France : la croissance scotchée
On espérait une petite croissance de la croissance de l’économie française a ralenti à 0,1% au quatrième T et on a eu 0.4% pour l’ensemble de 2014 . la PIB de la France est scotchée sous les 1%. Le produit intérieur brut de la France en 2014 progresse en moyenne de 0,4%, tout comme en 2013 et 2012.Pour 2015, même espérance à 1% mais peut-être même résultat. La véritable panne c’est celle des investissements, ménages comme entreprisse et on voit mal ce qui pourrait la dynamiser tellement la demande est faible et l’attentisme général. Cela d’autant plus que la pouvoir politique dont la popularité avait reprouvé des couleurs après les attentats replonge et va sans doute se dégrader encore après les désillusions relatives tant aux reformes économiques que vis-à-vis de celles concernant al lutte contre le terrorisme. Le pire c’est que les Français ne croient pas en la crédibilité du système politique actuel pas plus qu’ils ne croient le FN capable de gérer le pays. Il n’y adonc aucun visibilité tant sur le pan politique qu’économique voire social. Il n’ya guère que Sapin pour décréter qu’on pu t créer des emplois avec 1% de croissance. Mais la méthode Coué est aussi usée après les incantations bien vaines de l’inversion du chômage. »Une croissance de 0,4%, c’est évidemment encore trop faible« , a commenté le ministre des Finances Michel Sapin dans un communiqué, « mais les conditions sont réunies pour permettre un redémarrage plus net de l’activité en 2015« . « Les derniers signaux économiques sont encourageants et confortent notre prévision de croissance de 1% en 2015« , a-t-il ajouté, en soulignant que les chefs d’entreprises dans l’industrie manufacturière avaient revu récemment à la hausse leurs projets d’investissement pour l’année. La contribution de la demande intérieure finale à la croissance du quatrième trimestre a été positive de 0,1 point et celle de la variation des stocks négative de 0,2 point. Mais le commerce extérieur y a contribué positivement à hauteur de 0,1 point, du fait d’une progression des exportations plus forte que des importations. Les dépenses de consommation des ménages ont résisté avec une hausse de 0,2% et celles des administrations publiques ont augmenté de 0,4%, indique l’Insee. Sur l’année, les premières ont progressé de 0,6%, après 0,3% en 2014, et les secondes, de 1,9% après 2,0%. Mais l’investissement s’est contracté de 0,5%, un recul dû essentiellement aux ménages (-1,5%) du fait de la faiblesse persistante des achats immobiliers. L’investissement des seules entreprises a reculé de 0,2% après avoir été stable au 3ème trimestre.
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