Trichet : comme les autres, à « mort la Grèce «
Formidable Trichet qui n’a jamais eu la moindre formation ou expérience économique, ce qui ne l’a pas empêché de diriger –mal- la BCE dans le sens que souhaitait l’Allemagne. Et c’est pourquoi il était tellement apprécié. Et qui répète encore ce que dit m’Allemagne : » la Grèce dehors ». Putassier en plus quand il sollicité la condamnation des Français et leur nationalisme. Au fait il était bien gouverneur de la Banque de rance quand les déficits français se sosnt accumulés ? Er c’est combien la retraite d’un ancien gouverneur ? Et quel était son salaire de président de la BCE en 2007 ? Le «traitement de base» du Président du directoire, Jean-Claude Trichet, était de 345 252 euros par an, celle du vice-président, Lucas Papademos, de 295 920 euros, et celle des quatre autres membres du directoire, de 246 588 euros chacun A ces sommes s’ajoutent «une indemnité de résidence et une indemnité pour frais de représentation. Pour ce qui concerne le président, un logement de fonction appartenant à la BCE est mis à sa disposition, à la place de l’indemnité de résidence. Conformément aux conditions d’emploi du personnel de la Banque centrale européenne, les membres du Directoire ont droit à des allocations scolaires, de foyer et pour enfant à charge, en fonction de leur situation individuelle». Ces indemnités supplémentaires ainsi que «les prestations qu’ils ont perçues au titre des cotisations de la BCE aux régimes d’assurance maladie et accidents se sont élevées au total à 579 842 euros (557 421 en 2006), portant le montant total des émoluments à 2 207 366 euros (2 153 013 en 2006)». En comparaison, le président de la Réserve fédérale américaine ne gagne «que» 186.000 dollars (dévalués) alors que celui de la Banque nationale de Belgique atteint le record de… 475.000 euros. Le président de la Commission, lui, ne gagne que 280 608 euros par an auxquels s’ajoutent une indemnité de résidence de 42 091 euros et 16 800 euros d’indemnité de représentation. Un traitement similaire à celui du Président de la Cour de justice européenne. La Grèce s’apprête à demander une nouvelle aide financière mais Trichet s’y oppose, il faudrait sans doute toucher à sa retraite (payée par la dette française). Pour l’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE), Athènes doit d’abord s’engager à faire de nouvelles réformes. Pour Jean-Claude Trichet, Athènes doit fournir « des engagements crédibles, qui permettent de remettre la Grèce sur des rails, d’avoir de la croissance, des créations d’emplois, d’être à nouveau compétitive« . A cette condition, une nouvelle aide est possible. Les Grecs ont massivement rejeté, lors du référendum de dimanche, le plan proposé par les créanciers du pays. Mais selon Jean-Claude Trichet, la Grèce doit d’abord s’en prendre à elle-même et à ses dépenses excessives avant la crise : « quand les Français avaient 36% d’augmentation de salaire, les fonctionnaires grecs avaient 117% d’augmentation de salaire. Il y a eu un dérapage non contrôlé« . « Ce que vous appelez l’austérité« , ajoute-t-il, « c’est le retour progressif à une situation d’équilibre« . Alexis Tsipras veut renégocier, sans attendre, la dette de son pays. Jean-Claude Trichet est opposé à toute réduction de cette dette : « Les Français ont sur la Grèce une créance de 45 milliards d’euros (…) On ne peut pas en parler légèrement dans l’état des finances publiques françaises et compte tenu de ce qu’on a déjà demandé aux contribuables français (…) Je suis totalement contre un abandon de créance« . Plus putasser tu meurs !
0 Réponses à “Trichet : comme les autres, à « mort la Grèce « ”