Grève à Radio France : ce qu’il faut savoir sur le gaspillage du secteur public
Radio France en grève alors qu’il y a moins de 10% de grévistes. L’exemple du gâchis financier dans le secteur public. 600 millions de dépenses pour plus de 5000 salariés. 90% de charges salariales soit un salaire net moyen de 5 000 euros. Des salaires démentiels, des dépenses somptuaires partout, le bureau du PDG dont la rénovation a couté 100 000 euros, le réfection de l’immeuble 100 millions. Ce n’est qu’un exemple du gaspillage Français. Une entreprise qui pourtant si elle était bien gérée non seulement ne serait pas en déficit( comme la plupart des entreprises concurrentes) et ne bénéficierait pas de subventions ( 90% de subvention pour Radio France).. En France, on compte 6 millions de salariés du secteur publics dont environ un million hors administrations (Et on a créé environ 200 000 postes en plus en 10 ans). Le seul coût salarial de ces fonctionnaires et assimilés représente de l’ordre de 30 milliards auxquels il faut ajouter les autres coûts de fonctionnement et aussi le cout des investissements ( souvent inutiles) et le coût des procédures. Au bas mot de l’ordre de 100 milliard.. Alors qu’on pourraiat transférer nombre d’activités sur le privé via par exemple une délégation de service public. Les activités seraient alors au minimum à l’équilibre voire bénéficiaires. Alors que pour radio France , il faut payer le redevance obligatoire même pour ceux qui les plus nombreux de font pas usage des médias publics. Et en plus sur France info.fr on utilise la chaine pour diffuser la PUB du syndicat SUD. . Comment qualifier ce qui caractérise ce service dit public, gaspillages, bureaucratie, paresse . Radio Franc, des salaires de cadres démentiels, des superstructures dignes de l’ancienne union soviétique, et globalement des programmes aussi insipides que les autres. En plus le contribuable est soumis à la redevance alors qu’aujourd’hui les chaînes et radios publiques sosnt de moins en moins regardées et ou écoutées . certes quelques médias se distinguent France info, France 2 pour certaines émissions, France culture ; pourtant globalement les médias publics sosnt peu différents des chaînes commerciales. Aujourd’hui l’info est diffusée par des milliers de médias audio-visuels ( exemple 600 radios associatives), pourquoi conserver un mastodonte public ( payant en plus) qui n’apporte globalement pas davantage que les supports privés ( à quelques exceptions près). En outre il fauta surtout prendre en compte le développement du numérique surtout d’internet. qui diffuse mieux, plus vite et moins cher l’info et sur tous les supports. On objectera que la mission de service public est essentielle. Mais précisément n’y a-t-il pas confusion entre le concept de service public, d’entreprise public et le statut du personnel. Dans ce domaine comme dans d’autres, le rôle de l’Etat est d’assurer sa tâche régalienne, de réguler pour tirer les programmes vers le haut , les rendre plus compétitifs aussi et non de faire tout lui-même. Bref France télévisions et Radio France comme nombre de services publics , c’est trop cher, trop bureaucratique et pas assez créatif. A moins évidemment que le pouvoir en place n’ait besoin de medias dociles pour diffuser la voix de son maître.
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