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Archive mensuelle de février 2015

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Syrie-Visite à Assad : les réactions des faux culs de la classe politique

Syrie-Visite à Assad : les réactions des faux culs de la classe politique

Hollande, Valls, Sarko se sont étonnés de la visite de 4 parlementaires à Assad le dictateur Syrien, et ils  n’ont pas hésité à condamné cette initiative en termes très durs. En fait de réactions de vrais faux culs car étaient au courant de cette initiative voire l’avait encouragée. En matière diplomatique c’est presque toujours comme cela que se passe les choses, on envoie d’abord un émissaire non mandaté pour tâter le terrain puis en fonction des réactions des médias notamment on n’hésite pas à condamner ensuite,  quitte quelques mois ( ou quelques années)  plus tard à suivre les préconisations de ceux qu’on a affligés de tous les noms d’oiseaux. L’Elysée, Matignon, le quai d’Orsay, Sarko étaient évidemment au courant. Certes Assad n’est pas un enfant de chœur c’est même un assassin et un dictateur mais on ne se prive pas de recevoir des dirigeants qui sont aussi des assassins et des dictateurs  ( pas seulement Kadhafi , lui reçu en grande pompe par Sarko),mais d’autres , les chinois, les russes,  les émirs arabes surtout ceux avec lesquels on peut faire du commerce. Après Manuel Valls, qui a dénoncé une « faute morale », François Hollande a condamné jeudi le déplacement de quatre parlementaires en Syrie, pour rencontrer Bachar al-Assad. Le député UMP Jacques Myard, le sénateur UMP Jean-Pierre Vial, le sénateur UDI François Zocchetto et le député socialiste Gérard Bapt se sont en effet rendus mardi à Damas, où trois d’entre eux ont parlé avec le président syrien.   »On ne peut pas travailler sur Daesh et contre Daesh sans passer par la Syrie, donc une nécessaire reprise de dialogue est obligatoire », a ainsi estimé l’ex-patron du renseignement intérieur, Bernard Squarcini, sur BFMTV. Bachar al-Assad n’est « pas le poussin du jour, je vous accorde qu’il a du sang sur les mains, mais il est une partie qui va intervenir dans le règlement politique de la guerre civile », a argumenté pour sa part Jacques Myard, l’un des parlementaires qui ont rencontré Bachar al-Assad.   Pour Jean-François Daguzan, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS), il est aujourd’hui  » nécessaire » de « renouer une forme de dialogue, qui doit passer par les canaux officiels-officieux ». « Le minimum de dialogue doit être ré-établi avec le gouvernement syrien actuel, ce qui ne veut pas dire embrasser Bachar al-Assad sur la bouche. Aujourd’hui, la rupture complète des communications telle qu’elle s’est faite depuis début 2012 pose un vrai problème, et évidemment, la question de Daesh est au cœur de tout cela », estime ce spécialiste du Moyen-Orient

 

Salaires minimum en Europe : de 184 à 1923 euros

Salaires minimum en Europe : de 184 à 1923 euros

 

L’harmonisation sociale en Europe ce n’est pas pour demain.Pour l’instanat l’Europe se limite à uen vaste zone de libre échange et dans cette compétitivité, le salaire ( ici le salaire minimum joue notamment  un rôle.  Le salaire minimum de tous les pays d’Europe a augmenté depuis 2008, à l’exception de celui de la Grèce, indique jeudi Eurostat. Après élimination des différences de niveau des prix, cette baisse est de 12%. Le salaire minimum est resté inchangé en Irlande, précise également l’office européen des statistiques.  Les hausses les plus importantes entre 2008 et 2015 ont été enregistrées en Roumanie (+95%), en Bulgarie (+64%), en Slovaquie (+58%) et en Lettonie (+57%), des pays où le salaire minimum est inférieur à 400 euros par mois.  La publication de ces statistiques survient alors que le débat sur le salaire minimum a été relancé en Europe, avec la volonté de la Grèce de le relever. Le gouvernement de gauche radicale d’Alexis Tsipras veut le reporter à 751 euros, le niveau qu’il avait atteint avant d’être réduit à 580 euros sous pression des créanciers du pays. Mais certains ministres des Finances de la zone euro sont contre, reprochant à la Grèce d’avoir un salaire minimum plus élevé que des pays n’étant pas sous perfusion financière.  Au sein de l’UE, le pays avec le salaire minimum le plus bas est la Bulgarie (184 euros). A l’opposé, le Luxembourg offre un salaire minimum de 1.923 euros, soit un ratio de 1 à 10. En France, le Smic est actuellement de 1.458 euros, contre 1.280 euros en 2008.  Toutefois, après ajustement des disparités de pouvoir d’achat, l’écart entre les États membres se réduit à 1 à 4, souligne Eurostat. (d’après  AFP- BFM)

 

 

 

 

Frondeurs du PS : Cambadélis ménage la chèvre, le choux et son avenir

Frondeurs du PS : Cambadélis ménage la chèvre, le choux et son avenir

Pas fou Cambadélis, on l’attendait pour sanctionner sérieusement les frondeurs suite à l’échec  du vote de la loi Macron. Le sang devait couler. En fait ce serait plutôt du jus de tomates. Cambadélis s’est limité à gronder les frondeurs ( ce que lui avait demandé Hollande et surtout Valls) mais a aussi invité le gouvernement à davantage écouter les parlementaires. En fait derrière cet exercice de synthèse à la « Hollande » se joue les prochains enjeux du congrès du PS en mai. Et là après la débâcle au départementales le plateau de la balance PS  risque de pencher à gauche, Cambadélis sil veut conserver sa place doit donc ménager les opposants à la ligne de Hollande. La résolution adoptée par le bureau national ménage la chèvre et le chou. Certes, le ton adopté est grave. « Le manque de respect, de fraternité ou tout simplement de camaraderie a atteint un niveau intolérable », constate le texte, qui fait état d’un « climat de division à gauche jamais vu ». La résolution rappelle que selon les statuts du PS, les parlementaires « doivent respecter la règle de l’unité de vote de leur groupe », sous peine de sanctions. Un rappel en forme de dernier avertissement. La résolution annonce d’ailleurs que le bureau national « donnera maintenant ses consignes sur les textes après audition du Gouvernement ». Mais le texte se montre aussi critique envers l’exécutif, en estimant que le PS n’a pas été assez écouté lors de l’examen de la loi Macron. Selon le bureau national, son mémorandum adressé gouvernement à l’automne, dans lequel il préconisait par exemple le chiffre de sept dimanches ouverts au commerce, contre 12 dans le projet de loi, « n’a pas été étudié comme il aurait dû » et « doit l’être en seconde lecture ». Avec son art consommé de la synthèse, cette résolution a eu le mérite de mettre tout le monde d’accord : le texte a été adopté avec 29 voix pour, 9 abstentions, et aucun vote contre. Pour le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, le contrat est rempli : rappeler à l’ordre les frondeurs hostiles à l’exécutif, sans se mettre à dos l’aile gauche du PS, alors qu’il brigue sa propre succession au congrès de juin. « J’ai privilégié le chemin du rassemblement, je suis contre la fragmentation », a-t-il expliqué à la presse après la réunion du bureau national.

 

Macron : »le bovarysme parlementaire »

Macron : »le bovarysme parlementaire »

Un formule qui nous sort un peu de la dialectique habituelle de l’oligarchie et  qui résume bien les contradictions de nombre de députés qui ont surtout voté pour ce que la loi ne contenait pas. Un sorte de vote de frustration. Certes la loi Macron n’est pas la loi su siècle, loin s’en faut, c’est même un peu un fourre-tout ,  mais elle comporte des dispositions qui sont clairement libérales et que la droite aurait pu et du voter. Quant aux députés frondeurs, ils sont simplement traités de fainéants par Macron ! Emmanuel Macron n’a donc  pas encore encaissé les soubresauts politiques autour de son projet de loi, adopté en force par le gouvernement grâce à l’utilisation du tant commenté article 49 alinéa 3 de la Constitution. Dans une interview accordée au journal Le Monde daté de ce vendredi, le ministre de l’Economie a en effet estimé que son texte a été « pris en otage », car victime de « logiques politiciennes ». « Je pense que ce texte a été pris en otage ou, en tout cas, qu’il a été pris dans des logiques politiciennes, indépendamment du travail du fond qui avait été accompli », a-t-il déploré. Beaucoup de gens au centre-droit et à droite, a-t-il ajouté, pouvaient se reconnaître dans ce texte, ils le disaient d’ailleurs ». Mais « la logique partisane, en particulier à l’approche des élections départementales, a été telle que seuls ceux qui n’avaient rien à perdre ont eu le courage de la dépasser », a souligné le ministre. « Les autres, a-t-il accusé, se sont pliés à la discipline de parti ». « Ils ont justifié leur vote, ce qui est assez inédit, par tout ce que la loi ne contenait pas, la suppression des 35 heures par exemple. C’est ce que j’appelle le bovarysme parlementaire », a-t-il regretté.  Avec le rejet, sans surprise, de la motion de censure portée par l’UMP, le projet de loi Macron a passé ce jeudi une première étape, en étant adopté par… « Je pense qu’il y a une politique de fainéants et il y a la politique des artisans », a encore ajouté le ministre. « Moi je fais la politique avec les artisans et les artisans, au sens fort du terme, ce sont ceux qui ont passé des jours et des nuits à travailler un texte au fond, qui savent ce qu’il y a dedans, qui peuvent en être fiers. Et il y a la politique des fainéants, qui consiste à regarder la surface de l’eau. On meurt de cela. » Toujours dans son entretien au MondeEmmanuel Macron se montre également sévère aussi pour le Parti socialiste où, rappelle le quotidien, les réserves étaient vives dès le début sur l’extension du travail du dimanche. « Sur cette position initiale du parti s’est greffé un foyer infectieux qui ne s’est pas éteint », selon le ministre de l’Economie. « Au cours de la dernière nuit de discussion à l’Assemblée, j’ai été saisi de voir à quel point certains députés étaient dans un débat théorique et à quel point ils perdaient le réel ».

 

Pétrole : rebond en Asie

Pétrole : rebond en Asie 

 

Un rebond en Asie mais qui ne devrait pas affecter la tendance actuelle du pétrole en raison de la faiblesse de la demande et du niveau de l’offre. Pour L’année 205, les spécialistes prévoient d’ailleurs une  certaine  stabilisation. Les cours du pétrole ont rebondi en Asie vendredi, soutenus par les achats à bon compte après le net repli de la séance précédente, le marché sombrant à nouveau dans le pessimisme quant à l’abondance de l’offre.
Le cours du baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en avril gagnait 54 cents, à 48,71 dollars, tandis que le baril de Brent de la mer du Nord à même échéance s’adjugeait 66 cents, à 60,71 dollars. Le pétrole avait chuté jeudi, les marchés semblant s’apercevoir avec un jour de retard du niveau toujours élevé des réserves américaines, au lendemain des derniers chiffres officiels en date. Le cours du baril de WTI pour livraison en avril a dévissé de 2,82 dollars à 48,17 dollars le baril, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), faisant totalement oublier une tentative de rebond la veille et retombant à son niveau de fin janvier.  A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour avril a limité ses pertes à 60,05 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE), en baisse de 1,58 dollar. Les stocks américains de brut ont encore augmenté de plus de huit millions de barils la semaine dernière, atteignant 434,10 millions de barils, leur plus haut niveau depuis novembre 1930.

 

Immobilier : baisse des prix

Immobilier : baisse des prix

Il en aura fallu du temps pour que les professionnels conviennent de la baisse des prix ( normal,  ils se rémunèrent dessus !), alors il admettent des baisses de l’ordre de 2 à 3% en 2014 et peut être de 5% en 2015. En faat les baisses sont et seront beaucoup plus fortes qu’indiqué car le problème c’est l’insuffisance d’acheteurs .Pour deux raisons nombre d’entre eux  n’ont pas la solvabilité nécessaire, d’autres attendent à juste titre de nouvelles baisses. Certains spécialistes prévoient uen baise d’au moins 30% d’ici 10 ans ; a moins que d’ici là, la bulle n’éclate car il sagit d’un  secteur très spéculatif ( les prix ont doublé en une  quinzaine d’années et ont progresse trois fois plus que le pouvoir d’achat). Le prix moyen au mètre carré serait passé au dernier trimestre 2014 sous la barre symbolique des 8000 euros, selon une étude des notaires d’Île-de-France. Seuls quatre arrondissements sur les vingt de la capitale affichent désormais un prix moyen au mètre carré supérieur à 10 000 euros, soit deux fois moins qu’il y a deux ans. Sur l’ensemble de la France, les prix ont chuté de 2,2 % au dernier trimestre de 2014. La chute n’a pas épargné Paris, et elle ne va pas s’arrêter. Les professionnels du secteur anticipent pour 2015 une érosion de 5 % dans la capitale et en Île-de-France. «On ne peut pas dire qu’il s’agisse d’une chute catastrophique. Il n’y aura pas de véritable effondrement des prix, dans la mesure où il y aura toujours énormément de demandes à Paris, relativise au Figaro Jean-François Buet, président de la Fnaim. C’est un phénomène plutôt sain, cela montre que les prix se réajustent et que le marché se rééquilibre.» Il n’empêche. La baisse des prix parisiens est désormais généralisée dans 17 arrondissements. Seuls les Ve, VIIIe et IXe continuent à résister. Les baisses les plus conséquentes sont constatées dans les arrondissements les plus chers: les prix dans le IIe, IVe et VIIe arrondissement ont ainsi respectivement baissé de 6,2 %, 7,4 % et 6,5 %. En province les baisses sont beaucoup plus  significatives dans certaines villes autour de 15% en moyenne..et 30% en zone rurale.

 

Tapie : une victime !

Tapie : une victime !

Tapie contre-attaque et déclare être uen victime d’un acharnement.  Acharnement de la  justice évidemment ( ça fait 20 ans que l’affaire à débuté !), victime des médias  qui informent à charge un innocent et victime aussi de l’Etat qui veut faire uen exemple en punissant la réussite d’un homme qui n’ rien à se reprocher. Au contraire même puisque d’après tapie, c’est lui qui a été floué. Un renversement de la preuve de culpabilité en quelque sorte, un procès en sorcellerie, et presque un acte de terrorisme financier d’Etat vis à vis d’un citoyen ordinaire. Finalement il a raison Tapie, plus c’est gros ,  lus ça passe. De toute  façon il n’est pas décidé à rembourser la moindre somme et sil le faut, il sollicitera les méandres de la procédure pour faire durer l’affaire,. Encore 20 ans peut-être ?  A moins que Sarko élu en 2022 ne passe un coup d’éponge judicaire sur l’affaire de son ami qui l’avait soutenu avant les élections. Un renvoi d’ascenseur en quelque sorte ? Bernard Tapie contre-attaque après la décision du Consortium de réalisation chargé de gérer le passif du Crédit Lyonnais, qui l’enjoint à rembourser la somme qu’il a touchée lors de l’arbitrage de 2008. Dans une vidéo publiée sur le site du Point, il répète que c’est lui qui a été floué dans l’affaire et s’en prend aux médias qui l’ont mis en cause.  Il a reçu une lettre recommandée. De celles qui n’amènent pas de bonnes nouvelles. Par ce courrier, le Consortium de réalisation (CDR), réclame à Bernard Tapie la somme de 392 millions d’euros : soit le remboursement des sommes versées en 2008 lors de l’arbitrage du Crédit Lyonnais. L’homme d’affaires n’est pas prêt à s’exécuter et dans une vidéo publiée ce jeudi sur le site du Point, il se défend. Contestant avoir eu connaissance des conditions de la revente d’Adidas par le Crédit Lyonnais, il réaffirme être celui qui a été floué dans l’affaire (il a touché 2 milliards de francs en vendant la firme à la banque, qui l’a cédé à Robert Louis-Dreyfus pour 4,4 milliards de francs). Et il s’en prend aux médias, accusés d’avoir instruit à charge un procès illégitime et à l’Etat, qui se voit taxer de sanctionner ceux qui réussissent en France., Bernard Tapie dénonce l’acharnement dont il se dit être victime dans l’affaire de la revente d’Adidas au Crédit Lyonnais Selon son avocat, Bernard Tapie n’a pas obligation de se plier à la demande de remboursement qui lui est faite par le CDR, ce qui laisse entendre qu’il compte utiliser tous les recours possibles.

 

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Manuel Valls : une micro loi sur le social

Manuel Valls : une micro loi sur le social

 

Après la mini loi Macron, la micro loi Valls. On devait reformer le code du travail, transformer les relations, alléger le coût du travail. Finalement on va se limitera une micro loi qui traitera essentiellement des délégués du personnel des PME. Pas étonnant, Valls ne dispose pas de majorité à l’assemblée ,par ailleurs la discussion entre patronat et syndicat sur le dialogue social a échoué. Peu importe on va montrer à Bruxelles que les réformes avancent. La réforme sociale de Valls ne sera même pas à la hauteur de ce qu’a été la Mini loi Macron pour  l’économie. Mais l’ essentiel est que Valls affirme sa volonté et son autorité !  Pour lisser les « effets de seuil » dénoncés par le patronat comme un frein à l’embauche, il propose de regrouper délégués du personnel, comité d’entreprise et Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) dans une délégation unique du personnel (DUP) dans les sociétés de 50 à 300 salariés. L’intégration du CHSCT dans une instance représentative du personnel (IRP) unique a été une cause de l’échec des discussions des partenaires sociaux en janvier. Manuel Valls a assuré que les DUP reprendraient les prérogatives des CHSCT. La future loi permettra d’étendre aussi ce regroupement dans les sociétés de plus de 300 salariés par accords d’entreprise. Cette simplification s’accompagnera d’une rationalisation des obligations de consultation et de négociation. Une vraie révolution !

Sarko : Carla aime les Mac

Sarko : Carla aime les Mac

 

Pas de chance pour Sarko qui devant le stand de McDo déclare « Carla aime les Mac », non par les ordinateurs, ni les souteneurs mais  la bouffe bien grasse de McDo. Une erreur de calendrier pour Sarko car on apprend aujourd’hui que McDo s’est livrée à une vaste optimisation fiscale ( comprendre fraude) en contraignant les McDo situés en France à payer uen redevance à une filiale située au Luxembourg , une redevance plus ou moins bidon. D’abord ce n’est pas très heureux pour Sarko de vanter les mérites gastronomiques de McDo en plein salon  de l’ agriculture ; un salon  qui est d’abord censée valoriser l’image des productions françaises.  En outre il se trouvera peu de gastronomes pour mettre au panthéon de la cuisine un McDo. Certes Carla a peut être des préférences alimentaires américanisées  mais Sarko n’était pas contrariant den faire étalage. D’uen certaine manière McDo ‘est en effet l’anti bouffe. Pour résumer : Du pain et  du gras. C’est même une  contrefaçon du classique sandwich français. Malheureusement en perte de vitesse tellement la tranche de jambon est souvent  transparente.  Le sucés de la marque McDo réside surtout dans le prix finalement très accessible et dans la pub diffusée  auprès des gamins. Indiscutablement Un big Mac remplit l’estomac pour autant l faudra sans doute attendre plusieurs milliers d’années pour que MCD décoche uen toile au Michelin. En vantant ainsi les mérites de McDo Sarko veut peut-être aussi rajeunir son image auprès des lus jeunes, à quand un discours en Rap de Sarko sur une musique trash de Carla ?

McDonald’s et l’évasion fiscale

McDonald’s et  l’évasion fiscale

Optimisation fiscale classique pour McDo : on externalise les profits et on internalise les déficits. Il suffit de facturer a des filiales ( plus ou moins bidon) situées dans des pays à faible fiscalité. Là il s’agit de facturation par de filiales étrangères située au Luxembourg  de pseudo  redevances aux sociétés françaises. Un conseil cependant à McDo, la ficelle est trop grosse. Il suffirait de surfacturer aux McDo France par exemple l’emballage ou des saucisses surgelées , c’est légal ! davantage que des redevances bidon.  McDonald’s pourrait donc  bientôt se trouver dans le viseur de la Commission européenne. Des syndicats et une organisation caritative accusent en effet le géant américain de la restauration rapide d’avoir échappé à environ un milliard d’euros d’impôts entre 2009 et 2013 en faisant transiter une partie de son chiffre d’affaires par une société luxembourgeoise. Ce qui justifie, selon eux, une enquête de Bruxelles.  L’exécutif européen a déjà ouvert une enquête sur les accords fiscaux noués entre des multinationales et des Etats, comme ceux qui lient le constructeur Fiat ou le spécialiste du commerce électronique Amazon au Luxembourg. La Fédération syndicale européenne du service public (FSESP), la fédération du secteur des services SEIU (Service Employees International Union) et l’ONG britannique de lutte contre la pauvreté War on Want ont donc appelé mercredi la Commission à étendre cette enquête à McDonald’s.  Concrètement, la FSESP et la SEIU affirment que le groupe américain a pratiqué l’évasion fiscale en obligeant ses restaurants à verser des redevances déductibles de l’impôt représentant 5% de leur chiffre d’affaires à une filiale du groupe basée au Luxembourg qui bénéficiait d’une fiscalité avantageuse. Interrogés par Reuters sur le sujet, les bureaux européens de McDonald’s n’avaient aucun commentaire à faire dans l’immédiat.  En 2012, une enquête de Reuters avait montré que plusieurs chaînes de restauration, comme Burger King, Subway ou McDonald’s, avaient réduit leurs impôts en Europe en faisant payer par leurs restaurants des redevances à des filiales basées dans des pays à la fiscalité plus légère, au titre de l’usage de leur marque ou de leur savoir-faire.  Des documents officiels au Luxembourg montrent en outre que McD Europe Franchising, filiale du groupe américain, a encaissé plus d’un milliard de dollars payés par des franchisés européens en 2013. La société n’a acquitté que 1,4% d’impôt sur 288 millions de dollars de bénéfices en 2013, un taux nettement inférieur au taux officiel de l’impôt luxembourgeois sur les sociétés, fixé à 29%. Les syndicats expliquent que ce taux très faible peut découler du recours à des mécanismes d’exonération sur les droits de propriété intellectuelle, mais aussi au fait qu’une part importante des activités transite par une filiale suisse.

Croissance- Emploi- Sondage petits patrons : pas de reprise avant 2018

Croissance- Emploi- Sondage petits patrons : pas de reprise avant 2018

Les petits patrons qui représentent  de l’ordre de 30% de la richesse nationale et à peu près autant en matière d’emplois sont très pessimistes sur l’évolution de(l’économie et de l’emploi.  Pour eux il ne fauta pas attendre une inversion du chômage avant 2018. Des petits patrons au plus prés des réalités du marché et qui sentent  bien l’évolution de la demande aussi bien celles des ménages que des entreprises. Un sondage qui confirme l’atonie de la demande, la tension sur les prix et l’attentisme général. Selon le  baromètre des très petites entreprises (TPE), réalisé par l’IFOP pour la société Fiducial et dont Le Figaro a pu consulter les résultats, les patrons de TPE ne croient toujours pas en la politique du gouvernement. Seulement 27 % d’entre eux anticipent un rebond de l’économie à l’horizon 2017. Pis, 28 % prévoient une stagnation du PIB et 45 % même une récession. Résultat, six sur dix n’envisagent pas de décrue du chômage avant… «2018 ou après». Un véritable camouflet pour le gouvernement Valls, car 2 % seulement des patrons de TPE pensent que l’inversion de la courbe du chômage interviendra dès cette année, et 13 % en 2016. D’ailleurs, 85 % d’entre eux anticipent une année atone sur le front de l’emploi, seules 9 % des TPE prévoyant de créer des postes. Pour mémoire, les TPE représentent 97 % des entreprises en France, génèrent 27 % de la valeur ajoutée et concentrent 30 % de l’emploi. Et ce n’est pas, d’après eux, la loi Macron – votée au forceps (en première lecture) à l’Assemblée et qui débarquera au Sénat en avril – qui va changer la donne. S’ils sont un sur trois à penser que le texte défendu par le ministre de l’Économie pour relancer la croissance va dans le bon sens (mais pas assez loin), ils sont plus d’un sur deux (55 %) à juger que «ce projet ne va rien changer à la situation de l’économie française».

 

Déficit public : Bruxelles donne deux ans de plus à la France

Déficit public : Bruxelles donne deux ans de plus à la France

Comme prévu Bruxelles a accordé un nouveau délai ( le troisième) à la France qui d’une certaine manière bénéficie aussi de la clémence manifestée à l’égard de la Grèce. En faiat un délai qui ne sera pas mieux tenu que les précédents car cela suppose des reformes structurelles que la France doit détailler d’ici avril. Cela d’autant plus que Valls ne dispose plus de majorité et que la débâcle annoncée aux départementales voir refroidir définitivement toutes velléités de reforme. Ce n’est pas la réformette Macron qui peut de ce pont de une répondre aux enjeux de a compétitivité et de la croissance.  . La Commission européenne a accordé mercredi un nouveau délai de deux ans à la France pour ramener son déficit public sous la barre des 3% de Produit intérieur brut. Le gouvernement français en a bien l’intention : le ministre des Finances Michel Sapin a même jugé en décembre que le déficit – qui doit être de 4,1% à la fin de l’année – sera ramené « largement en dessous » de ce seuil des 3% en 2017. L’enjeu est crucial, en pleine année électorale. L’objectif a d’ailleurs été réaffirmé mercredi par Manuel Valls et Michel Sapin. C’est le vice-président de la Commission en charge de l’Euro, Valdis Dombrovskis, qui a indiqué mercredi que Bruxelles avait « décidé de proposer une nouvelle recommandation à la France (sur le calendrier de réduction des déficits) avec une nouvelle échéance en 2017″. Il s’agit du 3e délai dont bénéficie la France pour ramener son déficit public dans les clous européens. Le scénario d’un délai de trois ans pour la deuxième économie de la zone euro, soit jusqu’en 2018, circulait récemment à Bruxelles et aurait permis à la France de contourner l’échéance électorale. Le gouvernement français avait initialement prévu un déficit à 3% dès 2015, avant de se montrer plus pessimiste. En outre, le commissaire européen Pierre Moscovici a indiqué mercredi que la Commission attendait de la France qu’elle présente en avril « un programme national de réformes ambitieux ». Celui-ci sera évalué par Bruxelles en mai, a précisé l’ex-ministre de l’Economie lors d’une conférence de presse. Les efforts de la France « sont loin d’être négligeables, mais il faut poursuivre », a-t-il insisté. La Commission a décidé « d’élever d’un cran » la pression sur la France pour qu’elle relance son économie, caractérisée à la fois par « une détérioration de sa compétitivité » et un « endettement élevé », a expliqué le commissaire français. « S’il advenait que le plan national de réformes (…) n’était pas crédible, nous pourrions activer le dernier cran » en imposant au pays « un plan de réformes correctif », a-t-il mis en garde.  Lundi soir, le commissaire allemand Gunther Oettinger, en charge de l’Economie numérique, a protesté contre l’octroi d’un nouveau délai de trois ans pour ramener le déficit français sous 3%. La preuve s’il en était qu’il n’y a pas de vrai gouvernement économique en Europe mais un conglomérat de responsables qui représente surtout leur pays. Moscovici de ce point de vue réussissant bien son numéro d’équilibriste en défendant les intérêts de la France et en faisant semblant de d’être solidaire de la commission européenne.

 

Sondage image de l’entreprise : forte hausse

Sondage image de l’entreprise : forte hausse

Sans doute un effet de la crise et la prise de conscience des réalités économiques. Le discours économiques semblent prendre le pas sur les promesse politiques illusoires même si beaucoup croient encore au père Noël en se réfugiant dans les discours démagos et les extrêmes. Selon le baromètre Posternak/Ifop, les Français n’ont jamais eu une aussi bonne image des entreprises de l’Hexagone. L’indice moyen d’image se situe désormais à 53% (+5 points par rapport au dernier relevé, en novembre 2014), le taux le plus fort depuis mars 2006 (50%). Citroën (76%), Michelin (75%) et Danone (73%) sont les grandes entreprises françaises qui bénéficient de la meilleure image auprès de la population. À l’inverse, la Société Générale (34%), Total (28%) et la SNCF (19%) sont les grandes sociétés qui pâtissent de la plus mauvaise image. Dans l’ensemble, les Français restent positifs vis-à-vis de leurs entreprises. Les secteurs automobile (70% ; +12), de la grande distribution (67% ; +8), des services publics (44% ; +7), des banques et assurances (45% ; +3) ainsi que de la téléphonie (41% ; +3) sont en progrès. Selon Claude Posternak, président de La Matrice, société de conseil dédiée à l’opinion, ces bons résultats s’expliquent par « le transfert de confiance du politique vers l’économie ». Le spécialiste pointe du doigt la politique du gouvernement vis-à-vis des sujets importants pour les Français. « Le chômage est la préoccupation majeure du pays depuis près de vingt ans, assure-t-il. Qui nomme-t-on comme ministre pour s’occuper d’un sujet aussi vital ? (…) François Rebsamen, qui rêvait de devenir ministre de l’Intérieur et qui, faute de mieux, a accepté le poste en avouant ne rien y connaître ». Même problème, selon lui, pour le pouvoir d’achat. « Que font les responsables politiques pour y répondre ? Rien ! (…) Les deux sujets de préoccupation majeurs des Français n’étant pas ou mal traités par ceux qui en ont institutionnellement la charge, le transfert de confiance s’opère au profit des entreprises ».

 

Hollande accompagné par deux actrices françaises aux Philippines, c’est chaud !

Hollande accompagné par deux actrices françaises aux Philippines, c’est chaud !

 

Le monarque républicain a choisi de se faire accompagner par deux stars du show-biz pour son voyage aux Philippines où il doit parler de réchauffement climatique. Ça risque d’être chaud ! il a raison Hollande, un monarque a tous les droits, y compris d’héberger sa favorite  à l’Elysée. Peut-être aurait-on pu penser à scientifique, un spécialiste de l’environnement pout accompagner Hollande mais sans doute un chois pas assez sexy ! Avec l’actrice Marion Cotillard et Mélanie Laurent en guest stars et une escale sur l’île de Guiuan ravagée par le typhon Haiyan en 2013, le président français François Hollande se rend jeudi 26 février aux Philippines pour plaider avec détermination contre le réchauffement climatique. Converti de fraîche date à l’écologie, François Hollande a proclamé sa volonté de « laisser une trace » dans l’histoire en arrachant un « accord historique sur le climat » à l’issue de la conférence mondiale que Paris accueillera en décembre à Paris sous l’égide de l’ONU. Se disant « effrayé » par les conséquences du réchauffement climatique, il a pris depuis quelques mois son bâton de pèlerin pour appeler à la mobilisation sous toutes les latitudes, des Nations unies au Forum de Davos et du Canada aux îles du Pacifique. on déplacement de 48 heures aux Philippines -la première visite officielle d’un chef de l’Etat français dans ce pays- ne doit rien au hasard. L’archipel aux 7.100 îles est l’un des pays les plus touchés au monde par l’élévation des températures. D’une violence inouïe, le super typhon Haiyan et ses vents soufflant à 230 km/h avaient fait plus de 7.350 morts le 8 novembre 2013. Chaque année, les Philippines, un pays en développement de 100 millions d’habitants, sont balayées de juin à octobre par une vingtaine de violentes tempêtes et de typhons. Et leur fréquence augmente. Un « Appel de Manille » devrait être lancé par la voix de Marion Cotillard depuis le palais présidentiel philippin, pour, selon l’entourage du président français, solliciter « la mobilisation de tous en vue d’un accord à Paris ». Aux yeux de Paris, les Philippines sont un « interlocuteur privilégié » dans la perspective de la conférence de Paris, incarnant une « voix progressiste parmi des pays en développement ».  »Chacun doit faire tout son possible pour affronter les enjeux du changement climatique sans attendre ses voisins pour passer à l’action », avait ainsi lancé Benigno Aquino en septembre 2014 lors d’un sommet de l’ONU.

 

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