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Archive mensuelle de juillet 2014

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Foot Suarez : une proposition pour jouer au Kossovo pour 1500 euros par mois !

Foot Suarez : une proposition pour jouer au Kossovo pour 1500 euros par mois !

 

Une équipe du championnat de première division du Kosovo, Hajvalia, a offert à l’Uruguayen Luis Suarez, exclu du Mondial 2014 pour avoir mordu un adversaire, de jouer en toute légalité pour elle durant sa suspension pour neuf matches par la Fifa, car le Kosovo n’en est pas membre.  La proposition a été faite par Xhavit Pacolli, le président de Hajvalia, petite équipe d’un quartier de la capitale kosovare de Pristina qui occupe la 6e place dans la première division locale.  M. Pacolli a indiqué à l’AFP qu’il offrait une rétribution de 1.500 euros par mois à la star uruguayenne jusqu’au mois de novembre, lorsque sa suspension arrive à terme. M. Pacolli serait prêt à débourser 30.000 euros sur les quatre prochains mois, montant qui sera versé dans les caisses de Liverpool si l’équipe anglaise, pour laquelle il joue, autorise Suarez à fouler les pelouses du championnat kosovar.  « Le montant peut faire sourire (Suarez) mais c’est tout ce que nous pouvons lui offrir », a dit M. Pacolli. Le Kosovo, qui a proclamé son indépendance de la Serbie en 2008, n’est pas membre de l’Uefa (instance dirigeante du foot européen) ni de la Fédération internationale de football en raison de l’opposition de Belgrade. L’indépendance du Kosovo a été reconnue par les États-Unis et une majorité de pays de l’Union européenne. Elle est farouchement rejetée par la Serbie, appuyée par la Russie et… l’Uruguay.  La commission de discipline de la Fifa a infligé à Suarez une suspension de neuf matches et quatre mois d’interdiction de toutes activités liées au football après avoir mordu le joueur italien Giorgio Chiellini pendant de la Coupe du monde de football au Brésil.

Budget Sécu : ça coince !

Budget Sécu : ça coince !

Le gouvernement a décidé lundi soir de remettre à plus tard les votes à l’Assemblée sur les articles et amendements au projet de budget rectificatif de la Sécu pour 2014, provoquant la consternation dans l’hémicycle et l’indignation d’une partie de la majorité. Cette décision, annoncée par le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, au début de la discussion du texte, peut laisser présager le recours au vote bloqué sur tout ou partie du texte, ce qui permettra de ne retenir que les amendements présentés et acceptés par le gouvernement. C’est ainsi que l’ont interprété notamment le patron des députés UMP Christian Jacob et l’ancienne ministre écologiste Cécile Duflot.  Dans les rangs du PS, se trouvaient alors présents de nombreux «frondeurs», prêts à défendre notamment un amendement pour une contribution sociale généralisée (CSG) progressive. L’un d’eux, Christian Paul, a dénoncé le recours à «des outils rouillés qui n’honorent pas le gouvernement», face à des députés «nombreux et soucieux de défendre leurs propositions». Le vice-président (PS) de la commission des Finances, Pierre-Alain Muet, s’est aussi insurgé dans un tweet contre «une caricature de démocratie qui ôte le seul vrai pouvoir des députés: le droit d’amender».  Les écologistes ont évoqué une «crise des institutions», le Front de gauche un gouvernement qui «ne recule devant rien». Dans l’opposition, le président du groupe UDI Philippe Vigier a pointé «un blocage institutionnel majeur» et Christian Jacob «une situation totalement inédite», en demandant une réunion immédiate de la conférence des présidents de l’Assemblée. À l’inverse, le président du groupe socialiste, Bruno Le Roux, a salué une décision «sage» du gouvernement afin de permettre «le débat». Christian Eckert a demandé «la réserve des votes» jusqu’»au moment où (le gouvernement) estimera utile et nécessaire de reprendre les votes», en précisant que le recours à l’article 44-3 de la Constitution sur le vote bloqué n’était qu’une possibilité. «Le gouvernement fera savoir (mardi) s’il fera reprendre le vote des amendements ou s’il aura recours à d’autres procédures prévues par la Constitution», a-t-il ajouté. Dans l’entourage du premier ministre Manuel Valls, on a justifié cette méthode auprès de l’AFP par la volonté d’»avancer dans les meilleures conditions». Les députés ont ensuite discuté vaille que vaille du 1er article du projet de loi de financement de la Sécurité sociale rectificative (PLFSSR), consacré à des allègements de cotisations salariales, dans le cadre de la mise en œuvre du pacte de responsabilité et de solidarité.

Sarkozy : devant la police judiciaire

Sarkozy : devant  la police judiciaire

 

Ça chauffe pour Sarkozy. C’est à son tour  Sarkozy après que l’avocat de l’ancien président de la République, Thierry Herzog, et deux avocats généraux à la Cour de cassation, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust, aient été placés en garde à vue. «On s’y attendait», affirme au «Parisien» – «Aujourd’hui en France» un proche de Nicolas Sarkozy. «Depuis deux ans, rien ne lui a été épargné».. Le trafic d’influence présumé dans lequel est impliqué Nicolas Sarkozy a été mis à jour en mars dernier lorsque le quotidien du soir révèle des écoutes téléphoniques entre l’ancien chef de l’Etat et son conseil. A la base, Sarkozy aurait été écouté à la demande des juges enquêtant sur les accusations de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. A cette occasion, les enquêteurs découvrent une autre affaire: les conversations avec Me Thierry Herzog révèlent que l’ancien Président serait discrètement renseigné sur l’affaire Bettencourt, dans laquelle il est également cité, par Gilbert Azibert, avocat général à la Cour de cassation. Ce juge, un proche de Me Herzog, aurait en échange demandé à l’ancien chef de l’Etat de jouer de ses relations pour lui faire obtenir un poste à Monaco, en vain. Se sachant écouté, l’ancien Président s’était par ailleurs équipé d’un deuxième portable, acheté par Me Herzog sous le nom de «Paul Bismuth», un ancien camarade de lycée de l’avocat.  Sur le principe, le fait que les conversations entre Nicolas Sarkozy et son avocat aient été écoutées soulève une fronde des magistrats qui éclabousse jusqu’au gouvernement socialiste. La garde des Sceaux, Christiane Taubira, devient la cible de l’opposition.

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

 

 

On se demande vraiment à quoi servent les chaines publiques, e n effet un événement comme le Mondial devrait être diffusé sur le France 2 ou France 3.On objectera que les droits ont couté 130 millions à TF1 (mais une partie revendus à BeIN) ; finalement pour voir le foot  à  la télévision, il faut  bien entendu payer la redevance obligatoire mai auusi Canal pour le championnat de France et aussi à BeIN pour les matchs non diffusés par les autres. Tout cela faiat beaucoup d’abonnements.. Pas étonnant la quasi totalité du budget passe en frais de fonctionnement sur les chaines publiques notamment pour le personnel (environ 10 000 personnes ! , une véritable gabegie) pour un budget de l’ordre 3 milliards. Après la victoire des Bleus en huitième de finale, TF1 en tout cas fait le carton plein en termes d’audience et de recettes publicitaires. De fait, la première chaine a récolté plus de 40 millions d’euros de recettes publicitaires brutes depuis le début de la compétition, avance Stratégie qui cite des données de Kantar Media. D’après des estimations, ce montant brut, hors partenariats et supports numériques, correspondrait à 22 millions d’euros de recettes pub net. Près de 226 annonceurs ont déjà diffusé des messages publicitaires via les écrans pub de TF1. Apple prend la tête des diffuseurs avec 1,5 million d’euros investi, suivi par le PMU (1,4 million d’euros) et enfin Beiersdorf (1,3 million d’euros), groupe qui détient notamment de la marque Nivea. Dans le top 10 des annonceurs, le secteur automobile prend la tête du classement avec quatre constructeurs (dont Citroën et Peugeot côté français) suivi par le secteur des paris sportifs avec PMU et la FDJ.

Air France : encore un plan d’économies

Air France : encore un plan d’économies

Pas d’autre solution pour Air France que de faire des économies ; Il s’agit de résister aux low cost en général et d’améliorer la compétitivité sur le moyen courrier. Après le plan « Transform 2015″, la compagnie aérienne annoncera, le 25 juillet, de nouveaux efforts qui porteront sur un nombre restreint d’activité. Le groupe devrait notamment miser sur une amélioration de la productivité et la montée en puissance de ses filiales low-cost. Air France-KLM dévoilera l’après « Transform 2015″ le 25 juillet prochain. Le PDG Alexandre de Juniac détaillera en marge des résultats semestriels du groupe le nouveau plan d’économie de la compagnie Air France. Si « Transform 2015″ concernait toute l’entreprise, cette fois les efforts porteront sur certaines activités.  Le court et moyen-courrier reste le principale foyer de perte d’Air France. Bien que le plan d’économies mis en place il y a deux ans ait permis de réduire de 100 millions d’euros par an les pertes, cette activité reste lourdement déficitaire. Il faut donc aller plus loin. Selon nos informations, le plan d’Alexandre de Juniac comportera 3 grandes orientations. Il y aura une redistribution des rôles entre Air France, Hop et Transavia. On assistera ainsi à une montée en puissance de Hop et de Transavia dont les coûts fixes sont moins importants qu’Air France.  Il va falloir aussi réaliser de nouvelles économies. A priori pas de réduction d’effectifs mais une amélioration de la productivité. Toutes les escales devront y contribuer mais en fonction de leur taille. Impossible de demander les mêmes efforts à Marseille et à Clermont Ferrand !

 

Lunettes : remboursements limités à 470 €

Lunettes : remboursements limités  à 470 €

Pour une fois le gouvernement a raison car le prix des lunettes en France est scandaleux comparé à celui qu’on pratique dans le reste de l’Europe ; En gros une paire de lunettes a un cout d’environ 100 euros et est revendu 3 fois plus cher. En cause, l’épidémie de magasins qui fleurissent même dans les plus petits villages et qui vendent en moyenne moins de 3 paires de lunettes par jour ! Le gouvernement a donc présenté lundi son projet de décret. Pour « faire baisser le prix de l’optique », il impose un plafonnement des remboursements par les mutuelles. Sous la pression des opticiens, le plafond a été relevé, de 450 à 470 euros. Le décret fixe aussi un plafond de remboursement pour les dépassements d’honoraires des médecins.  Le gouvernement a légèrement revu sa copie, sous la pression des syndicats d’opticiens. Initialement, il était question de plafonner le remboursement des lunettes par les mutuelles à 450 euros. Finalement ce sera donc 470 euros pour des verres simples, et 750 euros pour des verres complexes – 850 euros pour les verres très complexes. Avec une obligation : ne pas dépasser 150 euros pour la monture – le reste étant consacré aux verres. Le gouvernement fait le pari qu’en limitant les remboursements il poussera les opticiens à offrir des tarifs plus raisonnables. Actuellement, écrit le ministère de la Santé dans un communiqué, plus les mutuelles remboursent plus le prix des lunettes augmente. Il s’agit, à en croire le ministère, de casser une spirale inflationniste.  Ces montants s’appliqueront aux contrats dits « responsables et solidaires » des complémentaires, qui devront remplir un certain nombre de critères pour bénéficier d’une fiscalité allégée. Proposer une couverture complémentaire allant au-delà de ces plafonds reviendra pour les complémentaires à perdre ces avantages.  Le gouvernement va donner un délai aux mutuelles pour s’adapter. Si votre contrat est déjà en cours, votre mutuelle aura jusqu’à la fin de l’année 2017 pour appliquer les plafonds de remboursement. En revanche, dans le cas d’un nouveau contrat, ce sera obligatoirement dès avril 2015.  D’après l’UFC-Que choisir une paire coûtant 393 euros en moyenne hors taxe coûterait… 3,3 fois moins cher à l’opticien, c’est-à-dire 118 euros pour une monture et des verres. Cela représente un taux de marge brute moyenne de… 233%. Elle atteint 342% pour les verres unifocaux et 304% pour les verres progressifs. D’après cette étude reposant sur une enquête réalisée auprès des opticiens, les marges servent essentiellement à financer les frais de fonctionnement, la prestation (deux heures par monture en moyenne) et de marketing. Ce qui réduit la marge nette à 28 euros par paire. A l’égard des frais de marketing, l’UFC pointe les 580 millions d’euros dépensé chaque année (sur un chiffre d’affaires total de 4,7 milliards d’euros pour le marché de des lunettes de vue). Il vise également la pratique devenue courante de vendre une deuxième, voire une troisième, paire à un prix symbolique. Pour Mathieu Escot, chargé de la santé à l’UFC, c’est là le « signe d’un marché défaillant.  » Parce que chaque opticien vend trop peu de lunettes. Par jour, l’UFC estime qu’une boutique en vend 2,8 paires. Un niveau très faible qui proviendrait de la profusion de l’offre. L’Hexagone en compte aujourd’hui plus de 11.000. Depuis l’an 2000, 3.650 nouvelles boutiques ont ouvert en France, soit une hausse de 47%. Une explosion qui, selon cette étude, ne s’explique pas seulement par la démographie. Bien au contraire. Sur cette période, la part attribuée à l’accroissement de la population atteint 8% et celle liée à son vieillissement de 5%, sachant que les personnes les plus âgées sont plus enclines à porter des lunettes, le reste, soit 34% de la hausse du nombre de boutiques, serait superflue. Il y aurait même « 2.465 boutiques supplémentaires [qui] ne répondent pas à des besoins réels et dont le consommateur doit supporter les coûts », est-il écrit dans l’étude.

 

Renault prend le contrôle de Lada

Renault prend le  contrôle de Lada

Renault-Nissan  a finalisé la prise de contrôle du constructeur automobile Avtovaz, propriétaire de la célèbre marque Lada. « La transaction a été finalisée le 18 juin », a indiqué à l’AFP une porte-parole de Renault. « La part effective (de Renault-Nissan) dans le capital d’Avtovaz est de 50,01%. La prise du contrôle sur Avtovaz ne change en rien la stratégie de l’entreprise », a-t-elle ajouté. Techniquement, Renault-Nissan détient 67% d’une société commune avec la holding publique russe Rostec, qui elle-même détient 74,51% d’Avtovaz. La transaction représente un investissement de 23 milliards de roubles (environ 500 millions d’euros au cours actuel) étalé depuis la signature de l’accord fin 2012.  L’alliance franco-japonaise avait alors conclu cette transaction afin d’asseoir sa présence sur le deuxième marché automobile en Europe, alors en pleine croissance. Depuis, les ventes automobiles y ont cependant subi de plein fouet le ralentissement de la croissance en Russie. Les ventes d’Avtovaz ont chuté de 12% en 2013, entraînant des pertes nettes pour le constructeur, et la tendance s’est poursuivie sur les cinq premiers mois de l’année. Après le départ pour le secteur spatial de son directeur général Igor Komarov fin 2013, les actionnaires ont désigné pour le remplacer un ancien cadre de General Motors, Bo Andersson. Ce Suédois, premier dirigeant non Russe du constructeur, a lancé dès son arrivée un plan social prévoyant la suppression en 2014 de 10% du personnel d’Avtovaz, soit 7.500 postes. Le nouveau patron du groupe s’est fixé comme objectif un retour à la rentabilité dès cette année.

 

Croissance Italie : nulle en 2014

Croissance Italie : nulle en 2014

Pratiquement pas de reprise en 2014  a annoncé lundi l’Institut national de la statistique. « La reprise économique sera probablement plus échelonnée que prévu au début de l’année » a dit l’Istat dans son rapport mensuel, ajoutant que le PIB annuel de la troisième économie de la zone euro devrait être « faiblement positif. » Selon ses prévisions publiées la semaine dernière, la principale organisation patronale italienne, la Confindustria, anticipe une croissance de seulement 0,2% cette année après des contractions de 1,9% en 2013 et 2,4% en 2012. Ces chiffres sont largement inférieurs à l’objectif officiel, de +0,8%, sur lequel le gouvernement de Matteo Renzi a bâti son budget, avant la contraction surprise du PIB au début de l’année. Selon l’Istat, la production industrielle devrait être étale au deuxième trimestre et la croissance PIB, qui avait reculé de 0,1% au premier trimestre, se situer entre -0,1% et +0,3%. L’institut a également mis en garde contre le risque de déflation résultant de la faible dynamique des prix. Selon les chiffres publiés lundi, les prix à la consommation, basés sur l’indice italien des prix à la consommation harmonisés de l’Union européenne, ont progressé à un rythme annualisé de 0,2% en juin, son taux le plus bas depuis près de cinq ans. « Aucun signal clair n’a encore émergé sur le fait que le risque de déflation s’éloigne », a dit l’Istat, ajoutant qu’il anticipait une inflation stable cet été avant une « hausse modérée au cours du reste de l’année. »

 

BNP : amende de 8,9 milliards de dollars

BNP Paribas : amende de 8,9 milliards de dollars

N faiat d’après la justice américaine la fraude était connue jusqu’au  plus haut niveau d’où la double punition : une amende de près de 9 milliards de dollars et la demande de démission de dirigeants. BNP Paribas a donc accepté lundi de plaider coupable de deux chefs d’accusation et de s’acquitter d’une amende record de 8,9 milliards de dollars (6,5 milliards d’euros) dans le cadre d’un accord avec les autorités américaines destiné à mettre fin à un contentieux juridique qui plombe son cours de Bourse depuis près de cinq mois. La banque française devra également suspendre pendant un an à partir du 1er janvier 2015 des opérations de compensation en dollar, principalement liées à des financements sur les marchés du pétrole et du gaz. Le régulateur bancaire de l’Etat de New York a annoncé que 13 collaborateurs de BNP Paribas allaient quitter leurs fonctions dans le cadre de cet accord, dont Georges Chodron de Courcel, l’un des directeurs généraux délégués du groupe. Sans directement faire le lien avec son contentieux aux Etats-Unis, BNP avait annoncé le 12 juin que Georges Chodron de Courcel quitterait son poste le 30 juin. Un avocat de la banque française s’est présenté devant un tribunal de New York pour répondre du chef d’accusation de falsification de documents commerciaux et de celui de collusion. Le substitut du procureur Ted Starishevsky a déclaré que la BNP était impliquée dans une collusion « de long terme » et couvrant « plusieurs juridictions », violant les règles américaines d’embargo en facilitant des transactions avec le Soudan, Cuba et l’Iran.   »Cette conduite, cette collusion était connue et tolérée aux plus hauts niveaux de BNP », a-t-il dit. Le responsable des affaires juridiques de la banque, Georges Dirani, a déclaré au juge que BNP avait pris des mesures entre 2004 et 2012 pour se soustraire aux sanctions prises par Washington à l’encontre de ces trois pays. BNP Paribas avait provisionné 1,1 milliard de dollars au quatrième trimestre 2013 pour ce litige mais a prévenu le 30 avril qu’une éventuelle amende pourrait largement dépasser ce montant.  L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), qui dépend de la Banque de France, a estimé lundi soir que la banque jouissait d’une situation de solvabilité et de liquidité « tout à fait solide » et qu’elle était en mesure de poursuivre son activité.

 

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