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Archive mensuelle de décembre 2012

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France Télévisions : déficit de 42 millions, Pourquoi ?

France Télévisions : déficit de 42 millions, Pourquoi ?

 

France télévision dont se demande pourquoi il bénéficie encore d’une redevance publique affichera uni déficit de 42 millions. Pourquoi encore une télé publique alors qu’existent  à coté une centaine de chaines. Pour la qualité, paraît-il ! En tout rien de très différent des autres chaines, si, les effectifs pléthoriques avec les journalistes qui montent leurs boites de production et revendent leur production à France télévisons. Exemple caricatural, une émission dithyrambique sur le journaliste Michel Drucker (sympathique au demeurant) produite pas la boite de production de Michel Drucker et diffusé par France télévisons ! En utilisant au black des salariés de France télévision et/ou des journalistes mal déclarés. France Télévisions, contraint par l’Etat à une violente cure d’austérité, a prévenu que ses comptes plongeraient dans le rouge l’an prochain, épilogue d’une semaine qui a vu une grève bien suivie et une rencontre sous tension entre la ministre de la Culture et le PDG Rémy Pflimlin, accusé de ne pas avoir de stratégie. Alors que cette année encore, France Télévisions table sur des comptes à l’équilibre, le groupe a annoncé vendredi soir qu’il escomptait une perte opérationnelle de 42 millions d’euros en 2013, sous le double coup d’une baisse des recettes publicitaires et des dotations publiques.

Le directeur de cabinet de Marisol Touraine viré par Matignon ; trop de com. !

Le directeur de cabinet de  Marisol Touraine viré par Matignon ; trop de com. !

Trop de com, pas assez de sérieux dans les dossiers, le directeur de cabinet de Marisol Touraine a été viré par Matignon. Pourtant  Jean-Luc Névache, préfet de formation et ancien délégué interministériel à la Sécurité routière, avait été choisi par Matignon ! Délégué à la sécurité routière, une fonction qui ne sert pas à grand chose sinon à dire pourquoi chaque mois les accidents augmentent ou régressent mais sans analyse sérieuse (il n’y a aucun organisme compétent dans ce domaine ; Marisol Touraine ne le connaissait pas avant. cependant Avenue de Ségur, il était plutôt apprécié. Mais voilà, depuis la rentrée couraient de méchantes rumeurs, venant aussi  bien de Matignon que de son propre ministère, mais aussi plus généralement du monde de la santé. On répète que le cabinet de la ministre fonctionnerait mal, les dossiers du ministère manqueraient de panache. Certains pointant les rapports distants de Marisol Touraine avec le Premier ministre, rappelant l’analyse peu diplomatique de la ministre, en septembre dernier, qui regrettait qu’à coté d’un président normal il y ait un… Premier ministre normal. Ce qui avait été fort peu apprécié. «Le problème n’était pas son directeur de cabinet», note un ancien directeur de la santé, «mais son cabinet». Un cabinet qui manquerait de souffle, avec peu de personnalités. Et le sentiment que le travail des conseillers se limiterait à faire la communication de la ministre. Propos sévères et un rien machistes: ces mêmes hauts fonctionnaires ne se seraient jamais permis pareilles critiques face au cabinet de l’ancien ministre de la Santé, Xavier Bertrand, dont l’alpha et l’oméga étaient pourtant l’image de leur ministre. Il n’empêche, Marisol Touraine termine l’année un brin fatiguée. Elle a pu donner le sentiment de jouer en solitaire. Aux yeux de certains, la ministre a paru lointaine, se refermant sur la gestion technique des dossiers. A l’image de la négociation sur les dépassements d’honoraires : à l’extérieur, celle-ci a été perçue comme le summum de la confusion et d’un jeu de rapports d’un autre temps. Alors que la ministre a continué, elle,  de défendre cet accord, le jugeant «historique». «On dit qu’elle reçoit peu, mais elle ne fait que cela, du matin jusqu’au soir», constate une amie. Quant à ses directeurs d’administration, ce sont certes de bons professionnels, mais aucun ne s’impose. Au final, si le ministère paraît tenu, il manque quelques idées fortes, bref un souffle. En cela , le ministère de la Santé ressemble… sacrément à Matignon. Ce sera, en tout cas, le troisième départ au sein du cabinet de Marisol Touraine. Cet été, la chargée de communication est partie; récemment Christophe Lannelongue, chargé de l’organisation des soins, s’en est allé après quelques loupés dans ses dossiers. Et il vient d’être remplacé par François Crémieux, une personnalité que nul ne conteste. L’arrivée de Denis Morin va marquer un changement, mais lequel? Il vient, avec un de ses adjoints Bruno Marquat, inspecteur général des affaires sociales

 

Sarkozy : « partout où je vais-je pense à vous », à 100 000 euros la conférence, encore heureux !

Sarkozy : « partout où je vais-je pense à vous », à  100 000 euros la conférence, encore heureux !

 

Premier message Facebook de Sarkozy depuis sa défaite ; sur sa page Facebook «  il pense à nous ». Encore heureux car c’est grâce à son passage comme président de la république qu’il peut maintenant commencer à amasser une fortune (comme Tony blair dont il s’inspire) ? 100 000 euros la conférence d’une heure ou deux ; ça vaut le coup. Pour dire quoi ? Ça c’est autre chose ,  cela n’a d’ailleurs aucune importance car en général ces conférences réunissent des milliardaires pour qui on fait surtout venir une vedette de la politique pour attirer du monde. C’est plus attirant qu’un expert compétent qui en plus pourrait se montrer désagréable vis-à-vis de la finance. Au moins avec des Sarkozy, Blair et autres anciens présidents, on est sûr que le propos sera rassurant pour les riches (les conférenciers sont payés pour ça). Evidemment on apprend rien de nouveau, les banalités habituelles de chefs d’Etat qui viennent expliquer comment sortir d’une crise qu’ils n’ont pas réussir à résoudre. Bien sûr, on pourrait faire venir Miss monde ou Céline Dion, ce serait pus amusant  mais cela nuirait au caractère informatif  de la conférence dont les frais sont en général supportés par les entreprises (avec le repas et le reste) ; En France, ce sont même parfois les crédits de la formation permanente qui sont utilisés à cet effet. Pas de quoi fouetter un chat ;  des petites bouffe entre copains à 500 000 ou 1 million d’euros, il n’y a pas matière à critiquer ou alors c’est de l’acharnement contre les riches, voire la guerre civile comme dirait l’humoriste Parisot.

Nucléaire: EDF préfère les chinois à Areva !

Nucléaire: EDF préfère les chinois à Areva !

Proglio pourraat bien payer son dernier croche pied à Areva car la a guerre continue entre EDF (qui veut le monopole du nucléaire) et Areva. Témoin un accord de dernière minute avec les chinois qui écarte Areva. Bercy cherche à « élucider les conditions dans lesquelles Proglio a signé en novembre 2011 un drôle de partenariat nucléaire entre l’électricien français et son homologue chinois China Guangdong Nuclear Power Company (CGNPC) », poursuit le journal.  L’hebdomadaire satirique ajoute que « de leur côté, les services de renseignement s’efforcent d’établir la nature des liens entre certains dirigeants d’EDF et leurs partenaires chinois ».  Interrogés par l’AFP, ni Bercy ni l’entreprise n’étaient en mesure de commenter l’information dans l’immédiat.  Le journal indique que le patron d’EDF a présenté « quelques semaines avant la présidentielle, le 11 avril » à ses administrateurs « un accord de coopération avec Pékin » pour la construction de centrales nucléaires équipées d’un nouveau réacteur, concurrent de l’EPR.  Selon Le Canard Enchaîné, cet accord a été critiqué par l’Agence des participations de l’Etat, mis en question dans une note classée « confidentiel-défense » le 16 avril, puis bloqué le « 19 avril, à trois jours du premier tour de la présidentielle » par le ministre de l’Economie de l’époque, François Baroin.  Après une réunion du Conseil de politique nucléaire en septembre sous l’autorité du président de la République François Hollande, l’électricien français a fini par signer le 19 octobre avec Areva et CGNPC « un accord confidentiel tripartite », relève le Canard Enchaîné.  EDF et Areva avaient démenti en octobre des articles du Nouvel Observateur et du Canard Enchaîné selon lesquels EDF avait cherché à négocier un accord sur le nucléaire avec CGNPC dans le dos du gouvernement français et d’Areva, et qui aurait été très défavorable à ce dernier. Les deux groupes avaient assuré travailler en étroite collaboration sur ce projet de réacteur commun.

Allemagne : tassement des exports en 2013

Allemagne : tassement des exports en 2013

L’Allemagne va commencer à souffrir en matière d’exportations, la croissance dans ce domaine pourrait bien être divisée par deux du fait de la crise de la demande mondiale et en particulier de celle de la zone euro où l’Allemagne écoule 60% de ses exports. Les exportations allemandes devraient augmenter de 4% l’an prochain, a estimé le responsable du commerce extérieur de la fédération allemande des chambres de commerce DIHK, Volker Treier, dans un entretien paru aujourd’hui dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung. En 2013 « avec une croissance de 4%, les exportations devraient rester vaillantes », en dépit du « manque d’impulsion de la zone euro », qui demeure le principal marché de l’Allemagne, a déclaré Volker Treier. Les chambres de commerce allemandes se montrent ainsi plus optimistes que la fédération allemande de l’industrie (BDI), qui la semaine dernière a prédit pour sa part une croissance des exportations d’ »au moins 3% » l’an prochain, contre une hausse de 4% attendue cette année. Toutefois même avec une croissance stable des exports, 2013 s’annonce comme un cru décevant, sachant que la croissance moyenne des exportations allemandes sur les 10 dernières années était de 6%, a rappelé VolkerTreier.

 

OR : 2013, l’année de la baisse

OR : 2013, l’année de la baisse

 

Curieusement 2013 devrait être l’année du retournement des cours de l’or. Curieusement parce que la crise économique va s’approfondir et que la peur alimente en général  la hausse de la valeur refuge. Le problème de l’or c’est qu’il n’a cessé de grimper depuis plus de dix ans et qu’il faudra bien qu’il redescende car les niveaux actuels deviennent vertigineux. Pourtant tout devrait être favorable à l’ or car l’injection de liquidités va s’accompagner de taux d’intérêts très faibles voire négatifs. Mais même à des taux faibles ,  les obligations trouvent preneurs car c’est encore plus sûr que le versatile cours de l’or. On a constaté ces derniers temps une amorce dans ce sens. L’envolée spectaculaire des cours de l’or, qui aura duré 12 ans, touche-t-elle à sa fin ? Traditionnelle valeur refuge en période d’incertitude, le métal jaune, qui a vu son cours moyen grimper tous les ans depuis 2001 ne profite pourtant pas des inquiétudes liées au « mur budgétaire ». Si la plupart des banques tablent toujours sur de nouveaux records en 2013, les éléments de soutien cités – taux d’intérêt ultra-faibles et craintes d’inflation – n’ont pas suffi à propulser les cours de l’or hors du canal dans lequel ils sont cantonnés depuis un an. Une brève envolée en novembre, en réaction au dernier programme de stimulation monétaire de la banque centrale américaine, a rapidement donné lieu à un courant de ventes. L’or a perdu quasiment 5% au cours des quatre dernières semaines, ce qui devrait ramener sa hausse à environ 7% cette année, son rythme le plus faible depuis 2008. Autour de 1.664 dollars l’once, son cours 13,3% au-dessous de son record touché l’an dernier, à 1.920.30 dollars et nettement inférieur au niveau de 2.000 dollars anticipé par les investisseurs les plus optimistes à l’époque. « En gros, les investisseurs ‘baissiers’ sur l’or ont déclaré, ‘on n’y croit pas’ et ont matraqué les cours », note Ross Norman, directeur général du négociant Sharps Pixley. « Le vrai test pour ce marché est sa façon de réagir dans l’adversité et l’or n’a pas bien performé. »  

 

Monnaies : la guerre des dévaluations en 2013

Monnaies : la guerre des dévaluations en 2013

 

Avec des politiques monétaires très accommodantes, les Etats –Unis ont montré l’exemple depuis plusieurs annéeés.la Chine de son coté a tout fait pour limiter la réévaluation du yuan.  La banque d’Angleterre et surtout récemment celle du Japon suivent l’ exemple. Avec l’approfondissement de la crise, les banques centrales vont injecter des masses de capitaux pour sauver à la fois le système financier et ce qui peut l’être en matière de croissance. Même ‘l’orthodoxe BCE a été contrainte de faire une entrave à sa doctrine en injectant aussi des liquidités. Cependant la BCE pourrait être la dernière à soutenir de manière significative la croissance. En fait on cherche à affaiblir la valeur des monnaies pour soutenir la compétitivité quitte évidemment à importer de l’inflation. Une opération négative car elle pèse sus le pouvoir d’achat et la consommation mais positive car elle booste les exportations. La « guerre des monnaies » qui, jusqu’ici, n’avait provoqué guère davantage que des éclats de voix, pourrait-elle en 2013 se transformer en guerre ouverte entre les Etats? La décision de la Banque du Japon (BoJ), de donner un coup d’accélérateur à son programme d’assouplissement quantitatif pour la troisième fois en quatre mois, est la dernière tentative en date des pays développés pour soutenir leur croissance en recourant à des outils non-conventionnels. Mais les Etats émergents pourraient avoir à payer le prix de cette politique monétaire ultra-accommodante. Avec un afflux de liquidités toujours plus important dans leurs économies du fait des rachats d’actifs initiés par les banques centrales des pays développés, ceux en voie de développement risquent de subir une appréciation de leur devise susceptible d’avoir pour effet de nuire à la compétitivité de leurs exportations. De ce fait, ces Etats pourraient ne pas avoir d’autre choix que d’abaisser les taux d’intérêt et/ou d’intervenir pour maintenir leur devise à un niveau raisonnable. Au risque d’alimenter l’explosion des prix du crédit et des actifs, terreau de l’inflation. « Certains signes montrent que nous assistons actuellement à une course à la dévaluation », a commenté une source d’un pays membre des pays du G7. S’exprimant avant la décision de politique monétaire de la BoJ, cette source avait ajouté: « Si tout le monde essaie de dévaluer sa monnaie, cela aura au final des :

 

Economie, politique, société: pages les plus regardées 24 décembre 2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conflit Fillon –Copé : le pouvoir pour seule doctrine

Moscovici : impossible d’agir sur le prix du carburant

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Zone euro : nouveau chômage record

Zone euro: Moody’s dégrade d’un cran le Mécanisme européen de stabilité

Groupe Doux : sursis pour 2300 emplois menacés

Florange: pas de nationalisation et avenir très incertain

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

 

Banque mondiale : prix alimentaires élevés ; En cause, la spéculation

Electricité pas de rétroactivité pour la baisse comme pour la hausse du gaz

Patronat et syndicats : les contrats de travail courts en cause

Consommation : nouvelle baisse

Hausse du gaz, un feuilleton bien rodé ou la politique de l’autruche

Concorde: pas de responsable ! Drôle de jugement

Hilary Clinton il faut favoriser la croissance en Europe

Etats-Unis: tassement de l’économie

59% des français pour la nationalisation de d’ArcelorMittal Florange

Inde: croissance ralentie, +0.8% pour le secteur manufacturier

Allemagne : hausse du chômage, une bonne nouvelle !

 

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 Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Copé-UMP : « pas de referendum »

Sondage : Le FN profite de la crise à l’UMP

Sondage: Ayrault plonge encore

La RATP épinglée mais la Cour des comptes débloque

Espagne : 37 milliards de prêts européens pour assainir les banques

Chérèque (CFDT) : Montebourg fait du bluff avec Mittal

Prix Carburant : Hollande renie sa parole

 

 

 

 

 

 

 

 

Bardot : non à la chasse au Depardieu !

Bardot : non à la chasse au Depardieu !

 

Bardot défend les animaux y compris Depardieu, l’animal sauvage qui veut quitter sa cage France pour la Belgique ou même la Russie. En cause, le » ronron fiscal », pas à son gout. Bardot le défend « Je soutiens Gérard Depardieu, victime d’un acharnement extrêmement injuste.». Bardot demande l’arrêt de la chasse au Depardieu, une chasse qui pourrait conduire à l’extinction de comédiens aussi talentueux que vulgaires et veules. Qui veut la peau de Depardieu ?  Une honte quand des peaux synthétiques peuvent facilement remplacer le pelage fatigué de l’acteur. Le clivage sur cette question de la chasse au  Depardieu dépasse la gauche et la droite ;  Lucchini par exemple défend Depardieu au nom de la filmographie comme si cette filmographie pouvait donner une réponse à une problématique fiscale. Le vrai clivage entre les pros et anti chasse, c’est le fric .  Ceux qui trustent les cachets à 1 Million (et davantage) par film sont contre la chasse, d’autres moins chanceux (surtout moins rémunérés) sont pour. Ce n’est plus la chasse mais la guerre comme vient de le déclarer Parisot la porte parole du CAC 40 ; une guerre civile a-t-elle ajouté, comme en 1789 a surenchéri Afflelou qui devrait bien de changer de lunettes pour poux voir les réalités sociales et sociétales. A force d’être médiatisé, les comédiens (et autres représentants du showbiz)  finissent pas se prendre pour des intellos et parlent de tout et surtout de rien, de la fiscalité par exemple ou  d’autres problèmes de société. Ils ont le droit bien sûr mais la pertinence de leur propos ne repose que sur l’audimat de leur prestation de saltimbanque. Quel est la légitimité de Bardot hormis la beauté passée d’un magnifique séant, On raisonne en fait avec ce qui a fait sa célébrité.

Mali : intervention début 2013

Mali : intervention début 2013

L’intervention militaire de la force africaine visant à chasser les rebelles islamistes du nord du Mali pourra avoir lieu au premier semestre 2013, déclare le ministre français de la Défense dans une interview au quotidien La Croix à paraître lundi. Le Conseil de sécurité de l’Onu a adopté jeudi à l’unanimité une résolution autorisant le déploiement d’une force africaine pour une période initiale d’un an afin de reprendre le contrôle du nord du Mali tombé en avril aux mains d’islamistes et de rebelles touareg. La force africaine, qui prendra le nom d’Afisma, devrait compter jusqu’à 3.300 hommes et aidera les forces gouvernementales maliennes à reprendre les zones du nord du pays. « L’intervention militaire pourra avoir lieu au premier semestre de l’année prochaine », déclare Jean-Yves Le Drian dans les colonnes du quotidien catholique, estimant que « pour l’instant, il n’y a pas de solution politique » au Mali.

 

Fabius : trop de couacs au gouvernement

Fabius : trop de couacs au gouvernement

Fabius  reconnaît que la mauvaise passe de l’exécutif a des raisons objectives. « C’est dû à la situation économique, à la crise, au chômage en hausse, au pouvoir d’achat en baisse. À quoi s’ajoutent… » Laurent Fabius marque une pause, cherche les mots pour le dire : « … Il faut que je sois diplomate maintenant que je suis ministre des Affaires étrangères… « , puis il finit par concéder : « … quelques marges de progression en termes de gestion ». Qu’en termes polis ces critiques-là sont dites… Il a déjà fait cinq fois le tour du monde en sept mois, mais ne veut pas se couper de son pays et de sa Normandie. « Il n’y a pas d’hostilité mais de l’inquiétude. Les Français sont inquiets à cause de la situation internationale et à cause du manque de pédagogie, des couacs etc. Beaucoup de gens sont déboussolés, notre rôle est de tracer une perspective. Les gens ne supportent plus les bisbilles. » Fabius cherche à sauver Pétroplus, dans la discrétion. L’école Fabius, appliquée par son dauphin Guillaume Bachelay, s’éloigne de celle de Montebourg. « Ce qui est désolant dans l’affaire de Florange, c’est qu’on a obtenu un résultat correct, le maintien des emplois, mais comme ç’a été mal goupillé, les gens ont l’impression qu’il y avait une solution qui aurait tout réglé et c’est faux. Les choses n’ont pas été gérées comme elles devaient l’être. Tirons-en les conséquences et espérons que les difficultés soient résorbées. » Pour Fabius, la crise est durable : « L’idée selon laquelle on aura six mois difficiles, on part en vacances et après tout redevient comme avant est fausse. On assiste à un changement du monde, l’Europe n’est plus le centre du monde, l’emploi a changé. »

Raffarin : il n’y a pas besoin de président à l’UMP

Raffarin : il n’y a pas besoin de président à l’UMP

Dans une interview à paraître dans le Journal du Dimanche, Jean-Pierre Raffarin donne son avis sur le travail à faire au sein de l’UMP : « J’ai été le premier à parler d’inventaire, cela m’a été reproché. Il ne s’agit pas de revenir sur le lien personnel qui lie Nicolas Sarkozy à l’UMP, mais d’analyser les points forts ainsi que les faiblesses du dernier quinquennat. Cette analyse, qui devra trouver sa place dans notre nouveau projet politique, est un exercice utile de vérité », affirme-t-il. L’ancien Premier ministre estime également que l’UMP devrait être dirigée à l’avenir par un secrétaire général et non un président. « Le choix des primaires pour la présidentielle plaide pour le remplacement de la fonction de président par celle de secrétaire général », dit-il.

 

Tapie-Hersant : une enquête demandée

Tapie-Hersant : une enquête demandée

 

Le député et maire du 1er secteur de Marseille, Patrick Mennucci (PS) demande la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le rachat par Bernard Tapie des journaux du Pôle sud du groupe Hersant Médias (GHM), dont fait partie la Provence. Dans une lettre adressée au président du groupe socialiste à l’Assemblée, Bruno Leroux, dont l’AFP a eu copie, le député fait part de ses doutes quant aux conditions du rachat des titres par Bernard Tapie, à parité avec la famille Hersant.   »Cette prise de contrôle suscite bien des questions sur les conditions dans lesquelles cette transaction a pu avoir lieu », écrit Patrick Mennucci, en faisant notamment allusion à la situation financière de GHM, qui s’apprête à investir 25 millions d’euros dans ce rachat. Le rachat des titres du Sud et d’outre-mer de GHM était soumis à un accord entre le groupe, les repreneurs et les 17 banques créancières, menées par BNP Paribas, à qui GHM doit déjà 215 millions d’euros. « Dans quelles conditions (…) GHM a pu atteindre un endettement aussi important auprès de 17 banques ? (…) Comment est-il possible que ces prêts aient pu être consentis sans qu’aucune garantie n’ait été prise sur les biens personnels des membres de la famille Hersant, par ailleurs richissime ? », s’interroge le député.  Patrick Mennucci se demande si « l’ensemble des groupes qui se sont intéressés à la reprise de GHM ont été traités également par l’administrateur judiciaire, M. Thévenot ». Ajoutant que « des articles de presse laissent penser que l’administrateur judiciaire serait lié à Me Lantourne, l’avocat de Bernard Tapie et de GHM ». Selon Patrick Mennucci, la commission devrait se pencher sur d’éventuelles manoeuvres qui « limitant la concurrence, ont fait diminuer le prix d’acquisition ».  En conclusion de sa lettre, le député des Bouches-du-Rhône qui vise la mairie de Marseille en 2014, affirme que cette proposition « fera Å“uvre utile pour la liberté de la presse et la clarté des transactions devant les tribunaux ».

 

Affaire Cahuzac: le juge Bruguière s’explique mais reste prudent

Affaire Cahuzac: le juge Bruguière s’explique mais reste prudent

 

Jean-Louis Bruguière a été l’adversaire de Jérôme Cahuzac dans le Lot-et-Garonne lors des élections législatives de 2007. Certains affirment qu’il détiendrait une copie du fameux enregistrement diffusé par Mediapart mettant en cause le Ministre du Budget. Interrogé sur ce point sur le site de Paris Match, le juge anti-terroriste livre ses explications. « Plusieurs personnalités locales m’ont incité à me présenter en 2007 lors des élections législatives contre Jérôme Cahuzac. Très tôt, j’ai eu des contacts avec Michel Gonelle (l’auteur de l’enregistrement, Ndlr) , une figure très importante à Villeneuve-sur-Lot, dont il avait été le maire. Mais assez vite, je me suis rendu compte que la manière dont celui-ci voulait que je mène ma campagne était aux antipodes de mon éthique personnelle », explique-t-il. Mais un peu plus loin, le juge va livrer le fond de sa pensée : « Au début de la campagne, il m’a notamment parlé d’un enregistrement qui concernerait Jérôme Cahuzac. A ses dires, il y avait un aspect fiscal mais il ne m’a pas donné plus de précisions, notamment sur les conditions dans lesquelles cet enregistrement était en sa possession. Michel Gonelle est toujours très mystérieux. Je pense aujourd’hui qu’il s’agit de l’enregistrement diffusé par Mediapart, mais je ne peux le certifier car je n’ai jamais écouté le contenu du support audio que Michel Gonelle m’a remis en 2007″, assure-t-il.

 

Perspectives économiques 2013 : changer Ayrault et vite

Perspectives économiques 2013 : changer Ayrault et vite

 

Finalement Ayrault gère la France comme sa ville, mal ;  en comptant surtout sur l’impôt pour boucher les trous. Nantes est en effet un des viles les plus mal gérées de France selon  PES, une agence indépendante de notation des collectivités locales. Les finances de 869 municipalités ont été soigneusement examinées. Pour résumer trop de dépenses de fonctionnement, trop de dettes, trop d’effectifs. Pour les villes de plus de 100 000 habitants Nantes est la vile la plus mal gérée ; Comme la France finalemenet. En maintenant un taux de croissance surévalué (0.8% en 2013 alors qu’on sera sans doute en stagnation comme le prévoit le FMI et même la docile INSEE), Ayrault conduit la France dans le mur ; ce sera une quinzaine de milliards qui vont manquer à ajouter aux 30 milliards d’économies qui sont déjà prévues pour l’inatteignable objectif de 3% de déficit budgétaire. Localement ou nationalement, c’est toujours la même politique, trop de dépenses de fonctionnement, trop de fonctionnaires, trop d’impôts et en dépit de cela une dette qui enfle. A Nantes, la dette par habitant est le double de la moyenne en France. A la décharge d’Ayrault, il n’’est pas plus mauvais que d’autres maires irresponsables ; la plupart : des fonctionnaires qui ignorent tout de l’économie. La France va connaitre en 2013 une année noire avec une croissance inexistante, un chômage supplémentaire de 500 000 chômeurs, une explosion des comptes sociaux ‘( Assedic, RSA, aides de toutes natures) et mécaniquement une augmentation de ses déficit et de sa dette (ce que prévoit l’Europe et le FMI°. Dès lors il faudra se débarrasser d’Ayrault avant la fin de l’année pour lui faire porter le chapeau de l’irresponsabilité. Le plus tôt sera le mieux ; La sincérité de l’homme n’est pas en question, il réfléchit comme tout bon fonctionnaire en pensant que l’impôt peut tout régler. C’est sa compétence qui est en cause. Un ancien professeur qui ne connait rien de réalités économiques et sociales et qui déjà dans sa ville n’a pas brillé par ses performances de gestion.  On objectera qu’il a été réélu et alors ? On a bien réélu (Mitterrand et Chirac). .La démocratie ne change pas les résultats de gestion. L’année 2013 et les suivantes  seront très difficiles, il faudrait un vrai manager de l’entreprise France et non un politicien irresponsable et indécis finalemenet manœuvré par les groupes de pression (Arcelor Mittal, réforme des banques, fiscalité, exil fiscal, Europe, Smic etc.). Comme d’habitude, on va traîner et la question se posera vers l’été, encore 6 mois ou un an perdus.

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