FOOT euro 2016 : pour des pelouses bien françaises
Spectateurs et téléspectateurs ont pu constater que les pelouses de certains stades étaient en faite de véritables patinoires en particulier à Marseille et à Lille. En cause la décision surprenante de l’organisation européenne de foot (UEFA) de changer les pelouses à quelques jours du début de l’euro 2016. Pourquoi d’abord tout simplement parce que l’organisation européenne de foot est pleine de fric dont elle ne sait pas trop quoi faire (comme la FIFA) et qu’elle a passé un contrat avec une société autrichienne qu’elle est contrainte d’honorer dans l’intérêt sans doute des deux parties, sans doute ! . Le problème c’est que de pelouses posées trop récemment ne permettent pas à l’herbe de s’enraciner. Le paradoxe c’est que précédemment c’es pelouses étaient en bon état avant, d’où une interrogation majeure ne faut-il pas imposer de l’herbe française sur nos terrains de foot ? Est –il vraiment nécessaire d’importer de l’herbe étrangère alors que le temps pourri de ces dernières semaines n’a jamais favorisé autant la pousse de l’herbe ? 20 minutes revient donc ce matin sur la qualité toute pourrie de la pelouse du Stade Pierre-Mauroy, sur laquelle se sont rencontrées la France et la Suisse hier. «C’est difficile de jouer notre football sur un terrain comme ça [...] quand on tombe sur un terrain comme ça, il faut faire des choses simples», a affirmé le défenseur français Adil Rami. Le stade lillois étant le seul de France à avoir un toit, il «ne peut pas se réfugier derrière l’excuse des intempéries», balaie 20 minutes. A qui la faute, alors ? A l’UEFA, qui a décidé il y a trois semaines de changer le gazon, ce qui a valu un communiqué mécontent de Société française des gazons (ouais). «Toutes les pelouses étaient de très belles qualités (sic) ainsi qu’en attestent les dernières notations du championnat des pelouses de la Ligue de football professionnel en fin de compétition, se défend-elle. Le consultant mandaté par l’UEFA a cru bon devoir intervenir, en particulier en faisant replaquer du gazon non compatible (enracinement du gazon) en provenance d’une société autrichienne sur les stades de Marseille, Lille, Nice, et ce, en dépit de l’avis hautement défavorable des spécialistes français tenus à l’écart du système UEFA.»
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