Hollande : pour une annexion de l’Allemagne (feuilleton-26 juillet 2015)
Hollande : une semaine catastrophique (26 juillet 2015)
L’annonce surprise d’un attentat par le roi François de Tulle n’aura pas eu l’effet escompté. Du coup le monarque s’est senti contraint de faire une nouvelle déclaration fracassante. Il s’est prononcé pour un gouvernement européen de la zone euro. On aurait aimé qu’il proposât un roi, descendant des carolingiens (Giscard D’Estaing par exemple, déjà vrai descendant de la noblesse par la cuisse gauche) ; cela pour reconstituer l’empire de Charlemagne. Ce qui permettrait au monarque, forcément français, d’englober, Thuringe, Saxe et Bavière afin de faire taire définitivement les intégristes du nord et de l’est en particulier l’actuelle Allemagne. L’objectif est en fait surtout médiatique. Il s’agit bien entendu de masquer par un en fumage l’échec des négociations avec la Grèce. Négociations qui ne changent rien, la preuve la Grèce est à nouveau contrainte de formuler au FMI une demande de prêt pour rembourser…. le FMI.! Pour résumer, la Grèce et condamnée à l’endettement perpétuel, aussi à l’austérité. Notamment l’augmentation significative des enterrements (effet TVA). D’où la tentation pour les Grecs de différer leurs achats dans ce domaine en attendant les soldes. Autre solution recourir à l’économie collaborative via « Uber » et utiliser des cercueils à deux places. En Grèce, la crise continue, en France aussi. Notamment chez les producteurs de viande et de lait. « C’est pas nous » ! Clame la grande distribution qui pourtant a inventé le concept « moins cher que moins cher » et est ainsi parvenue d’une part à appauvrir les producteurs ; en même temps à imposer aux consommateurs une nourriture infâme sur le plan gastronomique mais également dangereuse pour la santé. À cet égard le plan bidon concocté par le gouvernement pour apaiser la colère paysanne ne tiendra pas longtemps. Il faudrait pour cela non seulement régler les questions conjoncturelles mais aussi les dimensions plus structurelles relatives aux dégâts de l’industrialisation et à leurs conséquences sur la santé. Après la crise des villes, c’est donc la crise des campagnes qui menace. Sauf pour le sentiment amoureux si on s’en tient aux succès de l’émission « l’amour est dans le pré » qui figure désormais au hit-parade des productions intellectuelles de notre télévision. Une sorte d’adéquation entre la nullité culturelle des sujets et des monarques actuels et potentiels. Décidemment la crise est profonde ! Les Français aiment les princes qui leur ressemblent. En 2017, il faudra donc se contenter des trois pieds nickelés : Hollande, Sarko et Le Pen. Pas étonnant que les Français soient les plus déprimés du monde. Complètement masos en plus ! Heureusement l’espoir quand même avec le plan énergie concoctée par l’inénarrable duchesse Ségolène, première dame de France répudiée mais réhabilitée à la cour (politiquement pas sexuellement). Un vaste projet de « revertitude » concernant l’énergie qu’on confiera aux héritiers du royaume après 2017. En gros, des bougies pour remplacer le nucléaire. Ce ne sera pas très brillant mais ça ne l’est déjà pas non plus actuellement. Heureusement chez les comploteurs de la cour ce n’est pas non plus reluisant. Le prince noir, Sarko, s’enfonce dans les contradictions, les sondages et le « stand up ». Et pour les Le Pen, c’est Dallas tous les jours : des larmes, du sang et du fric. Mais le roi tient bon la barre en slalomant. Le cap est maintenu même s’il est encore inconnu de lui comme des autres. Pour le prouver la réforme structurelle du siècle : les fonctionnaires seront autorisés à travailler chez eux grâce au numérique. Ou quand les nouvelles technologies viennent au secours de la bureaucratie, de l’absentéisme et de l’inanité existentielle
God save the King
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