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Archive mensuelle de février 2016

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Pétition contre la loi travail : vers les 2 millions ?

Pétition  contre la loi  travail : vers les 2 millions ?

 

Au rythme des signatures contre la loi Khomri  la pétition pourrait atteindre 1 million de signataires au début de la semaine prochaine et sans doute 2 millions d’ici le 9 mars date du début du débat parlementaire. Aujourd’hui samedi 27 février on compte déjà environ 700 000 pétitionnaires, soit un rythme de 100 000 par jour. Pour contrer ce succès Dominique Reynié, conseiller régional LR et ancien candidat à la présidence du Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées, qui a lancé ce vendredi une pétition en ligne pour soutenir ce projet de loi. La loi visant à « instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs, dite «Loi El Khomri», est une loi imparfaite, comme toutes, mais elle a l’immense mérite d’innover, de tenter, d’agir. Soutenons-là ! », peut-on lire dans le texte de la pétition  sur le site Change.org. Baptisée «Oui à la loi Travail! Non au chômage», la pétition avait recueilli vendredi en fin d’après-midi 474 soutiens, dont celui du président du Medef, Pierre Gattaz, et de son ancienne présidente Laurence Parisot. De toute évidence la bataille de communication a été gagnée par les opposants à la loi relative aux marchés du travail. Il est probable que la contestation va encore s’amplifier avec le refus de Manuel Valls d’envisager une modification du calendrier et du texte.  Au-delà du nombre de signataires de cette pétition il faut prendre aussi en compte les innombrables prises de position réflexions, analyses développées  sur les sites d’internautes. Une autre manière d’exercer la démocratie qui rend un peu obsolète d’autres formes d’expression comme les manifestations voire les grèves mêmes si ces moyens peuvent se révéler encore utiles dans certains cas. Mais pendant que les syndicats pour une fois réunis éprouvent les pires difficultés à trouver un terrain d’entente (certains syndicats veulent le retrait pur et simple du texte quand d’autres veulent un rééquilibrage),  les citoyens peuvent en temps réel faire valoir leur point de vue. Le succès de la pétition mais aussi des sites qui ont contribué à l’appropriation de la problématique marquera de toute évidence une étape dans l’évolution de notre pratique démocratique.  Ce qui est en cause c’est à la fois le fond et la forme de cette loi travail. De toute évidence le gouvernement a fait une grave faute de communication en indiquant d’entrée que cette loi ne serait pas amendée et qu’elle ferait l’objet de l’application du 49-3, or cette loi est largement déséquilibrée, elle privilégie essentiellement la flexibilité au détriment de la sécurité. Elle manque surtout d’une vision globale sur l’évolution des conditions sociales. Une plus grande souplesse en matière de licenciement ne pouvant constituer le seul mode de régulation de conditions sociales qu’il convient cependant de faire évoluer.

Quel avenir pour Canal+ sans le foot anglais ?

Quel avenir pour Canal+ sans  le foot anglais ?

 

Trois facteurs explicatifs pourraient peser sur la situation de canal, d’abord la situation financière du groupe en France qui fait apparaître un déficit ensuite les pertes d’audience déjà enregistrées enfin la perspective de la suppression des matchs  de foot anglais. On sait que la moitié des abonnés sont essentiellement motivés par le foot. Or les matchs de foot anglais,  de loin le plus regardés dans le monde,  pourraient disparaître à Canal puisque les droits sont désormais détenus par Altice société de Patrick Drahi. De ce point de vue, l’alliance avec BeIN sport ne changera pas la donne.  La première ligue anglaise est de loin le championnat le plus relevé st le plus spectaculaire. En l’absence des matchs anglais, nombreux de téléspectateurs risquent de se désabonner de Canal, des abonnés qui seraient alors réduits à regarder des matchs le plus souvent insipides du championnat de France. Un autre élément pèse sur la désaffection des téléspectateurs vis-à-vis de canal c’est la perte progressive de l’esprit Canal caractérisé par une certaine impertinence et une certaine innovation. Or  Vincent Bolloré depuis qu’il est devenu propriétaire de Canal a fait le ménage et a  imposé une ligne éditoriale moins critique et moins originale. D’une certaine façon Vincent Bolloré mène le groupe Canal+ comme il mène ses entreprises, d’une main de fer. Pas sûr que les abonnés à Canal+ apprécient beaucoup ce type de gouvernance pas très adaptée au champ  des médias. Le groupe Canal+, présidé par Vincent Bolloré, reste cependant bénéficiaire avec 454 millions d’euros d’Ebitda en 2015, toutes activités et zones confondues. Les pertes financières en France sont 264 millions d’euros en 2015.  Mais personne ne doute du ralentissement de Canal+ en France. De 2012 à 2015, l’empire de la télévision payante a perdu dans l’Hexagone 1,1 million d’abonnés, à 8,45 millions

Actu, infos, économie, social, politique: articles les plus lus

Actu, infos, économie, social, politique: articles les plus lus

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Baisse du chômage en janvier : mais hausse en février

Baisse du chômage en janvier : mais hausse en février 

Officiellement de chômage aurait diminué de 28 000 en janvier un chiffre déjà relativement important au regard du nombre total de chômeurs mais également contester compte tenu du nombre de radiations. Des radiations justifiées par la ministre du travail qui a déclaré : « Il ne faut pas que les auditeurs pensent que ces chiffres soient le fruit d’un bug. Nous avons eu au mois de janvier plus de sorties de Pôle emploi à cause d’une augmentation de défaut d’actualisation ». Une affirmation qui peine à convaincre.  Le nombre de demandeurs de catégorie A, sans aucune activité, serait  contracté en janvier de 0,8%, à 3.552.600, soit 27.900 de moins qu’à fin décembre. En ajoutant les catégories B et C (personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a diminué de 0,3% à 5.459.700 (5.782.200 en incluant les départements d’Outre-mer), soit 18.300 de moins qu’un mois plus tôt. Sur un an, le nombre de demandeurs de catégorie A progresse de 1,8% et celui des A, B et C de 4,2%.  Le nombre de demandeurs de catégorie A, sans aucune activité, s’est contracté en janvier de 0,8%, à 3.552.600, soit 27.900 de moins qu’à fin décembre. En ajoutant les catégories B et C (personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a diminué de 0,3% à 5.459.700 (5.782.200 en incluant les départements d’Outre-mer), soit 18.300 de moins qu’un mois plus tôt. Sur un an, le nombre de demandeurs de catégorie A progresse de 1,8% et celui des A, B et C de 4,2%. Pour le seul mois de janvier il y aurait donc environ 28 000 chômeurs en moins pour la catégorie A mais un chiffre contesté du faite de la croissance des radiations dont l’augmentation pourrait-elle être d’au moins 40  000. De quoi donc annuler l’affichage de la petite baisse du chômage de janvier et faire augmenter la hausse du chômage en février. Cela d’autant plus que les indicateurs d’activité (Markit) sont très mauvais ; en effet l’activité du privé devrait être dans le rouge en février et on voit mal comment des emplois pourraient être créés sans croissance.  La Dares – la direction des statistiques de l’emploi, un organisme indépendant –  indique dans son état des lieux à fin janvier 2016 qu’un nombre important d’inscrits à Pôle Emploi est sorti des statistiques pour défaut d’actualisation. En clair, des données pas à jour qui pourraient fausser partiellement ces bons résultats.

Risques de récession mondiale : le G20 toujours aussi vain

Risques de récession mondiale : le G20 toujours aussi vain

 

 

 

Aujourd’hui et demain se réunissent les ministres des finances et les responsables des banques centrales sans doute pour faire le constat d’un ralentissement mondial qui pourrait même conduire à la récession. Le contexte est en effet assez comparable à celui de 2019 avec une crise financière, une baisse structurelle des valeurs boursières, une grande volatilité sur le marché des changes et surtout une demande atone qui se traduit par un net affaiblissement du commerce international. Malheureusement chaque banque centrale joue sa partie de manière individuelle pour peser de manière artificielle sur la masse monétaire, les taux de change et la parité des monnaies. Dit autrement on essaye de donner par la voie monétaire une compétitivité qui ne permettent  pas encore des réformes structurelles à peine entamées. Il est donc vraisemblable que le G20 se montrera toujours aussi vain et qu’il va se contenter une fois de plus de faire un constat sans prendre de décision à la hauteur de l’enjeu. Au risque après la réunion de créer encore davantage d’incertitudes. Encore pour se mettre d’accord encore faudrait-il partager la même vision qui devrait articuler des mesures de politique monétaire, de politique budgétaire et des réformes structurelles. La réunion des ministres des Finances et des banquiers centraux du G20 vendredi et samedi à Shanghaï, en Chine, risque de décevoir ceux qui en espèrent un grand plan concerté de relance de l’économie mondiale et d’apaisement sur les marchés financiers. Aux yeux de certains, la situation actuelle, avec une demande mondiale obstinément atone, des Bourses en baisse et une volatilité sur le marché des changes, est comparable à celle d’avril 2009. La Chine, qui préside le G20 cette année, a érigé en « tâche urgente » le renforcement de la coordination politique et la lutte contre les « débordements négatifs » des mesures prises individuellement, alors qu’elle est elle-même soupçonnée d’avoir contribué à la déstabilisation en pilotant depuis l’été dernier une dépréciation du yuan. D’autres, tels les Etats-Unis et le Japon, comptent insister sur des mesures budgétaires de soutien à l’activité pour relancer l’économie mondiale. « Le tableau global est moins rose qu’il y a un an », juge un responsable italien s’exprimant sous le sceau de l’anonymat, selon lequel la réunion de fin de semaine « ne débouchera probablement sur aucune réponse de court terme à la crise ». Cette absence d’initiative au niveau politique alimente les craintes d’une récession.

‘ (Avec Reuters)

Un nouveau parrain pour la mafia de la FIFA

 

 

Il y aura  aujourd’hui l’élection d’un nouveau parrain pour la mafia de la FIFA. D’une manière ou d’une autre,  tous les candidats ont été impliqués dans la gestion précédente de l’organisation internationale. Une organisation  internationale véritable machine à cash qui récolte des milliards et les redistribue aux fédérations locales et à certains dirigeants pour perpétuer leur pouvoir. D’une certaine façon cette organisation n’est pas réformable compte tenu de son statut, de sa composition et de ses pratiques. Une organisation qui bénéficie en outre du seul statut d’association (type loi 1901 en France) dont la gestion est complètement opaque et localisée en outre en Suisse (comme la plupart des désorganisations sportives internationales. C’est le fric foot érigé en système qui permet toutes les dérives, trafics d’influence, corruptions, spéculations sur les joueurs y compris les enfants et tous les endettements de la plupart des grands clubs. L’accusation n’est pas nouvelle : « La FIFA se conduit comme une « famille de mafieux » avait affirmé l’ancien président de la Fédération anglaise, Lord David Triesman, commentant les accusations de corruption entourant l’attribution de la Coupe du monde2022 au Qatar.  « La corruption a été érigée en système et soutenue par l’absence d’investigations et où la plupart des accusés échappe aux enquêtes.. »  Cette interrogation sur la nature mafieuse de la FIFA concerne en fait la plupart des organisations internationales sportives. À commencer par le comité olympique (CIO), lieu de toutes les magouilles pour la localisation des jeux,  lui aussi disposant d’un statut d’association comme d’ailleurs la plupart des fédérations internationales des différentes  disciplines sportives. La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco pour des raisons de laxisme fiscal et d’absence de contrôle. Du coup c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong).

Sondage loi travail : 60 à 70 % des Français opposés

Sondage loi travail : 60 à 70 % des Français opposés

Selon deux  récentes enquêtes 60 à 70 % des Français seraient opposés à la loi concernant l’évolution du marché du travail. Un jugement toutefois équilibré puisqu’une courte majorité pense en même temps que cette loi est cependant importante pour donner davantage de liberté aux entreprises. Sans doute le signe que cette loi est très déséquilibrée et mal préparée. Fondamentalement les Français ne contestent pas la nécessité d’une évolution du marché du travail mais souhaiterait un rééquilibrage qui garantisse un certain nombre de sécurités pour le salarié. L’avis des Français exprimés dans ces sondages a sans doute aussi été largement influencé par la position de blocage de Manuel Valls qu’il a qui a laissé entendre que le texte ne changerait pas et qui pourrait être imposé sans débat par le 49-3 au Parlement. Une double erreur donc de la part du gouvernement, d’abord sur le fond avec une orientation trop marquée à droite, ensuite avec une absence totale de pédagogie. Après avoir ouvert une nouvelle querelle au sein d’un Parti socialiste encore ébranlé par le débat sur la réforme constitutionnelle, la réforme du Code du travail portée par Myriam El Khomri divise aussi l’opinion publique selon un sondage réalisé par l’institut Harris Interactive. 60% des Français seraient opposés à ce projet de loi selon l’enquête publiée jeudi 25 février par 20 minutes. Plus des deux tiers des personnes interrogées se montrent pessimistes et ne pensent pas que cette réforme aura des conséquences sur la baisse du chômage. Logiquement, les sympathisants de gauche y sont encore plus hostiles pour 66% d’entre eux, voir 89% pour les sympathisants du Front de gauche. Les sondés qui se déclarent de droite soutiennent globalement la réforme, avec une courte majorité  de 54%. L’opinion diffère sensiblement en fonction de l’âge des personnes interrogées : 70% des moins de 35 ans dénoncent la réforme de la ministre du Travail tandis que 53% des plus de 65 ans la soutienne.  Pour sept Français sur dix, le projet de réforme du code du travail constitue « une menace pour les droits des salariés » et moins d’un tiers d’entre eux (30%) pensent qu’il permettra de créer des emplois, selon un sondage Elabe pour BFMTV publié mercredi. Pour 53% des sondés, la réforme est cependant « importante pour donner plus de liberté aux entreprises ». Seules 30% pensent enfin qu’elle permettra de créer des emplois, selon cette enquête pour BFMTV. Les sympathisants de gauche sont les plus nombreux (76%) à voir la réforme comme une menace pour les salariés. Mais c’est aussi l’avis de 52% des proches de la droite et du centre et de 81% de ceux du Front national. Les sympathisants de droite considèrent massivement (70%) qu’elle est importante pour donner plus de liberté aux entreprises, un avis partagé par près d’un proche de la gauche sur deux (49%). Une courte majorité de Français (51%, contre 48%) pensent par ailleurs que « le gouvernement n’obtiendra pas une majorité à l’Assemblée pour l’adoption de la réforme ». Ils sont encore plus nombreux (59%, contre 37%) à considérer que « le gouvernement fait surtout de l’affichage et qu’il privilégiera un compromis avec la gauche, quitte à abandonner une partie du projet ». Le projet de loi doit être présenté en Conseil des ministres le 9 mars, puis être examiné au Parlement en avril.

Enquête sur l’achat d’une maison par les Le Pen

Enquête sur l’achat d’une maison par les Le Pen

Le patrimoine immobilier des Le Pen continue d’intéresser la justice. Des investigations judiciaires sont en cours sur les conditions d’achat par Jean-Marie et Marine Le Pen d’une villa en 2012, peu après un virement d’un micro-parti satellite du FN sur un compte du cofondateur du parti, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.  Comme l’a révélé Le Point, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) avait signalé en décembre ces opérations au parquet national financier (PNF), soupçonnant des faits possibles d’abus de confiance et de recel, précisent les sources judiciaire et proche du dossier. Le PNF a joint ce signalement à l’enquête déjà ouverte sur de possibles sous-évaluations ou omissions dans les déclarations de patrimoine de Jean-Marie et Marine Le Pen au Parlement européen, sur des soupçons de fraude fiscale concernant l’ancien président du FN, a précisé la source judiciaire. Le signalement portait sur la valeur de quatre biens immobiliers déclarés pour le père et sa fille, dont deux en commun, mais aussi sur l’acquisition de l’une des résidences, une villa à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) dans laquelle Jean-Marie Le Pen réside avec son épouse Jany. Cette résidence, vendue à la fin des années 1980 par Jany Le Pen, a été rachetée fin 2012 pour un montant d’environ 700.000 euros par Jean-Marie Le Pen et deux de ses filles, Marine et Yann Le Pen, explique une source proche du dossier.  Dans ses investigations, la HATVP a été intriguée par un virement de 600.000 euros de Cotelec, le micro-parti de Jean-Marie Le Pen, sur son compte personnel, raconte la même source. «Dans un délai d’un mois sont intervenus le protocole d’accord pour la vente, le virement puis l’achat de la maison», indique encore cette source. Dans un communiqué, Jean-Marie Le Pen évoque lui un emprunt de 700.000 euros à Cotelec, qui «n’avait rien à voir avec l’achat de la propriété» de Rueil-Malmaison en 2012. Selon lui cet emprunt avait pour but de financer la campagne électorale européenne en 2014 et a été remboursé en février 2015. «La volonté diffamatoire du Point est clairement établie», conclut-il, annonçant son intention de lancer des poursuites «par toutes voies de droit». Il a ensuite diffusé un deuxième communiqué dans lequel il indique que compte tenu «de l’acharnement du président socialiste de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique» il a demandé à ses avocats de «déposer plusieurs plaintes» contre Jean-Louis Nadal pour «dénonciation calomnieuse, non respect du secret professionnel, et imputation diffamatoire». A l’instar de Jeanne pour Marine Le Pen, Cotelec a longtemps été l’instrument permettant à Jean-Marie Le Pen de financer ses campagnes. Si l’argent d’un parti est utilisé à d’autres fins qu’un but politique, cela peut constituer le délit d’abus de confiance.

 

(Source 20 Minutes)

Débat « Loi Travail » : le triomphe démocratique d’Internet

Débat  « Loi Travail » : le triomphe  d’Internet

 

 

Il se passe sans doute des choses assez fondamentales en matière de fonctionnement démocratique avec la montée des réseaux sociaux sur Internet. Dernier exemple en date, la pétition lancée contre la loi qui ce matin 26 février avait recueilli près de 600 000 signataires et qui risque de dépasser 1 million d’ici quelques jours. Au-delà du nombre de signataires de cette pétition il faut prendre aussi en compte les innombrables prises de position réflexions, analyses développées  sur les sites d’internautes. Une autre manière d’exercer la démocratie qui rend un peu obsolète d’autres formes d’expression comme les manifestations voir les grèves mêmes si ces moyens peuvent se révéler encore utiles dans certains cas. Mais pendant que les syndicats pour une fois réunis éprouvent les pires difficultés à trouver les terrains d’entente nécessaires soit pour amender la loi sur le marché du travail, soit pour la rejeter entièrement, les citoyens peuvent en temps réel faire valoir leur point de vue. Le succès de la pétition mais aussi des sites qui ont contribué à l’appropriation de la problématique marquera de toute évidence une étape dans l’évolution de notre pratique démocratique. Le gouvernement l’a tellement compris qu’il a pris une initiative -inédite avec premier compte Twitter certifié dédié à … une loi Confronté à une forte mobilisation sur Internet – une pétition qui dépasse les 600.000 signatures et un appel à la grève lancé sur Facebook- contre son projet de réforme du Code du Travail, le gouvernement a voulu faire usage des mêmes armes en lançant un compte Twitter certifié « La loi Travail », instantanément moqué par les Internautes. Ce qui est en cause c’est à la fois le fond et la forme de cette loi travail. De toute évidence le gouvernement a fait une grave faute de communication en indiquant d’entrée que cette loi ne serait pas amendée et qu’elle ferait l’objet de l’application du 49-3, or cette loi est largement déséquilibrée, elle privilégie essentiellement la flexibilité au détriment de la sécurité. Elle manque surtout d’une vision globale sur l’évolution des conditions sociales. Une plus grande souplesse en matière de licenciement ne pouvant constituer le seul mode de régulation de conditions sociales qu’il convient cependant de faire évoluer.

RSA: renationalisation en 2017 ?

RSA:  renationalisation en 2017 ?

Manuel Valls propose la renationalisation du financement du RSA à partir du 1er janvier 2017. Cela en réponse au cri d’alerte des départements dont une quarantaine pourrait se trouver en faillite dès cette année. En attendant Manuel Valls a souhaité qu’«un accord équilibré» puisse être trouvé avec les départements «d’ici fin mars 2016», pour permettre notamment de garantir aux bénéficiaires du RSA leur allocation. «Le Premier ministre a fait la proposition que nous bâtissions un chemin pour une recentralisation du RSA», a indiqué pour sa part le président de l’ADF, Dominique Bussereau, à l’issue de la rencontre .Le président (LR) du conseil départemental de Charente-Maritime avait promis «une guerre totale avec l’Etat» si ces collectivités n’étaient pas entendues.  . Aujourd’hui c’est de l’ordre de 2 400 000 personnes qui bénéficient du RSA, un chiffre qui a doublé en quelques années. En cause Or une partie de ce RSA doit être financée par les ressources des départements. Du coup les départements ont appelé l’État au secours. Il faut convenir que cette dérive du RSA devient impossible à gérer. Certes cette aide sociale est justifiée  dans de nombreux cas et permet à peine d’assurer le minimum vital pour survivre. Cependant les armée d’assistantes sociales qu’ont  embauché les départements ont à largement favorisé la croissance de ce RSA attribué dans de nombreux cas de manière non justifiée. De ce point de vue la gestion du RSA par les départements est une véritable catastrophe. À la fin du mois de juillet, le président de l’Assemblée des départements de France (ADF) Dominique Bussereau tirait déjà la sonnette d’alarme, il réitère en février.  : Les départements connaissent de sérieuses difficultés pour continuer de verser les allocations de solidarité, notamment le RSA.   Le financement du RSA est en effet conjointement assuré par l’État qui gère le RSA activité, pour ceux qui travaillent, et par les départements, qui sont chargés de financer le RSA socle, à destination des personnes sans emploi ou à très faible activité. Ce qui représente 4 milliards d’euros des 10 milliards d’euros du coût du RSA. Une part qui ne cesse de grandir chaque année. . L’enjeu total serait de 4 milliards d’euros. Reste à savoir où l’État prendra l’argent !  Pour obtenir satisfaction, l’ADF brandit à nouveau le risque que l’asphyxie des départements se retourne contre les pouvoirs publics, ce qui est aussi une manière de les menacer de mesures de «rétorsion». Dominique Bussereau, le président de l’ADF, n’a d’ailleurs pas hésité à évoquer la perspective d’une «guerre totale avec l’État». L’association estime en effet que de nombreux élus «ne pourront plus participer aux investissements des Contrats de plan Etat-Région». Autrement dit, ils ne seraient plus en capacité de financer la rénovation des routes, des voies ferrées, des universités ou du haut débit, ce qui paralyserait l’essor économique du pays. Encore plus problématique, «beaucoup devront cesser de verser aux Caisses d’allocations familiales (CAF) le montant des crédits du RSA», prévient-elle

 

 

Loi travail : Valls confond autorité et autoritarisme

Valls confond autorité et autoritarisme

 

En matière de gouvernance d’un pays les responsables doivent savoir faire preuve d’autorité surtout dans une période caractérisée par nombre de mutations qui créent  l’interrogation, le doute voir l’anxiété. L’absence d’autorité ne peut favoriser que l’ambiguïté et l’immobilisme. Sans doute pour contrebalancer les hésitations permanentes de François Hollande et son goût maladif pour la synthèse ambiguë, Manuel Valls a choisi la posture inverse et surjoue l’autorité. Sa phrase favorite : » je ne reculerai pas »  témoigne de l’attitude quasi guerrière qu’il prend pour imposer ses orientations. Pour cela de façon assez systématique il s’affranchit des différents corps intermédiaires, politiques, sociaux ou citoyens. Par exemple quand il oublie de négocier avec les acteurs sociaux ou qu’il impose le vote bloqué permis par le 49-3 pour ne pas avoir à amender des projets de textes gouvernementaux devant le Parlement. Certes la France a sans doute besoin encore davantage que d’autres pays de modernisation tellement elle est engluée à la fois dans la bureaucratie et le poids de la fiscalité. Mais la modernisation économique, sociale, la transformation sociétale ne peut s’imposer uniquement par la loi. En outre pour éviter la consultation des corps intermédiaires encore faudrait-il pouvoir disposer d’une majorité dans  l’opinion publique. Or si Hollande est complètement discrédité, Valls l’est aussi en grande partie puisqu’il n’est soutenu que par une minorité. En fait, Valls  se confond autorité et autoritarisme. L’autorité ne se décrète pas, elle ne découle pas de la violence des mots ou des postures martiales ;  l’autorité est naturelle et découle de la pertinence des propositions et du degré de confiance qu’on accorde à celui qui les fait. Pour parler un peu vulgairement Valls  confond l’attitude d’un premier ministre st celle d’un adjudant chef. Il suffit par exemple de l’entendre lors de ses interventions à l’assemblée nationale quand il vocifère, hurle, éructe,  jusqu’à trembler comme un jeune coq en quête de reconnaissance dans un poulailler. Encore une fois l’autorité ne se revendique pas et la puissance ou la violence des mots ne lui confère aucune légitimité. Or précisément Valls ne jouit d’aucune légitimité, ni dans son parti, ni à gauche, ni à droite,  bien sûr ni dans l’opinion publique. Du coup son entêtement devient un peu pathétique surtout de la part d’un oligarque qui veut transformer toute la société alors qu’il n’a vécu que de politique et n’a jamais mis les pieds dans la production. Entre la synthèse molle et ambiguë de François Hollande et le diktat permanent de Manuel Valls, il y a sûrement un chemin qui rend possible la réforme en s’appuyant sur la pédagogie.

Inflation négative sur un an

Les prix à la consommation ont progressé de 0,2% en février en France sous l’effet notamment d’un rebond des produits manufacturés après la fin des soldes, selon une première estimation publiée vendredi par l’Insee. Mais sur un an, leur évolution redevient négative, à hauteur de 0,2%, pour la première fois depuis le mois de mars 2015. L’indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, a progressé pour sa part de 0,3% sur le mois de février mais enregistre une baisse de 0,1% sur un an, alors que les analystes interrogés par Reuters l’attendaient en hausse de 0,1% après une autre hausse de 0,3% sur les douze mois à fin janvier. L’Insee note que cette baisse est avant tout due à la chute des prix de l’énergie et que le décalage du calendrier des vacances scolaires de la zone C, qui inclut la région parisienne, « pèserait sur les prix des services touristiques cette année » en février. L’Insee publie depuis cette année dès la fin du mois une estimation de l’inflation sur les trente derniers jours. L’indice définitif pour février, le seul valable pour les indexations de contrats privés, rentes viagères, pensions alimentaires ou l’évolution du Smic, sera diffusé le 15 mars.

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Alerte sur le cours de la livre sterling

Alerte sur le cours de  la livre sterling

 

Conséquence sans doute inattendu pour Boris Johnson lui-même la livre plonge et pourrait se diriger rapidement vers la parité avec l’euro alors qu’en novembre2015 la livre valait  encore 1,42 euros. Le fantasque député conservateur Boris Johnson maire de Londres a sans doute sous-estimé nombre de conséquences économiques relatives au Brexit qu’il soutient. Notamment les conséquences sur la baisse de la monnaie. Une baisse inévitable si l’on s’en tient aux fondamentaux économiques. En effet le Royaume Uni a beaucoup plus à perdre que l’UE avec le Brexit. Les conséquences sur la croissance britannique pourraient être une perte de leur de 0,5 % du PIB par an. En outre il faut aussi prendre en compte que la balance des échanges du Royaume-Uni est très déséquilibrée alors qu’elle est excédentaire pour l’union économique. Du coup la livre pourrait être durablement orientée à la baisse jusqu’au référendum. « Quitter l’Europe menacerait notre sécurité économique et nationale », a pourtant  averti David Cameron, qui appelle les Britanniques à voter pour le maintien dans l’Union lors du référendum du 23 juin. Ceux n’ont à offrir que « des risques dans un temps d’incertitude, un saut dans l’inconnu », a-t-il ajouté. « Quand il s’agit des emplois des gens, on ne peut pas juste dire tout ira bien », a-t-il ajouté, soulignant qu’il fallait bien réfléchir aux conséquences d’un Brexit. À cet égard le fantasque Boris Johnson maire de Londres, une ville pourtant très heureux fils aveuglée par son souhait de remplacer David Cameron n’a sans doute pas bien mesuré tous les risques

 

 

 

 

(Sources Exchange rate UK FR)


Livre Sterling Euro

mercredi 24 février 2016 1 GBP = 1,2647 EUR Taux GBP EUR du 24/02/2016
mardi 23 février 2016 1 GBP = 1,2708 EUR Taux GBP EUR du 23/02/2016
lundi 22 février 2016 1 GBP = 1,2832 EUR Taux GBP EUR du 22/02/2016
dimanche 21 février 2016 1 GBP = 1,2824 EUR Taux GBP EUR du 21/02/2016
samedi 20 février 2016 1 GBP = 1,2943 EUR Taux GBP EUR du 20/02/2016
vendredi 19 février 2016 1 GBP = 1,2943 EUR Taux GBP EUR du 19/02/2016
jeudi 18 février 2016 1 GBP = 1,29 EUR Taux GBP EUR du 18/02/2016
mercredi 17 février 2016 1 GBP = 1,2842 EUR Taux GBP EUR du 17/02/2016
mardi 16 février 2016 1 GBP = 1,2835 EUR Taux GBP EUR du 16/02/2016
lundi 15 février 2016 1 GBP = 1,293 EUR Taux GBP EUR du 15/02/2016
dimanche 14 février 2016 1 GBP = 1,2936 EUR Taux GBP EUR du 14/02/2016
samedi 13 février 2016 1 GBP = 1,2886 EUR Taux GBP EUR du 13/02/2016
vendredi 12 février 2016 1 GBP = 1,2886 EUR Taux GBP EUR du 12/02/2016
jeudi 11 février 2016 1 GBP = 1,2794 EUR Taux GBP EUR du 11/02/2016
mercredi 10 février 2016 1 GBP = 1,2873 EUR Taux GBP EUR du 10/02/2016
mardi 9 février 2016 1 GBP = 1,2813 EUR Taux GBP EUR du 09/02/2016
lundi 8 février 2016 1 GBP = 1,29 EUR Taux GBP EUR du 08/02/2016
dimanche 7 février 2016 1 GBP = 1,3019 EUR Taux GBP EUR du 07/02/2016
samedi 6 février 2016 1 GBP = 1,2999 EUR Taux GBP EUR du 06/02/2016
vendredi 5 février 2016 1 GBP = 1,2999 EUR Taux GBP EUR du 05/02/2016
jeudi 4 février 2016 1 GBP = 1,3018 EUR Taux GBP EUR du 04/02/2016
mercredi 3 février 2016 1 GBP = 1,3149 EUR Taux GBP EUR du 03/02/2016
mardi 2 février 2016 1 GBP = 1,3195 EUR Taux GBP EUR du 02/02/2016
lundi 1 février 2016 1 GBP = 1,3238 EUR Taux GBP EUR du 01/02/2016
dimanche 31 janvier 2016 1 GBP = 1,3158 EUR Taux GBP EUR du 31/01/2016
samedi 30 janvier 2016 1 GBP = 1,315 EUR Taux GBP EUR du 30/01/2016
vendredi 29 janvier 2016 1 GBP = 1,315 EUR Taux GBP EUR du 29/01/2016
jeudi 28 janvier 2016 1 GBP = 1,313 EUR Taux GBP EUR du 28/01/2016
mercredi 27 janvier 2016 1 GBP = 1,3063 EUR Taux GBP EUR du 27/01/2016
mardi 26 janvier 2016 1 GBP = 1,3204 EUR Taux GBP EUR du 26/01/2016
lundi 25 janvier 2016 1 GBP = 1,3123 EUR Taux GBP EUR du 25/01/2016
dimanche 24 janvier 2016 1 GBP = 1,3203 EUR Taux GBP EUR du 24/01/2016
samedi 23 janvier 2016 1 GBP = 1,321 EUR Taux GBP EUR du 23/01/2016
vendredi 22 janvier 2016 1 GBP = 1,321 EUR Taux GBP EUR du 22/01/2016
jeudi 21 janvier 2016 1 GBP = 1,3101 EUR Taux GBP EUR du 21/01/2016
mercredi 20 janvier 2016 1 GBP = 1,3058 EUR Taux GBP EUR du 20/01/2016
mardi 19 janvier 2016 1 GBP = 1,2995 EUR Taux GBP EUR du 19/01/2016
lundi 18 janvier 2016 1 GBP = 1,3082 EUR Taux GBP EUR du 18/01/2016
dimanche 17 janvier 2016 1 GBP = 1,3073 EUR Taux GBP EUR du 17/01/2016
samedi 16 janvier 2016 1 GBP = 1,306 EUR Taux GBP EUR du 16/01/2016
vendredi 15 janvier 2016 1 GBP = 1,306 EUR Taux GBP EUR du 15/01/2016
jeudi 14 janvier 2016 1 GBP = 1,3284 EUR Taux GBP EUR du 14/01/2016
mercredi 13 janvier 2016 1 GBP = 1,3237 EUR Taux GBP EUR du 13/01/2016
mardi 12 janvier 2016 1 GBP = 1,3314 EUR Taux GBP EUR du 12/01/2016
lundi 11 janvier 2016 1 GBP = 1,3396 EUR Taux GBP EUR du 11/01/2016
dimanche 10 janvier 2016 1 GBP = 1,3278 EUR Taux GBP EUR du 10/01/2016
samedi 9 janvier 2016 1 GBP = 1,3294 EUR Taux GBP EUR du 09/01/2016
vendredi 8 janvier 2016 1 GBP = 1,3294 EUR Taux GBP EUR du 08/01/2016
jeudi 7 janvier 2016 1 GBP = 1,3384 EUR Taux GBP EUR du 07/01/2016
mercredi 6 janvier 2016 1 GBP = 1,3574 EUR Taux GBP EUR du 06/01/2016
mardi 5 janvier 2016 1 GBP = 1,3649 EUR Taux GBP EUR du 05/01/2016
lundi 4 janvier 2016 1 GBP = 1,3592 EUR Taux GBP EUR du 04/01/2016
dimanche 3 janvier 2016 1 GBP = 1,3578 EUR Taux GBP EUR du 03/01/2016
samedi 2 janvier 2016 1 GBP = 1,356 EUR Taux GBP EUR du 02/01/2016
vendredi 1 janvier 2016 1 GBP = 1,356 EUR Taux GBP EUR du 01/01/2016
jeudi 31 décembre 2015 1 GBP = 1,356 EUR Taux GBP EUR du 31/12/2015
mercredi 30 décembre 2015 1 GBP = 1,3552 EUR Taux GBP EUR du 30/12/2015
mardi 29 décembre 2015 1 GBP = 1,3565 EUR Taux GBP EUR du 29/12/2015
lundi 28 décembre 2015 1 GBP = 1,3568 EUR Taux GBP EUR du 28/12/2015
dimanche 27 décembre 2015 1 GBP = 1,3612 EUR Taux GBP EUR du 27/12/2015
samedi 26 décembre 2015 1 GBP = 1,3625 EUR Taux GBP EUR du 26/12/2015
vendredi 25 décembre 2015 1 GBP = 1,3625 EUR Taux GBP EUR du 25/12/2015
jeudi 24 décembre 2015 1 GBP = 1,3625 EUR Taux GBP EUR du 24/12/2015
mercredi 23 décembre 2015 1 GBP = 1,3636 EUR Taux GBP EUR du 23/12/2015
mardi 22 décembre 2015 1 GBP = 1,3536 EUR Taux GBP EUR du 22/12/2015
lundi 21 décembre 2015 1 GBP = 1,3651 EUR Taux GBP EUR du 21/12/2015
dimanche 20 décembre 2015 1 GBP = 1,3715 EUR Taux GBP EUR du 20/12/2015
samedi 19 décembre 2015 1 GBP = 1,3703 EUR Taux GBP EUR du 19/12/2015
vendredi 18 décembre 2015 1 GBP = 1,3703 EUR Taux GBP EUR du 18/12/2015
jeudi 17 décembre 2015 1 GBP = 1,3768 EUR Taux GBP EUR du 17/12/2015
jeudi 17 décembre 2015 1 GBP = 1,3768 EUR Taux GBP EUR du 17/12/2015
mercredi 16 décembre 2015 1 GBP = 1,3772 EUR Taux GBP EUR du 16/12/2015
mardi 15 décembre 2015 1 GBP = 1,3758 EUR Taux GBP EUR du 15/12/2015
lundi 14 décembre 2015 1 GBP = 1,3791 EUR Taux GBP EUR du 14/12/2015
dimanche 13 décembre 2015 1 GBP = 1,384 EUR Taux GBP EUR du 13/12/2015
samedi 12 décembre 2015 1 GBP = 1,3843 EUR Taux GBP EUR du 12/12/2015
vendredi 11 décembre 2015 1 GBP = 1,3843 EUR Taux GBP EUR du 11/12/2015
jeudi 10 décembre 2015 1 GBP = 1,385 EUR Taux GBP EUR du 10/12/2015
mercredi 9 décembre 2015 1 GBP = 1,3783 EUR Taux GBP EUR du 09/12/2015
mardi 8 décembre 2015 1 GBP = 1,3778 EUR Taux GBP EUR du 08/12/2015
lundi 7 décembre 2015 1 GBP = 1,3891 EUR Taux GBP EUR du 07/12/2015
dimanche 6 décembre 2015 1 GBP = 1,3886 EUR Taux GBP EUR du 06/12/2015
samedi 5 décembre 2015 1 GBP = 1,3893 EUR Taux GBP EUR du 05/12/2015
vendredi 4 décembre 2015 1 GBP = 1,3893 EUR Taux GBP EUR du 04/12/2015
jeudi 3 décembre 2015 1 GBP = 1,3862 EUR Taux GBP EUR du 03/12/2015
mercredi 2 décembre 2015 1 GBP = 1,4087 EUR Taux GBP EUR du 02/12/2015
mardi 1 décembre 2015 1 GBP = 1,4189 EUR Taux GBP EUR du 01/12/2015
lundi 30 novembre 2015 1 GBP = 1,4245 EUR Taux GBP EUR du 30/11/2015
lundi 30 novembre 2015 1 GBP = 1,4245 EUR Taux GBP EUR du 30/11/2015
dimanche 29 novembre 2015 1 GBP = 1,4209 EUR Taux GBP EUR du 29/11/2015
samedi 28 novembre 2015 1 GBP = 1,4188 EUR Taux GBP EUR du 28/11/2015
vendredi 27 novembre 2015 1 GBP = 1,4188 EUR Taux GBP EUR du 27/11/2015
jeudi 26 novembre 2015 1 GBP = 1,4242 EUR Taux GBP EUR du 26/11/2015
mercredi 25 novembre 2015 1 GBP = 1,4236 EUR Taux GBP EUR du 25/11/2015
mardi 24 novembre 2015 1 GBP = 1,4169 EUR Taux GBP EUR du 24/11/2015
lundi 23 novembre 2015 1 GBP = 1,422 EUR Taux GBP EUR du 23/11/2015
dimanche 22 novembre 2015 1 GBP = 1,4277 EUR Taux GBP EUR du 22/11/2015
samedi 21 novembre 2015 1 GBP = 1,4269 EUR Taux GBP EUR du 21/11/2015
vendredi 20 novembre 2015 1 GBP = 1,4269 EUR Taux GBP EUR du 20/11/2015
jeudi 19 novembre 2015 1 GBP = 1,4251 EUR Taux GBP EUR du 19/11/2015

 

 

Pôle emploi – sondage maison : 65% des demandeurs d’emploi !!

Pôle emploi – sondage maison : 65% des demandeurs d’emploi !!

Comme chaque année pour l’emploi fait apparaître un sondage surprenant qui montre qu’environ 65 % des usagers de cette administration sont satisfaits des services. Un chiffre stable maintenant depuis trois ans mais qui se trouve en pleine contradiction avec un autre sondage effectué cette fois par IFOP qui montrait que seulement 10 % des Français faisaient confiance à pôle emploi trouvé un travail. Selon un sondage Ipsos, deux tiers des demandeurs d’emploi et des entreprises auraient  été satisfaits du service public de l’emploi l’année dernière. Selon une enquête Ipsos révélée le 21 janvier, les services de Pôle emploi ont satisfait plus de deux tiers des demandeurs d’emploi et des entreprises. Les deux chiffres sont stables par rapport aux années précédentes, mais Pôle emploi s’attend à faire mieux en 2016, grâce à sa nouvelle organisation, rapporte le site d’information Challenges. Curieux car Seuls 10 % des Français font confiance à Pôle emploi pour leur trouver du travail, selon un sondage IFOP. Il s’agit d’une perte de confiance spectaculaire comparé à il y a quarante ans, quand les deux tiers des Français avaient foi en l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) pour trouver du travail.

 

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