Archive mensuelle de avril 2015

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Code du travail : Valls veut réformer … mais pas Hollande !

Code du travail : Valls veut réformer … mais pas Hollande !

 

Valls a annoncé dans Challenge qu’il veut reformer, en faiat surtout assouplir le code du travail pour faciliter les embauches mais aussi les licenciements dans les PME. Un problème toutefois c’est un chiffon roue agité devant la gauche de la gauche, les fondeurs et les syndicats. C’est pourquoi Hollande lui qui essaye de rassembler toute la gauche pour grader des chances en 2017 est plutôt partisan de mettre la pédale douce sur le sujet.  Valls emballe la cadence mais Hollande freine. Valls annonce pour la  semaine prochaine des propositions « très concrètes » pour l’emploi, objet d’un séminaire gouvernemental destiné à tirer les leçons économiques de la défaite de la gauche aux élections départementales.  Dans un entretien au magazine Challenges, le Premier ministre donne des pistes en disant vouloir « ouvrir le chantier de l’emploi dans les PME » via une réforme du contrat de travail. « Je suis frappé, lorsque je rencontre des patrons de PME, ils n’embauchent pas, car ils craignent d’avoir des difficultés à se séparer de leurs collaborateurs s’ils n’en sont pas satisfaits », dit-il.  Sur le code du travail, Manuel Valls se dit « convaincu » de la nécessité de « poursuivre ce chantier » après en avoir beaucoup discuté avec des économistes et des juristes. Devant l’Assemblée nationale, le chef du gouvernement a réaffirmé que le cap des réformes serait tenu tout en ouvrant la porte à des « infléchissements » dans la politique conduite, comme le lui demande l’aile gauche du Parti socialiste. « Bien sûr il peut toujours y avoir – il faut être dans l’écoute – tel ou tel infléchissement ou tel ou tel changement. Mais sur l’essentiel, c’est-à-dire le soutien aux entreprises, la baisse du coût du travail, favoriser l’emploi, et notamment pour les PME, qui sont celles où travaillent l’immense majorité de nos concitoyens, c’est celles qui peuvent créer de l’emploi, oui ce cap doit être maintenu », a-t-il déclaré. En attendant Hollande , lui, pour donner des gages aux frondeurs a prévu de raboter le pacte de responsabilité de 40 milliards.  Interrogé sur une éventuelle réaffectation des quelque 40 milliards d’euros du Pacte de responsabilité, Stéphane Le Foll ne s’est pas prononcé, tout en insistant sur les contreparties en terme d’emploi et d’investissement dans les entreprises.   »Dans beaucoup de branches, elles n’ont pas encore abouti à des accords. Donc, là-dessus, il y a aussi à discuter », a souligné Stéphane Le Foll. Quinze accords ont jusqu’à présent été conclus dans la cinquantaine de branches professionnelles adhérentes au Medef. La réorientation de la politique économique fait l’objet de vifs débats au sein de la majorité, sonnée par la défaite électorale de dimanche, qui l’a vu perdre la moitié des départements qu’elle dirigeait auparavant. Mais deux lignes pourraient bien s’affronter dans les semaines et mois à venir, celle de Valls qui veut montrer son coté réformateur et se placer pour 2022 et celle de Hollande qui a l’obligation de freiner la ligne réformiste pour réunir la gauche dans la perspective de 2017.

Croisance Industrie : reprise en zone euro sauf en Chine, au Japon….et en France

Croisance Industrie : reprise en zone euro sauf en Chine, au Japon….et en France

 

Hollande clame depuis des semaines, «  la reprise est là » oui,  mais pas en France, en zone euro. L’industrie est toujours dans le rouge comme en Chine et au japon ( ce qui prouve par parenthèse que la crise mondiale est encore loin d’être soldée). L’activité dans l’industrie manufacturière était à la peine en mars en Chine et au Japon, ce qui plaide pour un nouvel assouplissement des politiques monétaires dans la région au moment où les entreprises de la zone euro commencent à bénéficier des dernières initiatives de la Banque centrale européenne (BCE). Cette dernière a commencé le 9 mars à acheter sur les marchés des obligations d’Etat dans le cadre de son nouveau programme d’assouplissement quantitatif (« quantitative easing », QE) afin de soutenir le crédit et de faire remonter l’inflation. L’indice des directeurs d’achat (PMI) du secteur manufacturier de la zone euro a atteint le mois dernier son plus haut niveau depuis 10 mois à 52,2 selon les résultats définitifs de l’enquête mensuelle Markit, après 51,0 en février.  Ce baromètre très suivi de l’activité manufacturière est ainsi pour le 21e mois consécutif au-dessus de la barre de 50 qui sépare expansion et contraction. La demande à l’export a soutenu la composante de l’activité manufacturière, au plus haut depuis 10 mois, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite attendu mardi prochain. Le secteur industriel de la zone euro profite entre autres de la dépréciation de l’euro, favorisée par le QE de la BCE et qui atteint environ 12% depuis le 1er janvier face au dollar. En Grande-Bretagne, le PMI manufacturier, soutenu lui aussi par la hausse des commandes étrangères et la vigueur de la demande intérieure, a atteint son plus haut niveau en huit mois.  Le retard français est net pour le secteur manufacturier, toujours en contraction en France avec un PMI « flash » à 48,2 alors qu’en Allemagne, il est en croissance avec un chiffre de 52,4. ( 50 indique la limite  entre croissance et régression). Même pour l’ensemble de l’économie, l’écart est encore significatif le PMI composite allemand ressort à 55,3 contre 51,7 seulement pour le français.  Pour l’ensemble de la zone euro, L’indice des services, lui aussi au plus haut depuis mai 2011, ressort à 54,3 contre 53,7 alors que le consensus le donnait à 53,9 et celui du secteur manufacturier a progressé à 51,9, un plus haut de 10 mois, contre 51,0 le mois dernier et 51,5 attendu. Ces chiffres suggèrent une croissance de 0,3% du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro au premier trimestre, précise Markit, soit un chiffre similaire à celui enregistré sur les trois derniers mois de l’an dernier mais inférieur à celui de 0,4% attendu en moyenne par les économistes interrogés par Reuters au début du mois. Comme la France, la Chine et le Japon sont dans le rouge.  L’indice PMI chinois officiel est certes remonté à 50,1 contre 49,9 en février mais celui calculé par Markit-HSBC, qui prend davantage en compte les petites et moyennes entreprises, traduit une contraction pour le deuxième mois d’affilée. Les deux enquêtes suggèrent que le climat économique en Chien reste morose, ce qui pourrait peser sur les chiffres du produit intérieur brut (PIB) du premier trimestre attendus le 15 avril.   »Une nouvelle confirmation du fait que l’économie réelle évolue désormais sur un rythme inférieur à l’objectif officiel aboutira probablement à de nouvelles mesures d’assouplissement de la part de PBoC », estime Qu Hongbin, chef économiste de HSBC pour la Chine.  Un débat similaire est en cours au Japon, y compris dans les rangs du Parti libéral démocrate (PLD) du Premier ministre Shinzo Abe, où certains réclament de nouvelles mesures de soutien à la Banque du Japon (BoJ).   »L’économie est au point mort et les prix devraient continuer de baisser. L’inaction n’est pas envisageable pour la BoJ », a ainsi déclaré à Reuters Kozo Yamamoto, spécialiste de la politique monétaire au PLD.  Le PMI manufacturier japonais a reculé en mars à 50,3, les commandes du marché intérieur diminuant pour la première fois depuis près d’un an.

 

Régimes de retraites complémentaire, vers l’explosion financière ?

Régimes de retraites complémentaire, vers l’explosion financière ?

 

Comme le régime général de la sécu, le régime des retraites complémentaires est  menacé d’explosion. Du coup pour éviter des reformes structurelles trop significatives, on procède par petites touches successives, en gros on bouche les trous avec des rustines. Comme pour la sécu, un nouveau plan d’assainissement est mis en œuvre tous les 3 à 4 ans. Mais il faut agir sur trois paramètres, l’âge de la retraite, le niveau des pensions et la part des cotisations. En cause la démographie avec une population qui vieillit ( un phénomène qu’on a oublié de prendre en compte ! Un facteur explicatif structurel incontournable. Aussi la crise qui avec le chômage modifie le rapport actifs-retraités. Il est clair qu’avec uen croissance molle, les régimes sont condamnés à dépérir et la France s’oriente doucement mais sûrement vers uen retraite pleine ( mais moins élevée) vers les 70 ans. Le déficit des régimes de retraites complémentaires Agirc-Arrco est passé à 3,1 milliards d’euros en 2014, soit quasiment le double de son niveau de 2013. C’est tout particulièrement celui de l’Arrco (tous les salariés du privé) qui plombe les comptes en triplant sur la période. Le trou est tel que les pouvoirs publics ont décidé d’avancer l’annonce de trois mois. Le régime de retraites complémentaire Agric-Arrco est en train de dévisser financièrement. Le déficit a quasiment doublé en un an, entre 2013 et 2014, passant à 3,138 milliards d’euros. Ce sont surtout les comptes de l’Arrco, qui concernent tous les salariés du privé, qui pèsent lourd. Le régime triple son déficit sur la période, passant de 394 millions d’euros en 2013 à 1,153 milliard un an plus tard. L’Agirc, régime spécial pour les cadres, creuse aussi son trou mais moins vite : de 1,233 milliard en 2013 à 1,985 en 2014. Les partenaires sociaux sont actuellement engagés dans des négociations pour tenter de redresser les comptes et la situation est donc grave au point que les résultats, qui sont traditionnellement dévoilés en juin, l’ont été trois mois plus tôt. Les discussions doivent s’achever en juin et le prochain « round » est prévu le 10 avril. L’Agirc-Arrco dispose d’une réserve de 60 milliards d’euros. Réserve qui sera asséchée dès 2018 si rien n’est fait.

 

 

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Croissance- climat des affaires : toujours morose

 

 

 

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Baisse du chômage en zone euro….pas en France

Baisse du chômage en zone euro….pas en France

 

Le chômage baisse en zone euro mais pas en France. En cause évidemment une croissance atone en France. Alors par exemple que le secteur manufacturier enregistre une progression en moyenne en zone euro, il est toujours dans le rouge en France. Le taux de chômage des pays de la zone euro s’est établi à 11,3% en février soit 18,2 millions de chômeurs. Dans le même temps, la baisse des prix s’estompe.  Le taux de chômage dans la zone euro s’est établi à 11,3% en février, contre un taux (révisé) de 11,4% en janvier, revenant ainsi à son plus bas niveau depuis mai 2012. Selon Eurostat, il y avait 18,204 millions de demandeurs d’emploi dans la zone euro en février, soit 49.000 de moins que le mois précédent. Auparavant, l’Office fédéral de la statistique a dit que le taux de chômage en Allemagne, première économie européenne, était tombé à 6,4% en mars, un nouveau creux depuis la réunification du pays en 1990. En revanche, en Italie, le taux de chômage a légèrement augmenté en février pour s’établir à 12,7% en données corrigées des variations saisonnières, contre 12,6% le mois précédent, montrent des données publiées par Istat. Idem pour la France. Le taux de chômage a augmenté de 0,4% en février après deux mois de baisse consécutive, selon les chiffres publiés il y a quelques jours par Pôle Emploi. Le nombre total de chômeurs inscrits à Pôle Emploi est désormais de 5.561.000 personnes.  Autre indicateur macroéconomique plutôt encourageant pour la zone euro, la baisse des prix à la consommation semble s’estomper, avec un recul limité à 0,1% sur un an en mars, contre -0,3% en février et -0,6% en janvier. L’évolution des prix devrait être bien accueillie par la Banque centrale européenne (BCE), qui s’est fixé pour objectif une inflation sur le moyen terme légèrement inférieure à 2% et qui a lancé au début du mois un programme d’assouplissement quantitatif censé relancer l’économie et éloigner le spectre de la déflation.

 

Ventes voitures : hausse en mars

Ventes voitures : hausse en mars

Une reprise nette au premier trimestre des voitures neuves on est toutefois encore loin des chiffres record du fait de la crise de 2009. Après le recul de 2014, on pourraiat enregistrer une  hausse de 1 à 3% ( avec sans doute des mouvements de yo-yo comme pour le reste de l’économie) . Si la reprise économique tarde à produire des effets concrets, le marché automobile, lui, continue de progresser. Les immatriculations de voitures particulières neuves en France ont ainsi enregistré une hausse vigoureuse de 9,3% en mars, permettant de clore le premier trimestre 2015 sur une progression de 6,9%, a annoncé mercredi le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).  Même si les constructeurs français ont profité du dynamisme du marché le mois dernier, avec une croissance des volumes de 8,1% pour Renault et 7,9% pour PSA Peugeot Citroën par rapport à la même période de 2014, ce sont les groupes étrangers qui ont le mieux tiré leur épingle du jeu puisque leurs immatriculations ont augmenté de 11,1%.  Conséquence: les constructeurs automobiles ont révisé à la hausse mercredi leur prévision de croissance du marché français pour 2015, à 2%, a annoncé le CCFA. Ce dernier tablait jusqu’ici sur une stabilité du marché pour l’année en cours.

 

Ventes voitures : hausse en mars

Ventes voitures : hausse en mars

Si la reprise économique tarde à produire des effets concrets, le marché automobile, lui, continue de progresser. Les immatriculations de voitures particulières neuves en France ont ainsi enregistré une hausse vigoureuse de 9,3% en mars, permettant de clore le premier trimestre 2015 sur une progression de 6,9%, a annoncé mercredi le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).  Même si les constructeurs français ont profité du dynamisme du marché le mois dernier, avec une croissance des volumes de 8,1% pour Renault et 7,9% pour PSA Peugeot Citroën par rapport à la même période de 2014, ce sont les groupes étrangers qui ont le mieux tiré leur épingle du jeu puisque leurs immatriculations ont augmenté de 11,1%.  Conséquence: les constructeurs automobiles ont révisé à la hausse mercredi leur prévision de croissance du marché français pour 2015, à 2%, a annoncé le CCFA. Ce dernier tablait jusqu’ici sur une stabilité du marché pour l’année en cours.

 

Palmarès des meilleurs lycées de France

 

 

Classement des meilleurs lycées (enseignement général et technologique) de France selon leurs performances, établi par Le Parisien / Aujourd’hui en France selon les données des résultats du Bac 2014 fournies par le Ministère. Ce palmarès souhaite mettre en valeur les lycées qui font le plus progresser leurs élèves (Valeur ajoutée en nombre de points) . Palmarès des Lycées (général et technologique)
Palmarès des  meilleurs lycées de France  dans actu-économie politique encoche-blue

Lycée / statut ville code postal Réussite au Bac Valeur Ajoutée fleche_tri_bas de dans actu-économie politique
arrow_Up_Green France

Lycée privé Beth Hanna

privé sous contrat – Paris 75019

99% 32
arrow_Up_Green lycées

Lycée privé Hélène Boucher

privé sous contrat – Somain 59490

100% 30
arrow_Up_Green meilleurs

Lycée polyvalent Le Paraclet

privé sous contrat – Quimper 29000

98% 28
arrow_Up_Green palmarès des

Lycée polyvalent saint-Pierre

privé sous contrat – Brunoy 91800

97% 27
arrow_Up_Green

Lycée Paul Eluard

public – Saint-Denis 93200

88% 25
arrow_Up_Green

Lycée Alfred Nobel

public – Clichy-sous-Bois 93390

85% 25
arrow_Up_Green

Lycée de l’Association martiniquaise d’éducation populaire

privé sous contrat – Fort-de-France 97200

85% 25
arrow_Up_Green

Lycée André Malraux

public – Béthune 62400

95% 24
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Lycée Le Corbusier

public – Aubervilliers 93300

90% 24
10 arrow_Up_Green

Lycée Sainte Elisabeth

privé sous contrat – Douarnenez 29100

100% 23
11 arrow_Up_Green

Lycée du Fiumorbo

– Prunelli-Di-Fiumorbo 20240

99% 23
12

Lycée privé Sainte-Thérèse

privé sous contrat – Avesnes-sur-Helpe 59440

100% 22
13 arrow_Up_Green

Lycée de Balagne

public – L’Ile-Rousse 20220

99% 22
14 arrow_Up_Green

Lycée privé saint-Jean-Baptiste de la Salle

privé sous contrat – Lille 59000

99% 22
15 arrow_Up_Green

Lycée privé Averroès

privé sous contrat – Lille 59000

97% 22
16 arrow_Down_Red

Lycée technique et hôtelier privé Bahuet

privé sous contrat – Brive-la-Gaillarde 19100

96% 22
17 arrow_Up_Green

Lycée du Hainaut

public – Valenciennes 59300

92% 22
18 arrow_Up_Green

Lycée Romain Rolland

public – Goussainville 95190

91% 22
19 arrow_Down_Red

Lycée Voillaume

public – Aulnay-sous-Bois 93600

86% 22
20 arrow_Up_Green

Lycée polyvalent hôtelier Alexandre Dumas

public – Illkirch-Graffenstaden 67400

100% 21
21 arrow_Up_Green

Lycée technique La Providence

privé sous contrat – Nice 06000

95% 21
22 arrow_Up_Green

Lycée Diderot

public – Paris 75019

93% 21
23 arrow_Up_Green

Lycée saint-Esprit

privé sous contrat – Landivisiau 29400

99% 20
24 arrow_Up_Green

Lycée polyvalent Acajou I

public – Le Lamentin 97232

87% 20
25

Lycée La Mache

privé sous contrat – Lyon 69000

100% 19
26 arrow_Down_Red

Lycée privé Edgar Poe

privé sous contrat – Paris 75010

100% 19
27 arrow_Down_Red

Lycée Gustave Eiffel

public – Gagny 93220

91% 19
28 arrow_Up_Green

Lycée Olympe de Gouges

public – Noisy-le-Sec 93130

88% 19
29 arrow_Down_Red

Lycée de la Plaine de Neauphle

public – Trappes 78190

86% 19
30 arrow_Up_Green

Lycée Guy de Maupassant

public – Fécamp 76400

92% 18
31 arrow_Up_Green

Lycée Jean Macé

public – Vitry-sur-Seine 94400

89% 18
32 arrow_Up_Green

Lycée Belmont Capdepon

privé sous contrat – Lyon 69000

89% 18
33 arrow_Up_Green

Lycée privé Rabelais

privé hors contrat – Montpellier 34000

85% 18
34 arrow_Up_Green

Lycée Gabriel Fauré

public – Paris 75013

85% 18
35 arrow_Up_Green

Lycée technique privé Sainte-Cécile

– Albi 81000

100% 17
36 arrow_Up_Green

Lycée Notre-Dame du Voeu

privé sous contrat – Hennebont 56700

99% 17
37

Lycée privé Bernat Etxepare

privé sous contrat – Bayonne 64100

98% 17
38 arrow_Up_Green

Lycée privé saint-Thomas d’Aquin

privé sous contrat – Paris 75007

98% 17
39 arrow_Up_Green

Lycée général saint-Eugène – saint-Joseph

– Aurillac 15000

97% 17
40 arrow_Up_Green

Lycée et section d’enseignement professionnel Jeanne d’Arc

privé sous contrat – Rennes 35000

97% 17
41 arrow_Up_Green

Lycée Aristide Briand

public – Saint-Nazaire 44600

96% 17
42 arrow_Up_Green

Lycée Albert Camus

public – Rillieux-la-Pape 69140

94% 17
43 arrow_Down_Red

Lycée Diwan

privé sous contrat – Carhaix-Plouguer 29270

94% 17
44

Lycée saint-Paul

privé sous contrat – Ajaccio 20000

93% 17
45 arrow_Up_Green

Lycée Rollinat

– Argenton-sur-Creuse 36200

93% 17
46 arrow_Down_Red

Lycée Wolfgang Amadeus Mozart

public – Le Blanc-Mesnil 93150

90% 17
47

Lycée les Rosiers

privé sous contrat – Lisieux 14100

98% 16
48 arrow_Up_Green

Lycée technique Jean Rose – secteur hôtellerie restauration

privé sous contrat – Meaux 77100

97% 16
49 arrow_Up_Green

Lycée privé Vauban

privé sous contrat – Dunkerque 59140

97% 16
50 arrow_Down_Red

Lycée Jean Renoir

public – Bondy 93140

85% 16
51 arrow_Down_Red

Lycée Jean Moulin

public – Roubaix 59100

80% 16
52 arrow_Up_Green

Lycée privé saint-Maurice

privé sous contrat – Romans-sur-Isère 26100

100% 15
53

Lycée général privé Peyramale saint-Joseph

privé sous contrat – Lourdes 65100

100% 15
54 arrow_Down_Red

Ensemble scolaire Edmond Michelet – site Bossuet (lycée)

privé sous contrat – Brive-la-Gaillarde 19100

99% 15
55 arrow_Up_Green

Lycée Frédéric Kirschleger

public – Munster 68140

98% 15
56 arrow_Up_Green

Lycée privé Notre-Dame d’Annay

privé sous contrat – Lille 59000

97% 15
57 arrow_Up_Green

Lycée Godefroy de Bouillon

privé sous contrat – Clermont-Ferrand 63000

96% 15
58 arrow_Up_Green

Lycée saint-Bernard

privé sous contrat – Troyes 10000

96% 15
59 arrow_Up_Green

Lycée Montesquieu

public – Le Plessis-Robinson 92350

92% 15
60 arrow_Down_Red

Lycée Pascal Paoli

public – Corte 20250

91% 15
61 arrow_Up_Green

Lycée saint-Vincent de Paul

privé sous contrat – Algrange 57440

100% 14
62 arrow_Up_Green

Lycée du Sacré-Coeur

privé sous contrat – La Ville-du-Bois 91620

100% 14
63 arrow_Up_Green

Lycée Sainte-Croix

privé sous contrat – Provins 77160

99% 14
64 arrow_Up_Green

Ensemble saint Luc – Lycée privé Notre Dame de Grâce

privé sous contrat – Cambrai 59400

99% 14
65 arrow_Down_Red

Lycée privé saint-Joseph

privé sous contrat – Thônes 74230

98% 14
66 arrow_Up_Green

Lycée Emily Brontë

public – Lognes 77185

97% 14
67 arrow_Down_Red

Lycée Léonard de Vinci

public – Saint-Witz 95470

95% 14
68 arrow_Up_Green

Lycée Jean-Baptiste de La Salle

privé sous contrat – Lyon 69000

92% 14
69 arrow_Up_Green

Lycée Jean-Baptiste Colbert

public – Thionville 57100

92% 14
70 arrow_Down_Red

Lycée polyvalent Léopold Elfort

public – Mana 97360

90% 14
71 arrow_Up_Green

Lycée des métiers de service à l’entreprise Blaise Pascal

public – Forbach 57600

87% 14
72 arrow_Up_Green

Lycée Notre-Dame de Bel Air

privé sous contrat – Tarare 69170

100% 13
73 arrow_Up_Green

Lycée de l’ORT

privé sous contrat – Villiers-le-Bel 95400

100% 13
74 arrow_Up_Green

Lycée et section d’enseignement professionnel Notre-Dame le Ménimur

privé sous contrat – Vannes 56000

99% 13
75 arrow_Up_Green

Lycée général et technologique La Découverte

public – Decazeville 12300

99% 13
76 arrow_Down_Red

Lycée privé du Sacré-Coeur

privé sous contrat – Privas 07000

98% 13
77 arrow_Up_Green

Lycée privé Marie Noël

privé sous contrat – Tourcoing 59200

98% 13
78 arrow_Down_Red

Lycée privé saint-Joseph

privé sous contrat – Saint-Martin-Boulogne 62200

98% 13
79 arrow_Up_Green

Lycée polyvalent hôtelier Sainte-Anne

privé sous contrat – Saint-Nazaire 44600

98% 13
80 arrow_Up_Green

Lycée Immaculée Conception

privé sous contrat – Villeurbanne 69100

97% 13
81 arrow_Up_Green

Lycée Pierre de Coubertin

public – Bolbec 76210

97% 13
82 arrow_Up_Green

Lycée général et technologique La Serre de Sarsan

public – Lourdes 65100

95% 13
83

Lycée Ami

– Marseille 13000

94% 13
84 arrow_Up_Green

Lycée privé Fontiville

privé sous contrat – Veigne 37250

94% 13
85 arrow_Up_Green

Lycée Paul Robert

public – Les Lilas 93260

93% 13
86 arrow_Up_Green

Lycée Suzanne Valadon

public – Limoges 87000

92% 13
87 arrow_Up_Green

Lycée privé Jules Froment

privé sous contrat – Aubenas 07200

91% 13
88 arrow_Up_Green

Lycée Paul Langevin

public – Martigues 13500

86% 13
89 arrow_Up_Green

Lycée Charles de Foucauld

privé sous contrat – Nancy 54000

83% 13
90 arrow_Up_Green

Lycée polyvalent du Pays de Condé

public – Condé-sur-l’Escaut 59163

82% 13
91 arrow_Up_Green

Lycée Jean Rostand

public – Mantes-la-Jolie 78200

78% 13
92 arrow_Up_Green

Lycée polyvalent Maurice Rondeau

privé sous contrat – Bussy-Saint-Georges 77600

100% 12
93 arrow_Up_Green

Lycée Jean-Baptiste de La Salle

privé sous contrat – Saint-Denis 93200

100% 12
94 arrow_Down_Red

Lycée Le Champ Blanc

privé sous contrat – Le Longeron 49710

99% 12
95 arrow_Down_Red

Lycée Sacré-Coeur

privé – Reims 51100

99% 12
96 arrow_Up_Green

Lycée Delamare-Deboutteville

public – Forges-les-Eaux 76440

98% 12
97 arrow_Up_Green

Lycée Albert Claveille

public – Périgueux 24000

98% 12
98 arrow_Up_Green

Lycée Paul Scarron

public – Sille-le-Guillaume 72140

98% 12
99 arrow_Up_Green

Lycée Mabillon

privé sous contrat – Sedan 08200

98% 12
100 arrow_Down_Red

Lycée Sainte-Ursule

– Caen 14000

97% 12

 

Lait : une libéralisation qui va couler nombre de petits éleveurs

Lait : une libéralisation qui va couler nombre de petits éleveurs  

En théorie, les quelque 65.000 éleveurs laitiers que compte l’Hexagone pourront produire autant de lait qu’ils le souhaiteront.. En fait l’élevage va s’industrialiser comme pour les céréales et il faut craindre uen baisse des prix qui risque d’être fatale à nombre de petits éleveurs. «Nous déplorons la fin d’un outil efficace de gestion du marché», écrit un paysan de Loire-Atlantique dans le mensuel de la Confédération paysanne. «Personne ne peut croire à une autorégulation vertueuse de la part des producteurs. Seuls les pouvoirs publics pouvaient assumer ce rôle.» Le son de cloche est le même chez les autres syndicats professionnels, la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) et l’Organisation des producteurs de lait (OPL). Avec près de 25 millions de litres mis en cuve l’an dernier, 72 000 exploitations bovines et 200 000 emplois directs (d’après le ministère de l’Agriculture), la filière pèse encore lourd dans l’Hexagone. Un traumatisme hante d’ailleurs encore les mémoires : celui de la crise laitière de 2009, durant laquelle un ralentissement de la consommation avait fait chuter le prix du lait de 30%. La France compte de nombreux champions des produits laitiers parmi lesquels Lactalis, Sodiaal, Danone ou encore Bongrain. Pour eux, la fin des quotas va renforcer la concurrence venue d’Europe et d’ailleurs. Sur le Vieux Continent, les géants s’appellent Friesland Campina (Pays-Bas), Arla (Danemark) ou encore Deutsches Milchkontor (Allemagne). Ils exportent de plus en plus vers les pays de l’Union européenne mais pas seulement. Ils lorgnent à l’export vers les pays émergents dont la demande de produits laitiers ne cesse de croître, dopée par les classes moyennes. Les industriels français qui jouissent d’une bonne image à l’étranger sont convaincus de détenir de nombreux atouts parmi lesquels la qualité, la variété et la technicité de leur offre, des yaourts aux fromages en passant par les poudres de lait infantile. Pour les consommateurs, cela ne devrait pas changer grand chose. Ils sont déjà fortement encouragés par les acteurs comme Lactel ou Candia à acheter du lait «made in France». Côté prix, les Français payent déjà l’un des prix du litre de lait les plus bas d’Europe grâce à un circuit de distribution qui joue sur les volumes pour négocier un tarif le plus compétitif possible. Certains distributeurs, notamment issus du hard discount, s’approvisionnent déjà sur le marché européen pour payer moins cher. Ce qui bénéficie aux consommateurs même si la qualité des produits (qu’il s’agisse de lait UHT, d’emmental ou de crèmes dessert) n’est souvent pas comparable.

 

MoryGlobal : Le Foll-commentateur-mesure « la désespérance des employés »

MoryGlobal : Le Foll-commentateur-mesure « la désespérance des employés »

 

 

Ce ne sont plus des politiques mais des journalistes, des commentateurs politiques. Déjà récemment Valls avait découvert pour s’excuser de la hausse du chômage qu’on ne pouvait créer d’emploi sans une  croissance de 1.5%. Une découverte te tardive mais uen révélation pour lui. En fait faute de compétence, de volonté et de résultats  les politiques deviennent des commentateurs. Ben oui, pour Mory c’est bien embêtant semble dire Le Foll  En fait comme les autres il ne comprend rien à l’économie ici en la circonstance à la politique des transports largement responsable de ce désastre. Car si c’est le fruit d’erreurs de gestion répétées ( pas étonnant comme au Sernam aujourd’hui disparu on a confié la gestion pendant de années à d’anciens fonctionnaires) puis à un fond d’investissement qui ignore tout du transpoprt. « La situation héritée de cette entreprise n’a pas permis de la redresser », a déclaré le porte-parole du gouvernement qui avait déjà travaillé sur le sujet avec Arnaud Montebourg.  La liquidation était  programmée depuis longtemps. Mory une entreprise qui comptait  7000 emplois il y a quelques années et dont près de 3000 ont été supprimés récemment et qui sans doute va disparaître. Un an après avoir licencié plus de la moitié de son personnel, la société Mory-Ducros fait face de nouveau à de graves difficultés.. Quelque  2.800 emplois ont déjà été supprimés l’an dernier, il en reste 2.200. C’est la plus grosse faillite d’entreprise française depuis le début du quinquennat de François Hollande. La faute à qui ? A quoi ? à l’évolution des marchés, à des faillites de gestion et à une politique des transports. Mory subira le sort du Sernam dont les derniers éléments ont été contraints de se dissoudre  dans Géodis (le Sernam,  une entreprise qui a compté 10 000 salariés). En cause l’évolution du  mode de production des services transport, des gestionnaires incompétents,  des pouvoirs publics qui soignent des pathologies lourdes  avec un doliprane ou du sparadrap. Depuis des années c’est l’ultra libéralisme qui est à l’œuvre notamment l’exploitation éhontée la sous-traitance. Rares sont les messagers qui livrent eux mêmes la marchandise.  La messagerie française – elle n’est pas la seule – se porte donc mal. Depuis 2000, le nombre d’envois de la messagerie traditionnelle (non express) a chuté de 20 %, l’emploi de 25 %. Le cas de la société Mory-Ducros est révélateur. (Article de patrice Salini, économiste paru dans les échos il y a un an). « Les firmes du secteur flirtent toutes ou presque avec des marges minimes. Certaines sont dans le rouge. Et pourtant on a concentré, regroupé, fusionné ou fait disparaître nombre d’entreprises. Quelques grands groupes ont fait leurs courses (comme UPS, DB-Schenker, Kuehne + Nagel,  Dachser ou FEDEX, après TNT, jadis) ou simplement fait un aller-retour (comme la Poste Allemande-DHL) ». En fait les grandes entreprises étrangères ont « mangé » nombre d’ entreprises françaises et en plus avec la bénédiction des messagers français  ultra libéraux ( aujourd’hui la fédération professionnelle a totalement changé de stratégie mais il est bien tard !

Sarkozy : encore chez les juges au pôle financier parisien

Sarkozy :  encore  chez les juges au pôle financier parisien

Pour Sarkozy c’est de la persécution financière, pourtant les très nombreuses  affaires qui le concernent ne sont pas arrivées par hasard. Jusque-là il s’en est bien tiré. L’ancien président de la République pourrait cette fois être mis en examen pour « abus de confiance ».  Les juges soupçonnent Nicolas Sarkozy de s’être fait rembourser par le parti une amende de 400.000 euros pour « dépassement des frais de campagne » après sa candidature à la présidentielle de 2012. L’ancien candidat aurait dû les rembourser sur ses propres deniers. Il s’est d’ailleurs finalement résolu à le faire, en décembre dernier, face à la polémique. Mais trop tard, au yeux de la justice. Il faut dire que Sarkozy est un « avocat « d’affaires » et qu’il sait gérer ce genre de dossier sans être lui même mouillé. Témoin  par exemple l’affaire Tapie qui traine depuis 20 ans et pour laquelle il est intervenu à deux reprise pour stopper la justice. Un première fois pour lui substituer un règlement amiable qui a échoué , la seconde fois pour lui substituer un arbitrage bidonné qui a accordé frauduleusement 400 millions à Tapie. Le trio arbitral a depuis été mis en examen pour escroquerie. Pas Sarkozy qui pourtant était le principal bénéficiaire  du soutien de Tapie pour l’élection de 2012. Une sorte de marchandage en faat qu’a très bien démontré hier une  émission de France 5. Un scandale évidemment car jamais dans l’histoire judicaire on a ainsi interrompu une procédure pour lui substituer sur pression de Sarkozy et de Tapie un arbitrage bidon. Cependant Sarkozy n’est pas inquiété pour l’instant, la ministre Lagarde est seulement inculpée de «  négligence », sans doute une erreur sémantique quand il s’agit de détournement de 400 millions dont 50 millions pour préjudice moral ( là aussi du jamais vu en France, la plus grosse somme attribuée jusque-là était de 1 million). Du coup on va tenter de faire porter le chapeau à un Richard le directeur de cabinet de Lagarde aujourd’hui le PDG d’orange ….à moins finalement que le vrai responsable ne soit le concierge du ministère des finances qui a laissé pénétré au ministère toute cette bande d’escrocs.

Croissance Etats-Unis : petite hausse de la confiance du consommateur mais la croissance se tasse

Croissance Etats-Unis : petite hausse de la confiance du consommateur mais la croissance se tasse  

Une hausse de la confiance aux Etats-Unis mais quand même tout juste au dessus de sa moyenne de longue durée. La confiance du consommateur américain s’est améliorée plus que prévu en mars après s’être dégradée en février, montre mardi l’enquête mensuelle de la fédération patronale Conference Board. Son indice de confiance ressort sur le mois en cours à 101,3 après 98,8 (chiffre révisé) en février. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 96,0. L’indice de février a été révisé en hausse après avoir été initialement annoncé à 96,4. Le sous-indice de la situation actuelle a reculé à 109,1 en mars contre 112,1 (110,2 initialement annoncé) en février et celui mesurant les anticipations a progressé à 96,0 contre 90,0 (87,2 initialement annoncé). Globalement les perspectives de croissance sosnt moins élevées que prévu.  La croissance aux Etats Unis a été moins dynamique au 4ème trimestre et au début 2015. En cause la hausse du dollar , aussi une activité qui s’est réduite au plan mondial. Du coup la FED va sans doute décider de reculer la date de remontée des taux, vraisemblablement fin 2015 voire en 2016.D’autant que l’inflation est largement sous contrôle.  Une bonne nouvelle pour le reste du monde car le relèvement des taux américains entraineraient mécanique la hausse ailleurs en particulier en Europe.   - La croissance économique s’est essoufflée aux Etats-Unis au quatrième trimestre 2014, la moindre reconstitution des stocks et le ralentissement des investissements des entreprises ayant constitué des freins à l’activité, seulement partiellement desserrés par la vigueur des dépenses des ménages. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 2,2% en rythme annualisé, chiffre conforme à l’estimation donnée le mois dernier, a annoncé vendredi le département du Commerce. La croissance avait été de 5% au troisième trimestre. L’administration américaine a aussi fait état d’une baisse de 1,6% des bénéfices après impôt des entreprises, soit le recul le plus prononcé depuis le premier trimestre 2011, les profits des grandes entreprises étant grevés par le dollar fort. Les bénéfices réalisés à l’étranger ont ainsi diminué de 36,1 milliards de dollars alors qu’ils avaient progressé de 16,5 milliards au troisième trimestre. Sur l’ensemble de 2014, les bénéfices après impôt ont reculé de 8,3%, la plus forte baisse annuelle depuis 2008. Un ralentissement prolongé de la croissance conjugué à une faible inflation pourrait inciter la Réserve fédérale à retarder le relèvement de ses taux d’intérêt. Elle maintient ses taux directeurs à un niveau proche de zéro depuis décembre 2008. Les responsables de la Fed ont abaissé la semaine dernière leurs prévisions de croissance pour les trois années allant de 2015 à 2017. Le rythme modéré de la croissance semble s’être prolongé durant le premier trimestre 2015. L’activité au cours des deux premiers mois a notamment été ralentie par la vigueur du dollar, la morosité économique persistante en Europe et en Asie, la rigueur de l’hiver aux Etats-Unis et le conflit social, désormais réglé, dans les ports de la côte Ouest. Le dollar en particulier, qui a pris 7,8% entre juin et décembre face aux devises des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, devrait continuer à poser des difficultés aux entreprises américaines. Les estimations pour la croissance du PIB au premier trimestre varient dans une fourchette de 0,9% à 1,4%. Au cours du quatrième trimestre 2014, les entreprises américaines ont accumulé l’équivalent de 80 milliards de dollars de stocks, soit un montant inférieur aux 88,4 milliards estimés par les autorités fédérales le mois dernier. En conséquence, les stocks ont contribué négativement pour 0,1 point à la croissance du PIB, alors qu’ils étaient censés apporter 0,1 point selon les précédentes estimations. La progression des dépenses d’équipement des entreprises a été moindre que prévu, de 0,6% au lieu de 0,9%. Ce résultat est probablement lié à la hausse du dollar et à l’effondrement des cours du pétrole, qui a fait chuter les activités d’exploration et de forage. La consommation des ménages, qui représente plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, a en revanche progressé de 4,4% au quatrième trimestre et non de 4,2% comme cela avait été estimé auparavant. Il s’agit de la hausse la plus rapide depuis le premier trimestre 2006. Hors alimentation et énergie, les prix n’ont pourtant augmenté que de 1,1%, soit le rythme le plus faible depuis le deuxième trimestre 2013. La consommation des ménages semble néanmoins avoir décéléré au premier trimestre 2015, le froid et la neige ayant dissuadé les Américains de se rendre dans les magasins. Malgré une demande mondiale en berne, la croissance des exportations a été revue à la hausse. En raison de la forte consommation des ménages, les importations ont elles aussi été plus fournies que prévu, ce qui a entraîné un déficit commercial pénalisant pour la croissance du PIB.

 

Financement campagne Sarkozy : Le fils de Claude Guéant impliqué

Financement campagne Sarkozy : Le fils  Guéant impliqué

 

 

Encore une nouvelle piste du financement de la campagne de Sarkozy par la Lybie, il s’agirait de rétro commissions sur des contrats avec la Lybie. Comme par hasard,  c’est le fils de Claude Guéant qui est impliqué dans cette affaire de mafia politico-financière. Et on se demande commente Sarkozy peut passer entre les mailles du filet judicaire, il fauta dire qu’il est avocat d ’ »affaires » justement ! . Le fils de l’ex-ministre UMP de l’Intérieur Claude Guéant a été placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur des accusations de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, a-t-on appris mardi de source judiciaire. Selon iTélé, qui a révélé l’information, François Guéant, avocat de profession, a été placé en garde à vue lundi.  Claude Guéant a été mis en examen début mars pour faux, usage de faux et blanchiment de fraude fiscale en bande organisée dans cette affaire.  Le parquet de Paris a ouvert en avril 2013 une information judiciaire sur des allégations de l’homme d’affaires Ziad Takieddine, qui dit avoir des preuves du financement par la Libye de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. L’information porte sur des chefs de « corruption active et passive », « trafic d’influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux » et « blanchiment, complicité et recel de ces infractions ».  Le président de l’UMP a toujours démenti les dires de l’homme d’affaires franco-libanais. Selon Charlie Hebdo à paraître mercredi, le domicile à Genève de l’homme d’affaires Alexandre Djouhri, intermédiaire français spécialiste des contrats moyen-orientaux, a par ailleurs été perquisitionné la semaine dernière dans cette enquête.  Son domicile a été fouillé pendant plusieurs jours dans le cadre d’une « problématique de versement de commissions », a confirmé au journal Le Temps un magistrat genevois.  Le porte-parole de la justice genevoise, Henri Della Casa, a confirmé mardi des perquisitions, sans plus de précisions.

 

Radio France : trop de gâchis financiers ( Cour des comptes)

Radio France : trop de gâchis financiers ( Cour des comptes)

Des gâchis financiers partout, ce que dénonce  la cour des comptes. Il y a évidemment la réfection du bureau du PDG à 100 000 euros environ, aussi son contrat d’un million avec une société de communication dédiée à la gestion de son  » image personnelle », enfin le dérapage de la rénovation de l’immeuble de Radio France qui passe de 250 millions à 500. Il ya surtout des sureffectifs et des salaires de cadres démentiels : en moyenne autour de 5000 euros. En outre le déficit serait de l’ordre de 50 millions sur un budget de 6000 millions financé à 90% par le contribuable  y ceux nombreux qui n’écoute jamais radios France. D’un certain point de vue, la grève actuelle de radio France est à la fois suicidaire et complètement irresponsable. D’abord personne ou presque ne parle de cette grève qui ne gène pas grand monde compte tenu de innombrables autres sources d’information, ensuite cette grève permet de mettre en lumière les gaspillages de fonds publics. Dernier scandale pendant cette grève Radio France est presque muette alors qu’il n’y a que 10% de grévistes à paris ! Un curieuse conception d’un service public dont par ailleurs on pourraiat se passer.  La Cour des comptes préconise la fusion des rédactions de Radio France et invite le groupe public à corriger des « défaillances » de gestion qui ne sont « pas acceptables » face à une situation financière critique. L’institution rend public mercredi un rapport sévère sur Radio France, pressé de « réviser en profondeur ses modes de fonctionnement », alors que l’avenir du groupe est au cœur d’une grève qui entrera dans son 14e jour consécutif. Le quotidien Les Echos ayant dévoilé une partie de ses préconisations, la Cour des comptes livre mardi dans un communiqué ses 18 pistes de réforme, notamment « la mutualisation dans le domaine de l’information et la création d’une rédaction unique », ainsi que la fusion des deux orchestres symphoniques du groupe. Le président de Radio France, Mathieu Gallet, fragilisé par des révélations sur les frais de rénovation de son bureau, notamment, doit présenter d’ici dix jours un plan stratégique dont les syndicats redoutent qu’il aboutisse à des suppressions de postes. Dans un courriel adressé mardi aux personnels de Radio France, Mathieu Gallet souligne que « la fusion des rédactions ne correspond pas à [s]a vision du pluralisme de l’information et de la complémentarité des antennes de Radio France ». Le plan stratégique, qui devrait être remis « dans les tout prochains jours », orientera les décisions du gouvernement dans le cadre du contrat d’objectifs et de moyens 2015-2019 pour un groupe public qui prévoit un déficit de 21,3 millions d’euros cette année.  En février, Les Echos rapportaient qu’un document de travail interne au groupe tablait sur un déficit de 50 millions d’euros en 2019 si rien n’était fait d’ici là pour rétablir les comptes de la Maison Ronde, dont le budget de rénovation a dérapé. Selon la Cour des Comptes, le chantier engagé en 2004 pour 262 millions d’euros devrait coûter plus du double (575 millions). « Radio France devra en tout état de cause réaliser un effort très significatif d’économies structurelles, impliquant d’importantes mesures de réorganisation », souligne l’instance. Sa gestion « souffre de défaillances qui ne sont pas acceptables pour une entreprise de cette taille et doivent donc être corrigées », ajoute-t-elle. Elle invite Radio France à s’inspirer de la mutation de la BBC en Grande-Bretagne ou de la RTBF en Belgique. Le Syndicat national des journalistes (SNJ), qui n’est pas associé au mouvement de grève actuel, appelle à un arrêt de travail massif vendredi.

 

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