Archive mensuelle de avril 2014

Page 3 sur 21

Chômage : toujours pas d’inversion

Chômage : toujours pas d’inversion

Plus de 5 million de chômeurs officiellement, toujours pas d’inversion et un nouveau ministre du travail qui reprend le vieux discours de Sapin «  on est sur la bonne voie ».  . A signaler surtout la progression des chômeurs séniors (+12% sur un an). Le nombre de demandeurs d’emplois est resté quasi stable en mars en France après le bond enregistré en février, malgré une nouvelle progression du chômage des seniors, qui reste sur six années consécutives de hausse, a annoncé vendredi le ministère du Travail. Le nouveau ministre du Travail, François Rebsamen, a estimé que cette stabilisation était « conforme à la tendance de fond observée depuis octobre », bien que les deux premiers mois de 2014 aient mis à mal les espoirs d’inversion de la courbe que le gouvernement pouvait nourrir fin 2013. En mars, les demandeurs d’emplois de catégorie A, sans la moindre activité, ont quand même augmenté de 1.600, bien moins que les 31.500 de plus enregistrés en février, ce qui porte leur total à un nouveau record de 3.349.300. En ajoutant les catégories B et C, les personnes qui ont exercé une activité réduite, le nombre d’inscrits à Pôle emploi a progressé le mois dernier de 0,2%, soit 11.700 personnes, pour s’élever à 4.949.500 en métropole (5.246.800 en incluant les départements d’Outre-mer). Sur un an, la hausse est de 4,1% pour la catégorie A en métropole et de 4,5% pour les catégories A, B et C. Le nombre de demandeurs d’emplois de plus de 50 ans a encore progressé de 1,0% en mars. Son augmentation atteint 11,8% sur un an. Cette hausse a été compensée par le chômage des jeunes qui a renoué avec son mouvement de baisse, après un coup d’arrêt en janvier et février, s’inscrivant à -0,8% sur le mois (-2,8% en un an). Il enregistre son plus bas niveau depuis octobre 2012 à la faveur des contrats aidés pour les jeunes sans qualification ou des dispositifs comme les « emplois d’avenir ».

Une rançon de 18 millions de dollars pour les 4 otages de Syrie

Une rançon de 18 millions de dollars pour les 4 otages de Syrie

Comme à chaque fois la Fance dément. 18 millions de dollars : c’est pourtant la somme qu’aurait versée le gouvernement français pour libérer les quatre ex-otages et journalistes français détenus durant plus de dix mois en Syrie, selon l’hebdomadaire allemand Focus. Jean-Yves Le Drian aurait affrété un avion privé afin d’envoyer les fonds en Turquie, d’où ils auraient été transférés aux ravisseurs par l’intermédiaire des services secrets turcs, affirme l’hebdomadaire, citant des sources « proches de l’OTAN« .  La DGSE aurait été en contact régulier avec les ravisseurs qui l’informaient régulièrement de l’état des otages, explique la source au sein de l’OTAN. Des déclarations qui corroborent le récit des ex-otages dans les médias français, où ils ont déclaré avoir dû donner des preuves de vie régulières. Le gouvernement français aurait écarté toute possibilité d’intervention directe pour récupérer les otages en raison de la situation actuelle en Syrie.  La France a toujours affirmé ne pas payer de rançon afin de décourager les preneurs d’otages. Des informations sur des tractations financières fuitent régulièrement à chaque libération. En 2013, lors de la libération des otages d’Arlit, au Niger, une source proche de la DGSE avait indiqué que la France avait versé autour de 20 millions d’euros aux ravisseurs. Le 20 avril dernier, François Hollande a réaffirmé que la France « ne (payait) pas de rançon » dans les affaires d’otages. Le cabinet du ministère de la Défense a donc logiquement démenti ce samedi les informations de Focus : « Le gouvernement dément catégoriquement les informations contenues dans l’hebdomadaire cité et réitère la position de la France sur la question des libérations d’otages telle que Laurent Fabius l’avait rappelée samedi dernier. » A savoir que « l’Etat français ne paie pas de rançons« .

 

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Alstom, cotation suspendue et Montebourg en mode absence !

Alstom, cotation suspendue et Montebourg en mode absence !

 

Arnaud Montebourg, le champion du made in France se tait face au projet de rachat de Alstom par les américains ; Un projet de plus en plus sérieux et la cotation de Alstom a été suspendue aujourd’hui. Montebourg est auusi  resté muet lors du passage sous pavillon suisse de Lafarge, fleuron tricolore et leader mondial du ciment. Présentée comme un rapprochement entre égaux, l’OPA d’Holcim sur Lafarge sera pourtant assortie du transfert du siège social de Paris à Zurich.  Ce passage en mode «silencieux» de l’exécutif illustre en fait la difficulté du gouvernement à empêcher les grands groupes français de devenir des proies plutôt que des prédateurs dans le mouvement de consolidation mondial relancé depuis quelques semaines. Manuel Valls, visitant jeudi une usine en Eure-et-Loir, s’est contenté de lâcher: «Pour Alstom, comme pour tous les grands groupes français, nous sommes attentifs aux emplois, aux technologies et au centre de décision.» On a connu premier ministre plus combatif. Par exemple à l’été 2005, quand Dominique de Villepin clamait «entendre défendre les intérêts de la France» pour empêcher PepsiCo de lancer une OPA hostile sur Danone. Alstom est encore plus symbolique que Danone. Le groupe dirigé par Patrick Kron, sauvé de la faillite en 2004 grâce à l’activisme de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Économie, est présent dans deux secteurs considérés comme stratégiques par le pouvoir actuel. À tel point que le gouvernement étudie depuis des mois les options stratégiques d’Alstom, et a échangé à ce sujet avec Bouygues, actionnaire principal du groupe. L’option d’une cession à General Electric, privilégiée par Bouygues, ne semble pas entrer dans les plans du gouvernement. La branche transport d’Alstom serait certes préservée, ce qui permettrait au TGV de rester tricolore, mais elle serait isolée. Surtout, l’activité énergie passerait sous giron américain, alors que le président Hollande appelait de ses vœux, il y a quelques semaines, la constitution d’un Airbus de l’énergie, qui aurait pu regrouper Alstom et Siemens. En acceptant de «lâcher» Alstom après Lafarge, Arnaud Montebourg et le gouvernement se priveraient de moyens pour mettre en œuvre leur politique industrielle et pour peser dans l’économie mondiale. Cette fois, ils n’ont pas d’autre choix que de rompre le silence.

 

Royal veut interdire les décolletés dans son ministère?

Royal veut interdire les décolletés dans son ministère? 

Royal est barjot on le savait, comme Hollande l’ennemi de la finance qui matraque maintenant fiscalement les couches populaires et moyennes. Le pouvoir rend fou, c’est connu mains certains avaient déjà des prédispositions naturelles. D’après LePoint.fr, la nouvelle ministre de l’Ecologie Ségolène Royal exigerait de ses collaborateurs le port une « tenue décente », prohibant les décolletés. Une information démentie par l’intéressée sur son compte Twitter mais confirmé pourtant par Canal.   Une « tenue décente » avec « interdiction des décolletés ». C’est le comportement vestimentaire qu’aurait exigé de ses collaborateurs Ségolène Royal, d’après une source interne au ministère citée par lePoint.fr. Selon le personnel de l’hôtel de Roquelaure, la ministre se déplacerait dans les couloirs du ministère précédée d’un huissier chargée de l’annoncer, de sorte que le personnel puisse se lever sur son passage. Il serait également défendu à ses collaborateurs de fumer dans la cour et dans le jardin en présence de la ministre. Contactée par LePoint.fr, Ségolène Royal s’est bornée à indiquer qu’il s’agissait d’un « règlement intérieur sur proposition des services qui est destiné à l’interne et ne donne pas lieu à commentaires externes ».Ce n’est plus la monarchie mais la dictature républicaine digne des républiques bananières.

Alstom, bientôt vendu aux américains s’envole à la bourse de Paris….avant de disparaître ?

Alstom, bientôt vendu aux américains  s’envole à la bourse de Paris….avant de disparaître ?

.Selon l’agence Bloomberg, l’américain General Electric serait prêt à débourser 13 milliards de dollars pour s’emparer du fleuron industriel français. Quant au Figaro, il croit savoir que seule la branche énergie d’Alstom serait soumise à une offre publique d’achat. La seule certitude c’est que le groupe Alstom, qui emploie 93.000 personnes dans le monde (dont 18.000 en France), connait des difficultés. Pour Général Electric, ce serait une proie facile estime Christopher Dembik, analyste financier chez Saxo Bank. Alstom en devenant américain pourrait progressivement disparaître du paysage français. Une entreprise pourtant sauvée par l’Etat et soutenu a bout de bars par les commandes de centrales et de matériel ferroviaires notamment TGV. Il est clair que ce qui intéresse GE c’est le carnet de commandes et la technologie de Alstom. Dans un premier temps il y aurait nécessairement des restructurations ensuite de nouvelles délocalisations. Progressivement Alstom pourrait disparaître du paysage français. Ou les effets du capitalisme triomphant et de la nullité de la politique industrielle de la France.

Chômage: des chiffres encore faussés

Chômage: des chiffres encore faussés

Comme d’habitude les chiffres du chômage seront encore faussés et tout nouvelle évolution sera discutable car les statistiques sont bidonnés. En premier lieu, pôle emploi prend surtout en compte les catégories A , alors qu’il faut intégrer les catégories A, B, C, D et E soit au total Environ 6 millions de chômeurs auxquels il faudrait ajouter 2 millions de chômeurs cherchant par eux mêmes un emploi, environ 1 million de jeunes non inscrits et 1 millions de bénéficiaires du RSA, soit près de 10 million de chômeurs. Sans parler des variations des radiations qui peuvent évoluer de 50 000 à 200 000 (comme en novembre 2013). Radiations souvent non justifiées mais qui constituent pourtant un objectif central  de pôle emploi. Du coup une variation de 0.1% (- 25000 chômeurs)  n’a aucune signification. Valls va cependant devoir commenter les chiffres qui vont tomber vendredi soir.  . L’occasion pour eux de promouvoir à nouveau le pacte de responsabilité qui doit aboutir à la création de 200.000 emplois d’ici 2017 selon le chef du gouvernement. Un chiffre de toute manière complètement dérisoire par rapport au nombre total de chômeurs. Une étude opinionWay/Qapa publiée ce vendredi matin montrent pourtant que 66% des demandeurs d’emploi estiment que le pacte n’aura aucune conséquence sur l’emploi ! Et parmi les moins confiants, on trouve les chômeurs de longue durée. Le chômage de longue durée reste d’ailleurs l’un des principaux facteurs d’inégalité dans le pays. Les derniers chiffres de l’Insee le montrent : les aides sociales ont atteint leurs limites et les inégalités se creusent. L’une des explications : le chômage de longue durée qui explose et sa conséquence directe, le nombre de chômeurs arrivés en fin de droits. 2 millions de personnes sont ainsi inscrites à Pôle emploi depuis plus d’un an, un record. 600 000 le sont même depuis plus de 3 ans. et les chiffres augmentent tous les mois depuis 2011.  Or plus vous êtes longtemps au chômage, plus vous cumulez les risques d’y rester, exilique-t-on chez Pôle Emploi. Difficile même, d’obtenir un entretien d’embauche : les longues périodes de chômage font peur aux recruteurs. Et même lorsqu’on retrouve, malgré tout un emploi, celui-ci est très souvent un contrat court, peu qualifié, souvent synonyme de retour rapide à la case chômage. Les économistes alertent : 40% des chômeurs aujourd’hui sont en train d’être exclus du marché du travail.

 

Compétitivité : nouvelle chute de la France

Compétitivité : nouvelle chute de la France

Productivité insuffisante, 35 heures, fiscalité etc. plombent de plus en plus la compétitivité de la France. Pas étonnant que la croissance soit insignifiante et le chômage au sommet. En clair on ne travaille pas assez et  les coûts du travail trop élevés ; mais sans réformes structurelles économiques, administratives, fiscales et sociales, la France risque de glisser encore vers le bas. Sur la dernière décennie, l’indice de compétitivité de la France est passé de 115 à 124 selon une étude publiée ce vendredi par le Boston Consulting Group (BCG),  Cette augmentation s’explique principalement par la lenteur de ses gains de productivité, devant l’augmentation des dépenses énergétiques, en particulier en gaz naturel, et la hausse des salaires. Conséquence : alors que la France était plus compétitive que l’Allemagne en 2004, elle a été dépassée par son voisin au cours de la décennie, non seulement du fait d’une augmentation plus rapide des salaires mais également de la faible croissance de sa productivité : +5%, contre 14% pour l’Allemagne. Avec l’Espagne l’écart de compétitivité s’est accentué, passant de 10 à 16 points, quand il a carrément doublé avec le Royaume-Uni (16 points en 2014 contre 7 en 2004). Là encore, l’écart s’explique avant tout par la différence de gains de productivité, bien plus importants pour l’Espagne (+23%) et le Royaume-Uni (+20%).Parmi les 25 plus gros exportateurs mondiaux, BCG classe la France dans le groupe des pays à coûts élevés, qui continuent de perdre en compétitivité, avec l’Italie, la Belgique, la Suisse et la Suède. Les Pays-Bas et la Grande-Bretagne ont presque stabilisé leur compétitivité, tout comme l’Inde et l’Indonésie. Le cabinet de conseil a analysé la compétitivité des 25 plus gros exportateurs de produits manufacturés, qui réalisent 90% des exports mondiaux, à partir de quatre critères : salaire horaire moyen d’un salarié de l’industrie, productivité par salarié, taux de change et coût de l’énergie.  Avec un constat: sur la dernière décennie, les cartes ont été totalement redistribuées. Ainsi, la Chine est aujourd’hui moins compétitive que le Mexique et ne se retrouve plus qu’à 4 points des États-Unis, hors coûts de transport. Une évolution que BCG attribue avant tout à la hausse des salaires chinois (+12 points). Même constat pour le Brésil, qui se classe en 2014 au 23e rang, à égalité avec l’Italie ou la Belgique, juste devant la France, alors que le pays était encore 9e dix ans plus tôt. Forte hausse des salaires (+15 points), baisse de productivité et appréciation du real face au dollar sont les causes majeures de cette perte de compétitivité pour le géant d’Amérique du Sud. Longtemps l’un des pays les plus compétitifs en Europe, La Pologne voit son avantage décliner face à des pays comme l’Espagne ou le Royaume-Uni, qui sont à quasi égalité avec d’autres pays d’Europe de l’Est tels que la République Tchèque.  »Il y a maintenant des pays aux bas coûts de production dans toutes les régions du monde », conclut Olivier Scalabre, directeur associé au BCG à Paris.

 

Sondage inversion Chômage : 80% n’y croient pas

Sondage inversion Chômage : 80% n’y croient pas

Pour la première fois, un baromètre sonde directement les chômeurs. Alors que le nouveau ministre du Travail François Rebsamen doit annoncer les chiffres du chômage du mois de mars 2014 ce vendredi 25 mars, les demandeurs d’emplois sont plus pessimistes que jamais. Selon une étude d’OpinionWay pour le site de recherche d’emploi en ligne Qapa, 80% des demandeurs d’emplois estiment que la courbe du chômage ne va pas s’inverser dans les trois prochains mois.  D’une manière générale, 16% seulement estiment que le pacte de responsabilité des entreprises, dont la feuille de route nécessaire à sa mise en œuvre a été définie cette semaine, va avoir un effet positif sur l’emploi. En revanche, individuellement, le demandeur d’emploi est beaucoup plus optimiste. 70% d’entre eux espèrent renouer avec le monde du travail dans les trois mois qui viennent.

 

Valls- petites pensions : une mesure « forte » … 5 à 10 euros par mois ?

Valls- petites  pensions : une mesure forte … 5 à 10 euros par mois ?

 

 

L’annonce du gel des pensions a secoué l’opinion publique très majoritaire contre. Pour se dédouaner,  Valls annonce une mesure forte pour les pensions autour de 800 euros et moins  ; sans une une augmentation qui pourrait varier de 5 à 10 euros. Une annonce ‘forte’ pour des mesures dérisoires !  Manuel Valls assure le service après-vente. Ce jeudi 24 avril, le Premier ministre a, à l’occasion d’un déplacement en Eure-et-Loir, déclaré que le gouvernement prendra « une mesure forte » pour les retraités les plus modestes, au lendemain de la présentation du programme de stabilité. Il a affirmé vouloir répondre « à une demande du groupe socialiste », mais aussi de « tous les parlementaires ». « Nous voulons répondre aux inquiétudes des Français dans ce domaine ». La veille, le ministre des Finances et des Comptes publics, Michel Sapin avait indiqué que cette option était « sur la table ». Ce qu’a également laissé entendre, ce jeudi matin, la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine. Concernant les fonctionnaires il a rappelé que les mesures de revalorisation des salaires profitant aux petits fonctionnaires concerneront « 1,6 million d’agents soit 30% de la fonction publique ». Manuel Valls a aussi indiqué qu’une « clause de revoyure » serait introduite pour revenir éventuellement dans les prochaines années, en fonction de la croissance économique, sur le gel du point d’indice des fonctionnaires.  Manuel Valls a par ailleurs indiqué miser sur le pacte de responsabilité  pour redresser la France. « Le pacte de responsabilité c’est du concret pour les entreprises mais aussi pour les salariés », a ainsi déclaré le Premier ministre, rappelant les mesures fiscales déjà prises par le gouvernement. « Nous serons très exigeants et vigilants dans la mise en oeuvre du pacte », a-t-il ajouté. Le Premier ministre s’est exprimé après avoir visité, ce jeudi, l’entreprise Sacred, spécialisée dans le caoutchouc, et bénéficiaire du Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (CICE). Il a, à ce titre, indiqué que le montant du crédit d’impôt pour cette entreprise a été de 280.000 euros en 2013 et sera de 400.000 euros pour 2014. Accompagné du ministre du Travail François Rebsamen, il a effectué ce déplacement au lendemain de la présentation du programme de stabilité, et, surtout, à la veille de la publication des premiers chiffres du chômage pour le gouvernement Valls.  Mercredi, le ministre des Finances et des Comptes publics Michel Sapin a indiqué que le gouvernement s’attend à ce que les nouvelles baisses de charges de 10 milliards d’euros inscrites dans le pacte de responsabilité, génèrent 0,6 point de PIB et créent 200.000 emplois supplémentaires. Ces créations de postes s’ajouteraient ainsi au 300.000 emplois que le CICE est censé créer.

 

Immobiliers : baisse des taux mais pas assez pour relancer le marché

Immobiliers : baisse des taux mais pas assez pour relancer le marché

Les taux immobiliers poursuivent leur baisse mais pas assez pour relancer un  marché relativement bloqué .Trois problèmes majeurs, des prix de vente encore trop importants, le manque de solvabilité des accédants et un coût du crédit encore trop élevé en regard de l’inflation (autour de 1%°.).  Ils sont tombé en mars à 3% contre 3,04% en février, a indiqué l’observatoire Crédit Logement ce jeudi 24 avril. « Après avoir repris 19 points de base entre juin et octobre 2013, les taux avaient légèrement reculé au cours du troisième trimestre 2013, pour s’établir à 3,08% en décembre », précise le rapport. »Ils ont diminué plus rapidement au cours du 1er trimestre 2014, cédant 8 points de base et revenant à leur niveau d’août 2013″.  La baisse observée a été la plus forte sur le marché des travaux (3,03% en mars contre 3,12% en décembre) et sur celui de l’ancien (2,98% contre 3,08%). n revanche, elle est restée très limitée dans le neuf (3,06% en mars contre 3,08%). En mars, la durée des prêts s’est établie à 206 mois, en moyenne contre 199 mois en février. « La durée moyenne qui avait fortement reculé au début de l’année 2013 – avec le repli de la primo accession sous l’effet de la dégradation du prêt à taux zéro (PTZ+) », recentré sur le neuf – « s’était ressaisie au début du printemps, une fois le choc du PTZ+ absorbé », rappelle l’observatoire.

Médicaments: baisse de remboursement

Médicaments:  baisse de remboursement

Il y aura certes certaines baisses de prix mais comme il faut réaliser des économies de 10 milliards, il y aura auusi des baisses de remboursement et  des nouveaux médicaments non remboursés. Avant les élections européennes, Marisol Touraine n’a pas voulu entrer dans les détails.  Des baisses des prix des médicaments permettront de réaliser 3,5 milliards d’euros d’économies sur les dépenses d’assurance-maladie d’ici 2017, annonce la ministre de la Santé, Marisol Touraine, dans un entretien aux Echos à paraître vendredi. Dix des 50 milliards d’économies prévus par le gouvernement d’ici 2017 pour tenir ses engagements de réduction du déficit et financer les baisses de charges pour les entreprises portent sur les dépenses d’assurance-maladie. Selon Les Echos, Marisol Touraine précise que 3,5 milliards viendront de la baisse des prix des produits de santé et près d’un autre milliard du développement de la chirurgie dite « ambulatoire », c’est-à-dire sans hospitalisation. La « une » du quotidien économique, qui n’avait pas encore publié l’intégralité de l’entretien, ne mentionne pas les autres dispositions visant à atteindre les 10 milliards d’économies au total. Les dépenses de santé ont été inférieures de 1,4 milliard d’euros aux prévisions en 2013. Le programme de stabilité de la France pour la période 2015-2017, présenté mercredi, prévoit de limiter la hausse des dépenses d’assurance-maladie à 2,0% par an en moyenne sur ces trois années.

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Sondage moral français : nouvelle baisse chez les entrepreneurs

Sondage  moral : nouvelle  baisse  chez les  entrepreneurs

Le moral des entrepreneurs français s’est légèrement dégradé en avril, l’indicateur qui le mesure revenant à 94 points contre 95 points en mars, a annoncé jeudi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Par secteur, c’est en particulier dans les services, l’industrie et le bâtiment que le climat s’est dégradé, tandis que le moral des chefs d’entreprises dans le commerce de détail s’est un peu amélioré, a détaillé l’Insee dans un communiqué.

 

Télécoms : il faut concentrer…. Pour augmenter les prix !

Télécoms : il faut concentrer…. Pour augmenter les prix !

Si les clients de SFR ont dû suivre d’un oeil inquiet le feuilleton ayant abouti au rachat de l’opérateur par Numericable, leurs craintes seront peut-être dissipées. C’est en tout cas le but poursuivi par Franck Cadoret, le directeur général exécutif de la désormais ex-filiale de Vivendi, invité du « Grand Talk » de 01netTV ce mercredi 23 avril.  Selon lui, « les abonnés SFR vont bénéficier de services sur le fixe ». Tandis que les abonnés de Numericable, eux, profiteront d’offres sur le mobile. Autre avantage: la mutualisation des investissements, notamment en ce qui concerne les services dédiés à internet. Elle pourrait permettre de passer de 1,5 million de prises câble et cuivre (pour l’ADSL) à 7,5 millions de prises, lors des prochains mois. Ce qui placerait le nouvel acteur en position de force, devant l’opérateur historique Orange.  Mais la victoire de Numericable face à Bouygues Telecom aura tout de même des conséquences dans le secteur du mobile, selon Franck Cadoret. Car la présence de quatre opérateurs sur le marché, si elle a pour effet de faire baisser les prix, ne pourra pas durer éternellement. « Les offres à 2, 10 ou 20 euros, on en trouve nulle part ailleurs dans le monde alors que notre pays est pourtant difficile à couvrir en raison de la géographie. Les opérateurs se trouvent face à un mur d’investissements », estime-t-il ainsi.  Du coup, les tarifs devraient baisser encore un peu, « mais ils devraient augmenter à nouveau », selon le dirigeant via le déploiement de services supplémentaires.  En outre, une prochaine fusion entre deux opérateurs ne serait pas insensée: « je pense que ce rapprochement en appellera d’autres. Comme Orange ne peut se marier sinon il se retrouverait en abus de position dominante, je vous laisse deviner quels sont les acteurs restants qui pourraient s’unir ». Transmis à Xavier Niel, le patron de Free, et à Martin Bouygues.

 

12345...21



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol