Mondial foot- Brésil Croatie : premier scandale de l’arbitrage
Arbitrage toujours auusi nul et partial au Mondial et qui permet au Brésil de s’imposer 3-1 face à la Croatie qui a réalisé un très bon match. Deux erreurs magistrales : un pénalty inexistant accordé au Brésil et le refus d’un but à la Croatie parfaitement valable. Des arbitres toujours auusi incompétents qui n’ont jamais joué au foot, mal formés et partiaux. Le Japonais Yuichi Nishimura, arbitre du match, a notamment sifflé un penalty plus que douteux suite à une faute peu évidente de Dejan Lovren sur Fred (71e) et ignoré une faute de Ramires sur le troisième but d’Oscar. À l’issue de la rencontre, le sélectionneur croate Niko Kovac était particulièrement remonté. « Si c’est comme ça qu’on commence la Coupe du Monde, nous ferions mieux de leur donner et de rentrer à la maison, a-t-il lâché. Nous parlons de respect. Ce n’est pas du respect, la Croatie n’en a pas eu. Si ça c’est un penalty, nous n’avons plus besoin de jouer au football. Jouons au basket à la place. C’est une honte !» Sur l’action litigieuse, l’attaquant brésilien Fred se laisse clairement tomber dans la surface. L’arbitre se laisse abuser et désigne le point de penalty. Dejan Lovren, le défenseur croate, est furieux. L’ancien Lyonnais reçoit un carton jaune. Ce pénalty «imaginaire» donnera l’avantage aux Brésiliens en seconde période. «Il n’y avait pas faute», déplore Jorge Reis, un supporteur Brésilien de 51 ans, maillot et perruque aux couleurs auriverde, qui a suivi le match dans la «fan fest» de Sao Paulo, où étaient réunies 30 à 40.000 personnes. Dejan Lovren, est furieux après le penalty imaginaire et reçoit un carton jaune .
Bonjour, je partage tes mots.
Lors de l’histoire des coupes du monde, il est toujours difficile, sans faits avérer, de savoir si l’une des deux équipes s’affrontant, ou bien l’arbitre ont reçu des consignes, voir des menaces, des chantages physiques ou financiers quant à la destinée d’un match. Mais bien souvent, des années plus tard, des faits remontent à la surface, et on peut constater que la moitié des équipes ayant gagné la coupe du monde n’étaient pas forcément les meilleurs, et ont surtout profité des contextes politiques, financiers, médiatiques.
Tout d’abord, de manière objective, on peut effectivement signaler le pénalty qui n’aurait pas dû être accordé au Brésil, et le but valable qui aurait dû être accordé à la Croatie. Lorsqu’on y ajoute la faute de Ramires sur le troisième but auriverde, effectivement, le bon sens nous confie que ce match-là a non seulement été faussé, mais en plus été complètement gagné non pas par les joueurs brésiliens mais par des décisions arbitrales injustifiées.
Aussi, on peut, de manière tout aussi objective, observer que le Brésil est le pays dans lequel les citoyens aiment et admirent le plus le football.
Le contexte actuel de cette nation respire les tensions sociales, et sociétales, en partie dues aux déséquilibres de la répartition des capitaux, à la misère économique, sociale des brésiliens. Une misère décuplée par le coût et les investissements monstrueux en lien avec cette coupe du monde de la part des autorités gouvernementales brésiliennes.
On peut signaler la tension qui règnent dans ce pays.
On peut signaler que de nombreux manifestants en colère contre le gouvernement ont affirmé qu’ils se calmeraient si le l’équipe brésilienne gagnait cette coupe du monde. Cela signifie donc qu’en cas de défaite du Brésil, les révoltes reprendront leur cours de plus belle.
Par conséquent, on peut en conclure, en observant ces éléments, que les arbitres subiront l’influence de ce contexte. Restera à savoir, peut-être des années plus tard, si l’influence des autorités gouvernementales brésiliennes, et de la Fifa se sont elles-aussi manifestées, et sous quelles formes…
Rebonjour, je ne sais pas si tu publieras mon commentaire, mais je l’ai quelque peu modifié, voir beaucoup, en mieux, sourire. Donc je veux bien t’envoyer le commentaire amélioré, si tu le souhaites, antoine.