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Archive mensuelle de février 2017

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Canal+ lance CNews : chaîne de vieux pour les vieux

Canal+ lance CNews : chaîne de vieux pour les vieux

Bolloré qui a déjà tué Canal+ qui a encore perdu 500 000 abonnés sur une année et dont l’audience est devenue complètement marginale s’attaque maintenant à I télé. Une chaîne que Bolloré a déjà massacrée  suite une longue grève fin 2016 et le départ de la majeure partie de sa rédaction. Si l’on se fie aux nouveaux animateurs ce pourrait être une chaîne de vieux pour les vieux. Bolloré a déjà sa chaîne pour les jeunes adultes immatures avec Hanouna qui réalise des prouesses en matière de vulgarité et de grossièreté. Avec notamment Jean-Pierre Elkabbach et Patrick Poivre d’Arvor, il a sans doute trouvé les têtes d’affiche pour faire de l’audience dans les maisons de retraite. Certes l’âge des les animateurs ne peut être un critère discriminant en matière de compétence mais force est de constater que la ligne éditoriale molle imposée par Bolloré a coulé la chaîne I télé. La direction a déjà annoncé qu’elle entendait privilégier les émissions en studio moins coûteuse. Bref de la radio télévisée. Bolloré voudrait bien  tourner la page i-Télé, sa chaîne d’info plombée par une grève historique fin 2016 et le départ de la majeure partie de sa rédaction. La grève de 31 jours entre octobre et novembre, deuxième plus long conflit dans l’audiovisuel, avait été déclenchée par des salariés qui s’interrogeaient sur les contours de ce projet de nouvelle chaîne, réclamaient des garanties d’indépendance et protestaient contre l’arrivée de l’animateur du très controversé Jean-Marc Morandini.  Le lancement de CNews, initialement prévu pour octobre, a donc été retardé. «On a préféré attendre un peu parce que le mois de décembre a été difficile», relatait vendredi sur Europe 1 Gérald-Brice Viret, le directeur général des antennes de Canal+. Le mouvement de grève s’est soldé par le départ de près d’une centaine de collaborateurs d’i-Télé. «On ne pensait pas qu’il y en aurait autant», a confié le dirigeant. Depuis, selon lui, une vingtaine de personnes ont été recrutées. Le groupe Canal+ joue gros : i-Télé, lourdement déficitaire, a affiché des pertes opérationnelles de plus de 20 millions d’euros en 2016. Le groupe se donne trois ans pour que CNews retrouve l’équilibre financier. «Nous y parviendrons en augmentant nos revenus et en maintenant les coûts de grille autour de leur niveau actuel, entre 20 et 30 millions d’euros», indiquait début février Gérald-Brice Viret aux Échos. «L’objectif est de diviser par deux les pertes d’ici 15 mois», précisait-il. Afin de faire des économies, mais aussi se distinguer des concurrentes BFMTV, LCI et franceinfo, la nouvelle formule prévoit de donner plus de place au décryptage et au débat, mais aussi au sport et à la culture. Les émissions en plateau sont en effet moins coûteuses que l’envoi de journalistes sur le terrain. Les synergies avec C8, Infosport+ et Canal+ seront accentuées. Ça promet !

La république des juges (Le Pen) …ou des voleurs ?

La république des juges (Le Pen) …ou des voleurs ?

 

 

Engluée de plus en plus dans les affaires financières Marine Le Pen a décidé de suivre la stratégie du président des États-Unis : s’attaquer à la justice et aux médias. Marine Le Pen, dont le parti est visé par plusieurs enquêtes judiciaires, s’est présentée dimanche en victime d’un « gouvernement des juges » et d’une « campagne hystérique » des médias en faveur du candidat du mouvement « En Marche! » Emmanuel Macron, lors de son premier grand meeting de campagne au Zénith de Nantes (Loire-Atlantique). Pourtant il est de plus en plus évident que le front national a détourné l’argent public à son profit en vendant notamment des investitures  pour un prix de 17 000 € (remboursés par l’Etat) supposés représenter le coût des tracts ! Avec en plus des soupçons d’enrichissement personnel en particulier quand des fonds des sulfureux micros partis des Le Pen se sont retrouvés sur le compte personnel de Jean-Marie Le Pen pour acquérir un bien immobilier au profit de Jean-Marie Le Pen et de Marine peine. En la circonstance,  il ne s’agit pas de la république des juges mais de la république des voleurs.  En outre Marine Le Pen refuse de s’expliquer devant la justice au motif fallacieux qu’on ne respecte pas la fumeuse trêve judiciaire inventée pour les besoins de la cause par Marine Le Pen. Laquelle en outre s’abrite lâchement derrière son immunité parlementaire pour ne pas répondre aux convocations de la justice. Évidemment comme le président des États-Unis,  Marine Le Pen dénonce les médias. « Dans cette élection, les médias ont choisi leur camp : ils font campagne de façon hystérique pour leur poulain », a estimé la présidente du parti d’extrême-droite. « Ils se parent de morale, prétendent en rester à l’analyse des faits et hurlent à la liberté de la presse dès qu’on les critique…. Et peuvent ils pleurnichent d’avoir perdu la confiance du peuple, qui se tourne – et c’est légitime – vers internet pour s’informer. » « Mais comment croire à la liberté de la presse lorsque des grands patrons de groupes de médias, comme M. Drahi, ont bénéficié de coups de main directs dans le rachat d’une entreprise comme SFR ? », s’est-elle interrogée. « Ils font du coup outrageusement campagne pour leurs bienfaiteurs. » En tête dans les intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle devant Emmanuel Macron et François Fillon (Les Républicains), Marine Le Pen a vu cette semaine sa campagne, qui devait être consacrée à son programme international, perturbée par plusieurs révélations judiciaires. Selon une information du Monde, confirmée par la suite par son avocat, la leader frontiste a été convoquée la semaine dernière par la police dans l’enquête sur les assistants parlementaires du Front national au Parlement européen. Marine Le Pen, qui réfute les soupçons d’emplois fictifs, a refusé de s’y rendre, dénonçant un risque « d’instrumentalisation » de la justice pendant la campagne électorale. Samedi, Le Monde a révélé la mise en examen pour « abus de biens sociaux » de Frédéric Chatillon, un proche de Marine Le Pen et dirigeant d’une société prestataire du Front national, dans une autre enquête, portant sur le financement du FN. Sa société, le parti et son trésorier Wallerand de Saint-Just sont aussi renvoyés en correctionnelle dans le cadre d’un autre dossier, portant cette fois-ci sur le financement des campagnes du FN en 2014 et 2015. La présidente du FN et son père Jean-Marie Le Pen sont également visés par une enquête préliminaire ouverte en janvier 2016 par le parquet national financier pour déclaration inexacte de patrimoine. Face à ces révélations, Marine Le Pen a promis dimanche à Nantes de mettre en place un Etat « neutre et impartial » si elle venait à accéder au pouvoir, avec des fonctionnaires « soumis à un strict devoir de réserve dans le cadre de l’exercice de leurs fonctions ». « Je veux dire aux fonctionnaires – à qui un personnel politique aux abois demande d’utiliser les pouvoirs d’État pour surveiller les opposants ou organiser à leur encontre des persécutions, des coups tordus ou des cabales d’État – de se garder de participer à de telles dérives », a-t-elle dit. Visant implicitement les juges, la présidente du FN a promis de « revoir [leur] formation » une fois élue à l’Elysée. Sans doute pour enterrer les dossiers du front national ! Et de faire référence à l’état de droit : de quoi sourire si l’affaire n’était pas aussi pathétique et aussi scandaleuse « L’État de droit, c’est le contraire du gouvernement des juges, qui constitue une dérive antidémocratique et oligarchique,  Si un magistrat souhaite changer la loi, c’est simple : il se met en congé et se présente aux élections », a ajouté l’ancienne avocate qui n’a rien oublié de la dialectique approximative des prétoires

PS : « la déprime » Vallaud-Belkacem

PS : « la déprime »  Vallaud-Belkacem

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Au parti socialiste la déprime s’installe, la division aussi ce que constate Vallaud Belkacem qui regrette que le parti ne soit pas mobilisé derrière Benoît Hamon qui stagne toujours autour de 13 à 14 % en dépit du renfort de Jadot qui il est vrai pèse de l’ordre de 1 %. D’une certaine façon, la déprime est justifiée car les sélections législatives qui suivront la présidentielle risque d’être catastrophiques. Le parti socialiste qui dispose d’environ 250 députés actuellement pourrait voir les trois quarts de ses candidats éliminés. Vallaud Belkacem reconnaît que le candidat du PRS est loin d’être soutenu par l’ensemble du parti. Il y a d’abord les réformateurs qui ont fait valoir leur droit de retrait de la campagne, en clair qui refusent  de voter pour Benoît Hamon ; d’autres réformateurs font scission et se prononcent  pour Macron  Dans le Journal du Dimanche, le député et chef de file des réformateurs Christophe Caresche, enfonce le clou, jugeant que le « moment est venu » de soutenir Emmanuel Macron, candidat du mouvement « En Marche! » et ex-ministre de l’Economie de François Hollande. « On est un peu dans la situation de 2007 où il n’y a pas le soutien évident de tout le parti, avec en plus une offre concurrentielle, ce qui dédouane ceux qui n’ont pas une sympathie évidente pour notre candidat », estime Najat Vallaud-Belkacem dans les colonnes du Parisien. Le problème c’est que Benoît à mon ne parer pas vraiment présidentiable surtout avec ses propositions utopiques. Élu par surprise il ne parvient pas à imposer son leadership au sein du parti socialiste. À l’extérieur sa candidature ne prend pas. Il faut dire qu’ils pas ce sont en à rechercher des petits alliances depuis des semaines d’une part avec les écolos d’autre part avec Mélenchon. Du temps perdu évidemment car les écolos politisés d’Europe écologie les Verts (ce qu’il en reste) ne représente guère plus de 1 % dans l’opinion. Quant à l’alliance avec Mélenchon c’est une chimère. L’intéressé entend bien ce maintenir jusqu’au bout et a déclaré ne pas vouloir monter « dans le corbillard du parti socialiste. Du coup Valaud Belkacem s’attaque à macro. « Je n’ai toujours pas la réponse à une question simple : dans un attelage composé aussi bien de gens de gauche que de l’ex-directeur de campagne de Bruno Le Maire, ou encore d’Alain Minc, qui décidera de la ligne politique ? Quelle majorité gouvernera ? », dit-elle.  Elle pose la question de l’homogénéité des soutiens de Macron mais pourrait se poser la même question concernant le parti socialiste. On peut en effet se demander quelle cohérence il y a entre les positions gauchistes des frondeurs, les orientations européennes de Vincent Peillon et les partisans de la synthèse molle de Hollande.

Sondage 2017 : Macron nettement devant Fillon

Sondage 2017 : Macron nettement  devant Fillon

 

Un bond spectaculaire de Macron qui talonne maintenant Le Pen et distance nettement Fillon. François Fillon serait éliminé dès le premier tour de l’élection présidentielle, devancé par Marine Le Pen (27%) et Emmanuel Macron (25%) qui gagne quatre points depuis l’annonce de son alliance avec François Bayrou cette semaine, selon un sondage Kantar Sofres Onepoint pour Le Figaro-LCI-RTL publié dimanche. Le candidat de Les Républicains, dont la campagne est fragilisée par les soupçons d’emplois fictifs pesant sur sa famille, cède deux points par rapport au mois de janvier, avec 20% des intentions de vote. La candidate du Front national Marine Le Pen, dont le parti est également visé par plusieurs enquêtes judiciaires, continue elle de faire la course en tête, gagnant deux points (27%). L’ex-ministre de l’Economie Emmanuel Macron gagne lui quatre points. Le candidat socialiste Benoît Hamon perd un point, à 14%, et devance toujours le candidat de « La France insoumise » Jean-Luc Mélenchon, stable à 10%. Au second tour, Emmanuel Macron tout comme François Fillon l’emporteraient face à Marine Le Pen (58% contre 42% pour le premier et 55% contre 45% pour le second). Le sondage a été réalisé les 23 et 24 février en ligne auprès d’un échantillon de 1.005 personnes inscrites sur les listes électorales représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Cohn Bendit pour l’alliance Macron- Bayrou

Cohn Bendit pour l’alliance Macron- Bayrou

Au lendemain de l’alliance entre François Bayrou et Emmanuel Macron, BFMTV révèle que l’ancien député européen a joué un rôle central dans le rapprochement des deux hommes.  »Daniel Cohn-Bendit a suivi l’évolution des choses et a conseillé à Emmanuel Macron d’accepter si François Bayrou venait et de faire un deal », expliquait la journaliste Ruth Elkrief. Une information confirmée à demi-mot par le principal intéressé, contacté par RTL.fr. « Je communique avec tout le monde, enfin non. Sauf avec Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen« , glisse-t-il. Une chose est sûre, Daniel Cohn-Bendit est des plus favorables à cette alliance politique. Dans ce contexte politique actuel, où Marine Le Pen est en position de force, il juge cette annonce « des plus logiques ». « Les réactions politiques de droite et de gauche sont ridicules. On peut aimer ou pas François Bayrou mais s’il avait été candidat, on aurait dit qu’il avait un ego surdimensionné », déplore-t-il. Une alliance de choix, après le soutien de François de Rugy, qui donne un coup de fouet à la campagne électorale de l’ancien ministre de l’Économie. « Emmanuel Macron est surprenant, il déroute. Il peut-être président à 39 ans. C’est presque le symbole du renouveau », lance-t-il assurant que l’ancien bras droit de François Hollande représentait une forme « d’avenir pour la France ».

(RTL)

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Il ne faut plus parler de l’affaire Fillon ! (Marine Le Pen)

 Il ne faut plus parler de l’affaire Fillon (Marine Le Pen)

Gonflée Marine Le Pen  qui propose qu’on ne parle plus de l’affaire Fillon. Et pour cause, elle souhaiterait bien aussi qu’on ne parle plus des affaires du Front national dans lesquels elle est impliquée et qui d’ailleurs a fait l’objet de plusieurs mises en examen.  Marine Le Pen  a d’ailleurs refusé d’être entendue par la justice invoquant une bien curieuse trêve judiciaire. Pour Marine Le Pen, « il est temps qu’on en revienne aux problèmes qui intéressent les Français ». La présidente du FN, elle-même aux prises avec la justice, s’est exprimée sur le sujet dans une interview accordée au quotidien La Provence, à paraître dimanche 26 février. « Je n’ai pas de conseil à donner à M. Fillon, c’est un grand garçon. J’ai déjà dit que je considérais que cette affaire a rompu le lien de confiance entre François Fillon et une grande partie des Français, parce que les accusations visent un enrichissement personnel et familial », a expliqué la candidate d’extrême droite à l’élection présidentielle. « Pour le reste, c’est à lui de voir ce qu’il doit faire. Et je le répète, il est urgent que nous puissions en revenir à un débat de fond », a-t-elle estimé, moins de 24 heures après l’ouverture d’une information judiciaire par le parquet national financier sur les soupçons d’emplois fictifs visant la famille du candidat LR à la présidentielle. La candidate du Front national, qui apparaît régulièrement en tête dans les sondages sur les intentions de vote au premier tour de la présidentielle, est également dans le collimateur de la justice. Plusieurs de ses proches ont été mis en examen ces derniers jours dans plusieurs affaires financières. Frédéric Chatillon, pilier de la communication du Front national à travers sa société Riwal, a été mis en examen dans l’enquête sur le financement des campagnes électorales du parti frontiste en 2014 et 2015 pour abus de biens sociaux. Une autre enquête, sur des soupçons d’emplois fictifs d’assistants de députés FN au Parlement européen, a conduit à la mise en examen de la chef de cabinet de Marine Le Pen, Catherine Griset et le siège du FN à Nanterre (Hauts-de-Seine) a été perquisitionné la semaine dernière. Convoquée mercredi par les enquêteurs, la présidente du Front national, qui bénéficie de l’immunité parlementaire en tant que députée européenne, a refusé de s’y rendre, justifiant son refus par la période électorale qui ne permet, selon elle, « ni la neutralité ni la sérénité nécessaire au fonctionnement correct de la justice ».

 

Un réformateur du PS annonce son soutien à Macron

Un réformateur du   PS annonce son soutien à Macron

Dans une interview au JDD, Christophe Caresche, député de Paris et chef de file des réformateurs  du PS, explique sa « volonté de ne pas participer » à la campagne de Benoît Hamon. Et « espère que d’autres suivront ».

 

« Le moment est venu de soutenir Emmanuel Macron« , indique Christophe Caresche dans le JDD qui précise : « Parce qu’il offre la possibilité de créer une nouvelle force, cohérente, parce qu’il rassemble déjà des responsables issus de formations politiques opposées mais qui, au fond, pensent la même chose : il faut relancer l’Europe et faire du redressement économique une priorité. C’est une décision qui n’est pas facile à prendre : je dois tout au PS, à commencer par ma carrière politique. Mais il faut prendre acte aujourd’hui du fait que nos chemins se séparent. »  Derrière son choix, le député pointe le danger de l’extrême droite : « Pour un homme de gauche, Emmanuel Macron est la seule solution permettant de contrer efficacement Marine Le Pen au deuxième tour de la présidentielle. » Et indique que la candidature de Benoît Hamon fait peser un risque : « Le projet que porte Benoît Hamon est incompatible avec un large rassemblement des Français au deuxième tour, s’il y figurait, face à Le Pen. Ce serait un risque que personnellement je ne souhaite pas courir. »

Le chef de file du pôle des réformateurs du PS sera-t-il suivi par les siens? « La décision n’est pas prise, mais la réflexion devrait s’accélérer. Cette sensibilité a vocation à se retrouver dans la démarche d’Emmanuel Macron. Certains m’ont d’ailleurs précédé, et j’espère que d’autres suivront », indique-t-il au JDD.

Les maires contre l’exonération de taxe d’habitation

Les maires contre l’exonération de taxe d’habitation

 

Sans doute parce qu’il n’y a pas pensé, le président de l’association des maires de France qui soutient Fillon dénonce l’exonération de la taxe d’habitation que propose Emmanuel Macon. Une taxe qui rapporte environ 10 milliards et qui serait compensée par l’État. Une taxe particulièrement injuste pour les ménages les plus défavorisés. Il s’agit de l’impôt direct qui pèse le plus puisqu’il représente en moyenne environ 1000 €. Ce qui ajouté à la taxe foncière représente en moyenne 2000 €. En zone urbaine la moyenne est plus proche de 4000  € pour ces deux taxes qui ne tiennent pas compte des revenus. Ainsi des ménages de couches moyennes doivent-ils se soumettre à cet impôt particulièrement inégalitaire L’Association des maires de France (AMF) met cependant «solennellement en garde », samedi dans un communiqué, contre l’exonération de taxe d’habitation de 80% des ménages, une mesure proposée par Emmanuel Macron. Le candidat d’ »En Marche! » à l’élection présidentielle a annoncé vendredi son intention d’exonérer de la taxe d’habitation 80% des Français qui la paient. Dans un communiqué, « le président François Baroin et le 1er vice-président délégué André Laignel, au nom de l’AMF, mettent solennellement en garde contre toute mesure démagogique, non financée et attentatoire aux libertés locales ». Une curieuse liberté locale ! « Alors que les collectivités ont subi ces dernières années des baisses de leurs dotations et des pertes de liberté fiscale, ce serait un nouveau coup porté à la capacité d’action des communes », écrivent-ils. « En privant de manière autoritaire les communes et leurs intercommunalités d’un tel montant de ressources propres, l’Etat remettrait en cause leur libre administration et leur capacité d’assurer les services publics essentiels attendus par la population, de l’école à la solidarité », ajoutent-ils. Cette mesure, qui concerne dix milliards d’euros de recettes, représenterait « une perte de 36% de l’ensemble » des ressources propres des communes et de leurs intercommunalités, d’après l’AMF. Emmanuel Macron a toutefois assuré que l’Etat rembourserait entièrement aux communes leur manque à gagner.

FN : Un proche de Marine Le Pen mis en examen

FN : Un proche de Marine Le Pen mis en examen

 

Frédéric Chatillon, un proche de Marine Le Pen et dirigeant d’une société prestataire du Front national, a été mis en examen pour abus de bien sociaux dans l’enquête sur le financement des campagnes du parti en 2014 et 2015, a-t-on appris samedi de source judiciaire. Frédéric Chatillon, ancien président du Groupe union défense (GUD) et actuel dirigeant de la société de communication Riwal, a été mis en examen le 15 février, a-t-on précisé, confirmant une information du Monde. Le parquet de Paris a ouvert fin octobre dernier une information judiciaire pour escroquerie et abus de biens sociaux visant le financement des campagnes du parti d’extrême droite en 2014 et 2015. La société Riwal de Frédéric Chatillon est renvoyée en correctionnelle dans un autre dossier : celui sur le financement des campagnes électorales du FN en 2012. Le Front national et de deux de ses dirigeants (le trésorier Wallerand de Saint-Just et le vice-président Jean-François Jalkh) sont aussi renvoyés en correctionnelle dans cette affaire.

Jean-Louis Borloo aussi pour Macron ?

Jean-Louis Borloo aussi pour Macron ?

 

Il n’est pas certain que Jean-Louis Borloo se ralliera clairement à Emmanuel Macron. Toutefois Emmanuel Macron et Jean-Louis Borloo dîneront ensemble dimanche soir à la demande du candidat d’ »En Marche ! »  Toutefois Jean-Louis Borloo envoie un signe positif à Emmanuel Macron. Un signe qui ne sera pas forcément bien apprécié par François Fillon toujours empêtré dans ses les affaires et dont le score ne décolle pas dans les sondages. Emmanuel Macron envoie aussi un signe en direction de certains progressistes de droite en gardant sa vision ni droite ni gauche.  Il paraît de plus en plus probable que son gouvernement- aussi sa majorité- sera composé d’hommes et de femmes du centre, de la gauche mais aussi de la droite humaniste. Après l’alliance scellée cette semaine avec le président du Modem, François Bayrou, le soutien de Jean-Louis Borloo serait une nouvelle prise hautement symbolique pour le candidat d’ »En Marche ! », au moment où celui de la droite, François Fillon, peine à sortir sa campagne du feuilleton médiatico-judiciaire des soupçons d’emplois fictifs dont aurait profité sa famille. Cet avocat de formation, ancien député-maire de Valenciennes et personnage atypique du paysage politique français, a été ministre sans discontinuer de mai 2002 à novembre 2010. Il a notamment eu le portefeuille de l’Ecologie pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, qui a hésité un temps à le nommer Premier ministre à la place de François Fillon. Celui qui a créé et présidé l’Union des démocrates et indépendants (UDI) a renoncé en avril 2014 à tous ses mandats électifs et fonctions politiques pour se consacrer à sa fondation dédiée à l’électrification de l’Afrique.    L’UDI est aujourd’hui formellement ralliée à la candidature de François Fillon mais certains de ses membres, en particulier des jeunes militants et des élus locaux, ont choisi de rejoindre « En Marche ! ». Un ralliement de Jean-Louis Borloo à Emmanuel Macron « mettrait l’UDI dans une situation encore plus déchirante », estime l’ancien ministre centriste Jean Arthuis, qui a pour sa part rejoint « En Marche ! » et son candidat. C’est lors d’un dîner chez François Bayrou que le président du Modem et Emmanuel Macron ont discuté des modalités de leur alliance, formellement annoncée une semaine plus tard. Depuis cette annonce, l’ancien ministre de l’Economie a creusé l’écart avec François Fillon dans les intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle. Mais c’est toujours la présidente du Front national, Marine Le Pen, qui fait la course en tête.

Sortie de l’euro : vers la ruine de la France

Sortie de l’euro : vers la ruine de la France

 

Le Front National explique sans rire que le retour à une monnaie nationale n’aurait aucune conséquence sur l’immense dette française. Une dette qui représente environ 2200 milliards soit 33 000 € par habitant. Dans le même temps, le front national admet que la valeur de cette monnaie nationale serait dévaluée d’environ 20 % par rapport à l’euro. Pourtant le Front National explique que la conversion de la dette française  en monnaie nationale ne poserait aucun problème. Sauf que les prêteurs seraient spoliés de 20 % ! Et qu’un État ne peut décider de manière unilatérale de léser  les prêteurs. Ce serait par ailleurs une sorte de défaut partiel qui entraînerait notamment une envolée des taux d’intérêt et donc se reporterait sur le coup des emprunts de la France qui ne peut vivre sans emprunter du fait de ses déficits actuels et surtout futurs avec le programme de Marine le Pen. Pour résumer, la sortie de l’euro entraînerait la ruine de la France : la ruine des salariés avec immédiatement une perte de pouvoir d’achat d’au moins 20 %, pour les pouvoirs d’achat des salariés et des épargnants enfin une ruine de l’État. » Avec un effet immédiat de l’ordre de 500 milliards pour la France. Le journal Le Monde explique de manière un peu docte l’effet  de la conversion de l’euro en francs.

« . Alors que 68 % des Français continuent de soutenir la monnaie unique , le Front National défend mordicus cette révolution monétaire. Parmi les risques souvent évoqués, le fait que le remboursement de notre dette en francs plutôt qu’en euros pourrait provoquer de graves secousses. Un problème, quel problème ? Florian Philippot a minimisé les inquiétudes ce jeudi sur « Radio Classique »  : « Quand nous sommes passés du franc à l’euro, chacun aura remarqué que nous n’avons pas remboursé notre ancienne date en franc. Il se passera exactement la même chose. Ce sont les règles internationales de la monnaie. Nous rembourserons notre dette dans la nouvelle monnaie », a-t-il expliqué. Une plongée dans le droit s’impose. Les partisans d’une sortie de l’euro font constamment référence à la « Lex Monetae» : selon cette règle de droit international, un Etat est libre de déterminer sa monnaie nationale et donc d’en changer. La nouvelle monnaie s’applique alors à tous les contrats qui sont régis par le droit de ce pays. Comme toute la dette publique française est soumise au droit français, la conversion en francs est théoriquement possible. Sauf que ce n’est pas si simple. « Aucun tribunal, ni arbitral d’investissement, ni étranger, etc., ne pourra remettre en cause le principe de la décision française de changer de monnaie et donc forcer la France à annuler sa décision souveraine de changer de monnaie. En revanche, la France pourra être condamnée à indemniser les plaignants des conséquences, notamment patrimoniales, d’une telle décision, voire, dans certains cas, la forcer à continuer de payer sa dette en euros », explique Jacques-Alexandre Genet, un avocat ayant représenté le fonds Elliott contre l’Argentine. De fait, la conversion forcée en francs représentera un préjudice pour les créanciers de la France car la nouvelle devise perdra à coup sûr de sa valeur par rapport à l’euro : soit parce que le gouvernement dévaluera, soit parce que les marchés attaqueront cette monnaie. «  

La trêve judicaire : le concept d’escroc de Marine Le Pen

 

La trêve judicaire : le  concept d’escroc de Marine Le Pen

Jamais sans doute on aura atteint un tel niveau d’escroquerie avec l’arrivée des Le Pen en politique. Une escroquerie qui a commencé avec l’appropriation sulfureuse de l’héritage d’un riche industriel. Auparavant, Le Pen n’avait jamais réussi quoi que ce soit. Un héritage qui a ensuite profité à la famille qui vit royalement. L’escroquerie a continué avec la vente d’investiture (17 000 euros par candidat) supposés représenter le prix de tracts ! Des sommes qui transitaient dans de curieux micros partis(en fait des associations bidons comme il est vrai d’autres politiques le font) et dont une partie des sommes s’est curieusement retrouvée sur le compte personnel de Jean-Marie Le Pen pour acheter un bien immobilier dont sont propriétaire Jean-Marie Le Pen et Marine Le Pen ! La dernière escroquerie concerne ce fameux concept de trêve judicaire. Impliquée dans plusieurs affaires, Marine le Pen refuse de répondre aux convocations de la justice en prétextant le non-respect de l’illusoire trêve judiciaire pendant les élections. En réalité Marine Le Pen  se sert de son immunité parlementaire actuelle et espère bien une nouvelle immunité après les législatives, de sorte qu’avec tout les recours procéduriers ces affaires risquent de traîner des années pour finalement être enterrées  Convoquée mercredi 22 février, à 14 heures, dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, Mme Le Pen a fait savoir par courrier qu’elle ne se rendrait à aucune convocation policière ou judiciaire jusqu’aux élections législatives des 11 et 18 juin. Contactée par Le Monde, la présidente du FN a refusé de justifier son choix, et a renvoyé vers son avocat, Me Rodolphe Bosselut. Ce dernier a confirmé au Monde la position de principe de la députée européenne, qui s’inscrit dans la droite ligne des déclarations qu’elle a faites, mercredi 22 février, au journal télévisé de TF1. « La justice n’est pas un pouvoir, c’est une autorité, a-t-elle alors dit. Elle ne doit pas venir perturber, pour une enquête qui pourrait se dérouler plus tard, qui aurait pu se dérouler avant la campagne présidentielle, car c’est un moment démocratique important, fondamental dans notre pays. »

 

Agriculture : toujours plus grand mais toujours plus dangereux

Agriculture : toujours plus grand  mais toujours plus dangereux

 

Depuis la mécanisation des travaux agricoles et les progrès de l’agriculture  intensive en particulier après la seconde guerre mondiale, la taille des parcelles cultivées a considérablement augmenté. Aujourd’hui, dans les plaines du Midwest américain ou de la Beauce, une seule espèce - par exemple du blé - s’étend à perte de vue, sur des milliers d’hectares. Les espaces semi-naturels, bosquets, haies, mares, parsemant autrefois le paysage ont bien souvent disparus pour permettre au tracteur et à la moissonneuse-batteuse de passer.  La simplification du paysage est depuis longtemps soupçonnée de rendre les monocultures plus fragiles aux attaques des nuisibles et des maladies. Une équipe de l’université du Wisconsinconforte cette hypothèse : plus la zone est cultivée de manière uniforme, avec de grandes parcelles, plus la pression des ravageurs est forte et augmente d’autant le besoin en traitements. En effet, de telles étendues sont un milieu sans frein à la propagation de maladies, et les différents bioagresseurs, spécialisés dans l’attaque de l’espèce cultivée, y trouvent gîte et couvert plus que nécessaire. Leurs prédateurs traditionnels, en revanche, n’ont plus l’habitat riche que fournissaient les variations naturelles du couvert végétal. Résultat, les destructeurs pullulent et les régulateurs disparaissent.

Pour remédier à ces attaques et à tout ce qui contrarie la pousse des précieuses semences, l’agriculture moderne a généralement recours à une solution : l’administration d’un produit de synthèse, toxique, conçu spécifiquement pour lutter contre le problème en question. Mais rien n’est gratuit. Au niveau des sept états du Midwest, les chercheurs évaluent le coût des traitements supplémentaires entre 34 et 103 millions de dollars pour l’année 2007. Fort de leur constat, Timothy Meehan et ses collègues proposent une solution où tout le monde serait gagnant : recréer une complexité dans le paysage pour permettre de retrouver une protection naturelle des cultures. Pour cela, ils proposent d’introduire des cultures pérennes de type switchgrass (ou panic érigé) destinées à la production d’agrocarburants de seconde génération entre les monocultures. Accusés d’occuper des sols pouvant être mis à profit pour nourrir les populations, les agrocarburants ont plutôt mauvaise presse. Mais des zones ainsi couvertes pourraient former un habitat pour nombre d’espèces auxiliaires sans diminuer la rentabilité du terrain occupé. Une telle association résolvant d’un coup certains aspects négatifs des deux types de culture. Avec en prime, des économies pour les agriculteurs. Justement qu’en est-il de ces recherches en France ?  Laurent Lapchin, directeur scientifique adjoint à l’environnement à l’Inra, nous éclaire : « l’article est particulièrement intéressant car il traite ces questions à une échelle supérieure à celle de la parcelle ». Et c’est à ce niveau que les processus régulateurs naturels deviennent vraiment visibles. Des résultats comparables ont été obtenus avec l’expertise scientifique collective « Agriculture et Biodiversité » en 2008. Il poursuit : « ce qui détermine l’impact de l’agriculture sur la biodiversité à l’échelle du paysage est le résultat du triptyque

  • réduction de la proportion des espaces semi-naturels ;
  • uniformisation des productions ;
  • intensification de ces productions. »

De nombreuses études mettent en avant la notion de service écosystémique. Il s’agit d’un service - purification de l’eau, stockage de CO2, diminution de l’érosion - rendu naturellement par un milieu. Laurent Lapchin résume : « les différents équilibres des écosystèmes constituent le moteur des services éco systémiques, dont la biodiversité serait le carburant ». Un déséquilibre peut affaiblir ou faire disparaitre ces avantages. La production agricole est aussi un de ces services, qui peut s’opposer, dans le cas d’un paysage trop uniformisé, au service de régulation des populations de bioagresseurs par leurs prédateurs naturels.

(Source futura)

 

Crise agricole : la faute à la monoproduction

Crise agricole : la faute à la monoproduction

 

Le facteur explicatif dominant tient à la monoproduction et au modèle productiviste qui certes enrichissent  industrie alimentaire et les intermédiaire mais appauvrissent  les petits paysans. Sans parler des conséquences très graves pour la santé et environnement. Là où il y avait dix vaches il y a 50 ans, il en faut 150 aujourd’hui ;  là où on produisait sur 15 hectares, il en faut 200 aujourd’hui et c’est vraiment  un minimum. De toute manière, on ne concurrencera jamais les élevages du continent américain qui comprennent des milliers de têtes (jusqu’à 100 000 !) et des milliers d’hectares. La monoproduction est évidemment une  catastrophe économique, sanitaire et environnementale qui tue les paysans. Un modèle inspiré par les gouvernements, les chambres d’agriculture et la FNSEA.

 

D’une manière générale, l’agriculture productiviste est monoculturale. Le modèle de monoculture pendant très longtemps, en France, par exemple, était celui que les céréaliers mettaient en œuvre sur les grandes plaines de Beauce, de Brie, de Champagne, de Picardie, du Poitou, etc. Les céréales proprement dites (blé, orge, avoine) y étaient mises en rotation avec des cultures fourragères (luzerne) et vivrières (betterave à sucre). Dans les années 1950, le maïs faisait son entrée dans ces rotations, au point d’ailleurs qu’à grands renforts d’herbicides et d’amendements, les rotations étaient définitivement oubliées.
La monoculture s’opposait alors à la polyculture. Celle-ci était pratiquée dans les régions bocagères, principalement. La plupart des cultures pratiquées étaient destinées pour partie à l’alimentation humaine (blé, pomme de terre, haricots, carottes, etc.), pour partie à l’alimentation animale (autres céréales, betterave fourragère) et pour partie pour l’amélioration des sols (plantes couvre-sol, moutarde, colza, etc.). Les autres surfaces agricoles étaient dédiées aux animaux domestiques (herbages, prairies), sinon sauvages (près de fonds, ceintures marécageuses, écotones forestiers, bois, etc.).
Mais même dans les régions bocagères, la monoculture a fait son entrée en force, vers 1960. Deux faits marquent cette époque : l’arasement systématique des haies en pays bocager (modernité oblige… curieusement cet alibi reste d’actualité pour l’acceptation de l’inacceptable !) et l’arrivée du maïs.
On connaît les conséquences : maïsiculture intensive, utilisation massive des herbicides, élevage intensif hors-sol, rejet de nitrates, pollution des eaux, etc.
On oublie souvent de parler de différents autres effets associés : érosion hydrique et éolienne, risques d’inondation accrus, etc. et dans un autre domaine : pullulation des ravageurs des cultures, disparition du gibier, des prédateurs naturels des pestes, etc.
On n’oubliera pas non plus que les pratiques monoculturales sont extrêmement coûteuses en énergie exogène introduite. Ces pratiques agricoles sont largement déficitaires au sens où pour produire une calorie alimentaire, il faut en injecter entre 10 et 25 sous forme de carburant pour les machines agricoles et sous différentes formes pour les engrais, les produits phytosanitaires, les pesticides, sans oublier la gestion des stocks ou le maintien des cours !  On peut admettre qu’à la fin de la guerre de 1939 – 1945, l’accession, en Europe, d’une autonomie alimentaire ait été une priorité. Le paradoxe actuel est que l’Europe croule sous ses stocks alimentaires, que le gaspillage énergétique est fabuleux, que les atteintes environnementales sont colossales, que les destructions des ressources sont importantes… et que l’autonomie alimentaire n’est pas pour autant assurée, par exemple, pour les plus démunis. Remarquablement, les plus démunis se comptent aussi aujourd’hui chez des gens qui ont un travail. Le seuil de pauvreté, au moins celui de précarité qui mène à l’endettement a beaucoup cru ces dernières années.»

Source : écosystème

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