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Archive mensuelle de décembre 2014

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Exil fiscal : une cinquantaine de grandes fortunes françaises « habitent » la Suisse

Exil fiscal : une cinquantaine de grandes fortunes françaises « habitent » la  Suisse

Normalement il faut passer au moins passer six mois dans le pays dit de résidence pour échapper à la fiscalité française (IR notamment). En fait les grandes fortunes n’y résident que de façon très épisodique notamment en Suisse. D’après le classement du journal Bilan Pas moins de 49 Français, des exilés fiscaux, sont théoriquement « présents » en Suisse, pour un patrimoine global de 66 milliards de francs suisses soit 55 milliards d’euros. Parmi eux figurent cette année cinq nouveaux noms, dont celui de l’homme d’affaires Patrick Drahi, le patron de Numericable.  Ce dernier, qui réside officiellement à Zermatt, dans le canton du Valais, apparaît tout de suite au deuxième rang des Français les plus fortunés en Suisse, juste derrière Gérard Wertheimer, propriétaire du groupe Chanel, dont la fortune est estimée entre 9 et 10 milliards francs suisses, (soit entre 7,5 et 8 milliards d’euros). Selon lui, il existe en fait de « nombreux autres Français très riches qui vivent en Suisse sans qu’on le sache, car ils ne le crient pas sur tous les toits ». Ainsi, le classement 2014 fait apparaître quatre autres nouveaux Français dans la liste de Bilan, outre Patrick Drahi dont la fortune est évaluée entre 8 et 9 milliards de francs suisses.  Il s’agit de Monique Roosmale Nepveu du groupe Louis Dreyfus, avec une fortune entre 1 et 1,5 milliard de francs suisses, Marina Picasso, la petite fille du célèbre peintre (entre 1 et 1,5 milliard de francs suisses), Martin Michaeli, le fondateur des chaussures Mephisto, (900 millions et 1 milliard de francs suisses), et la famille Daniel Amar, qui opère dans la grande distribution, (entre 400 et 500 millions de francs suisses). Selon Bilan, parmi les Français redevables de l’ISF (impôt sur la fortune) qui décident de quitter leur pays en raison de la fiscalité trop lourde, la Suisse reste le premier choix pour 20% d’entre eux, suivie par la Belgique (17%) et le Royaume-Uni (14%).  Le classement de Bilan reste dominé par la famille du fondateur d’Ikea, Ingvar Kamprad. Lui-même a quitté la Suisse cette année pour se réinstaller en Suède, mais ses trois fils, qui ont la nationalité suisse, sont restés et ils contrôlent une fortune estimée entre 42 et 43 milliards de francs suisses. Par ailleurs  2.000 Français bénéficient fortunes moyennes) du  régime spécial d’imposition en Suisse.

 

 

Automobiles : pas de vraie reprise en France

Automobiles : pas de vraie reprise en France

Alors que le redémarrage s’amorce en Europe , la France est à la traine avec une croissance qui devrait se situer entre 1 et 2% en 2014. D’une certaine manière les chiffres de la confiance, de la croissance et de l’automobile suivent la même courbe en France : si le décrochage provoqué par la crise économique a été moins fort que chez nos voisins, le redémarrage est bien plus lent. Résultat, alors que les ventes d’automobiles rebondissent en Europe, +6,5% d’immatriculation en octobre, la France fait figure d’exception. Et, les ventes pour le mois de novembre devraient être en recul.  Le marché de l’automobile est très sensible à la croissance et au moral des Français, or ces deux indicateurs sont actuellement dans le rouge. Ce qui se traduit sans surprise par un recul des ventes de voitures, certains professionnels allant jusqu’à parler d’un « véritable décrochage ». Certes, les nouveaux modèles, comme la Twingo ou la Clio 4, se vendent bien mais ils ne permettent pas de tenir à eux seuls le marché français. La raison est toujours la même : un véritable attentisme de la part des clients, renforcé par le contexte de crise. Les français ont peur de l’avenir et, du coup, ne se lancent pas dans l’achat d’une voiture.   Les ventes automobiles sont en plus pénalisées par la transition en cours : après avoir été la championne des motorisations diesel, la France commence à en revenir. « En France, le moteur diesel a longtemps été privilégié. Il l’est encore. (…) Cela a été une erreur, il faut progressivement revenir dessus avec intelligence et pragmatisme », soulignait d’ailleurs vendredi le Premier ministre Manuel Valls. Résultat, la fiscalité sur le diesel se fait de moins en moins avantageuse et remet en cause les certitudes des consommateurs. Moteur essence ou diesel ? Les consommateurs ne savent plus vraiment et reportent un peu plus leurs achats. Même constat morose du côté des entreprises, et notamment à cause des difficultés des professionnels du bâtiment et des travaux publics. Traditionnellement, ce sont de gros acheteurs de camionnettes ou de fourgonnettes mais l’atonie du secteur réduit leur chiffre d’affaires et donc le renouvellement de leur flotte automobile.

 

Réformes structurelles avant l’austérité budgétaire (Commission européenne)

Réformes structurelles avant l’austérité budgétaire (Commission européenne)

 

Dans une interview aux Echos  Valdis Dombrovskis, commissaire européen, faitt état du changement

de stratégie  de l’union européenne qui désormais privilégie les réformes structurelles en mettant la pédale

douce sur  les règles budgétaires. L’union s’aperçoit (sans doute (un peu tardivement) que l’austérité a tué

 la croissance. Une évolution favorable à la France et qui devrait lui éviter des sanctions financières (

autour de 4 milliards normalement).

Quelles priorités pour 2015 ?

 

 

Valdis Dombrovskis- Nous  estimons que l’essentiel de l’ajustement budgétaire a eu lieu. Nos attentes pour 2014 et 2015 est que l’ajustement budgétaire entre les différents pays de la zone euro soient un jeu à somme nulle : ce que nous appelons la « neutralité ». D’ailleurs, cette neutralité permettra la poursuite de la consolidation budgétaire de l’Eurozone, grâce au retour de la croissance.  Ensemble, les 16 pays de la zone euro (hors Grèce et Chypre qui sont sous des programmes d’aide et de surveillance particuliers) affichent un déficit budgétaire de 2,6% cette année . Si l’on regarde les projets budgétaires des Etats pour 2015, ce déficit global devrait tomber à 2,2% l’an prochain, selon leurs calculs. Mais selon les nôtres et en actualisant avec les prévisions d’automne, nous prévoyons plutôt un ordre de grandeur de 2,4% de déficit par rapport au PIB de la zone euro. En partie grâce au retour de la croissance.

La fin de l’austérité budgétaire ?

Il faut rester « responsable ». Sept pays présentent des budgets qui nous semblent mettre en risque le respect du pacte de stabilité et de croissance, dont la France qui ne respecte pas les recommandations sur le déficit budgétaire, et l’Italie et la Belgique qui ne respectent pas les recommandations sur la diminution de leur dette publique. Mais comme nous accordons la priorité aux réformes structurelles, nous donnons à ces pays plus de temps pour faire des réformes et évaluer leur impact sur leurs finances. Ces trois pays nous ont d’ailleurs envoyé une lettre dans laquelle ils détaillent leur programme de réformes avec un calendrier précis.  Au printemps, nous pourrons présenter une analyse plus complète, avec les chiffres sur l’exécution des budgets 2014 et les projets adoptés pour 2015, mais aussi grâce au résultat des 16 enquêtes que nous allons lancer aujourd’hui sur certains déséquilibres macroéconomiques décelés dans les pays membres.

 

Faut-il revoir les règles de la gouvernance des déficits et des budgets mises sur pied récemment à travers des directives compliquées, le « six pack » et le « two-pack » dans le jargon communautaire ?

Ces règles ont cherché à renforcer la gouvernance de l’Eurozone et y ont contribuée, mais il est trop tôt selon nous, pour tirer un bilan. En effet, elles ont été votées et adoptées par le conseil et le parlement européens en 2011 et 2013 et nous ne proposons pas de déjà les changer. Il faut aussi réfléchir sur la manière d’inciter davantage les pays à mettre en œuvre les recommandations de politique économique que la Commission européenne adresse en juin aux Etats, mais cela ne pourra passer que par des consultations plus approfondies avec les parlements des Etats membres et avec les partenaires sociaux. C’est en partie mon mandat, de trouver les moyens d’améliorer la gouvernance économique de l’Union Européenne. Je ferai des propositions pour cela.

 

Fillon et Juppé : non au comité « machin » de Sarkozy

Fillon et Juppé : non au comité « machin » de Sarkozy

 

 

Mauvais début pour Sarkozy qui à la hussarde a voulu cadenasser dès dimanche soir  Fillon et Juppé dans un comité des anciens Premiers ministres, sans même leur en avoir parlé au auparavant. En fait une opération tordue monté avec Devillepin (toujours auusi manœuvrier et  revenu en grâce auprès de Sarkozy)  qui a fait plouc ! ç a démarre mal pour Sarkozy qui claironne partout qu’il veut être le rassembleur mais à sa manière, c’est à dire sous sa bannière en faiat à  sa botte.  , les deux anciens Premiers ministres ne souhaitent pas faire partie du comité des sages que souhaite former Nicolas Sarkozy au sein du parti d’opposition pour favoriser une gouvernance « collective ». Une instance au sein de laquelle Dominique de Villepin a déjà accepté de siéger. Les deux anciens locataires de Matignon ne comptent pas laisser l’ancien président jouer sa petite musique. « Il nous présente un comité des vieux sages pour en faire le comité des vieux cons », confie à ce sujet un proche de François Fillon.   »Il n’y a qu’une instance légitime, renchérit un conseiller d’Alain Juppé. C’est le bureau politique. Et les ex-Premiers ministres en sont membres de droit ». Les deux rivaux de Nicolas Sarkozy ont flairé la manœuvre. « Il décroche Dominique de Villepin de son croc de boucher pour nous tendre un piège, ironise un filloniste. On n’est pas obligé de foncer dedans ».  Avant de l’annoncer sur le plateau du journal de 20 heures de TF1 dimanche, Nicolas Sarkozy a évoqué l’idée avec les deux intéressés au téléphone. Le nouveau chef de file de l’UMP a même testé d’inclure le président du Sénat Gérard Larcher et celui de l’association des Maires de France François Baroin dans ce comité. Mais la proposition n’a pas soulevé un très grand enthousiasme. Nicolas Sarkozy savait donc à quoi s’en tenir. Mais pour l’ancien Président, l’essentiel est ailleurs. En faisant cette annonce, son objectif est clair. Se poser en rassembleur, et rejeter, le cas échéant, la responsabilité de la division sur ses opposants internes.

Manif des patrons: soutien mitigé des Français

Manif des patrons: soutien mitigé des Français  

D’après  un sondage réalisé par OpinionWay pour «Le Figaro» et Axys Consultants les Français apportent un soutien mitigé aux revendications des patrons. A l’évidence il y a encore des progrès à faire dans le pays en matière de compétences économiques.  Certes la baisse  des  impôts et des charges est  jugée prioritaire pour plus de la moitié d’entre eux, et même 44% des électeurs de gauche, ce qui constitue quand même un point fondamental  mais  les Français ne soutiennent pas franchement le mouvement de contestation lancé par l’UPA, la CGPME et le Medef. Les Français avancent peu de solutions pour rendre l’économie plus performante  (autres que la baisse des charges et la simplification du Code du travail dans une moindre mesure). Mettre fin aux 35 heures? Seuls 27% des Français le souhaitent. Libéraliser les secteurs réglementés? À peine 19%. Quant à l’assouplissement de la réglementation sur les licenciements, régulièrement mis en avant par les leaders patronaux et aussi certains membres de l’exécutif (Macron et Valls en tête), elle ne recueille que 6% d’opinions favorables et enregistre, sans surprise, ses plus bas scores… à gauche et chez les salariés.

 

Croissance Chine : net ralentissement

Croissance Chine : net ralentissement

 

L’usine du monde tourne au ralenti, l’activité manufacturière n’a pratiquement pas progressé en novembre après déjà un mois d’octobre décevant. En cause une demande intérieure assez atone et surtout une grande faiblesse de la demande extérieure. Le signe sans doute que la crise mondiale est loin d‘être écartée. Au delà de l’activité manufacturière, c’est toue l’industrie qui es touchée et la croissance avec. L’activité manufacturière en Chine a ralenti en novembre, à son plus faible rythme de croissance depuis huit mois, a indiqué cette nuit le gouvernement, tandis que la banque HSBC faisait état d’une stagnation – des chiffres confirmant l’essoufflement de la deuxième économie mondiale. L’indice PMI des directeurs d’achat calculé par le Bureau national des statistiques (BNS) s’est établi pour le mois dernier à 50,3, contre 50,8 en octobre, a annoncé cette autorité gouvernementale dans un communiqué. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.   L’indice officiel s’est établi en novembre à son plus faible niveau depuis mars dernier, et en-deçà de la prévision des économistes interrogés par le Wall Street Journal, qui tablaient sur 50,6. De son côté, l’indice PMI définitif calculé de façon distincte par la banque HSBC et également publié lundi était de 50,0 pour novembre – contre 50,4 en octobre -, au plus bas depuis mai et suggérant une stagnation de la production manufacturière. « La demande intérieure est sans élan, tandis que la progression des commandes à l’exportation ne cesse de ralentir. Les pressions déflationnistes restent fortes et le marché du travail perd en vigueur », a résumé Qu Hongbin, économiste de HSBC. « La faiblesse n’est pas cantonnée à la demande manufacturière intérieure, les exportations ont aussi souffert (…) A la lumière des indices PMI, il semble que l’activité industrielle dans son ensemble s’est encore refroidie davantage en novembre », a abondé Julian Evans-Pritchard, expert du cabinet Capital Economics.  Ces indicateurs moroses interviennent peu de temps après l’annonce par la banque centrale chinoise (PBOC) d’une baisse de ses taux d’intérêts – mesure inédite depuis 2012 – dans l’espoir de doper une activité économique en désarroi et de contrer l’assombrissement de la conjoncture.

Manif des patrons contre 30 ans d’inepties économiques

Manif  des patrons contre 30 ans d’inepties  économiques

Cette fois les patrons sont bien choisis leur cible, il s’agit de protester contre 30 ans d’inepties économiques, des inepties caractérisées par une fiscalité qui tue la compétitivité et des procédures qui tue l’initiative et innovation. En fait 30 ans de montée en puissance d’une administration qui étouffe tout par ses coûts, ses impôts, ses directives, ses contrôles. Trente  ans auusi pendant lesquels  les hauts fonctionnaires ont noyauté la politique et imposé leurs vison bureaucratique  et suicidaire pour la croissance et l’emploi.  Ce lundi, les patrons lancent une semaine de mobilisation pour protester contre « 30 années » d’un politique qui, selon eux, a « bridé » l’économie. Parmi les actions, phénomène rare, des manifestations dans les rues de Paris et Toulouse.  Les trois grandes organisations patronales, Medef, CGPME et UPA, lancent ce lundi leur semaine de mobilisation. Elles entendent ainsi protester contre ce qu’elles estiment être une mauvaise politique économique menée depuis 30 ans.  »Notre économie va mal. Elle est bridée par 30 années d’une politique qui a progressivement étouffé les entreprises de toute taille par une accumulation de charges, de contraintes, de taxes et de sanctions« , rappelaient-elles mi-novembre, lors de l’annonce de leur mouvement.  La Confédération des petites et moyennes entreprises (CGPME), elle, ouvre la semaine avec deux actions très inhabituelles pour le patronat : deux manifestations, l’une à Paris, l’autre à Toulouse. Les participants commenceront à défiler à 10h dans les rues des deux villes.

Nouveau nom pour l’UMP, pourquoi pas le PMU ?

Nouveau nom pour l’UMP, pourquoi pas le PMU ?

C’est Juppé, pas très favorable au changement de nom de l’UMP, qui avait suggéré avec une certaine malice PMU. U, sigle qui serait de circonstance. En effet c’est un pari que fait l’UMP en confiant les rênes à Sarkozy.  Car Sarkozy ne sait faire que du Sarkozy et la démocratie participative ou la synthèse n’est pas sa tasse de thé. Comme d’habitude il va jouer au bulldozer.  En changeant le nom du parti, il va imposer son équipe, un fonctionnement qui lui convient avec des statuts adaptés. Autant dire qu’il y aura peu de place pour la contestation. Le pari est dangereux pour l’UMP car si comme c’est possible une des affaires en cours vient discréditer Sarkozy c’est tout le parti qui sera impacté ; Or il est vraisemblable que Hollande a intérêt à déstabiliser l’UMP (ou le PMU) le plus prés possible de 2017, cela avec laide «  de l’indépendance de la justice ».  Pas forcément un bon calcul pour le parti de l’opposition de miser tout sur le même  cheval. Il est vrai que la mode est au changement de nom des partis, au centre, au PS et même au FN ; sans doute pour présenter un emballage plus présentable à des politiques le plus souvenait insipides et/ou illusoires.

Sarkozy -Un comité des anciens premiers ministres : pour quoi faire ?

Sarkozy -Un comité des anciens premiers ministres : pour quoi faire  ?

 

Autant un comité de tous les anciens premiers ministres ( de gauche comme de droite) pourrait éventuellement avoir un sens une sorte de comité des sages) autant un comité de ce type ressemble davantage à un verrouillage de l’ appareil qu’à une ouverture ; en fait Il s’agit de museler notamment Juppé et Fillon, une ficelle un peu grosse  Le nouveau président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, a en effet annoncé dimanche 30 novembre, la création d’un « comité des anciens premiers ministres » au sein du parti d’opposition afin de favoriser une gouvernance « collective ».  Invité du journal de 20 heures de TF1, l’ancien chef de l’Etat a réaffirmé son engagement d’organiser des primaires en 2016 en vue de l’élection présidentielle de 2017. Des primaires ouvertes aux centristes de l’UDI, mais à pas à ceux du MoDem de François Bayrou qui « ont fait l’élection de François Hollande » en 2012. « Je n’ai pas l’intention (…) de conduire cette formation politique seul », a dit Nicolas Sarkozy au lendemain de son élection avec 64,5 % des voix. « Je créerai un comité des anciens premiers ministres de notre famille politique, qui m’aideront de leurs conseils et de leur expérience dans la conduite de cette formation », a-t-il dit. Il a précisé avoir rencontré dimanche à ce sujet Dominique de Villepin, qui a accepté de siéger dans ce futur comité. Il n’a en revanche pas précisé s’il avait recueilli l’assentiment d’Edouard Balladur, Jacques Chirac, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon. Nicolas Sarkozy, qui devra notamment compter avec Bruno Le Maire, fort d’un score de plus de 29 %, a assuré qu’il constituerait « une équipe qui représentera toutes les sensibilités de notre mouvement parce que le temps d’aujourd’hui est au collectif ».

 

 

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