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Archive mensuelle de juillet 2015

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Croissance Royaume-Uni : sur une tendance de 2,6 %

Croissance Royaume-Uni : sur une tendance de 2,6 %

Après le tassement du premier trimestre,  la croissance au Royaume-Uni  enregistre une hausse significative. Sur un an l’augmentation du PIB sera autour de 2,5 %. Cela surtout grâce au pétrole et au service tandis que la production manufacturière, elle ,baisse comme d’ailleurs dans de nombreuses zones en Chine comme en Europe. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a nettement accéléré à 0,7% par rapport au trimestre précédent, grâce aux services et aux hydrocarbures de la mer du Nord  Après avoir enregistré au précédent trimestre sa plus faible hausse depuis fin 2012, la croissance du Royaume-Uni est repartie. Le produit intérieur brut (PIB) outre-manche a progressé de 0,7% en première estimation, un résultat conforme aux attentes des économistes, après avoir avancé de 0,4% au trimestre précédent, indiquent les données publiées mardi 28 juillet par l’Office des statistiques nationales (ONS). « Après un ralentissement au premier trimestre 2015, la croissance du PIB a retrouvé les niveaux des deux années précédentes », a noté Joe Grice, économiste en chef de l’ONS. Sur un an, la progression du PIB britannique est de 2,6%, un résultat là encore conforme aux prévisions des économistes. Dans le détail, l’activité des services, qui contribue pour plus des trois quarts à l’économie britannique, a progressé de 0,7% au deuxième trimestre après une croissance de 0,4% au trimestre précédent. Si la production manufacturière a baissé de 0,3%, son premier repli trimestriel depuis deux ans, la production industrielle globale a gagné 1%, sa plus forte croissance depuis fin 2010, grâce à une augmentation de la production de pétrole et de gaz de mer du Nord. La demande en provenance de la zone euro demeure en revanche faible et pèse sur l’industrie. Le secteur de la construction reste lui aussi à la traîne. Le PIB par habitant est de nouveau comparable au pic atteint au premier trimestre 2008, soit avant la crise financière, souligne l’ONS. La Grande-Bretagne a connu l’an dernier sa plus forte croissance en huit ans. Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a déclaré ce mois-ci que la décision de relever les taux d’intérêt, actuellement à des plus bas historiques, entrerait en ligne de compte vers la fin de l’année.

 

Télécoms : Numéricable-SFR perd 700 000 abonnés

Télécoms : Numéricable-SFR  perd 700  000 abonnés

 

La guerre commerciale fait toujours rage dans les télécoms et les promotions succèdent aux promotions. Du coup le groupe Numéricable SFR perd de nombreux les abonnés. Pour autant grâce à des méthodes de gestion musclée Numericable SFR poursuit son désendettement. Dans son communiqué, Numericable-SFR se montre pourtant optimiste : « La relance commerciale sur le mobile annoncée au mois de mai commence à porter ses fruits avec des ventes brutes record au mois de juin. » Toutefois, le groupe affirme totaliser 21,9 millions de clients mobiles et 6,4 millions de foyers abonnés au haut débit. Or, en comparant ces chiffres avec ceux publiés au premiers trimestre, on constate que le groupe a vu s’évaporer pas moins de 600.000 clients dans le mobile, et 118.000 dans le fixe. Ce qui signifie que le groupe a perdu davantage de clients que sur les trois premiers mois de l’année. Pour Vincent Maulay, analyste chez Oddo Securities, « cette pauvre conquête de clients explique notamment le récent ajustement de prix dans le fixe ». Comme il le rappelle : « Numericable-SFR s’est mis en ligne avec les prix agressifs de Bouygues Telecom, soit 19,99 euros par mois pour la box d’entrée de gamme (chez Red, contre 29,99 euros par mois hors promotion), et 25,99 euros par mois pour la box haut de gamme (contre 39,99 par mois hors promotion) ». En outre, l’analyste relève que cet ajustement de prix, est intervenu peu après le refus du Conseil d’administration de Bouygues de l’offre d’Altice sur Bouygues Telecom. Sur le plan financier, le redressement se poursuit, puisque le groupe de Patrick Drahi affiche un bénéfice net de 79 millions d’euros au deuxième trimestre, contre une perte de 116 millions un an plus tôt. Entre avril et juin, l’opérateur a réalisé un chiffre d’affaires de 2,78 milliards d’euros, en baisse de 2,4%. Toutefois, son excédent brut d’exploitation (Ebitda) ajusté progresse de 19% à 1,06 milliard d’euros. Sachant que le groupe prévoit toujours une croissance de son Ebitda ajusté de 20% en 2015. Le nouvel ensemble Numericable-SFR continue donc de tirer profit des synergies mis en œuvre au début de l’année. Sur le front du désendettement, dont le groupe a fait sa priorité, la méthode Drahi fonctionne toujours à plein régime. Au terme du second trimestre, la dette nette atteint 3 fois son Ebitda. Et ce, « en dépit du rachat et de l’annulation de 10% des actions détenues par Vivendi en mai », précise le groupe dans son communiqué. De quoi renforcer le crédit de Patrick Drahi auprès des banquiers et des investisseurs. En milieu de matinée, le titre Numericable-SFR progressait d’ailleurs de 5,72%, à 52,13 euros.

 

Ségolène Royal :pas encore reine de France

Ségolène Royal :pas encore reine de France

Ségolène Royal ne se considère pas comme la reine de France. En tout cas en l’état actuel des les institutions. En fait compte de tenu des différentes répudiations le poste a été laissé vacant par le monarque François de Tulle, normal Premier. Seul le statut de favorite demeure. En dépit du flou juridique concernant la place exacte de Ségolène, cette dernière n’est pas mécontente d’entretenir une certaine ambiguïté quant à sa place dans le gouvernement et à ses relations avec Hollande. La ministre de l’Ecologie serait, pour le New York Times, « une sorte de vice-présidente, pas tout à fait Première dame ». Dans un entretien accordé au prestigieux quotidien américain ce mardi, Ségolène Royal « de retour ans les corridors du pouvoir », est revenue sur sa place au sein du gouvernement. Alors que le titre se demandait si la numéro trois du gouvernement ne s’est pas « glissée dans les deux rôles » – vice-présidente et Première dame – grâce à son « intuition politique » et à son « charme », Ségolène Royal a répondu avec malice: « Je ne suis pas Première dame! Je ne suis pas non plus la reine de France même si mon nom est Royal ». D’ailleurs, plus qu’à Hillary Clinton, Ségolène Royal se comparerait volontiers à l’ancien vice-président Al Gore, « dans son combat pour sauver la planète ». « Hillary a fait de la politique parce que son mari en faisait. Ce n’est pas mon cas », tient-elle à préciser. Une répartie bien sentie pour un journal qui n’a pas peur des clichés. En effet, comme l’a repéré Le Lab, l’entretien avec la ministre de l’Ecologie française a été publié sous la rubrique « Fashion & Style ». C’est donc à juste titre que Ségolène Royal a précisé au New York Times: « Ce qui est important est mon identité politique, pas mon identité en tant que femme ». Quant à savoir si Ségolène Royal sera candidate à la prochaine élection présidentielle, « non », a esquivé la ministre, qui a ajouté: « Nous verrons (…) si votre article est excellent, je changerai peut-être d’avis ».

 

Les 300 sondages de Sarkozy à l’Elysée : mise en examen

Les 300 sondages de Sarkozy à l’Elysée : mise en examen

Il est vraisemblable que Sarkozy sera une nouvelle fois épargné  par cette affaire de sondages pendant qu’il était président dans la république. Pas moins de 300 dont les conditions d’attribution et de financement suscite le doute de la justice. Patrick buisson, L’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy est mis en examen pour recel de favoritisme, détournement de fonds publics par un particulier et abus de bien sociaux, dans l’enquête des sondages de l’Elysée, selon une source judiciaire. Pierre Giacometti, consultant de l’ex-président, est toujours entendu par les enquêteurs. Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, a été mis en examen mercredi pour recel de favoritisme, détournement de fonds publics par un particulier et abus de biens sociaux dans l’enquête dite « des sondages de l’Elysée« , a-t-on appris de source judiciaire.  Il a été entendu dans la matinée par la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) avec Pierre Giacometti, toujours consultant ès opinion de l’ancien président. Ce dernier se trouve toujours à la BRDE.  »L’audition de mon client a été très rapide, il s’exprimera plus tard sur le fond du dossier, mais il reste parfaitement serein », annonce l’avocat de Patrick Buisson, Me Gilles-William Goldnadel. Début juin, Claude Guéant et Xavier Musca, anciens secrétaires généraux de l’Elysée, mais aussi Emmanuelle Mignon, ex-directrice de cabinet avaient notamment été placés en garde à vue dans le cadre de cette affaire. Nicolas Sarkozy ne devrait pas être lui-même inquiété puisqu’il est protégé par son immunité présidentielle puisqu’il était alors chef de l’Etat. A l’origine de cette enquête, un signalement de la Cour des comptes qui en 2009, dans son rapport sur l’exécution du budget de la présidence de la République, s’était étonnée de sa pratique en matière de sondages. Le député socialiste René Dosière avait dénoncé une « ivresse sondagière » et l’association Anticor avait porté plainte. L’association avait recensé 300 sondages pour un montant de plus de neuf millions d’euros. Selon l’association, bon nombre de ses sondages étaient partisans et auraient dû être financés par le parti, l’UMP. Une information judiciaire a été ouverte pour favoritisme et détournement de fonds publics à la suite d’une plainte avec constitution de partie civile de l’association Anticor, qui lutte contre la corruption. Elle estime qu’une bonne partie des sondages commandés par la société de Patrick Buisson Publifact, entre 2007 et 2009, n’avaient pas d’intérêt public lié à la fonction présidentielle. Sur la période 2010-2012, Anticor considère que certains sondages réalisés après appels d’offres ne relevaient pas non plus de la fonction présidentielle.

Croissance Japon : très léger mieux

Croissance Japon : très léger mieux

Une petite amélioration constatée au Japon concernant la production industrielle. Ces résultats de juin sont toutefois à relativiser compte tenu du recul constaté en mai. La production industrielle japonaise a progressé de 0,8% au mois de juin, amorçant ainsi un léger rebond après la forte baisse enregistrée le mois précédent, montrent des statistiques publiées jeudi par le gouvernement. D’un mois sur l’autre, la hausse est supérieure à celle de 0,3% que prédisaient les économistes et elle fait suite à un recul de 2,1% en mai. Les groupes manufacturiers interrogés par le ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie disent s’attendre à une hausse de 0,5% en juillet suivie d’une progression de 2,7% en août. Ces perspectives seront toutefois à confirmer qu’on peut tenu d’une part du ralentissement de la consommation et des commandes extérieures. Des commandes extérieures qui dépendent notamment de l’évolution de la situation en Chine. Une Chine pour l’instant empêtré dans ses problèmes d’endettement et de chute boursière et dont la croissance est hypothéquée par l’atonie de la production industrielle et des carnets de commandes extérieures relativement à plat

FIFA : Platini candidat

FIFA : Platini candidat

Platini sera candidat pour remplacer la terre à la dette de la FIFA. Ce n’est pas une surprise dans la mesure où Platini a largement contribué à obtenir la démission de la terre. Ses chances d’être élu son sérieuses cependant on pourra lui reprocher d’avoir été parti prenante dans l’attribution de certaines coupe du monde. Attribution contestée comme celle du Qatar par exemple. En outre Platini ancien grand joueur professionnel devra montrer un peu plus de cohérence et de fermeté dans la gestion de l’organisation internationale. On lui reproche en effet parfois de faire un peu trop de politique et pas assez de gestion sportive dans cinq un milieu relativement pourri par l’argent.  . Ma candidature est aussi  la conséquence des chaleureux témoignages d’estime, de soutien et d’encouragement que nombre d’entre vous m’ont prodigués », indique-t-ill. « Il est des moments dans la vie où il faut forcer son destin », ajoute l’ancien international français. « Je suis à l’un de ces instants décisifs, à la jonction du cours de ma vie et des événements qui dessinent l’avenir de la FIFA. » Pris dans une vaste affaire de corruption qui ébranle la Fifa, le Suisse Sepp Blatter, qui préside la fédération depuis 1998, a annoncé son départ il y a deux mois, dans la foulée de sa réélection. « Durant ce presque demi-siècle, la FIFA n’a connu que deux présidents. Cette extrême stabilité est une sorte de paradoxe, dans un monde qui a été sujet à des bouleversements radicaux et dans un sport qui a vécu une mutation économique considérable. Mais les événements récents obligent l’institution suprême qui régit le football mondial à se réformer et à repenser sa gouvernance », ajoute Michel Platini, président de l’UEFA depuis 2007 et membre du Comité exécutif de la FIFA depuis 2002. Il souligne que ces derniers mois « il a défendu ses idées et ses propositions pour rendre à la FIFA la place et la dignité qu’elle mérite ».

 

FN : 94 % pour virer Jean-Marie Le Pen

FN : 94 % pour virer Jean-Marie Le Pen

La guerre continue entre Marine Le Pen et son père. En dépit de l’annulation du congrès postal par la justice Marine Le Pen a décidé de publier les résultats de cette consultation. Une consultation qui comportait évidemment des ambiguïtés puisqu’elle portait sur l’adoption de nouveaux statuts incluant une disposition pour supprimer le poste de président d’honneur. En tout état de cause cette consultation postale est juridiquement nulle désormais. Reste que Marine Le Pen peut organiser un congrès physique mais avec le risque d’être contrainte d’autoriser  Jean-Marie Le Pen à s’exprimer. L’autre risque c’est de voir Jean-Marie Le Pen se présenter aux élections régionales dans la PACA et aussi, directement ou indirectement, aux présidentiels de 2017. Le feuilleton entre les Le Pen risque encore de durer des semaines et des mois. Les adhérents du Front national se sont donc  prononcés mercredi à une large majorité en faveur de la suppression de la présidence d’honneur du parti, poste occupé jusqu’à présent par Jean-Marie Le Pen, engagé dans une guerre ouverte avec sa fille depuis plusieurs mois.  A l’issue de l’Assemblée générale extraordinaire qui s’est déroulée par correspondance du 20 juin au 10 juillet, « 94,08% des adhérents ont approuvé les nouveaux statuts proposés », écrit le FN dans un communiqué. « Jean-Marie Le Pen perd aujourd’hui devant ce choix incontestable fait par le peuple du Front national toute légitimité politique à rester président d’honneur », poursuit le parti. « S’acharner à se maintenir, via des artifices juridiques, face à une réalité aussi implacable n’est ni respectable ni raisonnable; c’est l’essence et l’honneur d’un démocrate que de s’incliner, quel que soit son statut, devant la volonté populaire. » Le vote organisé par la formation d’extrême-droite n’a aucune valeur juridique, la justice ayant confirmé mardi la suspension de cette Assemblée générale extraordinaire. Le parti co-fondé par Jean-Marie Le Pen et présidé depuis 2011 par Marine le Pen n’a pas encore pris de décision concernant la tenue éventuelle d’un congrès « physique » ou une saisie de la Cour de cassation. L’Assemblée générale extraordinaire avait été convoquée le 4 mai dernier par la direction du FN après une série de déclarations polémiques de Jean-Marie Le Pen dans l’hebdomadaire « Rivarol » dans lequel il réhabilitait, notamment, le maréchal Pétain. Avant la publication des résultats du vote, le patriarche de 87 ans a dénoncé mercredi sur son blog « une opération de communication politicienne au pire sens du terme » et dénoncé une initiative « hors-la-loi » car « jugée par deux fois illicite » par la justice.   »Une dernière fois, je demande aux dirigeants du Front national de retrouver la raison et le chemin de l’union… avant qu’il ne soit trop tard. »

 

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 » Si on est clochard, on peut arriver à mettre de côté 1.500 euros » Séguéla, l’inénarrable !

 » Si on est clochard, on peut arriver à mettre de côté 1.500 euros » Séguéla,  l’inénarrable !  

L’ancien conseiller politique de Mitterrand lui de Sarkozy persiste et dans la connerie ordinaire. Il faut dire qu’il sucre un peu les fraises après s’être sucré dans la publicité politique auprès de Mitterrand puis de Sarkozy. De toute évidence le célèbre et sénile marchand de soupe vit dans un  monde virtuel. Il faut entendre Ségala chaque semaine sur BFM qui commente la vie politique, c’est encore plus drôle que le bébête-show.   Il a  la vraisemblablement perdu le sens des valeurs matérielles comme morales en affirmant par exemple qu’un SDF peut mettre 1500 € de côté. Il souhaitait faire amende honorable mais a récidivé en imaginant cette fois des « SDF » pouvant mettre « 1.500 euros de côté ». Dans un reportage qui lui est consacré par BFMTV ce lundi, le publicitaire Jacques Séguéla reconnait avoir dit « une connerie » quand, en 2009, il avait défendu Nicolas Sarkozy et son goût pour les montres de luxe.  »Si à cinquante ans on ‘a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie! » avait-il lâché, signant l’un des phrases du quinquennat. « Je l’ai d’ailleurs dit le soir même sur Canal+, c’est la plus grande connerie de ma vie et je me suis flanqué une gifle. Oui, c’était une connerie. Je ne regrette pas de l’avoir dit mais ce n’est pas ce que je voulais dire », explique-t-il encore à la chaîne d’infos en continu.  Sauf que le publicitaire, âgé aujourd’hui de 80 ans, a récidivé dans le même reportage. tentant de s’expliquer sur le sens de sa malheureuse phrase, il s’embourbe. « Ça voulait dire que la vie est un rêve, qu’il faut rêver de tout. La Rolex est un symbole comme un autre et j’aurais pu dire une Ferrari, un stylo Bic, peu importe, un objet culte dont on a envie », développe-t-il. « Il n’y a pas de raison de dire aux gens ‘Vous êtes condamnés à ne jamais vous faire le plaisir de votre vie’ », poursuit-il encore, avant de glisser : « On a quand même le droit, même si on est clochard, on peut arriver à mettre de côté 1.500 euros! », pour « se faire le plaisir de sa vie », sous-entend-il. « On a le droit de rêver nom de Dieu! », ajoute-t-il.

 

Aéroports : hausse de redevances

Aéroports : hausse de redevances

Comme l’a indiqué Hollande il n’y aura pas hausse d’impôts jusqu’en 2017. Seulement des hausses de fiscalité locale et de redevances. Une nuance sémantique d’importance qui ne change rien pour le contribuable qui aura à supporter l’augmentation de ses prélèvements obligatoires. Cette hausse dans le domaine aéroportuaire d’ADP  s’ajoute par parenthèse à la hausse qui va être décidée par ailleurs concernant la redevance télé. Sans parler des futures redevances toujours à l’étude concernant les ordinateurs, les Smartphones et les tablettes. La taxe aéroportuaire  augmentera  1% (hors inflation) chaque année. . Des niveaux plus proches des propositions d’ADP (+1,75%) que celles des compagnies aériennes qui demandaient une baisse des redevances allant de 3 à 4,5% par an (notons que dans certains ays ces taxes diminuent !).  Des compagnies aériennes qui vont être déçues et Aéroports de Paris qui s’en tire plutôt bien. Tel est le sentiment qui ressort après l’arbitrage de Matignon sur le niveau des redevances aéroportuaires qu’ADP pourra appliquer au cours des 5 prochaines années du contrat de régulation économique (CRE) 2016-2020 qui doit être signé prochainement entre l’Etat et le gestionnaire des aéroports parisiens., le gouvernement a validé cet après-midi un gel des redevances aéroportuaires (hors inflation) pour la première année du CRE, suivi par une hausse annuelle de 1% (hors inflation toujours) pour les quatre autres années. Par ailleurs, le gouvernement a réduit le programme d’investissements de 100 millions d’euros, à 3 milliards d’euros. Le niveau des redevances préconisé par le gouvernement qui sera présenté ce mercredi aux administrateurs d’ADP, est plus proche des propositions d’ADP (+1,75% par an hors inflation) que de celles des compagnies aériennes qui demandaient, comme l’a fait l’aéroport d’Amsterdam (-7%) une baisse des redevances allant de 3 à 4,5%. Le gouvernement n’a donc pas suivi l’avis de la Commission aéroportuaire. Celle-ci préconisait en une très légère hausse de redevances de 0,3%, (hors inflation) voire une baisse allant de 0,1% à 0,7% si 50 à 75 millions d’euros des recettes commerciales d’ADP étaient reversées aux compagnies aériennes. Pour rappel, cet arbitrage opposait Bercy au secrétaire d’État aux Transports. Le premier ne souhaitait pas déstabiliser Aéroports de Paris qui rapporte chaque année de gros dividendes à l’État-actionnaire (il détient 50,6% du capital d’ADP), le second était quant à lui plus soucieux de ne pas alourdir les charges des compagnies françaises.

 

Les aéroports de Nice et de Lyon çà vendre sur le bon coin …chinois !

Les aéroports de Nice et de Lyon çà vendre sur le bon coin …chinois !

 

 

Le grand vide grenier continue  au ministère des finances. On vend les bijoux de famille. Cette fois il s’agit des aéroports de Nice et de Lyon. Pour faciliter la vente, on envisage de diffuser l’annonce sur le bon coin français mais aussi chinois, certains groupes financiers   chinois s’étant  en effet manifestés comme potentiels acheteurs dans le cadre de la grande grande braderie française. Certains de ces grands groupes chinois auraient aussi manifesté leur intérêt pour l’achat de la tour Eiffel, de la Seine  et de la garde républicaine française. Pour l’instant Bercy n’entend pas détailler la liste des ventes futures de biens publics. Bercy a donc annoncé aux élus locaux et aux chambres de commerce et d’industrie (CCI) le lancement à la rentrée des processus de privatisation des aéroports de Nice et de Lyon, afin de vendre les parts de l’Etat. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, qui recevait les responsables niçois mardi 28 juillet, huit jours après leurs homologues lyonnais, leur a présenté des calendriers identiques. Dans les deux dossiers, une concertation sur le cahier des charges débutera en septembre, puis un appel d’offres sera publié en octobre, en vue d’une cession des parts de l’Etat au premier semestre 2016. A Nice comme à Lyon, l’Etat entend céder la totalité des 60% qu’il détient dans les sociétés gestionnaires des aéroports. Dans les deux cas, la CCI possède 25% du capital et les collectivités locales 15% (région, département et métropole à parts égales). Ces privatisations doivent être autorisées par la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances du ministre de l’Economie, adoptée par le Parlement début juillet et qui doit encore être validée par le Conseil constitutionnel avant d’être promulguée. Une fois les cahiers des charges arrêtés, une procédure de « dialogue compétitif » devrait être engagée, avec un premier appel d’offres mi-octobre débouchant sur une pré-qualification mi-novembre, puis une seconde phase à partir de décembre devant aboutir à un choix définitif à la fin du premier trimestre 2016, a précisé à l’AFP Jacques Kleynhoff, président du conseil de surveillance d’Aéroports de la Côte d’Azur et vice-président de la CCI Nice-Côte d’Azur.

 

Pas de hausse d’impôts…. mais des redevances notamment télé

Pas de hausse d’impôts…. mais des  redevances notamment  télé 

Hollande l’a encore indiqué le 14 juillet  pas de hausse d’impôts en 2016. Il a simplement oublié d’indiquer que la fiscalité locale allait nécessairement augmenter dans la mesure où nombre de collectivités locales sont en quasi faillite. Il a  aussi  omis de parler de la hausse actuellement à l’étude concernant la redevance télé lancée le service public (et en attendant la taxe sur les ordis et autres tablettes), aussi des redevances aéroportuaires. Par parenthèse on peut s’interroger sur la légitimité de cette redevance compte tenu de la multiplicité  des chaines et radios privées. Pour le moins cette redevance  qui  rapportera  3,6 milliards en 2015 mérite d’être discutée. Son ampleur en particulier paraît particulièrement disproportionnée par rapport à la nature des services fournis. Dans le cadre de la préparation du budget 2016 qui sera discuté cet automne, le gouvernement devrait en effet proposer une hausse de la CAP (), nouveau nom de la redevance audiovisuelle. supérieure à la simple inflation, qui limiterait la hausse à un seul euro. Elle pourrait en fait atteindre 3 et 4 euros. L’arbitrage de Matignon devrait intervenir début septembre.  Même si la hausse ne représente que quelques euros -la contribution est actuellement de 136 euros en métropole- elle reste politiquement délicate à faire passer. En 2013, le gouvernement Ayrault avait ainsi renoncé à la dernière minute à taxer les téléviseurs installés dans les résidences secondaires devant la bronca de certains élus socialistes craignant la réaction de leurs électeurs. Plus de 30 millions de Français paient la contribution audiovisuelle en même temps que leur taxe d’habitation alors que seuls 17 millions acquittent l’impôt sur le revenu. Surtout, la contribution augmente régulièrement: + 6 euros en 2013, + 2 euros en 2014 et + 3 euros en 2015. En 2015, elle doit rapporter 3,6 milliards.

Retraites complémentaires fonctionnaires : encore un trou financier

Retraites complémentaires fonctionnaires : encore un trou financier

 

Les sociétaires du Corem, un régime de retraite complémentaire en grande partie destiné aux agents de la fonction publique, n’ont pas fini de mettre la main au portefeuille… ni d’arpenter les couloirs des tribunaux. Selon leur association de défense, le parquet de Paris vient en effet d’ouvrir une enquête préliminaire visant l’union mutualiste retraite (UMR), qui gère le Corem, consécutive à leur plainte pour tromperie.  Le Corem un régime de retraite complémentaire en grande partie destiné aux agents de la fonction publique, a été vendu comme un produit «sûr et performant», bien distinct du tristement célèbre Cref auquel il succède et qui était le principal complément de retraite facultatif des fonctionnaires jusqu’en 2002. Dissous à cette date, le produit avait fait 450.000 personnes lésées. Alors que les versements de ce fonds étaient supposés être indexés sur les traitements de la fonction publique, ils avaient au contraire baissé. L’affaire avait valu à l’Etat une condamnation pour faute lourde.  Mais malgré les promesses de l’UMR (l’union mutualiste retraite), qui lui ont permis d’attirer 30.000 nouveaux cotisants depuis 2002, les sociétaires du Corem dénoncent aujourd’hui «un scénario identique à celui de 2002, en plus sévère». Ils ont récemment avalé plusieurs couleuvres: 110.000 anciens fonctionnaires allocataires de ce produit financier ont subi une baisse de 30% des rentes, depuis le 1er janvier dernier. Les plus vieux allocataires avaient déjà essuyé une baisse de leurs rentes de 16% en 2002. Les cotisants ont aussi vu le taux de rendement de leurs cotisations baisser, et ils doivent désormais attendre 62 ans et non plus 60 ans pour percevoir leur retraite complémentaire à taux plein. «Une nouvelle fois, des centaines de milliers d’adhérents sont trompés et trahis dans les engagements pris dans la commercialisation du Cref/Corem», s’indigne le comité d’information et de défense des sociétaires du CREF (CIDS). Le régime est en effet doublement plombé financièrement. Par l’héritage du Cref d’abord, qui induit un passif que l’UMR a «soigneusement caché à ses futurs cotisants dans les documents promotionnels», dénonce le CIDS. Après la quasi-faillite du Cref en 2002, un décret avait en effet donné 25 ans à son successeur pour reconstituer ses provisions, et combler le trou d’un milliard d’euros constaté en 2002. Par les taux bas ensuite, qui «se traduisent mécaniquement par une réduction de la capacité [des retraites complémentaires] à distribuer des pensions en ligne avec les attentes de leurs cotisants», met en garde le régulateur du secteur de l’assurance. En juin dernier, le sous-gouverneur de la Banque de France rappelait ainsi, visant notamment le Corem, que «les montants annoncés lors de la souscription de ces contrats ne sont en aucun cas garantis. Il importe que la communication soit très claire sur ce point et sur les risques courus par les souscripteurs».

 

(Info Le Figaro)

 

Chômage : « il n’y a pas de changement du calcul », (Le Roux) …ou la langue de bois banalisée

Chômage : « il n’y a pas de  changement de calcul », (Le Roux) …ou la langue de bois banalisée

 

 

Gonflé le président du groupe parlementaire socialiste pour affirmer qu’il n’y avait pas eu changement dans le mode de comptage des chômeurs opéré par pôle emploi. Il en tire même la conclusion que le chômage s’améliore. En réalité environ 10 000 personnes ont été rayées du statut de chômeur pour des questions administratives. En fait les dits  chômeurs sont bien toujours en recherche d’un emploi. Mais pour Le Roux ils ne sont plus dans l’obligation d’en chercher. Cette petite manipulation méthodologique préfigure sans doute ce qui va se passer dans les mois à venir quand Hollande va décréter l’inversion du chômage. Il suffira pour cela de nettoyer un peu les listes de chômeurs pour modifier la courbe. On fera ainsi apparaître une réduction de quelques dizaines de milliers de chômeurs alors que depuis l’arrivée de Hollande en 2012 on a enregistrés plus de 500 000 chômeurs supplémentaires. Or la promesse d’inversion a été faite fin  2012. La fameuse inversion aura donc un caractère très dialectique. Des chiffres du chômage. Bruno Le Roux voit cependant comme « un signe d’espoir ». L’opposition dénonce comme « un maquillage des chiffres ». Le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale assure cependant qu’il « n’y a pas de changement de mode de calcul ».  « Les chômeurs qui étaient en situation de formation, de service civique ou de contrat aidé, étaient, auparavant, comptabilisés dans la catégorie obligée de chercher un emploi », précise-t-il. Or, dans cette situation, « ils ne sont pas dans l’obligation de chercher un emploi ». Pour Bruno Le Roux, « la réalité des chiffres c’est celle de ce mois-ci et pas du mois dernier ». Et le président du groupe socialiste de regretter la réaction de la droite. Pour lui, l’opposition « se désole quand les chiffres s’améliorent, c’est bien ça le problème pour notre pays (…) Je n’arrive pas à regretter que le chômage baisse et je regrette que certains responsables en viennent à douter et à essayer de jeter la suspicion ». Pourtant, François Hollande a lui-même regretté « l’imprécision des chiffres ».

 

La corruption et l’insuffisance démocratique en cause en Afrique (Obama)

La corruption et l’insuffisance démocratique en cause en Afrique (Obama)

Une nouvelle fois Barack Obama a mis les pieds dans le plat pour souligner les principaux facteurs explicatifs de l’insuffisance de développement en Afrique. Un discours qui tranche de ce point de vue avec les propos « diplomatiques » de la plupart des autres chefs d’État occidentaux.  Il a particulièrement critiqué les présidents africains qui cumulent les mandats y compris sans tenir compte des constitutions nationales. C’est une condamnation nette du concept de mandat à répétition. Le président américain a encore souligné les conséquences désastreuses de la corruption qui freine la modernisation du continent. Une corruption largement facilitée par nombre  de responsables africains mais aussi encouragée par les firmes multinationales qui en profitent pour piller les richesses de l’Afrique. Barack Obama, premier président américain à prendre la parole devant l’Union africaine, a donc conclu sa tournée par un discours qui a marqué les espritsLe président américain s’est dit impatient de quitter ses fonctions pour pouvoir pleinement se consacrer à sa famille, mais a aussi prononcé des mots symboliques au sujet du danger que représente l’éternelle répétition des mandats à la tête de l’exécutif.  « Je suis dans mon second mandat et j’adore mon travail mais la Constitution américaine m’interdit de me représenter. Je pense que je suis un bon président et si je pouvais me représenter je gagnerais, mais la loi est la loi et personne n’est au dessus, pas même les présidents, a-t-il expliqué sur un ton solennel devant l’assemblée. Quand un dirigeant essaye de changer les règles au milieu de la partie juste pour rester en poste il s’expose à l’instabilité et à la discorde comme on l’a vu au Burundi. Parfois des dirigeants disent qu’ils sont les seuls à pouvoir unir la nation. Et bien si c’est vrai alors ces dirigeants ont échoué à bâtir leurs pays. Personne ne devrait être président à vie« .  Le président des États-Unis a par ailleurs abordé plusieurs points lors de son discours à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, évoquant notamment la corruption dont souffre l’Afrique, le renfort promis aux troupes qui luttent face au terrorisme ou encore l’évolution du regard porté par le monde sur le continent.

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