hausse du bio de 20 %
20 % d’augmentation en un an et ainsi d’affaires de 7 milliards en 2016, de plus en plus de Français s’intéressent et consomment du bio. Pas étonnant après le triomphe de la malle bouffe et ses conséquences tant sur la santé que sur l’environnement. Mais aussi sur les producteurs. En gros, les multinationales de l’agro alimentaire et la grande distribution ont imposé des normes de produits dangereux pour la santé, gonflé de produits chimiques et des prix dérisoires aux producteurs qui un à un quittent le métier. . (Tomates chimique, lait et poulet aux OGM, poulet aux antibiotiques gonflé en 1 mois quand il en faudrait 3 !) ; Bref de la merde, de la spéculation aussi pour les traders qui spéculent sur les denrées alimentaires et des paysans français dépendants et misérables. Les meilleures intentions du monde au départ, peuvent provoquer un désastre absolu à l’arrivée comme en Bretagne. la Bretagne orientée dans les années 60 vers « le tout export » de cochons et volailles ou la décision des paysans français de « se mettre au tout soja » après avoir été inondés de films de propagande américains vantant les qualités miraculeuses de cette légumineuse sans voir et savoir que l’Amérique cherchait un second marché pour écouler ses excédents et « asservir » littéralement nos exploitants. Autre exemple celui poussins livrés pour être engraissés en batterie et en 31 jours top-chrono jusqu’à ce qu’ils atteignent 1,4 kg pile Même dérive pour d’autres productions animales. Et plus généralement agricoles gavés de pesticides et d’engrais. Tout cela pour faire du rendement et aboutir à des produits dangereux et souvent sans goût (comme les tomates, les pommes ou le blé non panifiable). Les consommateurs montrent donc des changements dans leurs habitudes. Dans l’ordre, ils tendent à privilégier les légumes, les produits laitiers, les œufs, puis l’épicerie et la viande. Selon les données de l’agence, les Français souhaitent avant tout éviter les OGM, les produits artificiels et les colorants. Ils invoquent en masse une préoccupation en lien avec la santé, et pensent davantage au bien-être des animaux. Les consommateurs justifient surtout leur préférence par un meilleur apport nutritionnel des produits bio, et la recherche de produits qui ont davantage de goût. Conséquence : la superficie des terres bio cultivées en France augmentent dans la même proportion, soit 16 % sur un an, à 1,54 million d’hectares.
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