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Archive mensuelle de décembre 2012

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Navire géant- ST Nazaire : L’anti européenne Finlande en appelle aux règles de l’Europe

Navire géant- ST Nazaire : L’anti européenne Finlande en appelle aux règles de l’Europe

La Finlande qui s’oppose à plus intégration européenne pour ne pas payer les dettes de ses voisins en appelle cette fois à l’Europe estimant que les règles européennes n’ont pas été respectées pour le contrat du navire géant décroché par St Nazaire. (Finalemenet une position assez proche de celle de la Grande Bretagne, de l’Europe quand ça rapporte et moins d’Europe quand ça coûte). Le contrat remporté par STX France respecte « évidemment » les règles, a martelé vendredi soir Pierre Moscovici au micro d’Europe 1. Le ministre de l’Économie répondait ainsi aux interrogations de son homologue finlandais sur la nature du soutien des autorités françaises aux chantiers navals de Saint-Nazaire. Royal Caribbean International (RCI), numéro deux mondial de la croisière, a en effet choisi jeudi STX France, à Saint-Nazaire, aux dépens des chantiers STX de Turku, en Finlande, avec lesquels ils étaient en compétition. Un contrat d’environ un milliard d’euros pour la construction d’un paquebot géant, sortant les chantiers navals de Loire-Atlantique d’un long et difficile passage à vide pour ses salariés.   »Nous voulons nous assurer que les Français ont respecté les règles de l’UE », avait déclaré vendredi le ministre finlandais de l’Economie Jan Vapaavuori lors d’une conférence de presse partiellement rediffusée sur la télévision publique YLE vendredi. Le ministre avait annoncé qu’il allait contacter la France et la Commission afin de déterminer ce qui a permis à Saint-Nazaire de remporter le contrat. Le gouvernement finlandais, qui s’est énormément impliqué dans le dossier, a refusé à trois reprises d’accorder un prêt de 50 millions d’euros à STX Finlande pour ne pas enfreindre la loi, a souligné le ministre. A la place de ce prêt, l’Etat finlandais avait débloqué 28,3 millions d’euros de soutien à l’innovation pour les chantiers de Turku. « Nous avons tout fait pour sauver les Chantiers de l’Atlantique dans le respect parfait des règles européennes, évidemment », a déclaré Pierre Moscovici au micro d’Europe 1. « Il y a une compétition, les Français l’ont gagnée, il faut être beau joueur. C’est d’abord parce qu’il y a une excellence sur l’offre technique que le dossier a été choisi », a-t-il ajouté. Plus tôt vendredi, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, ancien député de Loire-Atlantique, a reconnu qu’il s’était « personnellement » impliqué dans le dossier, comme il le fait « sur d’autres gros dossiers ».. La commande, qui représente dix millions d’heures de travail réparties sur trois ans, intervient alors que les Chantiers STX France, qui emploient directement 2.100 personnes et 4.000 en sous-traitance, risquaient de boucler leur seconde année sans commande, ce qui les aurait placés en situation précaire.   »Il s’agit du plus gros paquebot construit à Saint-Nazaire mais ce sera aussi l’un des trois plus gros paquebots du monde » s’est félicité Laurent Castaing, le patron des chantiers navals de Saint-Nazaire, au micro d’Europe1. Et ce n’est pas tout : une option sur un deuxième paquebot livré en 2018 a également été posée par Royal Caribbean Cruise Line avec une perspective d’emploi sur 3 à 5 ans

 

Depardieu sollicité par « Autistes sans frontières »

Depardieu sollicité par   »Autistes sans frontières »

« Autistes sans frontières », une fédération d’associations qui aide à scolariser les enfants autistes dans des établissements normaux, tacle Gérard Depardieu dans sa dernière campagne. « Gérard, tu veux défiscaliser ? Envoies-nous un chèque avant le 31 décembre, t’auras 66 % de déduction fiscale », annonce l’affiche. « C’est un clin d’oeil, une façon de rebondir sur la polémique », explique Delphine Piloquet, déléguée générale d’Autistes sans frontières,. L’affiche, déjà diffusée dans Le Monde, doit être diffusée ce week-end dans Le Parisien. « C’est aussi une façon de sensibiliser aux difficultés rencontrées par les familles d’autistes », explique Florent Chapel à Europe1.fr, créateur du visuel et lui-même père d’un enfant autiste. « Les 150 millions d’euros d’impôts versés par Gérard Depardieu, c’est pratiquement l’équivalent du ‘plan autisme’ mis en place par le gouvernement, qui était de 200 millions d’euros entre 2008 et 2011″, souligne-t-il encore. Les fonds récoltés grâce à cette nouvelle campagne doivent permettre de scolariser plus d’enfants. « Envoyer les jeunes autistes à l’école, c’est un excellent moyen de les stimuler et de les aider à se développer », explique encore Delphine Piloquet. Aujourd’hui 80 % des enfants autistes sont envoyés en hôpital de jour, une solution pourtant beaucoup plus onéreuse.

Monti candidat en Italie

Monti candidat en Italie

 

 Le chef du gouvernement démissionnaire italien, Mario Monti, a annoncé vendredi soir avoir accepté d’être le chef d’une coalition centriste aux législatives de fin février en Italie, franchissant un pas supplémentaire vers un engagement plus direct dans la campagne. « J’accepte d’assumer le rôle de chef de la coalition et je m’engagerai pour garantir le succès de cette opération », a déclaré Mario Monti au cours d’une conférence de presse impromptue, à l’issue d’une rencontre de quatre heures avec des représentants de groupements centristes et d’organisations civiques. Cet ancien commissaire européen qui a dirigé pendant un an un gouvernement de technocrates, avait été jusqu’à présent plus ambigu et prudent. Dimanche, au cours de sa conférence de presse de fin d’année, le président du Conseil s’était dit prêt à « donner son opinion, son encouragement et, si on me le demande à diriger les forces » adhérant à un programme précis diffusé sur internet, appelé Agenda Monti. Dans la pratique, Mario Monti ne sera pas candidat directement au scrutin, car il est déjà sénateur à vie. Mais son nom figurera sur une série de listes électorales qui seront déposées en janvier, en vue des élections des 24 et 25 février organisées pour renouveler les sièges de députés et sénateurs. Le président du Conseil a tenu à souligner qu’il n’était « pas en train de créer un nouveau parti » mais « un rassemblement pour faire travailler ensemble » les différentes forces qui soutiennent déjà son programme intitulé « Changer l’Italie, réformer l’Europe ». Au Sénat, les forces favorables à Mario Monti formeront une « liste unique » dénommée « Agenda Monti pour l’Italie ». A la Chambre des députés, il s’agira d’une « fédération » de différentes listes, a-t-il ajouté.

Espagne : pas de demande d’aide financière… pour l’instant

Espagne : pas de demande d’aide financière… pour l’instant

L’Espagne na pas prévu de retrouver la croissance avant 2014 et affiche un taux de chômage de 25% ; pourtant  Madrid refuse toujours de demander l’aide européenne en tout cas pout l’instant le pire pourrait venir en 2013. n’a pas actuellement besoin de recourir au programme de rachat de titres obligataires des Etats de la zone euro en difficulté mis en place par la Banque centrale européenne, a déclaré vendredi le président du gouvernement Mariano Rajoy, sans exclure d’y recourir plus tard. Mariano Rajoy, lors d’une conférence de presse à Madrid, a aussi prévenu les Espagnols que 2013 serait encore une année difficile, en particulier au premier semestre. Le chef du gouvernement espagnol a subi de fortes pressions de la part de ses partenaires internationaux – la Commission européennes, la BCE, et le Fonds monétaire international – pour solliciter l’aide européenne. Il a résisté jusqu’à présent, aidé par une accalmie de la crise des dettes souveraines en Europe. « Nous n’envisageons pas de demander à la BCE d’intervenir et de racheter des obligations sur le marché secondaire », a-t-il dit. « Mais nous ne pouvons pas l’exclure dans l’avenir. » Mariano Rajoy a par ailleurs estimé que l’annonce du plan de rachat de titres par la BCE avait eu pour effet de diminuer le coût des emprunts de l’Espagne. « Je pense que ça a été une décision importante. Elle a eu pour effet d’apaiser les marchés », a-t-il dit. Selon certains acteurs de marché, cette stratégie d’attente peut être risquée dans un pays où le taux de chômage atteint 25%.La prime de risque demandée par les investisseurs pour détenir des obligations d’Etat espagnoles à dix ans était d’environ 400 points de base par rapport aux titres allemands de même échéance vendredi, alors qu’elle dépassait 600 points de base en juillet.

 

Economie, politique, société: pages les plus regardées 28 décembre 2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conflit Fillon –Copé : le pouvoir pour seule doctrine

Moscovici : impossible d’agir sur le prix du carburant

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Zone euro : nouveau chômage record

Zone euro: Moody’s dégrade d’un cran le Mécanisme européen de stabilité

Groupe Doux : sursis pour 2300 emplois menacés

Florange: pas de nationalisation et avenir très incertain

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

 

Banque mondiale : prix alimentaires élevés ; En cause, la spéculation

Electricité pas de rétroactivité pour la baisse comme pour la hausse du gaz

Patronat et syndicats : les contrats de travail courts en cause

Consommation : nouvelle baisse

Hausse du gaz, un feuilleton bien rodé ou la politique de l’autruche

Concorde: pas de responsable ! Drôle de jugement

Hilary Clinton il faut favoriser la croissance en Europe

Etats-Unis: tassement de l’économie

59% des français pour la nationalisation de d’ArcelorMittal Florange

Inde: croissance ralentie, +0.8% pour le secteur manufacturier

Allemagne : hausse du chômage, une bonne nouvelle !

 

 ump-cope-s ecroule-dans-les-sondages/

 Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Copé-UMP : « pas de referendum »

Sondage : Le FN profite de la crise à l’UMP

Sondage: Ayrault plonge encore

La RATP épinglée mais la Cour des comptes débloque

Espagne : 37 milliards de prêts européens pour assainir les banques

Chérèque (CFDT) : Montebourg fait du bluff avec Mittal

Prix Carburant : Hollande renie sa parole

 

 

 

 

 

 

 

 

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Florange : lettre d’E. Martin à François Hollande

Florange : lettre d’E. Martin à François Hollande

 

Edouard Martin, chef de file de la CFDT à l’usine ArcelorMittal de Florange, dénonce « tous les mensonges et toutes les absurdités » sur ce dossier dans une lettre ouverte adressée à François Hollande. Le feuilleton du projet de nationalisation du site ArcelorMittal de Florange, défendue par le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, est clos, a déclaré le 19 décembre la porte-parole du gouvernement. Mais dans sa lettre, le syndicaliste lui demande de reconsidérer le plan de nationalisation temporaire. « Monsieur le président, après vos promesses, nous laissez-vous être sacrifiés sans comprendre, et arrêter cette mécanique à nous broyer ? », écrit Edouard Martin, figure emblématique de la lutte des salariés de Florange. En fonction de l’accord signé par le gouvernement et le sidérurgiste, ArcelorMittal s’est engagé à annuler son projet de plan social à Florange et à y investir 180 millions d’euros durant cinq ans. Il assure être toujours prêt à soutenir Ulcos, projet européen de production d’acier à faible émission de CO2, qu’il a toutefois retiré au dernier moment de l’appel d’offres européen qui venait à échéance début décembre.  Mais Edouard Martin estime que « les Français se font berner par Mittal » qui va en réalité « supprimer 800 emplois si on englobe la filiale GEPOR ». Parmi les mensonges, le syndicaliste cite l’affirmation selon laquelle l’usine de Florange serait trop petite pour être rentable. « La plupart des usines continentales sont d’une taille voisine »,affirme-t-il. « Dire qu’on fera Ulcos, c’est faux. On nous dira dans deux ans ce qu’on nous dit aujourd’hui: que les chercheurs n’ont pas trouvé », ajoute-t-il. De même, Edouard Martin dit ne pas croire aux 180 millions d’investissements annoncés. « Ce montant contient les dépenses opérationnelles et de maintenance. Ce qui reste pour les investissements stratégiques est insuffisant », assure-t-il. Pour le syndicaliste, « la vérité, c’est que l’usine de Florange est compétitive, y compris sa filière chaude, ses hauts fourneaux, son aciérie ».

 

Le mur budgétaire des Etats Unis fait peur pas celui de la France ?

Le mur budgétaire des Etats Unis fait peur pas celui de la France ?

Curieux que personne n’ait fait le rapprochement entre le mur budgétaire des Etats Unis et le mur budgétaire français. Résumons,  faute d’accord pour gérer ce mur (limite d’endettement), ce seront automatiquement des réductions de dépenses budgétaires et des impôts en plus. Résultats, une croissance en berne et une augmentation du chômage.  Le mur  budgétaire aux Etats Unis entrainerait une baise de croissance de 0.5 ;  en France c’est plus 1 ou 2 points croissance qui seront perdus du fait de l’austérité ( imposée par le mur budgétaire du traité budgétaire européen). Aux Etats Unis le chômage passerait d’environ 8% à 9, en France, le taux passera de 10 à 12,5%. Conclusion, le mur budgétaire est insoutenable aux Etats Unis mais pas en France ; les mêmes symptômes, les mêmes remèdes entraineraient donc des conséquences différentes ? Non, si l’on se réfère à ce que dissent les américains eux mêmes. Laisser l’économie américaine se heurter au « mur budgétaire » provoquerait aux Etats-Unis, et probablement au-delà, une nouvelle catastrophe, que les élus américains semblent désormais déterminés à éviter. L’image du « mur budgétaire » désigne les hausses d’impôts et baisses de dépenses publiques qui entreront en vigueur automatiquement début janvier à moins d’un accord exprès entre le président Barack Obama et les élus démocrates et républicains du Congrès pour l’éviter.  En cas contraire, les dépenses de l’Etat fédéral pour l’exercice budgétaire 2013, commencé le 1er octobre, seraient réduites de 109 milliards de dollars. Les hausses d’impôts frapperaient toute la population. Selon le Tax Policy Center, organisme de recherche indépendant sur les questions de politique fiscale, les prélèvements augmenteraient de 20% pour tous, engendrant un coût supplémentaire de 2.000 dollars par an pour les ménages de la classe moyenne.  Les économistes redoutent que la hausse brutale des impôts pénalise la consommation des Américains et que, conjugué à une réduction drastique des dépenses publiques, cela n’entraîne une chute de la demande intérieure. La banque centrale américaine (Fed) prévient depuis plusieurs mois qu’elle n’aura pas les moyens d’empêcher dans ce cas l’économie de retomber dans la récession, alors que le pays ne s’est toujours pas remis de la précédente, qui l’a frappé de décembre 2007 à juin 2009.  Selon les dernières estimations du Bureau du budget du Congrès (CBO), publiées au début du mois, le « mur budgétaire » ferait reculer le PIB américain de 0,5% en 2013, et entraînerait une remontée du chômage à 9,1% l’an prochain (contre 7,9% aujourd’hui). Professeur d’économie à l’Université du Maryland, Peter Morici juge ce scénario bien optimiste. Selon lui, les conséquences du « mur budgétaire » pourraient s’avérer « désastreuses« : « envolée du chômage au-dessus de 15%, effondrement financier des Etats fédérés, défaillances en série d’emprunteurs immobiliers, et faillites de centaines de banques ».

 

Pépy, SNCF : «candidat à rien», donc à tout y compris EDF

Pépy, SNCF : «candidat à rien», donc à tout y compris EDF

Il faut bien comprendre la dialectique de la com. Si Pépy affirme qu’il n’est candidat à rien, notamment à EDF, c’est qu’il est bien entendu prêt à prendre le poste. Pourquoi ? d’abord parce que la SNCF va devra subir une sérieuse cure d’austérité du fait de l’état des finances de l’Etat qui ne peut plus porter l’entreprise à bout de bras, en tout cas dans ces conditions ( on va sérieusement amputer les investissements mais il faudra aussi s’attaquer aux dépenses de fonctionnement comme l’ont démontré les assises du ferroviaire) ; une tâche pas facile à assumer quand on s’est contenté jusque-là de ne pas trop mécontenter les syndicats ; une tâche finalement bien gérée, surtout grâce à la com. , mais qui n’a pas permis à la SNCF de se moderniser. Deuxième élément, la couleur politique de Proglio et ses démêlés récurrents avec AREVA. Le président de la SNCF Guillaume Pepy assure donc n’être « candidat à rien » et « pressenti pour rien », réagissant aux rumeurs qui circulent autour de son arrivée possible à la tête de EDF en remplacement de Henri Proglio. « Je ne suis candidat à rien, je ne suis pressenti pour rien », a affirmé Guillaume Pepy sur France 2 réaffirmant au passage la priorité de son mandat qui est d’améliorer la qualité des trains du quotidien (TER, RER, Transiliens). Le nom du patron de la SNCF est cité depuis l’été dernier pour succéder à Henri Proglio à la tête de EDF, dont le mandat court jusqu’à fin 2014. Mais les difficultés de ce dernier, éclaboussé par des fuites embarrassantes sur la coopération nucléaire avec la Chine, pourraient pousser le gouvernement à avancer son départ à « fin février ou début mars », selon une source proche du gouvernement. Une date qui coïncide également avec la fin du mandat du patron de la SNCF, en février prochain. L’été dernier, des informations de la presse qualifiées de « pures rumeurs » par l’Elysée avaient déjà évoqué le nom de Guillaume Pepy pour remplacer M. Proglio, jugé trop proche de l’ancien pouvoir.

France : révision de croissance ramenée à 0,1% au troisième trimestre (Insee)

France : révision  de croissance ramenée à 0,1% au troisième trimestre (Insee)

 

Manipulation méthodologique classique, on surestime la croissance d’un trimestre pour atténuer le pessimisme, ensuite on révise en baisse pour faire apparaître un petit plus le trimestre suivant. En clair, en dépit de ces manipulations, il n’y aura pratiquement pas de croissance en 2012. La croissance de l’économie française au troisième trimestre a été revue en baisse à +0,1% après un repli de 0,1% au deuxième, selon les résultats détaillés des comptes nationaux trimestriels publiés vendredi par l’Insee. Elle avait été annoncée dans un premier temps à +0,2% par l’institut.  Alors que le gouvernement table sur une hausse du PIB de 0,3% pour l’année, l’Insee avait indiqué ce mois-ci compter  sur une croissance moyenne de 0,1% en 2012 en anticipant une contraction de 0,2% de l’activité sur le quatrième trimestre. S’agissant du troisième trimestre, la contribution de la demande intérieure finale (hors stocks) à la croissance est confirmée à +0,2 point de même que celle du commerce extérieur à +0,3 point. Mais celle de la variation des stocks s’inscrit désormais à -0,4 point au lieu de -0,3 point en première estimation.  Après son rebond du deuxième trimestre – revu à +0,5% contre +0,6% annoncé précédemment -, l’investissement des entreprises non financières a rechuté à -0,6% (contre -0,4% annoncé en première estimation) et celui des administrations publiques est resté stable (+0,1% en première estimation).  L’Insee fait état par ailleurs d’une stagnation du pouvoir d’achat des ménages au troisième trimestre, après un rebond révisé en baisse à 0,3% au deuxième (contre une précédente estimation de +0,4% pour le deuxième trimestre). Leur revenu disponible a progressé de 0,2% (après +0,5% au T2 et +0,6% au premier trimestre).  Mais la consommation des ménages en valeur, qui était restée stable au 2e trimestre, a progressé de 0,4%, ce qui fait que leur taux d’épargne a diminué d’un trimestre sur l’autre de 0,2 point, à 16,2%. Du côté des entreprises, le léger redressement des taux de marge amorcé au deuxième trimestre s’est poursuivi (+0,1 point à 28,3%) grâce à une valeur ajoutée qui a progressé au même rythme qu’au trimestre précédent (+0,8% en valeur) alors que la hausse des impôts sur la production qu’elles versent s’est accélérée (+1,9% après +1,1%) .

 

4 millions de chômeurs non inscrits à pôle emploi

4 millions de chômeurs non inscrits à  pôle emploi

 

Nombre de chômeurs notamment ceux qui ne peuvent prétendre à aucune indemnité Assedic ne s’inscrivent pas à Pôle emploi complètement discrédité. Selon Le Parisien ,4 millions de chômeurs ne sont pas comptabilisés et répertoriés par les agences. Parmi ces «invisibles» il y a les radiés, les découragés, ou encore ceux qui refusent de se noyer dans les tracas administratifs et les démarches trop longues. D’autres encore ne se signalent pas à Pôle emploi, comme près d’un million d’allocataires du RSA. Les dispensés de recherche d’emploi ne sont pas non plus comptabilisés: malades, en formation, ils comptent parmi eux également les seniors de plus de 56 ans, qui ne peuvent s’inscrire à l’agence et se retrouvent exclus des chiffres du chômage. Et de nombreux jeunes, des décrocheurs scolaires qui travaillent dans la précarité ou des jeunes diplômés qui refusent d’entrer dans le dédale administratif en début de vie active. Le Figaro Étudiant a interrogé ces «invisibles». Parmi les jeunes déscolarisés, beaucoup boudent Pôle emploi. «Ils ont des réticences avec tout ce qui est d’ordre institutionnel. Cela les freine. C’est une question d’image», explique Jean-François Eloidin, directeur de la Mission Locale d’Aubervilliers, une structure qui aide les jeunes à s’insérer, à trouver une formation, un logement, un emploi. Lui voit les demandes augmenter chaque année de 20%. «Chez nous, en local, ils trouvent de la disponibilité, de la proximité». Une forme de maternage. Du sur-mesure, menacé par «l’augmentation constante» des jeunes à la recherche d’un emploi qui refluent vers la Mission Locale.

2013 : pas de croissance, pas d’emploi et pas d’inversion du chômage

2013 : pas de croissance, pas d’emploi et pas d’inversion du chômage

Hollande, Sapin, Ayrault ne cessent de proclamer l’inversion de la courbe du chômage pour 2013. Comment cela pourrait-il se produire ? Il n’y aura pas de croissance en 2013 d’après le FMI, l’INSEE et tous les experts ; pas de croissance donc pas d’emploi ; donc encore davantage de chômeurs, de l’ordre de 500 000 en plus. Drôle d’inversion. Ou alors expression «  fin 2013 » signifie 2014, 2015 ou 2020 ? Une arnaque sémantique. D’où pourrait venir cette croissance, sûrement pas des exportations avec une balance commerciale dramatiquement dans le rouge du fait de la perte de compétititivité. Une compétitivité qui ne se récupère pas en quelques mois voire en quelques années.  Pas des investissements en berne pour cause d’attentisme et d’insécurité fiscale. Le salut ne viendra  pas non plus  de la consommation, traditionnel moteur de la croissance, qui a tendance à fléchir. Les Français, en proie à une forme de défiance sur l’avenir – tous les sondages l’attestent -, pourraient rogner en 2013 sur leurs dépenses alimentaires, une première, pour préserver leur pouvoir d’achat mis à mal par la crise. Même constat pour le bâtiment, dont les constructions de logement neuf plongent, ou encore les ventes d’automobile, qui ne cessent de se replier dans l’Hexagone. En faiat une seule solution remettre en cause les objectifs du pacte budgétaires à plus tard, en faiat aux calendes grecques. L’Europe s’aperçoit_ mais un peu tard- que si la France plonge c’est toute l’Europe qui plonge aussi.  Le seul moyen donc pour l’exécutif de s’en sortir – et ainsi éviter une nouvelle cure d’austérité aux conséquences dramatiques pour les Français – serait de desserrer un peu l’étau sur son objectif de ramener le déficit public à 3 % du PIB dans un an. Un niveau que le FMI, toujours lui, juge d’ailleurs inatteignable en raison de la violence de la crise et anticipe à 3,5 %, au mieux. L’organisation, pourtant chantre des politiques de rigueur, suggère même au gouvernement de Jean-Marc Ayrault de discuter «dans un contexte européen plus large de la politique appropriée pour 2013». Dit autrement, de revoir les calendriers de retour à l’équilibre des finances publiques en Europe, et surtout en France. Et ce, avec la bénédiction de Bruxelles, dont le commissaire aux Affaires économiques, Olli Rehn, a récemment reconnu qu’un ajustement «plus doux» pour la France serait bienvenu. C’est sans doute le signal qu’attendait François Hollande pour entamer un rétropédalage par rapport à l’un de ses engagements de campagne les moins crédibles: ramener la France dans les clous budgétaires en un an. Un vœu qui semble de plus en plus pieu tant la crise plongera un peu plus l’Hexagone dans le noir en 2013.

UE : menace d’éclatement à cause de Cameron

UE : menace d’éclatement à cause de Cameron

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Les tentatives du Premier ministre britannique David Cameron pour récupérer des pouvoirs aux dépens de l’Union européenne pourraient causer la dissolution du bloc des 27, a averti le président du Conseil européen Herman Van Rompuy dans un entretien publié jeudi dans The Guardian. David Cameron, qui subit les pressions des « eurosceptiques » de son parti conservateur, avait déclaré le mois dernier qu’il soutenait l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE, mais qu’il voulait « un nouvel accord » qui comporte une procédure de non-participation sur des problèmes-clé. « Si chaque Etat-membre avait la possibilité de trier dans les politiques actuelles pour prendre celles qu’il préfère et rejeter celles qu’il aime le moins, l’Union en général et le marché unique en particulier se déliteraient rapidement », a déclaré Herman Van Rompuy au quotidien.

 

Gouvernement : pas de remaniement immédiat mais assez rapidement quand même

Gouvernement : pas de remaniement immédiat  mais assez rapidement quand même

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Démenti formel d’un remaniement dans l’immédiat, ce qui signifie en clair qu’il aura lieu à moyen terme ; sans doute dans quelques mois. Depuis quelques semaines, les rumeurs, comme, par exemple, celle de l’entrée de Ségolène Royal au gouvernement, s’accumulaient sur un possible remaniement. Selon les informations recueillies par Europe 1, il n’y aura tout simplement pas de remaniement ministériel, du moins pas dans l’immédiat. « Ce débat n’a jamais existé dans ma tête », a récemment confié François Hollande à un proche. Le président écarte ainsi une hypothèse qui, dans le contexte actuel, « apporterait plus de problèmes, qu’elle n’en réglerait », veut-on croire dans son entourage. A l’Élysée, on démonte toutes les rumeurs une par une : pas d’ »exfiltration » de Jérôme Cahuzac, ni de Christiane Taubira au Conseil constitutionnel et encore moins de Ségolène Royal au gouvernement : « non, non, non, il faudrait un remaniement et ce n’est pas le cas », clame-t-on au « château ».

Conduite automobile : alcoolémie zéro ?

Conduite automobile : alcoolémie zéro ?

 

A l’approche du réveillon et alors que le délégué interministériel à la sécurité routière parle d’une tolérance zéro en matière d’alcool sur les routes pour les jeunes, l’urgentiste Patrick Pelloux s’est déclaré, lui aussi, « tout à fait favorable à l’alcoolémie à zéro », vendredi matin sur Europe1. « Cela fait des années que l’on en parle, cela fait des années que l’on baisse le taux d’alcoolémie avec les protestations des viticulteurs et autres mais il arrive un moment où il faut dire ‘ça suffit’ », a fait valoir le médecin. « Cela coûte beaucoup plus cher à la société d’enterrer ces jeunes que de rendre furieux deux ou trois lobbies. L’alcoolémie à zéro au moins c’est clair car un verre d’alcool selon les individus ce n’est absolument pas la même chose. Et puis il y a l’alcool mais aussi tout ce qui va avec : la drogue, les médicaments… donc il faut simplifier les choses », a insisté l’urgentiste.

Wolfgang Schäuble : « le pire est passé » ou la méthode Coué !

Wolfgang Schäuble : « le pire est passé » ou la méthode Coué !

 

Ce n’est pas encre la panique en Allemagne mais on s’en rapproche lentement mais sûrement ; la preuve, le ministre des fiances qui se croît obligé de dire son optimisme pour la Grèce et la France. Pas vraiment un bon signe de comparer ces deux pays. On voit que les élections allemandes approchent, i fauta donner des gages aux allemands sur les limites de la solidarité financière européenne.  Selon Wolfgang Schäuble, les Etats les plus endettés de la région, au premier chef la Grèce, ont enfin compris que la crise, née il y a plus de trois ans à Athènes, ne pourrait être surmontée que par la mise en œuvre de douloureuses réformes. « Je crois que le pire est passé », dit-il, selon des extraits de cet entretien communiqués jeudi par le journal allemand. « Le gouvernement grec sait qu’il ne peut pas en demander trop financièrement aux autres pays de la zone euro. Athènes met de ce fait résolument en oeuvre les réformes », ajoute Wolfgang Schäuble. Le ministre des Finances allemand s’est également dit optimiste au sujet de la France, la deuxième puissance économique de la zone euro derrière l’Allemagne, et au sujet des efforts de Paris pour arrêter l’accroissement de la dette. « Je suis certain que la France remplira ses obligations. Le gouvernement (français) sait très bien que chaque pays doit poursuivre en permanence des réformes pour rester compétitif. » Dans ce même entretien, Wolfgang Schäuble dit également que l’économie allemande connaîtra un rythme de croissance « convenable » en 2013, à la faveur d’exportations vers les pays situés hors de la zone euro. Il a ajouté que Berlin ne prévoyait pas des mesures d’austérité à l’issue des élections législatives du mois de septembre, démentant ainsi des informations de presse parues le week-end dernier. « La situation est meilleure que ce que nous pensions grâce, notamment, à des échanges plus soutenus avec les Etats-Unis et l’Asie. De ce fait, l’économie allemande croîtra de manière convenable en 2013″, dit Wolfgang Schäuble.

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