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Archive mensuelle de décembre 2012

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Sondage LCI- Opinion Way : les ministres : tous sous la moyenne

Sondage LCI- Opinion Way : les ministres : tous sous la moyenne

D’après un sondage Tilder-LCI-OpinionWay publié ce vendredi 21 décembre, les Français perçoivent Arnaud Montebourg comme le meilleur ministre… ou plus tôt comme le moins mauvais des membres du gouvernement pour améliorer la situation économique et sociale de la France. Selon cette enquête réalisée après l’épisode de Florange, le ministre du Redressement productif devance respectivement ses collègues, Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, Pierre Moscovici, ministre de l’Economie, Michel Sapin, ministre du Travail et Fleur Pellerin, ministre déléguée à l’Economie numérique. Pour autant, il est nécessaire de relativiser sa popularité puisque, en réalité, il obtient des sondés la moins mauvaise note : 4,49 sur 10. Il reçoit logiquement une meilleure évaluation auprès des électeurs qui ont voté François Hollande le 6 mai avec la note au dessus de la moyenne, soit 5,88%.

Sondage BVA : Fillon et surtout Copé discrédités

Sondage BVA : Fillon et surtout  Copé discrédités

 

Une majorité de Français, dont les sympathisants de l’UMP, souhaitent que ni François Fillon, ni surtout Jean-François Copé, ne se représentent lors de la nouvelle élection pour la présidence du principal parti d’opposition en septembre 2013, selon un sondage de BVA pour i>TELE publié vendredi.  A la question « Jean-François Copé et François Fillon se sont mis d’accord pour qu’une nouvelle élection pour la présidence de l’UMP se tienne en septembre 2013. Souhaitez-vous qu’ils se présentent à nouveau? », 35% des Français répondent « oui » pour l’ancien Premier ministre, et 20% pour le député-maire de Meaux. Parmi les seuls sympathisants de l’UMP, 47% accueillent positivement une candidature de François Fillon, et 28% celle de Jean-François Copé.  Nathalie Kosciusko-Morizet est la personnalité que les Français souhaitent voir le plus présidente de l’UMP, 28% se prononçant en sa faveur, devant Bruno Lemaire, 25%, François Fillon, 24%, et Jean-Frrançois Copé, 10%.  Les sympathisants UMP optent toujours pour François Fillon, avec 36%, devant Nathalie Kosciusko-Morizet, 27%. Bruno Le Maire serait troisième, 20%, et Jean-François Copé dernier, 14%. « Mais, souligne l’institut, les sympathisants ne sont pas les adhérents ».

 

Affaire Cahuzac: l’Elysée contacté par un accusateur

Cahuzac ;: l’Elysée contacté par un accusateur

Le détenteur de la bande enregistrée sur laquelle le ministre du Budget Jérôme Cahuzac avouerait détenir un compte en Suisse est bien son ancien rival Michel Gonelle, selon Mediapart, et il a contacté l’Elysée, a confirmé vendredi la présidence, interrogée par l’AFP.   »Nous confirmons que Michel Gonelle à bien eu, il y a quelques jours, un contact avec le directeur de cabinet adjoint de François Hollande, Alain Zabulon », a-t-on déclaré dans l’entourage du président.   »Nous l’invitons à remettre tous les éléments à la justice », a-t-on précisé de même source, estimant toutefois qu’il « n’y avait aucun élément tangible ».   »S’il dispose réellement d’éléments, qu’il s’adresse à la justice puisqu’il y a une procédure judiciaire », a ajouté l’entourage du chef de l’Etat.  Citant une « source officielle », Mediapart assure que Michel Gonelle, ancien élu RPR, qui a perdu la mairie de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) au profit de M. Cahuzac en 2001, a appelé, le 15 décembre Alain Zabulon, qui est l’une de ses « vieilles connaissances » en tant qu’ancien sous-préfet du Lot-et-Garonne.  Au téléphone, il « raconte tout » et « révèle avoir confié il y a plusieurs années une copie de cet enregistrement à un haut magistrat de sa connaissance mais qui n’en a rien fait », affirme le site d’information. Le 9 décembre, dans un communiqué, Michel Gonelle, qui est aussi l’avocat de l’agent des impôts à l’origine de la mise en cause du ministre, Rémy Garnier, avait « démenti catégoriquement » être la personne en possession de cet enregistrement.  Interrogé par Mediapart, « Michel Gonelle a simplement déclaré +je ne démens pas+ », affirme le site.  Sur la bande, révélée dans son intégralité le 6 décembre par Mediapart, on entend un homme parler de son compte en banque en Suisse et dire: « Ca me fait chier d’avoir un compte ouvert là-bas, l’UBS c’est quand même pas forcément la plus planquée des banques ».  L’entourage de Jérôme Cahuzac a toujours démenti qu’il s’agissait de lui. Quant au ministre, il a plusieurs fois, dont le 5 décembre devant l’Assemblée nationale, nié avoir jamais possédé un compte bancaire en Suisse.  Mediapart affirme par ailleurs qu’une enquête est actuellement menée par la direction régionale des finances publiques de Paris-Sud pour vérifier les déclarations fiscales récentes de M. Cahuzac. Il est, croit savoir le site, soupçonné notamment d’avoir sous-évalué le montant de son appartement parisien et déclaré un prêt parental déjà remboursé.  Contactée, la direction des Finances publiques n’avait pas encore répondu à la mi-journée.  Interrogés vendredi par l’AFP, ni Bercy ni l’avocat du ministre n’ont donné suite.  Mediapart assure néanmoins avoir eu connaissance de courriels dans lesquels M. Cahuzac « n’a jamais contesté l’authenticité de la bande, au contraire ».

 

Economie, politique, société: pages les plus regardées 21 décembre 2012

 

 

 

 

 

 

 

 

Conflit Fillon –Copé : le pouvoir pour seule doctrine

Moscovici : impossible d’agir sur le prix du carburant

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Zone euro : nouveau chômage record

Zone euro: Moody’s dégrade d’un cran le Mécanisme européen de stabilité

Groupe Doux : sursis pour 2300 emplois menacés

Florange: pas de nationalisation et avenir très incertain

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

 

Banque mondiale : prix alimentaires élevés ; En cause, la spéculation

Electricité pas de rétroactivité pour la baisse comme pour la hausse du gaz

Patronat et syndicats : les contrats de travail courts en cause

Consommation : nouvelle baisse

Hausse du gaz, un feuilleton bien rodé ou la politique de l’autruche

Concorde: pas de responsable ! Drôle de jugement

Hilary Clinton il faut favoriser la croissance en Europe

Etats-Unis: tassement de l’économie

59% des français pour la nationalisation de d’ArcelorMittal Florange

Inde: croissance ralentie, +0.8% pour le secteur manufacturier

Allemagne : hausse du chômage, une bonne nouvelle !

 

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 Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Copé-UMP : « pas de referendum »

Sondage : Le FN profite de la crise à l’UMP

Sondage: Ayrault plonge encore

La RATP épinglée mais la Cour des comptes débloque

Espagne : 37 milliards de prêts européens pour assainir les banques

Chérèque (CFDT) : Montebourg fait du bluff avec Mittal

Prix Carburant : Hollande renie sa parole

 

 

 

 

 

 

 

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Comptes de campagne de Sarkozy invalidés

Comptes de campagne de Sarkozy invalidés

La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a rejeté les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidentielle de 2012, révèle L’Express. Il s’avère qu’après réintégration de dépenses faites avant sa déclaration officielle de candidature le 15 février, les comptes du candidat de l’UMP dépassent le plafond autorisé de 22.509.000 euros.  La décision de la CNCCFP va être notifiée à l’ancien président de la République et transmise au Conseil constitutionnel, souligne le site de l’hebdomadaire. Nicolas Sarkozy aura alors un mois pour déposer un recours. Si l’invalidation de ces comptes est confirmée, l’UMP perdra des millions d’euros d’aide publique.

 

5.000 exilés fiscaux

5.000  exilés fiscaux

5.000 Français auraient quitté la France pour des raisons fiscales depuis l’élection de François Hollande en mai dernier. Le nombre de candidats au départ aurait ainsi été multiplié par cinq. Mais officiellement, aucun chiffre n’est disponible. Au point que Gilles Carrez, le président de la Commission des finances à l’Assemblée nationale, a écrit un courrier pour demander des études officielles auprès du gouvernement.L’indice qui ne trompe pas. « Exil fiscal oblige, les riches Parisiens revendent en masse leurs appartements haut de gamme », titre sur deux pages Le Figaro daté de vendredi. Dans le 16e arrondissement de Paris, le nombre de biens immobiliers de plus de 1,5 million d’euros mis en vente depuis un an aurait bondi de 63%, de 69% dans le 6e arrondissement ou encore de 75% à Neuilly-sur-Seine, le bastion historique de Nicolas Sarkozy dans les Hauts-de-Seine. Qui part ? Parmi les derniers départs emblématiques, et qui ont fait polémique, on trouve pêle-mêle, l’acteur Gérard Depardieu, l’homme d’affaires Bernard Arnault ou encore l’opticien Alain Afflelou dont l’exil n’aurait cependant pas de raisons fiscales.  Mais qui compose le gros des troupes des exilés ? Pas forcément des milliardaires. Les nouveaux exilés fiscaux sont souvent de jeunes futurs riches, des cadres supérieurs entre 35 et 50 ans travaillant dans des grands groupes. Ces multinationales délocalisent et leurs salariés acceptent de partir avec elles, et en emmenant avec eux leur famille. « Ces gens-là quittent le territoire dans le cadre d’un certain consensus, et c’est ça qui est nouveau, entre l’employeur et ses salariés. Faisons le même travail dans un autre pays, on gagnera plus, tous ensemble, ailleurs », note l’expert Nicolas Duboille, du cabinet Granrut. Et où vont-ils ? La Suisse, c’est du passé. Les nouveaux exilés fiscaux sont tentés par la Californie, Londres mais aussi le Portugal ou encore la région de Milan en Italie.

 

Moral des industriels toujours au plus bas, selon l’Insee

Moral des industriels toujours au plus bas, selon l’Insee

L’indicateur du climat des affaires a gagné un point par rapport à novembre, à 89 points, mais demeure « très inférieur à sa moyenne de longue période », qui se situe à 100 points, selon un communiqué. Au plus fort de la crise financière mondiale, le moral des industriels s’était effondré, pour tomber à 69 points en mars 2009, avant de remonter progressivement jusqu’à 111 points à la mi-2011. Mais, depuis, il rechute.  En prenant en compte les secteurs d’activité autres que l’industrie, le climat des affaires en France a progressé en décembre d’un point, à 87 points, mais reste lui aussi « nettement en dessous de sa moyenne de longue période », de 100 points. Le moral est inchangé dans les services, le bâtiment et le commerce de détail.  Dans l’industrie, presque toutes les composantes de l’indicateur sont en recul.  En particulier, « les carnets de commandes globaux, qui se sont légèrement dégarnis, et les carnets étrangers, jugés quasi stables, restent considérés comme étant très peu fournis », a relevé l’Insee.  De même, les industriels jugent « mal orientées » leurs perspectives personnelles de production dans les trois prochains mois.  Rare signe positif, « les perspectives générales, qui représentent l’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble, s’améliorent légèrement par rapport au mois précédent, mais demeurent à un niveau très bas », poursuit l’institut statistique.  Dans le détail, malgré des carnets de commandes « assez étoffés », les industriels de l’agro-alimentaire sont pessimistes sur leur activité à venir, à l’inverse des industries d’équipement électrique, électronique, informatique et des machines, qui entrevoient une amélioration dans les prochaines mois malgré des commandes faibles.  Le pessimisme est également de mise dans d’autres secteurs, la chimie, la pharmacie, et le caoutchouc, seule la métallurgie enregistrant une légère amélioration des perspectives.  Jeudi, l’Insee avait publié un dossier spécifique sur l’industrie, dans lequel elle craignait la mise en place d’un cercle vicieux pour la compétitivité de ce secteur en France. En cause, « l’incapacité de fixer des prix de vente suffisamment élevés (qui) affecte les marges et donc les profits ». A son tour, cela « réduit l’incitation et la capacité à investir et à augmenter les parts de marché », avait-il expliqué.

Hollande : « objectif d’ »une inversion » du chômage fin 2013 » ; avec quelle croissance ?

Hollande : « objectif d’ »une inversion » du chômage fin 2013 » ; avec quelle croissance ?

Faute de politique, c’est la méthode Coué pour Hollande qui maintient l’inversion du chômage en 2013 ; juste au moment où l’NSSEE prévoit au mieux 0.1% de progression du Pib en 2013 et 2013. Le président François Hollande a maintenu vendredi son objectif d’inverser la courbe du chômage à la fin de l’année 2013 malgré les mauvaises perspectives économiques de l’Insee pour l’année prochaine, reconnaissant que « ça va être dur pour les Français ».   »Le chômage ne va cesser d’augmenter pendant un an », a reconnu le chef de l’Etat sur Europe 1 mais « la volonté qui est la mienne, c’est qu’à la fin de l’année 2013, et ça va être long, il y ait une inversion » de la courbe, c’est-à-dire que le chômage « à ce moment-là régressera », a-t-il dit. « La vérité c’est que nous avons eu une année 2012 très difficile » avec la crise de la zone euro et que « l’année 2013 reste encore entachée par les choix de ces dernières années », a poursuivi M. Hollande soulignant qu’en arrivant au pouvoir, il « savait que la situation était grave ». Les Français, « je veux leur donner confiance mais leur dire la réalité des choses: ça va être dur, c’est dur mais on va s’en sortir parce qu’on met tous les moyens pour ça », a-t-il martelé. Ca va être dur pour les Français, dur pour le président de la République », a-t-il dit aussi en évoquant une obligation de réussir « sûrement encore plus lourde » en période de « croissance très faible » et de progression du chômage en Europe. Selon M. Hollande, « c’est un moment historique pour notre pays, il peut décliner, il peut décrocher ou il peut poursuivre sa marche en avant. Eh bien moi j’ai choisi d’aller en avant ». « Moi je veux faire réussir toute la France (…) ma volonté c’est de rassembler, d’apaiser, de réunir », a-t-il lancé.

Révolte des riches et perte des valeurs ou pourquoi le déclin de la France

 

Révolte des riches et  perte des valeurs ou pourquoi le déclin  de la France  

 

L’exil des riches est révélateur de l’effondrement des valeurs notamment républicaines. L’individualisme et l’égoïsme ont pris le pas sur les valeurs de solidarité et d’attachement au pays ; la valeur désormais se mesure au patrimoine financier ; il n’ya pas de honte chez les exilés fiscaux ;  au contraire, du mépris pour le pays qui leur a permis d’acquérir leur fortune. Ce comportement témoigne de la dérive d’un pays qui a perdu ce qui fait l’essence d’une nation ; c’est le chacun pour soi, l’individualisme, l’égoïsme surtout de la part d’une génération qui n’a pas connu la guerre mais a su récolté les fruits des efforts de redressement à partir des années 50.  Certes la fiscalité française est excessive (57% du PIB de prélèvement obligatoire), insupportable pour l’économie, source de notre perte de compétitivité, de l’écroulement de la croissance et du chômage. La faute à ces politiques qui pour l’essentiel sont des fonctionnaires qui n’ont qu’un rapport approximatif avec les réalités économiques, sociales et même sociétales ; un seul slogan de la plus petite collectivité locale jusqu’au sommet de l’Etat, des impôts, encore des impôts. Ceci étant qui subit le plus dramatiquement cette situation ? Les riches ou les smicards ? Curieuse inversion de la victimisation.  Des smicards qui précisément, outre la fiscalité, subissent la veulerie des grands responsables économiques qui se sont gavés de dividendes. Le smicard paye la fiscalité plein pot, avec la fiscalité locale, avec la TVA au supermarché, avec l’énergie, avec l’alimentation. La totalité de son revenu est soumise à l’impôt et il ne lui reste rien. Une différence de taille avec les riches qui eux se révoltent pour protéger des fortunes indécentes. Quand les élites  (financièrement, ce qui limite le qualificatif) se comportent ainsi et sans vergogne, cela démontre que le pays est en mauvaise santé morale. Aux valeurs traditionnelles qui fondent une nation se sont substitués la seule valeur de l’argent et cela dans des limites inqualifiables. Le pire, c’est qu’on hésite à légiférer pour arrêter cette pantomime de l’exil fiscal alors qu’on ne cesse de produire des lois par milliers aussi inutiles que couteuses.  L a crise est certes économique mais ne n’est que la conséquence d’une crise plus profonde de nature sociétale qui pourrit le pays, ses élites.et  contamine même une partie de la population.

 

Deneuve défend Depardieu, tu m’étonnes !

Deneuve défend Depardieu, tu m’étonnes !

Deneuve défend Depardieu, normal, elle a été longtemps en tâte des acteurs les mieux rémunérés, en 2012 elle a encore gagné 500 000 euros ; ans une lettre à Toretton, une lettre à caractère théâtral (mauvais) ; le fait d’être comédien ne donne aucune légitimité pour apprécier ce qui est démocratique ou républicain encore moins en matière littéraire.  L’actrice Catherine Deneuve signe vendredi dans Libération une tribune dans laquelle elle exprime sa « colère née des jugements à l’emporte-pièce » de Philippe Toretton à l’encontre de Gérard Depardieu.  »Ma colère est née de vos jugements à l’emporte-pièce (…). Et de cette mesquinerie ordinaire qui vous agite tant », écrit l’actrice, dans une lettre titrée : « Monsieur Torreton.. » « Ce n’est pas tant Gérard Depardieu que je viens défendre, mais plutôt vous que je voudrais interroger. Vous en prendre à son physique ! A son talent ! +Ce gâchis+ dont vous parlez… De quel droit, de quel souci démocratique semblez-vous animer votre vindicte salissante ? », ajoute-elle. Selon elle, Philippe Torreton attaque un « homme vacillant » qui ne « donne en pâture que lui-même ».   »L’homme est sombre, mais l’acteur est immense et vous n’exprimez finalement que votre rancœur », estime l’actrice, qui se demande : « Qu’auriez vous fait en 1789, mon corps en tremble encore ! » Et de conclure sa missive par ces mots : « Avec ma sincère déception ».

 

Les salaires des comédiens les mieux payés

Les salaires des comédiens les mieux payés

On comprend mieux les réactions de certains comédiens quand on connaît leurs salaires : . de l’ordre de 1 million par an. Chiffre à mettre en face du salaire moyen net (INSEE) 4 500 euros nets pour 21 000 recensés. A noter qu’il s’agit d’une moyenne avec beaucoup de dispersion, une majorité gagne moins de 2000 euros par mois.

2012
1. Dany Boon : 7,5 millions d’euros
2. François Cluzet : 3,14 millions d’euros
3. Vincent Cassel : 2,51 millions d’euros
4. Benoît Poelvoorde : 2,375 millions d’euros
5. Omar Sy : 2,29 millions d’euros
6. Kad Merad : 1,82 million d’euros
7. Daniel Auteuil : 1,323 million d’euros
8. Franck Dubosc : 1,2 million d’euros
9. Valérie Lemercier : 1,08 million d’euros
10. Vincent Lindon : 1,021 million d’euros
11. Mélanie Laurent : 1,005 million d’euros
12. Jamel Debbouze et Florence Foresti ex-aequo : 1 million d’euros
13. Fabrice Luchini : 967 000 euros
14. Guillaume Canet : 908 000 euros
15. Christian Clavier : 880 000 euros
16. Karin Viard : 830 000 euros
17. Isabelle Huppert : 829 000 euros
18. Tomer Sisley : 790 000 euros
19. Audrey Tautou : 768 410 euros
20. Gilles Lellouche : 760 000 euros

2010

1: Jean Dujardin : 4,4 millions d’euros

2 – Dany Boon : 3 millions d’euros

3 – Sophie Marceau : 2,9 millions d’euros

4 – Kad Merad : 2,75 millions d’euros

5 – Guillaume Canet : 2,5 millions d’euros

6 – Mathilde Seigner : 2,1 millions d’euros

7 – Jean Reno : 2,09 millions d’euros

8 – Gad Elmaleh : 1,93 million d’euros

9 – Gérard Lanvin : 1,7 million d’euros

10 – Audrey Tautou : 1,5 million d’euros

 

2007

Gérard Depardieu vaut 1 million d’euros brut par film.

Daniel Auteuil les a dépassés pour le film de Patrice Leconte « Mon meilleur ami », empochant 1,2 million d’euros.

Jamel Debbouze se situe au même niveau que ses aînés. S’il demande un cachet inférieur au leur, il s’adjuge un pourcentage sur les recettes en salles. Une stratégie largement payante pour « Astérix » 2 et « Indigènes ».

Jean Dujardin a rejoint ce club très fermé depuis les cartons de « Brice de Nice » et d’« OSS 117 ». Il a négocié 800 000 € pour « Contre-enquête » et plus de 1 million pour « 99 Francs » (sortie cet automne).

Gérard Jugnot, Michel Blanc, Thierry Lhermitte et Christian Clavier ont émargé à plus de 1 million d’euros chacun pour « les Bronzés 3 ».

José Garcia et Gad Elmaleh se hissent également dans cette catégorie pouvant osciller entre 700 000 € et 1 million d’euros. Idem pour Alain Chabat 

Benoît Poolvoerde, depuis « Podium », il peut exiger entre 1 et 1,5 million d’euros

Fabrice Luchini a gagné 700 000 € pour « Molière », tout comme Romain Duris pour le même film.

Deux actrices atteignent le million d’euros par film : Sophie Marceau et Audrey Tautou.

Marion Cotillard a touché 450 000 € brut pour « la Môme ».

  Mathilde Seigner a gagné 533 000 € pour « Danse avec lui ».

Nathalie Baye s’est contentée de 343 000 € pour « Michou d’Auber ». Surprenant, vu son énorme popularité ! Selon un producteur, elle fait partie de ces stars qui ne sont pas obsédées par leur cachet.

Clovis Cornillac a touché 409 500 € brut.

Yvan Attal a perçu 400 000 € pour « le Serpent »

Dany Boon 500 000 € pour « Mon meilleur ami ».

De 150 000 à 600 000 € par film: Guillaume Canet, François Berléand, Kad Merad, Cécile de France, Benoît Magimel, François Cluzet, Juliette Binoche, Isabelle Huppert, Emmanuelle Béart, Valérie Lemercier…

 

 

 

Le Figaro : « Les Français «comprennent» Gérard Depardieu « ; c’est pas de l’info, c’est de l’intox !

Le Figaro : Les Français «comprennent» Gérard Depardieu ; c’est pas de l’info c’est de l’intox !

Voilà le titre qui explique une grande partie des difficultés du Figaro et qui se traduit par un plan social d’une centaine de personnes. Décryptage, un sondage pour approuver ou non l’attitude de Depardieu : résultats 40% pour, 35% contre (manquent 25% ! qui disent quoi ?)), en même temps  80% pensent que les riches doivent faire des efforts mais 54% comprennent cependant que certains partent. Pas de quoi justifier un tel titre.  Le papier du Figaro »

« À la question clairement énoncée «Vous savez que Gérard ­Depardieu a quitté la France pour la ­Belgique où il paiera moins d’impôts, comprenez-vous sa décision», 40% des Français disent «oui», selon un sondage IFOP réalisé pour Le Figaro. Parmi eux, le soutien des sympathisants de l’UMP est massif, mais, globalement, une majorité des sondés de tous bords se refuse à blâmer l’acteur. Un gros tiers de l’opinion, 35% exactement, se montre toutefois «choqué» par cet exil aux motivations financières. Les indignés sont plus nombreux parmi les électeurs de gauche que de droite, mais, plus surprenant, ils se comptent surtout au sein des tranches d’âge les plus élevées. «Ce comportement révèle un rapport au pays différent selon les générations, analyse Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’IFOP. Les personnes plus âgées ont une notion plus exigeante des droits et devoirs vis à vis de son pays.» Plus largement, un Français sur six éprouve le sentiment que le nombre d’exilés fiscaux ne cesse de croître. Les statistiques récemment publiés par le syndicat des impôts donnent peu d’indication en la matière. En 2010, dernière année disponible, près de 700 contribuables auraient fait leurs valises.  Le sondage souligne par ailleurs toute l’ambiguïté des Français vis-à-vis de l’impôt. Si 8 Français sur 10 estiment que «compte tenu de la situation difficile que connaît notre pays, il est légitime de demander aux personnes les plus riches de faire des efforts», ils sont aussi 54% à trouver «compréhensible» que certains d’entre eux partent à l’étranger… Difficile synthèse entre l’esprit Robin des bois et une tradition plutôt hostile à l’administration fiscale. Les dernières annonces du gouvernement – le projet de budget 2013 prévoie quelque 20 milliards d’euros de hausses d’impôts – ont en tout cas été entendues. En 2010, une petite majorité de Français estimaient que le niveau d’imposition n’était pas assez élevé pour corriger les inégalités, ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui – le taux ayant chuté de 24 points… Si le principe de l’impôt comme correcteur des inégalités n’est pas remis en cause, c’est le niveau qui fait débat. » Conclusion on termine avec un bel amalgame entre une fiscalité générale excessive mais qui frappe en premier les bas revenus et les couches moyennes et la question de l’exil fiscal des riches ;

L’empathie vis-à-vis des exilés grimpe en même temps que les revenus, mais elle est majoritaire dès que le foyer dispose de plus de 2300 euros par mois. Nul besoin donc, d’acquitter l’ISF pour juger la pression fiscale actuelle trop dissuasive. Au dessus de 4500 euros par mois, deux personnes sur trois comprennent les partants. «Ces chiffres montrent une forme de solidarité des classes moyennes supérieures avec les plus riches pour protester contre une fiscalité jugée insupportable», décrypte Jérôme Fourquet.

 

Plan social au Figaro, une crise symbolique de la presse

Plan social au Figaro, une crise symbolique de la presse

Les mouvements sociaux au Figaro sont rares pourtant cette fois cela concerne un plan social de presque 100 personnes. Après les autres grands titres nationaux, le Figaro plonge. En cause, la multiplication des médias et une politique éditorialiste trop insipide et souvent caricaturale qui demeure cependant l’un des meilleurs en matière d’information économique.  Le Figaro vit donc aussi cette crise de la presse qui a concerné tous les titres.une crise de la paresse et l’amateurisme. Résumons, à part quelques articles,  les journaux (écrits, télévisés ou même des grands médias d’internet) sont composés pour l’essentiel des communiqués des agences, des entreprises, des groupes de pression et du gouvernement. Peu de réelles investigations, d’approfondissement ou d’analyse ; Une sorte de « fast info » qui balance une dépêche de l’AFP quitte à dire le contraire le lendemain dans une autre dépêche de l’AFP. Bref de la  « fast-information » ».C’est aussi ce qu’on appelle la crise ! Du jamais vu donc ou presque ! Depuis 16h30  jeudi 20 décembre 2012, Le Figaro est en grève. Une demi-heure plus tôt, une assemblée générale avait été convoquée à l’appel des syndicats pour discuter du plan de départs volontaires de « 70 à 90 personnes » (environ 10% des effectifs) annoncé un peu plus tôt par la direction. Environ deux cents salariés ont assisté à cette réunion, qui s’est tenue dans le vaste open space du pôle news du Figaro.fr. Au micro, Patrick Bele, service étranger et délégué SNJ. « Ce plan social est en total contradiction avec le discours d’Alexis Brézet, le nouveau directeur des rédactions, explique-t-il à Télérama. Il y a trois semaines, il est venu nous présenter un plan de développement ambitieux, axé sur le numérique et le bi-média. Et là patatras ! C’est comme si la direction générale avait décidé de saboter le plan de relance. » « Pour ce projet, ils ont même dit qu’ils voulaient recruter, se montrant très volontaristes sur les moyens, ajoute Laurent Mardelay, du SNJ CGT. Les comptes du groupe devraient d’ailleurs être positifs en 2012. »  Si la totalité de l’assemblée s’est prononcée pour le retrait du plan de départs, le vote sur la grève, réalisé à main levée, donne lieu à différentes interprétations. Pour certains, une majorité aurait voté en sa faveur, même « des rédacteurs en chef du Figaro Magazine ! », fait visiblement exceptionnel dans la maison. Moins d’une dizaine se serait prononcée contre. Pour d’autres, une cinquantaine de votant se serait prononcée pour, et quelques-uns contre. Mais une grande majorité se serait abstenue. « C’est une vision assez spéciale de la démocratie », grince un salarié. Certains sont retournés travailler. Mais pas le secrétariat de rédaction, qui, à 19h, bloquait encore la copie, menaçant la sortie du journal du lendemain. Un peu plus tôt, Alexis Brézet avait envoyé un message à l’ensemble du journal. Il en appelait au « sens des responsabilités », incitait « les grévistes à se déclarer » et qualifiait « d’acte grave » et « d’extrémité » l’éventuelle blocage de la parution.

Ayrault délocalise les centres d’appel au Maroc ! !

Ayrault délocalise les centres d’appel au Maroc ! !

Le pauvre Ayrault va encore goûetr aux joies de la contradiction avec son fiancemenet de centres dapples au Maroc. Lors de sa visite au Maroc le 12 décembre dernier, Jean-Marc Ayrault a signé une convention qui octroie notamment un prêt de 100 millions d’euros « destiné au refinancement des activités offshoring développées par la société Casanearshore », basée à Casablanca. Celle-ci, qui emploie déjà plusieurs dizaines de milliers de personnes, gère notamment les centres d’appel et les supports informatiques de grandes entreprises, parmi lesquelles Accenture, HP, Atos ou encore BDSI, une filiale de BNP Paribas. Le Premier ministre, lors de la signature de la convention, s’était pourtant félicité de son contenu. « Notre objectif est bien sûr d’éviter (…) des délocalisations qui portent sur l’ensemble d’un processus industriel. En revanche une ‘colocalisation’ industrielle, si elle résulte d’une analyse fine de la valeur ajoutée sur toute la chaîne de production et les avantages compétitifs de chaque site, elle peut être bénéfique et soutenir l’activité des deux côtés de la Méditerranée », expliquait-il alors. La principale association d’informaticiens français, le Munci, dénonce une situation invraisemblable : Comment expliquer que le gouvernement favorise l’emploi de l’autre côté de la Méditerranée quand 36.000 informaticiens français sont au chômage, demandent-ils sur leur site Internet. Manuel Jacquinet, spécialiste des questions de relation client qui avait en juillet fait un certain nombre de propositions pour rapatrier en France ces activités, est lui aussi très remonté. Dans une lettre ouverte publiée sur son site Internet, il dénonce une décision « inimaginable ». « Des ministres comme Laurent Fabius, Pierre Moscovici (…) ont décidé que la priorité était… de favoriser encore plus la délocalisation des deux seules industries tertiaires qui créent le plus d’emplois depuis des années : celle de l’informatique, et celle des services clients et hotlines téléphoniques. »

ONU : une intervention au Mali

ONU :une intervention au Mali

Le Conseil de sécurité des Nations unies a voté jeudi à l’unanimité un projet de résolution présenté par la France qui autorise le déploiement au Mali, pour une période initiale d’une année, d’une force africaine chargée de chasser les rebelles islamistes du nord du pays. Le texte autorise une force d’intervention africaine à prendre « toutes les mesures nécessaires », en conformité avec les lois internationales, afin de prendre le contrôle du Nord malien, tombé depuis le printemps dernier aux mains de groupes islamistes armés et de rebelles touaregs. Il autorise aussi l’Union européenne et d’autres pays membres de l’Onu à participer au renforcement des forces de sécurité maliennes. Cependant  l’intervention n’est pas  prévue avant septembre 2013.

 

 

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