Archive mensuelle de mai 2017

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Réforme sociale : Le danger du troisième tour social des gauchistes

Réforme sociale : Le danger du troisième tour social des gauchistes

 

Les ordonnances concernant la réforme sociale ne seraient votées qu’en septembre. Un risque de voir alors se reconstituer le front du refus à la rentrée, le même que celui qui avait gangréné la loi travail d’El Khomri. D’après les sondages, les courants d’extrême-gauche seront mal représentés à l’assemblée nationale en raison de la logique électorale. Mélenchon, Hamon, les trotskistes ou encore les communistes ne peuvent espérer ensemble que quelques dizaines de députés. Du coup,  la tentation est grande de faire glisser la problématique d’opposition du terrain politique au terrain social. Pour preuve la création du front social qui réunit les plus radicaux des courants évoqués ci-dessus. On y trouve ceux  qui se sont opposés à la loi travail notamment la CGT, FO et solidaires (Sud). Bref les gauchistes corpos habituels dont la stratégie est de bloquer toute évolution et de préserver les avantages acquis. Les ordonnances qui seront prises par Macron concernant le droit social leur fourniront le prétexte pour discréditer le gouvernement. Ces gauchistes ne sont pas majoritaires dans le champ social mais leur pouvoir de nuisance est particulièrement destructeur quand on ajoute des motivations corpos  pour mieux mobiliser. La CGT prépare déjà le terrainLa direction de la CGT a  en effet lancé une mise en garde à Emmanuel Macron contre la mise en oeuvre de « reculs sociaux » par le biais de son projet de réforme du marché du travail. La commission exécutive confédérale de la CGT rappelle dans une déclaration au successeur de François Hollande qu’il a été en partie élu par des Français qui s’étaient mobilisés contre sa loi sur la croissance et l’activité et contre la loi El Khomri sur le travail sous ce quinquennat finissant. « La CGT appelle solennellement Emmanuel Macron à renoncer à imposer de nouveaux reculs sociaux par ordonnance ou 49-3. » Emmanuel Macron veut présenter dès cet été à l’Assemblée nationale qui sortira des élections législatives de juin un projet de loi d’habilitation pour amplifier par ordonnances la réforme du droit du travail engagée par la loi El Khomri. « S’il persiste dans l’idée de faire des ordonnances au mois de juillet, ça veut dire qu’il va balayer le dialogue social et la concertation. Il y aura problème d’une manière ou d’une autre », a ainsi déclaré lundi sur franceinfo le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly. Le seul moyen pour désamorcer l’agitation gauchiste consistera pour macro a sollicité un dialogue social approfondi avec les syndicats réformistes car de toute façon les membres du front social déjà opposé à la loi travail feront tout pour discréditer le nouveau gouvernement.

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Hamon, Macron : même combat, faire disparaître le PS !

Hamon, Macron : même combat, faire disparaître le PS !

Paradoxalement Hamon comme Macron, pour des raisons différentes, veulent tuer ce qui reste du PS ; Macron  en marginalisant les socialistes et Hamon, lui,  en appelant à voter contre certains candidats socialistes au profit du PC, des écolos ou des insoumis.   Benoît Hamon apporte en effet  son soutien au candidat PCF Michel Nouaille opposé à Manuel Valls dans la première circonscription de l’Essonne et également à la militante féministe Caroline De Haas face à Myriam El Khomri et Philippe Rio (PCF) face à Malek Boutih. Hamon a aussi choisi d’appuyer Salah Amokrane, qui se présente aux législatives sous l’étiquette Europe-Écologie-Les Verts dans la deuxième circonscription de Haute-Garonne. Et non Gérard Bapt, le poids lourd local adoubé par le PS et élu député dans cette circonscription depuis 1978. Les deux se connaissent bien puisque Salah Amokrane a été le conseiller justice sociale et égalité de Benoît Hamon pendant la campagne présidentielle. « C’est quelqu’un à gauche, de motivé et qui connaît bien les quartiers », confie à RTL.fr l’entourage de Benoît Hamon.   Dans un communiqué de l’antenne toulousaine d’EELV, Benoît Hamon est cité, expliquant que Salah Amokrane « incarne le renouvellement véritable dont notre assemblée a besoin » et qu »il a toute [sa] confiance ». L’ancien conseiller social de Benoît Hamon l’a d’ailleurs remercié de ces mots chaleureux sur Twitter.  Du côté de Benoît Hamon, la candidature de Gérard Bapt est loin de susciter l’enthousiasme : « Gérard Bapt a déjà fait neuf mandats et il soutient Bachar Al Assad », dézingue un proche. Et d’ajouter : sa candidature « ne défend pas le renouvellement des élus », promu par Benoît Hamon lors de sa campagne. L’actuel député des Yvelines se présente lui aux législatives pour un deuxième mandat.    En février 2015, Gérard Bapt avait fait partie d’une délégation parlementaire française qui s’était rendue à Damas. La visite, qui n’avait pas eu l’accord du Quai d’Orsay, avait créé la polémique, Gérard Bapt ayant alors assuré n’avoir jamais rencontré le dictateur. Contacté par La Dépêche du Midi, Gérard Bapt, incrédule, rappelle qu’il a  »parrainé Benoît Hamon » à la présidentielle !

Terrorisme Manchester : encore un acte de taré

 

Terrorisme Manchester : encore un acte de  taré

 

 

L’acte de terrorisme démontre à l’évidence que la philosophie terroriste est devenu le refuge des asociaux et des tarés,  certains étant par surcroit des délinquants.  Cette philosophie du terrorisme convient bien aux primaires et aux marginaux.  L’auteur de l’attentat de Manchester Salman Abedi est né à Manchester en 1994 de parents d’origine libyenne qui avaient émigré à Londres avant de s’établir dans la grande ville du nord de l’Angleterre pendant dix ans. Encore un jeune taré qui ne s’est pas intégré. Certes on trouvera ici ou là des individus un peu évolués mais la plupart sont des attardés mentaux incapables de s’insérer dans une société moderne, bien entendu  qui n’est pas sans défaut,   mais qui vaut mieux que la dictature d’un pays sous-développé. Comme c’était prévisible les actes de terrorismes vont se développer dans tous les pays et il faudra sans doute attendre un drame de plus grande ampleur encore  pour prendre enfin la mesure de l’enjeu. A cet égard le dispositif de lutte  est insuffisant face à cette nouvelle forme de criminalité  qui recrute  parmi les plus tarés. Il faut bien prendre en compte qu’il s’agit d’un phénomène sociétal tout à fait nouveau qui recrute parmi les populations asociales, violentes souvent délinquantes en mal  de repères, d’insertion sociale et culturelle. Des paumés, des malades, des criminels. Or l’entourage proche est souvent le plus à même pour détecter les terroristes potentiels du fait de l’évolution des comportements des intéressés. Certes des mesures dans ce sens ont été prises mais elles ne sont pas à la hauteur de l’enjeu. Faut-il rappeler que la France fournit le plus grand contingent d’islamistes radicalisés ( autour de 1000) et qu’il existe certaines des dizaines de fous susceptibles d’agir sur le territoire. Il faudrait une autre organisation, d’autres moyens pour endiguer le phénomène. Notamment mettre en place une véritable vigilance citoyenne pour quadriller tout le territoire et qui permette d’agir avant l’irréparable. A cet égard, le dispositif juridique et opérationnel actuel  est obsolète face à cette nouvelle forme de criminalité  qui recrute  parmi les plus tarés.

Réforme du travail votée en septembre

Réforme du travail votée  en septembre

 

 

Le président s’est entretenu avec les partenaires sociaux des réformes qu’il veut mener dans les premiers mois de son quinquennat, les syndicats demandant du temps pour la concertation et le patronat des mesures rapides et fortes. François Asselin (CPME) a précisé le calendrier aux journalistes : « concertation jusqu’à la mi-juin, à peu près, (…) loi d’habilitation durant l’été, avec une volonté du président de la République de passer au vote courant septembre ». Il s’agit du vote de la loi de ratification, Emmanuel Macron voulant réformer sur ce sujet par ordonnances, a-t-il précisé. François Hommeril (CFE-CGC) a expliqué que le président souhaitait voir la loi de ratification votée fin septembre. Pour les réformes des retraites et de l’assurance chômage, « on pourrait attendre, ou espérer en tout cas, aboutir sur quelque chose de construit, en tout cas de structuré, aux alentours de la moitié de l’année 2018″, a dit François Asselin. L’entourage d’Emmanuel Macron a précisé qu’il appartiendrait au Premier ministre, Edouard Philippe, et à la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, qui verront les syndicats et le patronat à partir de mercredi, « d’établir un calendrier opérationnel et de discuter dans le détail des mesures ». « Le président a indiqué que la concertation était un élément indispensable pour mener ces réformes », a-t-on souligné. Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a demandé à Emmanuel Macron de donner du temps à la concertation. « Je lui ai demandé que la méthode ne soit pas à la hussarde, qu’il n’y ait pas une forme de précipitation qui ferait qu’il y aurait d’ici à la fin de l’été, fin août, le sentiment qu’il faudrait avoir tout réglé », a-t-il dit aux journalistes. Même message du secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly : « Je plaide (…) pour que le calendrier soit détendu ». « Il y aura une concertation cet été mais on ne règle pas certains problèmes en trois réunions, c’est évident, ou alors c’est un blocage. Je n’ai pas senti une volonté de blocage du président », a-t-il dit aux journalistes. Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a exprimé des désaccords avec le président mais salué le fait qu’il semblait prêt à donner un peu de temps à la concertation. Le président du Medef, Pierre Gattaz, a pressé Emmanuel Macron de réformer rapidement et fermement le marché du travail et de baisser bien davantage qu’annoncé le coût du travail. « La réforme du marché du travail devrait aller vite et je crois que c’est essentiel d’aller vite sur ce gros problème français », a-t-il dit après son entretien avec le président. Il a dit lui avoir demandé de supprimer le dispositif de pénibilité et le prélèvement de l’impôt à la source et assuré que, en l’absence de modification, son projet de transformer le CICE en baisse des cotisations augmenterait le coût du travail. Emmanuel Macron avait dit vouloir présenter durant l’été un projet de loi d’habilitation pour pouvoir, par ordonnances, simplifier le droit du travail, décentraliser la négociation en donnant plus de place aux accords majoritaires d’entreprises et de branches, et encadrer les décisions des prud’hommes. Plutôt que de préserver des emplois qui seraient condamnés, le président et ses proches jugent qu’il faut à la fois favoriser la création d’autres emplois et protéger davantage les personnes, notamment en améliorant le système de formation professionnelle.

Wauquiez : la « trahison » des Républicains pro Macron

 Wauquiez : la « trahison » des Républicains pro Macron  

Laurent Wauquiez lors d’un meeting à Jonage, dans la banlieue lyonnaise a fustigé les ralliements à Macron considérés comme une trahison.  «Ici, on ne renonce jamais à ses valeurs. Ici, personne n’a trahi pour les dorures des ministères, a expliqué l’ancien ministre devant près de 700 personnes. Nous, nous sommes de droite et nous sommes fiers d’être de droite. Une droite de conviction. Et elle n’est pas à vendre, nous ne fusionnerons jamais avec En marche!» Le chantre de la droite «qui ne s’excuse pas» s’est longuement appesanti sur la «trahison» de ses anciens amis. «Certains ont préféré se vendre plutôt que de rester fidèles à leurs idées, a-t-il expliqué. Je suis écœuré quand je vois ceux qui hier critiquaient violemment Emmanuel Macron et qui aujourd’hui se jettent dans ses bras.» S’il omet de citer les noms d’Édouard Philippe et de Gérald Darmanin, Laurent Wauquiez a concentré le tir sur le nouveau ministre de l’Économie.  Le signal envoyé par le vice-président de LR est très clair. Celui qui revendique être «resté fidèle à sa famille politique» – et que beaucoup pressentent candidat à la présidence du parti à l’automne – se veut le leader de ceux qui refusent «la main tendue» par Emmanuel Macron. Ni maintenant, ni après les législatives. «Nous, nous mettons l’intérêt du pays au-dessus des trahisons. Nous voterons évidemment les lois qui correspondraient à l’intérêt de la France – comme nous avons voté l’état d’urgence -, mais nous restons libres. Nous ne prêtons pas allégeance, parce que nos valeurs ne sont pas à vendre.». François Baroin  dans un jeu d’équilibriste met donc en garde contre ceux qui ne jurent que par Emmanuel Macron, mais aussi contre ceux qui ne jurent que par une opposition systématique. «Sous la présidence de Christian Jacob au groupe à l’Assemblée, la droite avait annoncé vouloir voter la déchéance de la nationalité», a-t-il rappelé en renvoyant la gauche à ses contradictions. «Ce n’est pas nous qui avons fait capoter la loi travail qui contenait des choses intéressantes, c’est la gauche, ce sont les frondeurs», a-t-il insisté ensuite. «Qu’on arrête pour les trois semaines qui viennent ces leçons de morale sur une droite scrogneugneu, a-t-il enfin exhorté. Nous avons toujours été au rendez-vous de la France et de notre devoir.»

Boris Boillon : Prison requise contre l’ex-«Sarko boy»

Boris Boillon : Prison requise contre l’ex-«Sarko boy»

 

 

L’ex-ambassadeur de France en Tunisie et en Irak, a été pris la main dans le sac de billets avec 350.000 euros et 40.000 dollars en petites coupures flambant neuves, le 31 juillet 2013, au départ de la gare du Nord, à Paris, pour Bruxelles.  Au cours du procès, le  procureur de la République, a été sévère: demande de suspension de son poste au ministère des Affaires étrangères, 18 mois de prison avec sursis, confiscation des sommes saisies, interdiction pour cinq ans d’exercer toute fonction publique ainsi que toute gestion de société commerciale. Visiblement excédé par la morgue de l’ex-«Sarko boy», le magistrat, qui avait par ailleurs signé le réquisitoire demandant le renvoi en correctionnelle de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion, lâche, sibyllin, que l’argent représenté par ces «billets jamais mis en circulation» est « forcément proche du pouvoir ou d’une banque centrale».  L’avocate de l’État français réclame 50.000 euros de dommages et intérêts. Selon elle, les petites coupures de Boris Boillon étaient «sans aucune existence juridique» et «sans ce contrôle inopiné, elles allaient échapper totalement à l’impôt». Le conseil des douanes, lui, revient sur la prétendue peur du diplomate face aux agents de l’État sur le quai 8 de la gare du Nord: «Deux agents des douanes, c’est quand même pas un check point entre Nassiriya et Bagdad.» Délibéré le 7 juillet.

Départements : alerte financière au président Macron

Départements : alerte financière  au président Macron

 

 

Le président socialiste du Conseil départemental du Lot-et-Garonne, Pierre Camani, a écrit une « lettre ouverte » au chef de l’Etat, Emmanuel Macron, pour l’alerter sur les difficultés budgétaires rencontrées par les Départements.  Doucement mais sûrement on va vers la faillite des collectivités locales, en cause des coûts de fonctionnement incontrôlés aussi des dépenses sociales qui dérapent Si les collectivités avaient le statut d’une entreprise, elles devraient déposer leur bilan en raison de dettes abyssales. En cause, surtout la dérive à la fois des frais de fonctionnement (notamment dus à des embauches inconsidérées) , des investissements excessifs (dont beaucoup inutiles et couteux) et la dérives des dépenses sociales notamment du RSA. Jusqu’à la moitié des départements pourraient se trouver en difficulté d’ici à 2017 si rien n’est fait pour corriger une dérive de leurs finances qui sera accentuée par la baisse des dotations de l’Etat. Les compensations financières récentes sont loin de rééquilibrer les comptes départementaux. La trajectoire des finances des collectivités locales se dégradait depuis plusieurs années, avec des dépenses de fonctionnement en hausse de près de 3% depuis 2011 pendant que la progression des recettes était comprise entre 1,5% et 2% l’an. En parallèle, la dynamique des investissements locaux a repris après un ralentissement en 2010, avec pour conséquence que le recours à l’emprunt a connu une progression continue, l’épargne brute des collectivités diminuant de 5% par an. Résultat, entre 10% et 15% des communes de plus de 10.000 habitants et des départements affichaient en 2013 « un encours de dette représentant plus de quinze années d’épargne brute », ce qui signifie qu’elles étaient techniquement en situation d’insolvabilité, la proportion pourrait atteindre entre un tiers et la moitié à l’horizon 2017 si rien n’est fait, en tenant compte de la baisse des dotations de l’Etat. Pour y remédier, il faudrait le  retour d’une évolution des dépenses de fonctionnement au rythme de l’inflation, Dès lors, ils soulignent que la question d’une baisse de l’investissement des collectivités se pose, d’autant plus que c’est un levier plus facilement mobilisable à court terme que les dépenses de fonctionnement.  Pour son département du Lot-et-Garonne, Pierre Camani dont le « potentiel fiscal est très faible », avec « 63% des foyers non-imposables », « la baisse des dotations de l’Etat, à hauteur de 15,8 millions d’euros en 2017 par rapport à 2014, rend la situation explosive », alors que « depuis 2008 nous avons considérablement réduit le train de vie de la collectivité », écrit-il. Pierre Camani en appelle donc au président de la République pour qu’une « solution pérenne soit enfin trouvée ».   »Si aucune initiative n’était prise la fracture territoriale qui déchire notre pays en serait gravement accentuée », conclut l’élu.

Compte pénibilité : vers une suspension ?

 

Compte pénibilité : vers une suspension ?

Selon le président de la CPME, le président aurait confirmé un moratoire sur le compte pénibilité. Il s’agirait non pas d’abandonner le projet, mais de renégocier ce texte. De bonne foi,  il est légitime d’apprécier la prise en compte de la pénibilité pour le reclassement des travailleurs concernés et pour leur retraite. Ceci étant les mesures d’application comme souvent en France s’inscrivent dans la logique bureaucratique. La question centrale est de savoir si on peut définir des critères aussi théoriques pour apprécier la pénibilité et si cela relève de la responsabilité des chefs d’entreprise. Reste que la mise en œuvre de ce compte de pénibilité ressemble à une cathédrale administrative. La question se pose aussi de savoir si c’est bien à d’entreprise de définir les points à attribuer en fonction des conditions de travail spécifiques. Peut-être cette tâche devrait-elle incomber à la médecine du travail à la fois pour une évaluation plus neutre mais aussi pour une approche individualisée de la pénibilité car tout critère moyen n’a guère de sens compte tenu de la diversité des contextes de travail.  Le patronat est donc entré en résistance contre le compte pénibilité « Nous ne savons pas appliquer la loi (…) Sur les six nouveaux critères, nous ne savons pas faire  Dans l’état actuel, les entreprises ne pourront pas appliquer le dispositif pénibilité.  La ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, avait dénoncé la position du patronat, jugeant que « la démocratie ne s’arrête pas aux portes du Medef ». « Pierre Gattaz met en difficulté les entreprises et s’attaque aux droits des Français », a-t-elle écrit sur Twitter. Le Compte personnel de prévention de la pénibilité (CPPP), intégré au Compte personnel d’activité (CPA) créé par le projet de loi Travail en cours d’examen au Parlement, attribue des points aux salariés exposés à des conditions de travail pénibles ou à des risques professionnels. Ce compte, plafonné à 100 points sur l’ensemble de la carrière, ouvre droit à une formation professionnelle pour accéder à un emploi moins exposé, à un passage à temps partiel sans baisse de rémunération ou à une retraite anticipée. Dix facteurs de pénibilité ont été recensés dans le cadre de la dernière réforme des retraites. Les quatre premiers (travail de nuit, en équipes alternées, répétitif ou à cadence contrainte et en milieu hyperbare) sont pris en compte depuis janvier 2015. Les six autres (manutention de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques, contact avec des agents chimiques dangereux, températures extrêmes et bruit) sont censés être désormais pris en compte.  Mais le compte pénibilité est dénoncé par le patronat comme étant « inapplicable ». « Pour mesurer la pénibilité il faut des choses simples. Or là on a inventé des usines à gaz invraisemblables qui ne tiennent pas compte de la réalité des entreprises », dénonçait par exemple à l’été 2016, le vice-président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux, sur RMC.

Réforme du code du travail : Marine le Pen de plus en plus nulle

Réforme du code du travail : Marine le Pen de plus en plus  nulle

 

 

Marine Le Pen dont l’incompétence économique avait éclaté lors du débat avec Macron fait preuve de la même incurie sur le plan social pour critiquer la réforme du travail. Son argumentation repose sur le fait que la réforme est  une demande du grand patronat mais pas des petits employeurs. Visiblement Marine Le Pen entretient des liens approximatifs non seulement avec les réalités économiques mais aussi avec les réalités sociales. En effet ce sont surtout les petites entreprises et les artisans qui ont été victimes des 35 heures. Les grandes entreprises ont pu compenser en partie la baisse de productivité liée au temps de travail par de nouvelles organisations et de nouveaux un investissement de productivité. Dans les petites entreprises on a soit réduit la durée journalière de travail ou tout simplement fermer l’entreprise le plus souvent le vendredi après-midi ou le lundi matin ( avec une  perte de CA de l’ordre de 10%). « Le code du travail n’est pas la priorité, ceux qui pensent qu’en licenciant plus facilement, on va créer de l’emploi se trompent, voilà, ils se trompent », a affirmé la présidente du Front national, alors qu’Emmanuel Macron recevra mardi à l’Elysée tour à tour les organisations syndicales et patronales. »En réalité, la modification du code du travail en vue de plus de flexibilité, de précarité, est une demande du grand patronat depuis très longtemps » et « pas du petit » patronat, a poursuivi la candidate FN aux législatives dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais. « Ce que demandent les petits patrons, c’est d’avoir des contrats, d’être libérés de la concurrence internationale déloyale » (comme si les grandes entreprises n’étaient pas davantage soumises à la concurrence internationale ! NDLR) tandis que les « grands patrons demandent de pouvoir licencier le plus facilement possible et pouvoir agir sur une augmentation du temps de travail ou une baisse de la protection des travailleurs ». S’en prenant à la nouvelle ministre du Travail, Muriel Pénicaud, ex- »DRH spécialiste en plan social », Marine Le Pen a assuré que « comme beaucoup de Français (elle s’)inquièt(ait) de cette loi El Khomri puissance 1.000 que M. Macron veut faire passer par ordonnances », et plus généralement que le nouveau président tienne « la pire de ses promesses, la mise en oeuvre d’une politique ultralibérale. » Elle n’a pas pour autant rejeté le principe d’ordonnances: « Ça peut être utile, mais des ordonnances pour faire passer des textes dont on sait que le peuple y est opposé, ça s’appelle un coup de force. » Bref le discours du parti communiste des années 60

Terrorisme Philippines : la loi martiale

Terrorisme Philippines : la loi martiale

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Le président des Philippines Rodrigo Duterte a annoncé mercredi que la loi martiale qu’il a instaurée à Mindanao, dans le sud du pays, pourrait être en vigueur pendant un an. Le leader veut rétablir l’ordre dans cette île où ont lieu des accrochages avec des combattants liés à l’organisation Etat islamique. S’adressant aux Philippins dans une vidéo mise en ligne par le gouvernement, M. Duterte leur rappelle que le pays a connu la loi martiale pendant la président de Ferdinand Marcos, qui a duré deux décennies et a pris fin avec une révolution en 1986. Ce qui est envisagé concernant Mindanao «pourrait ne pas être différent de ce que Marcos a fait», dit M. Duterte dans sa vidéo, enregistrée juste avant qu’il n’abrège la visite officielle qu’il effectuait à Moscou pour rentrer en urgence aux Philippines en raison de la situation dans le sud. M. Duterte a promis d’être «dur» contre le terrorisme, soulignant qu’il s’agissait d’une de ses promesses de campagne électorale l’année dernière. «Je dois le faire pour préserver la République des Philippines, le peuple philippin», a-t-il dit. Le président a placé mardi soir sous la loi martiale l’ensemble de la région de Mindanao, qui comprend l’île principale du même nom et une série de petites îles voisines. La région, qui constitue environ un tiers du pays, a 20 millions d’habitants. La Constitution ne prévoit l’instauration de la loi martiale que pour une durée de 60 jours en cas de rébellion ou d’invasion. C’est d’ailleurs cette durée de 60 jours qui a été mentionnée par le porte-parole de M. Duterte, Ernesto Abella, lorsqu’il a annoncé mardi dans une allocution diffusée depuis Moscou que le président avait décrété la loi martiale à Mindanao. Mais M. Duterte, qui a suscité de nombreuses critiques dans le monde avec sa guerre contre la drogue qui a fait des milliers de morts, a régulièrement déclaré qu’il était prêt à ignorer la Constitution s’il jugeait nécessaire d’instaurer la loi martiale.

 

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FN : Philippot pourra partir (Marine Le Pen)

FN : Philippot pourra partir (Marine Le Pen)

 

 

La fracture au sein du front national se confirme avec la déclaration de Marine Le Pen concernant le possible départ de Philippot. Un départ probable si le front national devait finalement abandonner le retour au franc. Une conséquence directe du débat pitoyable de Marine Le Pen  face à Macon ; une Marine Le Pen  complètement incapable d’expliquer la pertinence de sa proposition monétaire. Avec le départ éventuel de Philippot se serait alors l’abandon des positions économiques du Front National et le recentrage sur essentiellement les thèmes identitaires, surtout sur l’immigration. Invitée de FranceInfo ce lundi matin, Marine Le Pen a redit que la sortie de l’euro -sujet qui fait débat au sein du parti frontiste- pourrait être abandonné du programme à moyen terme. C’est en effet le sujet qui cristallise au FN et à cause duquel, selon certains cadres, le parti de Marine Le Pen a subi une nette défaite lors de la présidentielle.   « Ce retour à la souveraineté monétaire inquiète les Français, ça va être un débat, nous allons devoir ouvrir cette discussion pour savoir comment faire pour que les Français ne soient pas terrorisés par la souveraineté monétaire que nous appelons de nos voeux », a expliqué Marine Le Pen.   Or, la sortie de l’euro, c’est la mesure emblématique portée par Florian Philippot, le bras droit de Marine Le Pen, qui du coup a menacé de quitter le parti si elle était abandonnée. « Il exprime une conviction qui est une conviction forte et après tout, il ira au bout de ses convictions! », a expliqué Marine Le Pen, ouvrant la voie à un départ du FN du numéro 2 du parti. « Si, demain, les adhérents du FN décidaient qu’on doit abandonner cette partie-là, il ne se sentirait plus en accord avec ses convictions, je trouve que c’est tout à son honneur », a-t-elle ajouté.  Critiqué dès le soir du second tour, Florian Philippot a depuis créé une association au sein du FN, Les patriotes, qu’il présente comme une structure censée aider au « rassemblement » mais qui pourrait évidemment se transformer en parti politique si Philippot devait quitter le front national. D’après lui, les médias et les adversaires politiques du Front national auraient « fait croire » pendant l’entre-deux tours de la présidentielle que le parti défendait le principe d’une double monnaie « dans les portefeuilles » alors que le parti d’extrême droite y est selon lui défavorable. Pour Philippot l’orientation est claire il s’agit de l’abandon pur et simple de l’euro et le retour au franc. Il n’y aurait donc pas coexistence de deux monnaies comme avait tenté de le démontrer Marine Le Pen  face à Macon (l’écu le franc). « On a fait croire aux Français qu’il y aurait deux monnaies dans le portefeuille, ce qui était faux, ça n’a jamais été notre ambition » et « ça a stressé tout le monde », a insisté le vice-président frontiste, préparant ainsi sa future défense.

 

 

Une campagne législative pour faire éclater le PS, les Républicains et le FN

Une campagne législative pour faire éclater le PS, les Républicains et le FN

 

Avec les prévisions des sondages aux législatives Macron  pourrait bien faire éclater non seulement le parti socialiste et les Républicain mais aussi le Front national. Pour le parti socialiste, la division est consommée depuis longtemps. Pour les Républicains,  elle interviendra après les législatives avec le ralliement à Macron de nombre de progressistes. Enfin le Front National sera lui aussi très affecté par la division qui apparaît maintenant entre les partisans de l’abandon de l’euro comme Philippot  et ceux qui se résignent  à son maintien pour mieux coller à l’avis des Français majoritairement pour l’euro. Les différents sondages montrent en effet que la république en marche pourrait obtenir autour de 30 % des intentions de vote au niveau national, contre autour de 20 % pour la droite comme pour le FN, loin devant La France insoumise (14 %) et le PS (8 %). Le nouvel exécutif obtiendrait aujourd’hui 280 à 300 députés, Même dans l’hypothèse basse, il aurait une majorité absolue », souligne Bruno Jeanbart, le directeur général adjoint d’OpinionWay. La majorité absolue est à 289 sièges. la droite obtiendrait 150 à 170 sièges, soit moins que dans l’Assemblée sortante (199 en incluant les apparentés). L’extrême-droite, confronté à un plafond de verre dans les scrutins majoritaires à deux tours, est créditée de 10 à 15 élus,.  La gauche serait très minoritaire dans l’hémicycle. La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon n’en réalise pas moins une petite percée avec la perspective de 20 à 25 députés. Le Parti socialiste, lui, en obtiendrait aujourd’hui entre 40 et 50. Pas moins de 62 % des Français qui disent vouloir voter pour un candidat du PS lors des législatives souhaitent qu’Emmanuel Macron dispose au final d’une majorité. Un véritable big-bang politique se prépare avec l’éclatement des trois formations citées. Pour preuve au PS, au Front National et chez les Républicains on se prépare même à changer de nom mais aussi de ligne stratégique.

Présidentielle 2022 : Marine Le Pen pas candidate ?

Présidentielle 2022 : Marine Le Pen pas candidate ?

Marine Le Pen laisse maintenant entendre qu’elle pourrait ne pas être candidate en 2022 si un responsable du Front national apparaît mieux placé. Une éventualité qui découle du plafond de verre du Front national dont les propositions notamment économiques constituent un véritable boulet. En cause, aussi la personnalité de Marine Le Pen dont  la radicalité et la grossièreté ont du mal à convaincre de son éventuel statut présidentiable. Pour autant compte tenu du fonctionnement du Front national il apparaît peu probable que la présidente du Front national ne soit pas candidate. Une perspective éventuellement possible seulement en 2027 en cas de nouvel échec et qui expliquerait en particulier le retrait de Marion Maréchal Le Pen de la vie politique.  Marine Le Pen s’est cependant dite prête à « céder la place » si un ou une meilleure candidate faisait son apparition d’ici 5 ans, sur l’antenne de France info.  Jean-Michel Aphatie, qui l’interrogeait sur son débat « manqué » face à Emmanuel Macron durant l’entre-deux tours, lui demande alors si après ce rendez-vous qu’elle-même a jugé raté, elle « s’imaginait encore pouvoir être un jour élue présidente de la République ». Après un fort éclat de rire, Marine Le Pen explique : « Ça me fait rire pourquoi ? Parce que je suis une responsable politique qui oeuvre et me bats, je crois sans compter ni mon temps ni mon énergie, pour défendre les Français depuis de nombreuses années. Par conséquent, si je suis la mieux placée dans 5 ans pour porter les idées qui sont les nôtres, je serai à nouveau candidate. S’il y a quelqu’un qui est mieux placé que moi, je céderai la place à celui ou celle qui est le mieux placé pour défendre les idées  Il est cependant difficile d’imaginer une autre candidature que la sienne, si la fille de Jean-Marie Le Pen garde la présidence du parti pendant les cinq prochaines années.

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