Archive mensuelle de avril 2014

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Hollande sifflé à Carmaux

Hollande sifflé à Carmaux

François Hollande a essuyé des sifflets à son arrivée mercredi après-midi à Carmaux, où il doit rendre hommage à Jean Jaurès, dont on célèbre cette année le centenaire de la mort. Le chef de l’Etat était descendu de voiture pour saluer des habitants massés derrière des barrières à proximité de la place Jean Jaurès, qui abrite la statue du célèbre socialiste, quand il a essuyé des huées. De nombreux riverains avaient auparavant fait part aux journalistes de leur mécontentement devant l’important dispositif policier mis en place, qui les maintenait éloignés de la place. « C’est une honte! Il y a deux ans (lorsque François Hollande était venu rendre hommage à Jaurès pendant la campagne présidentielle, Ndlr) j’étais sur la place Jean Jaurès », s’est plainte Catherine Marchetti, chômeuse de 51 ans. « Même le pape se frotte à la foule, même Sarkozy a pris des tomates (…) De quoi a-t-il peur? ».  »S’il voyait ça, Jaurès se retournerait dans sa tombe! », s’est également indignée Francine Iglesias, 66 ans. S’adressant directement au président, une habitante lui a lancé : « On est déçus M. le Président ». « En 2012, on était là et aujourd’hui on ne peut même pas aller au dépôt de la gerbe », a-t-elle également déploré.  Après avoir échangé quelques mots avec les habitants et serré des mains, le président – qui a aussi reçu quelques encouragements – est remonté dans sa voiture pour rejoindre la place. Quelques minutes plus tard, il expliquait aux journalistes que le quartier avait été bouclé « pour des raisons protocolaires ». Après le dépôt de gerbe, il a également choisi de faire à pied la distance séparant la place de la salle François Mitterrand où il devait prendre la parole. Là plus de huées, et François Hollande a pu longuement serrer des mains et discuter avec les habitants. « Ça me toujours fait plaisir de rencontrer les Français, avec ce qu’ils peuvent dire parfois d’encouragements – c’est le plus souvent – parfois aussi d’exigence, d’impatience et moi, je suis là pour ça », a lancé François Hollande.

 

Affaire Morelle ; un copain énarque remplace le copain viré

Affaire Morelle ; un copain énarque remplace le copain viré

Gaspard Gantzer, 34 ans, un énarque qui a travaillé aux côtés de Bertrand Delanoë puis Laurent Fabius, a été nommé conseiller chargé des relations avec la presse et chef du pôle communication à l’Elysée, a annoncé mercredi la présidence.  Il devait seconder le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll mais la démission d’Aquilino Morelle, soupçonné de conflit d’intérêts, lui a offert une promotion. Gaspard Gantzer a été nommé mercredi soir « conseiller chargé des relations avec la presse, chef du pôle communication, à la Présidence de la République », a indiqué l’Elysée dans un communiqué. Il reprend ainsi en partie les attributions d’Aquilino Morelle. Issu comme Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l’Elysée, de la promotion de l’Ena Léopold Sédar Senghor (2004), Gaspard Gantzer a notamment été conseiller pour la communication (2010-2012) puis porte-parole de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris de mai 2012 à janvier 2013. Il était depuis janvier 2013 le conseiller communication et presse de Laurent Fabius au Quai d’Orsay. Un autre conseiller de l’Elysée va également quitter le Chateau quelques jours après Aquilino Morelle. Il s’agit de son ancien adjoint, Christian Gravel. Mais ce dernier explique selon le Lab, qui cite un SMS envoyé à ses amis, que son « départ n’a rien à voir avec la dernière petite affaire elyséenne… C’est un choix personnel. »

Alstom va devenir américain….et disparaître ?

Alstom va devenir américain….et disparaître ?

Exemple typique du processus de désindustrialisation, Alstom fleuron de l’industrie française risque de passer sous les couleurs américaines et peut –être à terme de disparaitre. Une entreprise pourtant largement soutenue pas l’Etat et surtout par les commandes de centrales électriques de  matériel ferroviaire (notamment TGV)  et les chantiers navals en son temps. Quand GE aura récupérer les clients et la technologie d’Alstom, il est prévisible que le dégraissage va s’amorcer peut-être pour finir comme nombre d’autres industries. General Electric, le plus grand groupe industriel américain, aurait déjà approché le gouvernement français pour sonder sa position dans le cas de son rachat d’Alstom. Ce conglomérat serait prêt à payer plus de 13 milliards de dollars pour ce fleuron de l’industrie française, soit quelque 25% de plus que sa valeur boursière. Selon la presse américaine, GE aurait déjà obtenu le soutien de Bouygues, actionnaire d’Alstom à hauteur de quelque 25%. Il s’agirait de la plus grosse acquisition pour General Electric depuis sa tentative de rachat de la compagnie Honeywell. GE est déjà leader dans les moteurs d’avion, les locomotives, la génération électrique et les équipements médicaux.  Des « rumeurs totalement infondées » ? Des informations qualifiées de  »rumeurs totalement infondées » par une porte-parole de l’industriel français. Et dans un communiqué publié ce jeudi matin, le groupe assure « qu’il n’est informé d’aucun projet d’offre publique visant son capital ».  Mais selon Bloomberg, un accord entre les deux parties pourrait être annoncé dès la semaine prochaine. Selon son service de communication, Alstom emploie 93.000 personnes dans une centaine de pays, a réalisé un chiffre d’affaires de 20 milliards d’euros et enregistré pour près de 24 milliards d’euros de commandes en 2012/13.

 

Facebook : boite à fric

Facebook : boite à fric

Facebook, une sorte d’auberge espagnole, on trouve tout et rien, quelques  publications intéressantes mais beaucoup auusi sans intérêt. Surtout une boite à fric. En effet  les résultats de Facebook sont encore meilleurs que prévu au premier trimestre. Son bénéfice net a presque triplé à 642 millions de dollars. Selon des résultats publiés ce mercredi 23 avril, le bénéfice net par action a dépassé de 10 cents la prévision moyenne des analystes, à 34 cents. Les recettes publicitaires ont bondi de 82% sur un an, à 2,27 milliards de dollars, avec une part du mobile qui continue de monter, à 59% contre 53% au dernier trimestre 2013 et 30% il y a un an. Le chiffre d’affaires total du groupe s’est envolé au premier trimestre de 72%, à 2,50 milliards de dollars, dépassant le consensus du marché qui était de 2,36 milliards. Le nombre d’utilisateurs du réseau et leur engagement continue aussi de progresser: Facebook revendiquait fin mars 1,28 milliard d’utilisateurs actifs mensuellement, contre 1,23 milliard trois mois plus tôt. Parmi eux, 802 millions se connectent tous les jours, soit une part de 65,2% elle aussi en amélioration comparé au trimestre précédent (61,5%).Facebook a annoncé parallèlement à ses résultats trimestriels le départ de son directeur financier depuis cinq ans, David Ebersman. Il sera remplacé le 1er juin par David Wehner, un vice-président du groupe déjà en charge de questions financières, mais restera au sein du groupe jusqu’à septembre pour assurer une meilleure transition, précise le communiqué. Dans les échanges électroniques suivant la clôture de Wall Street, l’action Facebook gagnait 2,72% à 63,03 dollars vers 21H25 françaises.

Programme de stabilité : doutes de Migaud.

Programme de stabilité : doutes de Migaud.

À l’issue du Conseil des ministres, le gouvernement a présenté le programme de stabilité devant la Commission des finances de l’Assemblée nationale. La première étape d’une longue séquence budgétaire qui s’achèvera à Bruxelles au début du mois de mai.  Conformément aux engagements européens de la France, ce plan doit ramener le déficit sous les 3% en 2015. Michel Sapin et Christian Eckert ont également annoncé que le pacte de responsabilité et de solidarité devrait permettre de générer 200.000 emplois supplémentaires d’ici à 2017. Un scénario pris avec des pincettes par le président du Haut Conseil des Finances Publiques, Didier Migaud. « Sur 2015, nous avons effectivement des interrogations, indique le premier président de la Cour des comptes. S’il estime que « l’hypothèse de croissance de 1.7% n’est pas hors d’atteinte », Didier Migaud assure que « la croissance peut ne pas être aussi riche en emplois que ne le prévoit le gouvernement ».  « Il y a également des interrogations sur le niveau de consommation en conséquence du revenu même des ménages, poursuit-il. Si la croissance est moins riche en emplois, bien évidemment, la masse salariale risque de ne pas être celle que calcule le gouvernement avec toutes les conséquences que cela peut avoir ». Le gouvernement est prévenu.

 

50 milliards d’économies : Les députés PS attendent un petit gadget social

50 milliards d’économies : Les députés PS attendent un petit gadget social

Les députés PS voteront mais contre un petit gadget social pour se dédouaner. « Il faut que les choses soient claires avant mardi ». En effet alors que la date du vote sur le plan des 50 milliards d’économies approche, les discussions entre le Parlement et le gouvernement se poursuivent. Bruno Le Roux estime que les députés attendent « un geste supplémentaire en matière de justice sociale (…) pour rassurer les retraités qui vivent mal ». Le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale appelle également le gouvernement à « un effort sur les salaires faibles de la fonction publique et les petits contribuables ». Le vote de mardi concernera toutefois « les grandes masses ». Il faudra donc attendre les lois qui suivront pour connaître le détail exact de la répartition du fameux plan d’économies. Un groupe de députés PS menace toutefois de ne pas voter le projet. « Je veux amener chacun sur le chemin de la responsabilité », affirme Bruno Le Roux. De là à envisager des sanctions contre les élus frondeurs, il n’y a qu’un pas que la majorité semble prête à franchir : « Il n’y a pas de vote sans conséquence ».

 

Frédéric Lefebvre (UMP) pour le programme de Hollande

Frédéric Lefebvre (UMP) pour  le programme de Hollande

« Les Français sont prioritaires et doivent passer avant les considérations partisanes. Notre opposition se doit d’être constructive », a déclaré Frédéric Lefebvre. Le député UMP a annoncé dans un communiqué qu’il voterait le programme de stabilité, présenté ce mercredi 23 avril en conseil des Ministres.  « En homme politique de droite actuel, compte tenu de l’urgence pour les acteurs économiques et de l’attitude d’une partie importante de la gauche qui veut empêcher ce virage, je me dois de prendre mes responsabilités », écrit le député des Français de l’étranger. « D’autant que le Premier ministre a fait siennes des mesures préconisées par l’opposition », a-t-il ajouté. »C’est ce qui m’amènera, mardi prochain, à voter le programme de stabilité qui doit être transmis aux instances européennes. Ce vote c’est aussi leur envoyer le signe que les parlementaires français sont responsables », explique-t-il dans son communiqué intitulé « Pourquoi j’ai décidé de voter ‘oui, mais’ ». « Ce programme rompt délibérément avec le recours systématique aux hausses d’impôts pratiquées depuis le début du quinquennat; même si sur certains points je reste en désaccord ou si sur d’autres je demeure en attente d’efforts supplémentaires », écrit-il. La direction de ce pacte est « bonne », juge-t-il.  L’ancien secrétaire d’Etat de Nicolas Sarkozy n’avait pas exclu début avril de voter la confiance au gouvernement Valls, avant de finalement voter contre.

 

Taxis contre VTC : un rapport qui ne règle rien

Taxis contre VTC : un rapport qui ne règle rien

Finalement un rapport qui contient beaucoup de gadgets et ne règle pas les conditions de concurrence entre taxis et VTC. Un rapport concernant les taxis sera remis ce jeudi 24 avril au gouvernement. Rédigé par le député socialiste Thomas Thévenoud, ce document contient trente propositions pour tenter de mettre fin à la guerre qui oppose les VTC et les taxis.  Il propose notamment d’instaurer une couleur unique pour tous les taxis de la ville, comme cela se fait à New York ou Londres, par exemple, de renforcer les contrôles des VTC concernant leurs assurances, leurs chauffeurs et leur respect des règles aux abords des aéroports, où seuls les taxis sont autorisés. Thomas Thévenoud propose également d’obliger les taxis à accepter la carte bleue comme moyen de paiement et veut les voir adopter des moyens modernes de réservation tels que la commande par smartphone, par exemple.

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Affaire Morelle and Co : Les cireurs de pompes de l’Elysée

Affaire Morelle and Co : Les cireurs de pompes de l’Elysée

 

Morelle accusé de conflits d’intérêt a été viré sans ménagement par Hollande. Du coup Morelle a traité Hollande de salaud ; Il a raison d’ê ter vexé Morelle, c’est lui l’ auteur du célèbre discours du Bourget de Hollande sur la morale républicaine, l’ennemi c’est la finances etc. Le monarque républicain est ingrat. Cerise sur le Gâteau, Morelle est auusi accusé d’avoir eu recours à un cireur de chaussures pour entretenir sa trentaine de paires de chaussures de luxe. Vraiment pas de quoi fouetter un chat ; les conseiller de l’Elysée ou des cabinets ministériels ont pour objet social essentiel le cirage de pompes de leurs ministres ou de Hollande. De leur dire qu’ils sont grands, beaux, géniaux. Une sorte de cour républicaine où les plus flatteurs espèrent de leur maître en récompense une petite place dans une grande entreprise ou une grande société publique  (dernier exemple aujourd’hui l’ancien directeur du trésor, ancien conseiller politique lui-auusi vient d’être nommé directeur financier chez Orange, bonjour les dégâts sur la gestion de l’opérateur télécom. ! ) . Morelle n’a rien fait de plus que les autres, il a flatté. (Avec en plus peut –être une petit business au noir quand il était haut fonctionnaire). Les conseillers ne sont pas là pour faire œuvre de créativité ou montrer une quelconque compétence, ils sont là pour conforter leur patrons dans leurs pires délires. Dernier en date :  le gel des pensions alors que des millions de pensionnés touchent moins de 1000 euros (en moyenne 1250 euros environ). la suppresion de l’APL auusi. Hier c’était l’ennemi, c’était  la finance maintenant c’est le français moyen très moyen même et même en dessous de la moyenne. Aucun de ces conseillers n’osera dire à Hollande et aux ministres que c’est économiquement et socialement dément, injuste, contreproductif pour la consommation, la croissance et l’emploi. C’est tout juste si le nouveau «  machin » le haut conseil aux finances publiques  aborde le sujet avec timidité. Bah oui il se pourrait que la fameux plan de 50 milliards (toujours très fumeux sauf pour les couches moyennes et populaires) risque de plomber une peu plus l’activité. De toute manière les petits marquis cireurs de pompes n’ont pas d’Etat d’âme, d’ailleurs ils n’y connaissent rien. Elevés au lait de l’administration, ils ignorent tout des réalités économiques et sociales et sont prêts à soutenir n’importe quelle idée délirante de leurs maîtres. Résulat nos dirigeants sont dans le cirage !

Sondage Européennes : la Berezina pour le PS dans le Grand Est

Sondage Européennes : la Berezina pour le PS dans le Grand Est

Selon un sondage IFOP publié mardi soir, notamment par Le Figaro, le Front national arrive en tête des intentions de vote pour les élections européennes du 25 mai dans la circonscription du Grand Est, juste devant l’UMP. Quant au PS, il paraît distancé. La liste du FN menée par Florian Philippot est créditée de 26% des intentions de vote. Le vice-président du Front national devance d’une courte tête la liste UMP conduite par Nadine Morano (24%), selon ce sondage réalisé pour Europe 1, Le Figaro et LCI. La liste PS, menée par l’ancien leader syndicaliste de Florange Edouard Martin, ne recueille que 15,5% des intentions de vote. Elle est talonnée par celle d’EELV conduite par Sandrine Bélier (12,5%). L’alliance UDI-MoDem menée par Nathalie Griesbeck obtient 7,5% des intentions de vote, devant celle du Front de Gauche conduite par Gabriel Amard (6,5%). Le Grand Est rassemble cinq régions françaises : Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Lorraine et Franche-Comté. Une circonscription qui représente près de 6 millions d’électeurs inscrits. Lors des précédentes européennes en 2009, le candidat du FN dans le Grand Est, Bruno Gollnisch, n’avait obtenu que 7,6% des suffrages.

« Hollande, un salaud » (Morelle)

« Hollande, un salaud » (Morelle)

 

 La vérité sort de la bouches des petits marquis répudiés par le monarque « républicain ».morelle devrait savoir qu’on peut faucher dans la caisse de l’Etat mais de manière légale ( en se faisant nommer dirigeant d’une grande société, exemple aujourd’hui chez Orange) et en passant ainsi d’environ 5000 euros mensuels à 100 000.  En effet La démission d’Aquilino Morelle était, de l’avis de François Hollande,  « la seule décision qui convienne ». Un avis que ne partageait apparemment pas l’ex-conseiller du président. Selon Le Canard Enchaîné à paraître ce mercredi 23 avril, Aquilino Morelle a violemment reproché au chef de l’État de ne pas le soutenir après les révélations de Mediapart : Alors qu’il y a des chiens après moi, tu m’abandonnes. Tu es vraiment un salaud !  Vendredi 18 avril, accusé de conflits d’intérêts avec des laboratoires pharmaceutiques, Aquilino Morelle avait annoncé sa démission à l’AFP : Je veux redire que je n’ai commis aucune faute. Je n’ai jamais été en situation de conflit d’intérêts. Je souhaite mettre fin à mes fonctions pour être entièrement libre de répondre aux attaques.  Quelques heures plus tard, en visite dans l’usine Michelin de Clermont-Ferrand, François Hollande avait acté cette démission, « la seule décision qui convienne ». Il a travaillé pour la Présidence de la République pendant deux ans. Et il a bien travaillé. Mais ce qu’il s’est passé avant, il a à en répondre.  Jeudi 17 avril, le site Mediapart a publié une enquête concernant Aquilino Morelle, l’accusant de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique lorsqu’il était encore rattaché à l’IGAS, l’inspection générale des affaires sociales. Dans ce même article, on apprenait également que le conseiller du président avait fait privatiser à au moins deux reprises, un salon de l’hôtel de Marigny pour une séance de cirage de ses chaussures.

Mutuelles : remboursements plafonnés

Mutuelles : remboursements plafonnés

Et encore une « mesure sociale », une, le plafonnement des remboursements des mutuelles ! Le plafonnement des remboursements des mutuelles est débattu depuis de longs mois, il sera bientôt acté par un décret, annonce Europe 1. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, procédera par étapes, évitant ainsi une baisse brutale des remboursements. L’association Que Choisir révèle que dans l’optique, le plafond sera ainsi ramené à terme à 100€ pour les montures, 200€ pour des verres simples et 400€ pour des verres complexes.

 

Haut Conseil des finances : le plan d’économies va peser sur la croissance

Haut Conseil des finances : le plan d’économies va peser sur la croissance

Pas vraiment enthousiaste à l’égard des prévisions gouvernementales  le nouveau «  machin » de Hollande  : le haut conseil des fiances publiques qui a quand même jugé  que la prévision de croissance du gouvernement, soit 1% en 2014 était « réaliste », et que sa projection de 1,7% pour 2015 n’était pas « hors d’atteinte ». Cet organe indépendant chargé d’évaluer les trajectoires budgétaires a toutefois mis un bémol, écrivant dans son avis que « les mesures d’économies » de 50 milliards d’euros annoncées « pourraient peser davantage que prévu par le gouvernement sur la croissance à court terme ». « Il existe un risque que les effets positifs sur l’emploi et les salaires de la politique d’offre n’atténuent pas les effets négatifs sur l’activité de la consolidation budgétaire », estime le Haut conseil, présidé par le premier président de la Cour des Comptes, Didier Migaud.  L’ajustement structurel prévu par le gouvernement d’ici à 2015 est de 0,8 point, puis de 0,5 jusqu’en 2017, précise l’organisme, rappelant qu’il portera « sur les dépenses publiques dont la croissance en volume serait ramenée à 0,1% par an sur la période 2014-2017, après 0,8% sur la période 2011-13″. En ajoutant la perspective de baisser les prélèvements obligatoires d’ »un montant cumulé de 1 point de PIB », soit une vingtaine de milliards, après 2015, le Haut conseil relève que « ce scénario suppose un enchaînement favorable où l’effet de la confiance restaurée permettrait » de jouer sur les baisses de prélèvements, l’emploi, le pouvoir d’achat et l’investissement des entreprises.  Or, prévient-il, « les effets d’entraînement de la politique de l’offre pourraient survenir avec retard », d’autant plus que « les mesures d’économies sont concentrées sur le début de la période 2015-2017″.

 

Orange : un « copain » comme directeur financier

Orange : un « copain » comme directeur financier

Encore deux  fonctionnaires qui auront  profité de leur  passage dans les cabinets pour faire une carrière sans beaucoup de risques. Ou la France des oligarques. Changement en vue à la direction d’Orange. L’actuel directeur du Trésor à Bercy, Ramon Fernandez, se verrait confier la direction financière de l’opérateur télécom historique, rapporte le Wall Street Journal. Le quotidien précise que l’actuel directeur financier d’Orange, Gervais Pellissier, qui occupe le poste depuis 2006, souhaite se voir confier de nouvelles responsabilités au sein du groupe. Cette nomination pourrait être annoncée dans les prochaines semaines. Une source proche du dossier avait récemment déclaré à Reuters que Ramon Fernandez rejoindrait le groupe Orange, mais sans préciser à quel poste.  Le conseil d’administration de l’opérateur a choisi, fin mars, de reconduire Stéphane Richard à la tête du groupe, dont l’Etat détient environ 28% du capital, optant pour la continuité dans un marché des télécoms en recomposition. Ramon Fernandez, qui avait été nommé sous Nicolas Sarkozy, pourrait être remplacé à la tête de l’importante direction du Trésor par François Villeroy de Galhau, actuel numéro deux de BNP Paribas. Même si jusqu’à présent, cet ancien collaborateur de DSK à Bercy de 1997 à 2000 a démenti cette possibilité.

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