allant jusqu’à affirmer que Macron ne lui avait même pas parlé de cette affaire. En substance, Patrick Strzoda a affirmé qu’il était seul responsable. Il est clair que directeur de cabinet, proche de la retraite, va jouer le rôle de bouc émissaire. Les réponses confuses et surréalistes du directeur de cabinet n’ont convaincu personne. “Les éléments dont je disposais le 2 mai, donc le lendemain, m’ont conduit à cette sanction, que j’ai considérée comme adaptée, proportionnée à un comportement individuel fautif”, a-t-il déclaré devant les députés. “Je comprends parfaitement qu’on puisse considérer qu’elle n’était pas adaptée”, a-t-il ajouté. “En tout cas, en ce qui me concerne, j’assume ma décision.” Il a également dit ne pas avoir eu suffisamment d’”éléments” lui permettant à l’époque de saisir la justice en vertu de l’article 40 du code de procédure pénale ! Mais maintenant il les aurait.

Benalla » un bagagiste d’un jour » !!! (Macron)

Benalla » un bagagiste d’un jour » !!! (Macron)

 

 

La morgue, le mépris, la condescendance ont à nouveau  émergé quand Macron a affirmé devant les députés d’en marche »“Alexandre Benalla, lui non plus, n’a jamais été mon amant. Alexandre Benalla, quoique bagagiste d’un jour, n’a jamais eu ces fonctions dans la durée”, a-t-il ironisé, tout en raillant des “fadaises” relayées par des “parlementaires”, des “commentateurs” et des “journalistes”. Une curieuse défense qui consiste à renvoyer Benalla au rand subalterne quand on sait que l’intéressé était pourtant le principal responsable de l’organisation des déplacements du président, des déplacements officiels ou privés. Voilà Benalla qualifié de bagagiste d’un jour ou de palefrenier de l’Elysée. Pourtant Macron a bien dû convenir que Benalla avait joué un rôle capital pour son élection :   Le chef de l’Etat a en effet  salué le “courage” et “l’engagement” manifestés par son ex-collaborateur durant la campagne présidentielle, “à un moment où, sortant de nulle part, n’étant protégé et aidé (…) ni par l’Etat ni par les services publics, il était légitime d’avoir des gens qui organisent des déplacements, des réunions publiques”. Selon plusieurs témoins, Emmanuel Macron a également parlé des actes commis par son ex-homme de confiance comme d’une “trahison». Une contradiction de plus car pour trahir il fauta une confiance que Macron minimise quant au rôle de Benalla à Elysée.

Affaire Benalla: « Moi, moi, moi » (Macron)

Affaire Benalla: « Moi, moi, moi »  (Macron)

 

Macron n’a pas éclairci forcément l’affaire mais il a utilisé sa dialectique égocentrique et autocratique : le je, je, moi, moi. Avec aussi des arguments assez déplacés. En effet  Changement total et brusque de communication de Macron qui a affirmé  devant  les députés en Marche “Le seul responsable de cette affaire, c’est moi et moi seul. Parce que celui qui a fait confiance à Alexandre Benalla, c’est moi, le président de la République, celui qui a été au courant et qui a validé (…) la sanction de mes subordonnés, c’est moi”, a-t-il justifié. En réponse à la presse et à l’opposition qui dénonce le sacrifice des fusibles, Macron joue les contre pieds “Les valeurs qui nous ont faits, ce qui nous a conduits là, ce n’est pas la République des fusibles, ce n’est pas la République de la haine, celle où on fait trinquer un fonctionnaire ici, un collaborateur là”, a encore dit Emmanuel Macron, entouré de hautes figures de la majorité. L’aveu en fait que c’est bien lui l’auteur de la bienveillante sanction vis-à-vis de son courtisan Benalla

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Benalla était responsable des bagages ! (Castaner)

Benalla était responsable  des bagages ! (Castaner)

 

 

 

Après un silence de plusieurs jours les responsables d’en Marche et du gouvernement refond surface pour  tenter de déresponsabiliser l’Élysée et minimiser l’affaire. Tout cela avec des arguments approximatifs, souvent contradictoires quand ce n’est pas très spécieux. Ainsi Castaner a fait preuve d’une grande maîtrise de la langue de bois en affirmant ne pas très bien connaître les attributions de Benalla Allah ; il a cependant reconnu  la présence de l’intéressé lors de la réception des Bleus et indiqué que Benalla  était sans doute chargé des bagages. L’affaire pourrait donner lieu à rire si elle n’était pas grave. Première observation on peut s’étonner que Castaner ignore les fonctions de Benalla Allah que ce dernier est omniprésent auprès chef de l’État dans tous ses déplacements. Deuxième observation c’est évidemment le culot invraisemblable de Castaner qui tente de transformer Benalla, pourtant adjoint au chef de cabinet de Macron, responsable de la sécurité du président en simple chargé de logistique. Il faut vraiment que la majorité soit dans la panade se laisser aller à de telles élucubrations fantaisistes.  Sur BFMTV, Castaner  secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement, a en effet donné une réponse ahurissante à propos de Benalla  « Il a des fonctions logistiques sur lesquelles il travaille, a déclaré Castaner. Vous savez, moi aussi j’aurais rêvé d’être dans le bus. Ce n’est juste pas ma place. Je ne suis pas l’employeur de cette personne et je ne sais pas quelles étaient ses missions. J’ai entendu dire qu’il était en charge de la logistique, notamment des bagages. »

Benalla : ni puni, ni suspendu !

Benalla : ni puni, ni suspendu !  

Officiellement après ses exploits et ses tabassages de deux  manifestants,  Benalla aurait été puni et suspendu pendant 15 jours. On lui aurait retiré ses missions relatives à la protection du chef de l’État. En réalité,  il semble bien que Benalla n’est pas été puni, ni même suspendu. Aucun document officiel n’atteste en effet de cette suspension. Alain Gibelin, directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police, a semé le doute dans les esprits sur la réalité même de la suspension. Alain Gibelin, qui a également souligné que la présence du chargé de mission élyséen Place de la Contrescarpe le 1er mai n’était pas régulière, a indiqué qu’Alexandre Benalla avait participé à des réunions préparatoires à des déplacements d’Emmanuel Macron tout au long la première quinzaine de mai. On sait par ailleurs que Ben Allah n’a pas été privé de ses responsabilités puisqu’il s’est occupé par ailleurs par exemple de la sécurité du président lors des manifestations du 14 juillet et de la réception de l’équipe de France de football à l’Elysée. Et Alain Gibelin de conclure « Non. Et je répète que la sanction prise à l’encontre d’Alexandre Benalla à aucun moment n’a été porté ni à ma connaissance, ni à celle de mes collaborateurs. »

Venezuela: inflation de 1.000.000 % d’ici fin 2018

Venezuela: inflation de 1.000.000 % d’ici fin 2018

Situation économique et politique de plus en plus explosive  avec la dévalorisation totale de la monnaie. L’inflation au Venezuela devrait en effet accélérer de 1.000.000 % d’ici la fin de l’année et le Produit intérieur brut (PIB) du pays, en crise financière et humanitaire, devrait se contracter de 18% en 2018, selon des prévisions du FMI publiées lundi. « Nous projetons une poussée de l’inflation de 1.000.000% d’ici la fin 2018, ce qui signifie que le Venezuela est dans une situation similaire à celle de l’Allemagne en 1923 ou celle du Zimbabwe à la fin des années 2000″, a commenté dans un blog Alejandro Werner, un des responsables du Fonds monétaire international.

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