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Archive mensuelle de janvier 2018

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Migrants : un débat gangréné en France par la faillite de l’ intégration

Migrants : un débat gangréné  en France par la faillite de l’  intégration

 

 

 

Il était clair dès le départ que toute décision un peu clair de la part du gouvernement en matière d’immigration susciterait de violentes réactions de la part de ceux qui se font les défenseurs des droits humanitaires. Ce que souhaite le gouvernement, c’est renvoyer  effectivement certains migrants qui ne remplissent pas les conditions du droit d’asile. La France ferme donc  pratiquement la porte sauf exception aux migrants économiques.  Pour réguler ses flux de migrants,  il convient de les identifier et le gouvernement propose une mesure très controversée visant à recenser les étrangers dans les centres d’hébergement d’urgence. D’un côté les intellectuels et les associations accusent le gouvernement d’un manque d’humanité, de l’autre les responsables gouvernementaux à commencer par Emmanuel Macon veulent faire prévaloir le réalisme considérant que la France selon la formule déjà employée ne pouvait accueillir toute la misère du monde. En vérité on n’en est loin car la France est un des pays où le taux d’immigrés est le plus faible. Le problème est ailleurs il est dans le constat que le pays se montre complètement incapable d’intégrer les générations précédentes de migrants et même leurs descendants devenus français. Ce ne sont pas tellement les migrants nouveaux qui sont en cause mais ceux qui résident de plein droit en France surtout lorsqu’ils ont acquis la nationalité française. On objectera heureusement qu’un certain nombre de ses anciens migrants ont réussi à s’approprier les valeurs républicaines et à s’insérer d’un point de vue économique et social mais une grande partie reste sur le carreau et végète dans des zones de non-droit en marge des règles républicaines. La France peut évidemment comme d’autres pays accueillirent beaucoup plus de migrants quittant leur pays pour des motifs politiques ou économiques, le problème c’est que le pays ne saura pas pour uen très grande partie en faire des Français à part entière avec les mêmes droits et devoirs que les autres, avec les mêmes valeurs et avec la même adhésion au concept de citoyenneté .

Lactalis: « défaillance » aussi des services de l’Etat (Michel-Edouard Leclerc)

Lactalis: « défaillance » aussi des services de l’Etat (Michel-Edouard Leclerc)

 

Pour Le patron des centres Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, la responsabilité des services de l’Etat est aussi engagée, « la situation nouvelle confirme que la défaillance est bien systémique et pas seulement sectorielle ». Il ajoute avoir entendu le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, faire le bilan des 2.500 contrôles menés par son administration, qui ont révélé que « 91 organisations détenaient des boîtes qui auraient dû être retirées, dont 30 grandes surfaces, mais aussi 44 pharmacies, 2 crèches, 12 hôpitaux et 3 grossistes ». « Tous les acteurs économiques, depuis le producteur Lactalis jusqu’au distributeur (GMS comme officine) ont eu des points de défaillance », souligne-t-il, avant d’ajouter: « Et, c’est désormais une certitude, les services de l’Etat aussi ». E. Leclerc a été mardi le premier distributeur à annoncer que, malgré le rappel lancé en décembre à la suite de la découverte d’une contamination aux salmonelles dans l’usine Lactalis de Craon (Mayenne), 984 produits concernés avaient été vendus dans ses magasins. Carrefour, Système U, Auchan et Casino ont ensuite révélé avoir vendu des produits issus de lots rappelés. Et même si Michel-Edouard Leclerc conclut que « quoi qu’il en soit, ça n’excuse rien », il estime également que « ce constat vient appeler en responsabilité ceux qui avaient fustigé un peu trop vite les seules grandes surfaces ». L’Etat a exigé jeudi de la grande distribution des explications sur la commercialisation de produits Lactalis qui auraient dû être retirés de la vente à la suite d’une contamination à la salmonelle et a sévèrement critiqué le groupe laitier jugé « défaillant ». M. Le Maire a reçu jeudi soir à Bercy les représentants de la grande distribution, qui ont promis un contrôle systématique en caisse des boites de lait infantile Lactalis, avant de recevoir la direction du groupe laitier vendredi. Ces convocations ont été lancées sur ordre de l’Elysée: depuis un mini-sommet européen à Rome, Emmanuel Macron a averti que « si des sanctions devaient être prises, elles seraient prises ».

Croissance Chine: nette hausse du commerce extérieur en 2017

Croissance Chine: nette hausse du  commerce extérieur en 2017

 

Les exportations  de la Chine, exprimées en dollars, ont progressé de 7,9% l’an dernier, remontant de façon spectaculaire après s’être effondrées de 7,7% en 2016, selon des chiffres de l’Administration des Douanes publiés vendredi. Une confirmation de la demande solide chez les principaux partenaires de la Chine, à même de doper les ventes de produits manufacturés du pays.  De leur côté, les importations chinoises se sont envolées de 15,9% en 2017 (après une chute de 5,5% l’année précédente), témoignant du vif renforcement de la demande intérieure sur fond de stabilisation de la deuxième économie mondiale. Au final, cette robustesse a contribué à dégonfler quelque peu le colossal excédent commercial du pays: il s’est établi pour l’année à 422 milliards de dollars, chutant de 17% par rapport à 2016 (510 milliards). Les Etats-Unis, deuxième partenaire commercial de la Chine après l’Union européenne (UE), n’en ont cependant guère profité. Le déséquilibre des échanges entre les deux puissances –vivement critiqué par le président américain Donald Trump– s’est encore aggravé, l’excédent commercial chinois avec les Etats-Unis bondissant de 10% sur l’année, à 276 milliards de dollars. A noter cependant que les exportations de la Chine ont légèrement ralenti le mois dernier, grimpant de 10,9% seulement sur un an, tandis que ses importations s’essoufflaient de façon drastique, avec une progression de 4,5%, contre un bond de presque 18% en novembre. Une performance très en-deçà des anticipations des analystes sondés par Bloomberg, qui tablaient sur une hausse de 15,1% des importations. En conséquence, l’excédent chinois s’est envolé à 54,7 milliards de dollars en décembre, contre 40,2 milliards en novembre, à rebours des prévisions du marché.

Le gouvernement demande des sanctions dans l’affaire Lactalis

Le gouvernement demande des sanctions dans l’affaire Lactalis

Une crise qui comprend plusieurs  volets et qui ne permet à aucun acteur de se déresponsabiliser aussi facilement. Le premier enjeu concerne la santé.  Est d’abord en cause l’industriel Lactalis responsable en premier de la contamination par la salmonelle et qui depuis plus d’un mois tente de retirer les lots contaminés. Ce qui est  fait avec retard en France du fait de la responsabilité des distributeurs. Par contre, pour l’essentiel des exportations peu de retrait a été possible. Or dans cette  affaire de toute évidence,  les services de l’État n’ont pas été capables en un mois de bloquer totalement toute diffusion du produit contaminé ce qui met en cause les intérêts de la France qui comptait bien justement redonner du dynamisme à sa filière lait.  La responsabilité de l’État est forcément engagée puisqu’elle est chargée des contrôles sanitaires. Cette crise touche aussi la grande distribution, dont les principales enseignes (Leclerc, Auchan, Carrefour, Système U) ont reconnu avoir écoulé des produits Lactalis malgré les rappels successifs de ces produits depuis début décembre. “Cette affaire est grave”, a déclaré jeudi le ministre de l‘Economie et des Finances à la presse. “Elle a donné lieu à des comportements inacceptables qui devront être sanctionnés.” Il s‘en est remis pour les sanctions à la justice, qui a ouvert le 22 décembre une enquête préliminaire pour “blessures involontaires”, “mise en danger de la vie d‘autrui”, “tromperie aggravée” et “inexécution d‘une procédure de retrait”. Bruno Le Maire, qui a reçu jeudi en fin de journée les acteurs de la grande distribution avec le ministre de l‘Agriculture, Stéphane Travert, a annoncé à l‘issue de cette réunion que les enseignes de distribution s’étaient engagées à mettre en place d‘un contrôle électronique systématique en caisse pour bloquer d’éventuels produits concernés par le rappel encore présents dans les rayons. Le président de l‘association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir, Alain Bazot, a jugé “stupéfiants mais pas étonnants” les dysfonctionnements constatés. Interrogé par plusieurs médias, il a dénoncé des “défaillances dans le suivi” des décisions de rappel des produits suspects et “les moyens indigents” de la DGCCRF. Bruno Le Maire a reconnu que la filière laitière et tout un pan de l‘industrie agroalimentaire française risquaient d’être affectés, au-delà de Lactalis. Plus de la moitié des 14.500 tonnes de lait concernées par le rappel ont été exportées. “Il y a des enjeux à l‘exportation, notamment sur le lait infantile en Chine”, a-t-il déclaré. “Je pense que la meilleure réponse c‘est la transparence sur les décisions que nous prenons et la rigueur des décisions que nous prenons.” “Je ne regrette pas d‘avoir frappé aussi fort le 9 décembre parce que c‘est à la fois une garantie pour la sécurité sanitaire des consommateurs (…) et un gage de confiance vis-à-vis de nos partenaires étrangers”, a ajouté le ministre. “Les enjeux sur la réputation de la filière agroalimentaire française, sur les exportations et donc sur l‘emploi (…) sont suffisamment importants pour (…) qu‘on aille jusqu‘au bout de cette affaire, qu‘on établisse les responsabilités de chacun.” Selon Santé publique France, l’agence nationale de santé publique, 35 nourrissons ayant consommé des laits Lactalis venant du site de Craon ont été identifiés comme ayant été contaminés par des salmonelles entre la mi-août et le 2 décembre 2017, dans dix régions différentes.

Sondage : 80% des Français pour une loi contre les « fake news » ….et après ?

Sondage : 80% des Français pour une loi contre les « fake news » ….et après ?

C’est le genre de sondage qui fait plaisir à celui qui avait émis l’idée d’une loi, à savoir Emmanuel Macron. Pour autant,  un sondage qui n’apporte guère d’éclairage sur ce qu’on peut qualifier de fausses nouvelles ;  une loi en apparence utile voire nécessaire mais sans doute impossible à élaborer et encore davantage à mettre en œuvre. Il sera en en effet difficile de qualifier les faits : ce qui est vrai et ce qu’il faut en politique ? C’est tout juste si on pourra interdire les attaques personnelles caractérisées. Pour le reste,  la démocratie se chargera de réguler les bonnes et les fausses nouvelles. Nous ne sommes plus à une époque le pays ne disposait que de quelques radios et d’une seule chaîne de télévision les supports médiatiques ont été multipliés par 100 voire 1000. Juridiquement on voit mal comment le conseil constitutionnel pourrait accepter une loi visant à punir pour des faits relativement évasifs. Car tout ce qui concerne la politique peut nécessairement donner lieu deux  lectures  au moins. Par contre,  on peut se réjouir qu’une plus grande transparence soit faite vis-à-vis des sites Internet avec l’identité des auteurs et des diffuseurs. De ce point de vue,  l’anonymat n’est pas tolérable. Une  large majorité de Français soutiennent la volonté d‘Emmanuel Macron de proposer un futur projet de loi pour endiguer la propagation de fausses informations, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et le Figaro. Pour le chef de l‘Etat, qui a fait cette annonce la semaine dernière lors de ses voeux à la presse à L‘Elysée, la définition de règles claires contre les “fake news” est nécessaire pour “protéger les démocraties libérales”, en particulier en période électorale et sur internet. D‘après cette enquête, 79% des Français jugent qu‘il s‘agit d‘une bonne initiative.

 

Cette enquête a été réalisée en ligne les 10 et 11 janvier derniers auprès d‘un échantillon de 1.004 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Accord avec l’Iran : Macron demande à Trump de le respecter

Accord avec l’Iran : Macron demande à Trump de le  respecter

 

Difficile de savoir si Trump sera sensible à l’appel d’Emmanuel Macon visant à soutenir l’accord de 2015 avec l’Iran sur le nucléaire. Cet accord encadre les activités nucléaires iraniennes en contrepartie d‘une levée progressive de sanctions frappant la République islamique. Il a été conclu entre Téhéran et les puissances du groupe P5+1 (Etats-Unis, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Russie et Chine), après d’âpres négociations, sous le second mandat de Barack Obama.  Dans cette affaire,  Trump paraît une nouvelle fois assez isole mais il est toujours difficile de prévoir ses réactions. Il se pourrait cependant que Trump veuille redorer un peu son image internationale en faisant preuve de concession sur le sujet. Il vient d’en faire sur le dossier coréen, il a aussi annoncé qu’il pourrait éventuellement rejoindre l’accord de Paris sur le climat même si cette déclaration contient toujours beaucoup de flou. On pourrait donc imaginer que Donald Trump  évite de  trop jouer la politique de la chaise vide au plan international – Emmanuel Macron a demandé jeudi à Donald Trump de respecter l‘accord de 2015 sur le nucléaire iranien, à quelques heures d‘une décision attendue du président américain sur l’éventuel rétablissement de sanctions à l‘encontre de l‘Iran. L‘Elysée a annoncé dans un communiqué que le chef de l‘Etat français s’était entretenu au téléphone avec son homologue des Etats-Unis, pour évoquer notamment les relations avec l‘Iran. Il a rappelé “la détermination de la France en faveur d’une application stricte de l’accord” de 2015 et “l’importance de son respect par l’ensemble de ses signataires”, précise l‘Elysée. “La bonne mise en œuvre de l’accord devait être accompagnée d’un dialogue renforcé avec l’Iran sur son programme balistique et sa politique régionale, afin de garantir une meilleure stabilité au Moyen Orient.

Actu, infos, économie, social, politique : articles les plus lus

Confiance l’économie : en hausse… chez les cadres

Confiance l’économie : en hausse… chez les cadres

 

La confiance dans l’économie est en hausse d’après le baromètre Odoxa pour BFM Business, Challenges et Aviva, mais avec une dispersion des réponses 60 % pour les SCP+ et 30%  Un regain d’optimisme qui n’est donc pas partagé par toutes les catégories sociales. « Le moral économique des Français est totalement corrélé à leur milieu: très haut chez les CSP+, les Français diplômés et aisés et chez les urbains. (…) Très faible chez les CSP-, les Français modestes, peu diplômés et ruraux », indique ainsi Gaël Sliman, le président d’Odoxa. Sans surprise, le moral des sympathisants de La République En Marche est particulièrement bon (89% d’entre eux se disent confiants en l’avenir). C’est également le cas parmi les sympathisants socialistes (62%) et de la droite traditionnelle (54%). En revanche les sympathisants de gauche radicale (29%) et ceux du FN (17%) semblent pessimistes. « Nos concitoyens voient la vie en rose, surtout s’ils ont le sentiment de faire partie des gagnants de la mondialisation », résume ainsi Gaël Sliman.

Bitcoin : Nabilla pour, Warren Buffett contre, Quel expert suivre ?

 

 

Warren Buffett qui condamne la cryptomonnaie. JP Morgan qui condamne aussi et s’excuse le lendemain, Goldman Sachs pour, comme Paypal. Les Echos qui expliquent que la valeur du bitcoin ne pourra baisser car la monnaie sera toujours indispensable aux transactions douteuses du fait du caractère aujourd’hui anonyme du bitcoin. Pas étonnant que la playmate  Nabila participe à un débat aussi touffu puisque l’expertise paraît aussi  contradictoire. Même l’autorité des marchés qui rappelle à l’ordre l’ex star de téléréalité. En fait beaucoup qui s’expriment sur le sujet y compris au plus haut niveau n’y connaissent après près rien, par exemple Warren Buffet. Il faut dire que le mécanisme des cryptomonnaie est assez complexe. Un mécanisme qui vise surtout à accélérer et à rendre moins coûteuse les transactions financières grâce à l’échange de données automatiques entre ordinateurs. De ce point de vue,  l’outil sera pérennisé et viendra même mettre en péril les mécanismes de transaction en monnaie classique à moins qu’elle ne développe elle aussi des crypto menées adossées. Après, se pose la question de la valeur du bitcoin et d’une façon plus générale des cryptomonnaie. Et la spéculation autorise n’importe quel excès à la hausse comme à la baisse. Aucune autorité ne peut garantir le cours du bitcoin  qui navigue uniquement non pas en fonction de l’évolution de opérations  financières réalisée mais uniquement fonction de la spéculation. Du coup, il faut nécessairement s’attendre à un coup de tabac un jour au l’autre comme le prévoit notamment Warren Buffett :    »Je peux dire presque avec une quasi certitude que les cryptomonnaie en général vont mal finir » a déclaré le deuxième homme le plus riche du monde, Warren Buffett, sur CNBC qui lui demandait s’il possédait des bitcoins. (Crédits : CNBC)Le milliardaire américain de 87 ans, considéré comme un des investisseurs les plus avisés, serait prêt à parier à long terme sur la baisse du bitcoin et de toutes les monnaies virtuelles. Longtemps resté à l’écart des valeurs technologiques, le deuxième homme le plus riche du monde reconnaît toutefois qu’il n’y connait rien en cryptomonnaie. De Nabila à Jamie Dimon, le Pdg de la banque JP Morgan, qui n’a pas son opinion sur le bitcoin ? L’une des voix les plus respectées à Wall Street vient de livrer la sienne : Warren Buffett, le deuxième homme le plus riche du monde selon le classement Forbes, n’en possède pas et n’a pas l’intention d’en acheter, convaincu d’un avenir peu radieux pour les monnaies virtuelles. Interrogé sur la chaîne CNBC, le milliardaire de 87 ans, à la fortune estimée à plus de 87 milliards de dollars, a confié sa méfiance : « Je peux dire avec une quasi-certitude que les cryptomonnaies en général vont mal finir », a-t-il déclaré. Auréolée d’une couronne de cœurs numériques envoyés par ses fans, l’ex-vedette de téléréalité Nabilla (rendue célèbre par son fameux « allo quoi ? ») conseille à ses abonnés, dans une vidéo publiée sur son compte Snapchat, d’aller acheter du bitcoin, « la nouvelle monnaie, genre la monnaie du futur », sur une plateforme tenue par des traders « qui font ça depuis des années.» « Même si vous n’y connaissez rien, ça vous permet de gagner de l’argent sans investir beaucoup. Moi j’ai dû mettre 1.000 euros et j’ai déjà gagné 800 euros. Mais vous pouvez faire beaucoup moins », ajoute la jeune femme qui fait apparaître un lien vers la page Facebook de ladite plateforme,Traderlebitcoin, établie en Andorre. « C’est vraiment sûr c’est vraiment cool. Vous pouvez y aller les yeux fermés » assure-t-elle. Vous pouvez toujours récupérer l’argent [...] Y a rien à perdre, c’est gratuit. » Il n’y a effectivement pas de frais de courtage sur la plateforme qui se dit sponsorisée par eToro, courtier sur le marché des changes converti aux cryptomonnaies, établi à Chypre, qui se présente comme « le plus grand réseau de trading social et d’investissement.» Postée lundi soir sur Youtube par un certain Trader Cryptos, la vidéo, sorte de publicité à peine déguisée, a fait réagir sur les réseaux sociaux, notamment dans les milieux de la Fintech, en ironisant sur le mode « non, mais allo, l’AMF?« . L’Autorité des marchés financiers (AMF), dont les missions consistent à « réguler, informer, protéger », a réagi le lendemain sur Twitter sans s’adresser directement à la célébrité mais en mentionnant son nom :

 

 

AMF

✔@AMF_actu

#Nabilla Le #Bitcoin c’est très risqué ! On peut perdre toute sa mise. Pas de placement miracle. Restez à l’écart.

19:34 – 9 janv. 2018

Croissance Chine : « autour de 6,9% » pour 2017

 Croissance Chine : « autour de 6,9% » pour 2017

 

 

Le chiffre officiel du PIB chinois pour 2017 doit être annoncé par le gouvernement le 18 janvier. Le géant asiatique avait enregistré en 2016 sa plus faible performance depuis 26 ans, avec une croissance économique de 6,7%. .  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs.  . La croissance de 2016 a été  la plus faible depuis 26 ans mais le pays avait connu un net rebond (+6,9%) sur l’ensemble au premier semestre 2017 puis une progression de 6,8% au troisième trimestre, sur fond d’envolée du crédit et des investissements dans les infrastructures. Soucieux d’endiguer la pollution atmosphérique durant les mois d’hiver, le gouvernement a mené ces derniers mois une vaste campagne pour fermer les usines polluantes et sabrer les capacités excédentaires du secteur industriel dans le nord du pays. Selon nombre d’analystes, cette campagne très offensive pourrait avoir fait trébucher la croissance au quatrième trimestre, en raison de l’essoufflement de la production industrielle. Mais une croissance annuelle de 6,9% suggérerait, à l’inverse, que cela n’a pas été le cas. « Si la conjoncture chinoise s’est à ce point améliorée (sur divers fronts), c’est surtout parce que nous ne nous sommes pas entêtés à +inonder (l’économie) à grands flots+ de plans de relance », pour privilégier plutôt le rééquilibrage vers « de nouvelles sources de croissance », a insisté Li Keqiang dans le même discours. Pékin entend rééquilibrer le modèle économique du pays vers les services (qui forment déjà plus de 50% du PIB), les nouvelles technologies et les exportations à valeur ajoutée, et au détriment des industries lourdes, plombées par de sévères surcapacités et un endettement massif.

 

La Banque de France relève sa prévision de croissance pour 2017 : proche des 2%

La Banque de France relève sa prévision de croissance pour 2017 : proche des 2% 

 

La France va connaître la plus forte croissance depuis plusieurs années en approchant même les 2 %. En effet, la Banque de France a revu en hausse ses prévisions de croissance de l’économie française, à 0,6% sur le quatrième trimestre 2017 et à 1,9% sur l‘ensemble de l‘année écoulée, a annoncé mercredi soir le gouverneur de la banque centrale française, François Villeroy de Galhau. “Nous allons revoir à la hausse notre prévision de croissance sur le quatrième trimestre écoulé, le dernier trimestre de 2017, on va passer de 0,5% à 0,6%”, a-t-il déclaré sur LCI, à la veille de la publication de l‘enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France pour décembre. Cette enquête mensuelle auprès des chefs d‘entreprise est “très bonne”, en particulier dans l‘industrie, a-t-il précisé. “Nous attendons sur la croissance 2017 non plus 1,8%, qui est ce que nous visions jusqu’à présent, mais 1,9%”, a ajouté François Villeroy de Galhau, en soulignant que cela correspond à “la plus forte croissance depuis 2011 en France”. Les prévisions de la Banque de France rejoignent ainsi celles de l‘Insee, qui a également revu en hausse de 0,6% sa prévision pour le PIB du dernier trimestre dans sa dernière note de conjoncture en date du 19 décembre. L‘institut national de la statistique anticipe aussi une croissance de 1,9% sur l‘ensemble de l‘année 2017.

Corées du Nord : Trump prêt aux discussions avec Pyongyang

Corées du Nord : Trump prêt aux  discussions avec Pyongyang

 

Coup sur coup, Trump prend des  décisions qui viennent  en contradiction avec les positions précédentes. Sur l’accord de Paris, il se dit prêt à réintégrer la communauté internationale même si les conditions demeurent encore très floues. Concernant la Corée, non seulement Trump se réjouit des discussions entre le sud et e nord mais se dit même prêt à engager des discussions directes avec Pyongyang. Là encore,  c’est un peu le flou qui prédomine et Trump  se réserve la possibilité d’observer ce qui va se passer entre les deux Corées. On est encore loin de la  dénucléarisation de la péninsule coréenne sur laquelle les deux Corées s’étaient mises d‘accord (par le passé) et qui restent une position de base de la Corée du Sud. De son côté la Corée du nord  n’est sans doute pas prête pour le moyen et le long terme a abandonné son arsenal nucléaire sur lequel repose tout son pouvoir. La réunification souhaitée officiellement par les deux camps n’est pas pour demain par contre les tensions peuvent utilement diminuer avec la bénédiction des États-Unis  Donald Trump et le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un n‘ont cessé d’échanger menaces et insultes au cours de l‘année écoulée, ce qui a fait craindre le déclenchement d‘une nouvelle guerre en Corée. Les Etats-Unis et la Corée du Sud sont toujours techniquement en guerre contre la Corée du Nord. Le conflit qui a fait rage de 1950 à 1953 dans la péninsule s‘est achevé sur un cessez-le-feu et non un traité de paix.

L’accord climat de Paris : retour des États-Unis

L’accord climat de Paris : retour des États-Unis

 

Il semble que Trump est été interpellé par le fait que la Chine,  avec la France,  veuille prendre le leadership concernant la défense du climat. Pour se réinsérer dans cette problématique internationale, le président américain n’exclut plus à retour dans l’accord climat de Paris. Cette prise de position semble un peu hâtive et surtout floue car le président américain ne précise pas de manière claire les conditions qui permettraient aux États-Unis de revenir dans l’accord. De ce point de vue,  la dialectique de Trump est assez inouïe lui d’accorder intimement au d’accord bal aussi que ce pour 10 minutes d’accord assez particulière voire contradictoire : “Franchement, il s‘agit d‘un accord avec lequel je n‘ai aucun problème, mais j‘avais un problème avec l‘accord qu‘ils ont signé parce que, comme toujours, ils ont conclu un mauvais accord. Donc, nous pourrions envisager d‘y retourner”, a-t-il poursuivi. Trump a annoncé en juin dernier qu‘il retirait les Etats-Unis de cet accord visant à contenir le réchauffement climatique conclu en décembre 2015 dans le cadre de la COP-21. Il avait alors expliqué que les conditions économiques et financières de cet accord étaient “draconiennes” et que le retrait des Etats-Unis représentait une “réaffirmation de la souveraineté américaine». Mais il avait déjà fait part de sa volonté d‘entamer des négociations soit pour revenir dans l‘accord, soit pour parvenir à un nouvel accord “sur des termes qui soient équitables pour les Etats-Unis”. Il s’était opposé à une fin de non-recevoir.

Chine Macron : des promesses à concrétiser

 Chine Macron : des promesses à concrétiser

 

On sait que Macron a voulu éviter l’obstacle du respect des promesses faites entre les deux pays. Pour cela, d’une part il a évité d’indiquer les sommes financières en jeu suite aux accords considérant que ce type d’annonce n’était pas toujours suivi d’effet. Restent les réalités,  à savoir que la balance des échanges avec la Chine est déficitaire de 30 milliards pour la France et que ce n’est pas seulement un accord avec Areva, des achats d’Airbus ou quelques autres projets industriels qui permettront de rééquilibrer la balance. Certes l’industrie représente un enjeu important et la France avec sa technologie peut participer au développement chinois. Mais il faudra aussi ouvrir le marché des services y compris financiers, autoriser  les investissements dans le secteur public chinois enfin lever les barrières à l’exportation des produits agricoles français.  L‘embargo chinois sur la viande bovine française devrait être totalement levé dans les six prochains mois et un déblocage est attendu pour le porc et le lait pour nourrissons. Un travail est parallèlement engagé sur les services financiers. Prié de dire pourquoi aucun montant global des accords n’était annoncé, Emmanuel Macron a répondu : “je ne souhaite pas donner le sentiment que cette visite est là pour venir chercher un maximum de contrats, avec un montant affiché très élevé». Dans le passé, des chiffres ont été communiqués lors de rencontres de ce type qui se sont révélés fantaisistes, a-t-il souligné, “donc, plutôt que les chiffres, je préfère le suivi”. À cette fin Macon a promis de revenir en Chine chaque année.

Loyer 4 pièces : 3000 euros à paris mois de 1000 euros à Lille.

Loyer 4 pièces : 3000 euros à paris mois de 1000 euros à Lille.

 

Fortes dispersion des prix entre les villes. Autre exemple 750 euros prix médian pour un studio, un peu plus de la moitié à Lille. Dans sa dernière étude, l’Observatoire statistique des locations de la Fédération nationale de l’immobilier a calculé les loyers et délais de location médians des dix plus grandes agglomérations françaises, selon la taille des logements. «Si la hiérarchie des loyers au mètre carré est conforme à ce qui est habituellement constaté, l’amplitude des écarts varie notablement», observe la Fnaim. Ainsi, les loyers au m² des studios sont parfois très supérieurs à ceux des 2-pièces: les écarts s’étendent ainsi de +17% à Toulon à +45% à Lyon. L’agglomération parisienne se situe en quatrième position avec une différence de 30%. Les loyers au m² des 2-pièces sont également supérieurs à ceux des 3-pièces: +5% à Paris, +10% à Nice ou +21% à Toulon. En revanche, ceux des 3 et 4-pièces sont assez proches les uns des autres, quelles que soient les agglomérations. Cette hiérarchie s’explique par la mobilité des locataires qui est d’autant plus forte que les logements sont petits. «Les locataires stables bénéficient d’une «prime à la durée d’occupation» alors que les loyers des nouveaux sont fixés en fonction de l’état du marché», ajoute la Fnaim. Idem pour le risque de vacance qui agit aussi sur les loyers. C’est notamment le cas des logements loués à des étudiants qui sont souvent inoccupés pendant les vacances d’été.

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