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Archive mensuelle de décembre 2012

Page 24 sur 26

Economie, politique, société: pages les plus visitées

Pages les plus visitées  mardi 4  décembre 2012

 

 

Conflit Fillon –Copé : le pouvoir pour seule doctrine

Moscovici : impossible d’agir sur le prix du carburant

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Zone euro : nouveau chômage record

Zone euro: Moody’s dégrade d’un cran le Mécanisme européen de stabilité

Groupe Doux : sursis pour 2300 emplois menacés

Florange: pas de nationalisation et avenir très incertain

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

 

Banque mondiale : prix alimentaires élevés ; En cause, la spéculation

Electricité pas de rétroactivité pour la baisse comme pour la hausse du gaz

Patronat et syndicats : les contrats de travail courts en cause

Consommation : nouvelle baisse

Hausse du gaz, un feuilleton bien rodé ou la politique de l’autruche

Concorde: pas de responsable ! Drôle de jugement

Hilary Clinton il faut favoriser la croissance en Europe

Etats-Unis: tassement de l’économie

59% des français pour la nationalisation de d’ArcelorMittal Florange

Inde: croissance ralentie, +0.8% pour le secteur manufacturier

Allemagne : hausse du chômage, une bonne nouvelle !

 

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 Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Copé-UMP : « pas de referendum »

Sondage : Le FN profite de la crise à l’UMP

Sondage: Ayrault plonge encore

Un repreneur pour ArcelorMittal Florange

La RATP épinglée mais la Cour des comptes débloque

Espagne : 37 milliards de prêts européens pour assainir les banques

Chérèque (CFDT) : Montebourg fait du bluff avec Mittal

Prix Carburant : Hollande renie sa parole

 

 

chomage-encore-de-mauvais-chiffres-en-octobre-et-ca-va-continuer/
 

bettencourt-banier-pourrait-recuperer-son-assurance-vie-ou-la-justice- -sociale bafouee-et-ridiculisee/
    Sanofi: 2000 postes menacés et une demande de réunion tripartite
une-peugeot-low-cost-la-301/
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  Chômage : encore de mauvais chiffres en octobre et ça va continuer    71% des français pour de nouvelles élections à l’UMP

Montebourg  » plus de Mittal en France », la nationalisation à l’étude

 

 

 

 

Sondage : Hollande Stable dans l’impopularité (58% contre) grâce au spectacle de l’UMP

Sondage : Hollande Stable dans l’impopularité (58% contre) grâce au spectacle de l’UMP

Hollande peut dire merci à l’UMP. D’une part parce qu’on évite de parler des vrais problèmes ( 80% de l’info des grands médias a été consacrée à ce conflit pendant une dizaine de jours ),  du coup, qu’on a moins parlé du déclin de l’industrie, de Florange, de Notre Dames des Landes, du chômage et des nouveaux impôts. La cote de popularité de Jean-Marc Ayrault a regagné quatre points en un mois tout en demeurant défavorable auprès de 51% de l’électorat, tandis que celle de François Hollande, elle aussi négative, est stable, selon le tableau de bord Paris Match/Ifop publié lundi.  Cette étude met d’autre part en évidence un déficit accru de crédibilité de l’opposition.  En novembre, période marquée par l’annonce du « pacte de compétitivité », le Premier ministre a enrayé un mouvement continu à la baisse depuis sa prise de fonctions en mai: 47% des personnes interrogées déclarent approuver son action, contre 43% en octobre (38% l’approuvent « plutôt », 9% « tout à fait »).  Mais les opinions défavorables demeurent majoritaires, tout en régressant de six points: 51% des sondés n’approuvent pas l’action de Jean-Marc Ayrault (22% « pas du tout », 29% « plutôt pas »).  2% ne se prononcent pas.  Quant au président François Hollande, il continue de faire l’objet de jugements majoritairement très négatifs, puisque 58% des personnes interrogées n’approuvent pas son action, 41% étant de l’avis contraire (1% n’a pas d’avis).  Toutefois, le chef de l’Etat a stabilisé sa cote depuis deux mois: fin septembre 41% approuvaient son action, 59% la désapprouvaient. En outre, la proportion de ceux n’approuvant « pas du tout » son action (29%) a baissé de cinq points, « signe d’une légère décrispation d’une partie de l’opinion », selon Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop.  Par ailleurs, 62% des sondés, soit quatre points de plus que le mois précédent, estiment que l’opposition ne ferait pas mieux que le gouvernement si elle était au pouvoir, 38% étant d’un avis opposé.  Le nombre de ceux qui se montrent catégoriques à ce sujet est en hausse sensible: 32%, contre 29% un mois plus tôt, pensent que l’opposition ne ferait « certainement pas » mieux que le gouvernement, alors que le nombre de ceux qui pensent qu’elle ne ferait « probablement pas » mieux est à peu près stable (30% au lieu de 29%).

 

Dallas UMP : dernier épisode ?

Dallas UMP : dernier épisode ?

Possible dernier épisode du feuilleton UMP aujourd’hui. Fillon et Copé se rencontrent à nouveau. Ils sont en désaccord sur l’essentiel. Pour contourner l’ultimatum de Sarkozy ( également en concurrence avec eux pour 2017), ils risquent  de faire semblant de se mettre d’accord.  De toute manière la scission sera entérinée aujourd’hui avec la création du groupe parlementaire de Fillon. . François Fillon et Jean-François Copé vont donc poursuivre mardi leurs discussions pour tenter de trouver une solution à la crise qui mine l’UMP, alors qu’arrive à échéance l’ultimatum que leur a fixé Nicolas Sarkozy pour s’entendre.  Mardi était la date-butoir fixé par l’ex-président Nicolas Sarkozy pour que les deux hommes trouvent un accord, plus de deux semaines après le scrutin militant contesté pour la présidence de l’UMP du 18 novembre.  A 10H00, l’ex-Premier ministre représentera son groupe R-UMP (72 députés) à la conférence des présidents de l’Assemblée nationale, qui fixe chaque semaine l’ordre du jour de l’Assemblée nationale. L’existence même de ce groupe, qualifié de « dissident » par M. Copé, est l’un des points durs qui les oppose.  François Fillon côtoiera les six autres présidents de groupe, dont le président de groupe UMP Christian Jacob, un ami de Jean-François Copé.   »François Fillon assistera demain (mardi) à la conférence des présidents: pour valider le R-UMP ou pour ajourner sa création? », s’interroge un filloniste, Lionel Tardy.  Par la suite, l’ex-Premier ministre doit rencontrer les députés qui lui sont fidèles à 11H30, indique l’un d’eux.  Les discussions entre les deux hommes butent principalement sur la date d’un nouveau vote des militants pour désigner leur président.  M. Copé, proclamé deux fois de suite président élu du mouvement, notamment par sa Commission nationale des recours (considérée comme copéiste par les fillonistes), a proposé, dimanche de revoter en 2014, après les élections municipales, proposition qu’il envisage de soumettre aux militants lors d’un référendum en janvier prochain.  Lors de ce référendum, les militants se prononceraient également sur un changements de statuts de leur parti.

 

A défaut de politique du logement, Duflot bouffe du curé

A défaut de politique du  logement, Duflot bouffe du curé

Faute de politique à la hauteur de l’enjeu, Duflot faiat du Montebourg et bouffe du curé. Retour de bâton car la presse ne lui faiat pas de cadeau. La presse de mardi en effet n’est pas tendre avec Cécile Duflot, voyant dans son appel à l’Eglise pour qu’elle mette à disposition ses bâtiments vides tantôt une « provocation » tantôt l’illustration de « l’impéritie » de l’Etat. Après avoir irrité les catholiques, la ministre du Logement s’attire les foudres du Figaro qui titre sur « la provocation de Duflot ». « C’est une insulte qui vient s’ajouter aux attaques que cette ministre profère déjà contre une institution qui la gêne dans son combat pour le mariage homosexuel. C’est irresponsable », tonne l’éditorialiste du quotidien conservateur, Yves Thréard.  Plus mesuré, le quotidien catholique La Croix, sous la plume de Dominique Quinio, concède que « la question des logements vides est une épine dans le pied de bien des institutions » mais « l’Église catholique n’est pas la dernière à agir, il serait injuste de ne pas le reconnaître ».  Peu suspect de complaisance à l’égard de l’institution catholique, le quotidien communiste L’Humanité voit dans « le fait que (Cécile Duflot) en appelle à l’église pour offrir un toit aux sans-abri (…) un signe inquiétant de la mollesse du gouvernement face aux banques et aux grands groupes immobiliers », écrit Paule Masson. Pour La République du Centre et son éditorialiste Jacques Camus, « cette initiative de Cécile Duflot rappelle les gesticulations d’Arnaud Montebourg. Réquisitions et nationalisations sont des mots consolateurs brandis avec force pour masquer une forme d’impuissance devant des dossiers difficiles ».  Même analyse chez Dominique Garraud dans La Charente libre, pour qui « la désignation de boucs émissaires pour justifier l’impuissance publique durable face au fléau de la pauvreté extrême est indigne et contre-productive ».  Jean Levallois y voit, dans la Presse de la Manche, « un terrible aveu de l’impéritie de l’État qui n’a pas fait son travail ».   »On est en droit de se demander si son appel n’est pas le moyen de masquer l’impuissance de l’Etat face au problème du mal-logement », renchérit Christophe Lucet dans Sud-Ouest.  Suspectant la ministre d’arrière-pensées, Hervé Chabaud juge, dans L’Union/L’Ardennais, « commode d’agiter des clichés mensongers autour d’une église riche et suffisante qui ne partage pas »…  »

 

« Petit » dépassement de 2 milliards pour la centrale de Flamanville

« Petit » dépassement de 2 milliards pour la centrale de Flamanville

 

A l’origine le coût de l’EPR avait été chiffré à 3.3 milliards, puis à 6 , il passe maintenant à 8.5 ; Un petit dépassement. EDF a annoncé lundi avoir relevé de 2 milliards d’euros son estimation du coût de la construction du réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche), portée à 8,5 milliards d’euros inflation comprise, en partie à cause des problèmes et retards subis par le chantier.  Le coût du premier EPR à être érigé sur le sol français n’en finit pas de s’envoler. Le budget, initialement fixé à 3,3 milliards d’euros, vient de passer officiellement à 8,5 milliards d’euros. EDF vient d’annoncer un surcoût de 2 milliards par rapport à la dernière évaluation, fixée à 6 milliards d’euros en juillet 2011. L’électricien ajoute de surcroît 500 millions d’euros, liés selon lui au coût de l’inflation. Le géant français de l’électricité a en revanche maintenu le calendrier de mise en service de ce réacteur de 3e génération, tablant toujours sur un démarrage de la production en 2016, soit quatre ans après la date initialement prévue.  Le groupe a expliqué dans un communiqué avoir pris en compte dans cette révision à la hausse l’évolution du design de la chaudière (ou cœur du réacteur), des études d’ingénierie supplémentaire, l’intégration de nouvelles exigences réglementaires, ainsi que des enseignements postérieurs à la catastrophe nucléaire de Fukushima intervenue l’an dernier au Japon. De plus, il a tendu compte d’ »aléas industriels », comme le remplacement des « consoles » (énormes pièces métalliques entourant le bâtiment réacteur, que le groupe a dû remplacer après la détection de défauts) et ses conséquences sur le planning des travaux, qui a dû être réaménagé, ainsi que de « l’impact financier de l’allongement des délais de construction ».

Autos : Effondrement des immatriculations françaises en novembre ; -33.5% pour Renault

Autos : Effondrement des immatriculations françaises en novembre ; -33.5% pour Renault

Les immatriculations de voitures neuves ont connu une nouvelle baisse de 19,2% en données brutes en novembre et de 13,8% sur les onze premiers mois de l’année, ce qui pourrait faire de 2012 la pire année pour le secteur depuis 1997, a indiqué lundi 3 décembre le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Les constructeurs français PSA Peugeot Citroën et Renault souffrent toujours plus que leurs concurrents étrangers, avec des reculs respectifs de 22,9% et de 33,5% le mois dernier.  La sortie de la nouvelle Clio a certes permis à Renault de replacer sa citadine en tête du top 10 des modèles les plus vendus en France. Mais ce relatif succès est loin de compenser les baisses globales de vente des autres modèles de la marque au losange. Parmi les voitures qui, toutes marques confondues, ont passé le cap des 20.000 exemplaires vendus en France depuis le début de l’année (21 au total), trois seulement sortent des usines Renault (Clio, Megane et Twingo) soit autant que Volkswagen (Polo, Golf et Tiguan). Même en ajoutant les ventes de Dacia, le groupe piloté par Carlos Ghosn arrive, dans l’Hexagone, loin derrière Peugeot-Citroën avec une part de marché de 22,6% contre 30,5%, dans la catégorie « voitures particulières » (hors utilitaires, ndr). D’une façon générale, les constructeurs étrangers auront conforté leurs positions en 2012 avec une part de marché de 46,8% contre 43,1% il y a un an.  Novembre aura été à nouveau un mois particulièrement favorable aux marques allemandes (Mercedes et BMW en tête) et coréennes (Hyundai et Kia). Au total, le mois dernier, 144.694 voitures ont été immatriculées, selon le communiqué du CCFA. A nombre de jours ouvrables comparables, le recul atteint 23%. Si cette tendance se poursuit en décembre, 2012 restera comme le plus mauvais millésime  du siècle. « On va se situer probablement à -14% » prévoit le président du comité, Patrick Blain. Le nombre de voitures neuves immatriculées serait alors inférieur à 1,9 million, soit le plus bas niveau depuis 1997. La chute était au départ surtout imputable aux ventes aux particuliers mais « on voit à travers les ventes de véhicules utilitaires légers, qui atteignent le même niveau de baisse, que les entreprises retiennent aussi leurs achats », a-t-il expliqué. Pour 2013, la tendance n’est pas meilleure. « On ne voit pas le marché se redresser mais on ne le voit pas s’enfoncer de la même façon », a poursuivi Patrick Blain pour qui « le plus probable serait quelques points de baisse » des immatriculations. Les groupes français tablent sur leurs nouveaux modèles pour faire mieux en 2013, avec la citadine 208 chez Peugeot et le successeur du monospace C4 Picasso chez Citroën ou encore la Clio IV chez Renault et les nouvelles Sandero et Logan et l’utilitaire Dokker chez Dacia.

Restructuration du capital d’EADS

Restructuration du capital d’EADS

Un prochain  accord, selon M. Hollande, « doit permettre de donner de la stabilité mais également aussi une démarche d’avenir pour cette grande entreprise ».  L’Allemagne va monter au capital pour assurer l’équilibre avec la France, quand l’actionnaire allemand de référence, le constructeur automobile Daimler, s’en retire.  Mais en revanche, d’après Latribune.fr, EADS a obtenu d’être un peu moins dépendant de ses actionnaires étatiques: France, Allemagne et l’Espagne, qui ont créé le groupe en 2000 et le contrôlent.  Les Etats n’auront « pas de droit de veto individuel sur les choix opérationnels de la direction », écrit La Tribune, et il leur sera impossible « de nommer directement les administrateurs ».  EADS s’est refusé à confirmer ces informations. Mais une source proche du dossier estimait la Tribune bien informée.  Si cette version était confirmée, le groupe pourrait s’en sentir soulagé. L’arrivée de la banque publique KfW au capital alimentait en effet la crainte de voir Berlin resserrer son étreinte sur la direction, selon un conseil d’EADS.  L’Allemagne s’était opposée au projet de fusion avec BAE et elle n’a pas digéré la décision du nouveau patron d’EADS, l’allemand Tom Enders, d’installer le quartier général du groupe en France, à Toulouse.  De son côté, la société EADS a fait savoir lundi qu’elle entendait « préserver et renforcer, si besoin, les intérêts … des actionnaires ».  Le message a été interprété comme une confirmation de l’intention prêtée au groupe de procéder à des rachats de titres, pour soutenir le cours quand ses actionnaires industriels les vendront.  Réaction: le titre EADS s’est apprécié de 2,14% à la Bourse de Paris, clôturant à 26,44 euros contre 25,89 vendredi.  La sortie prochaine de Daimler du capital et celle de l’autre industriel de référence, le groupe de media français Lagardère, attendue en 2013, va mettre un terme au pacte d’actionnaires et retirer aux Etats leur feuille de vigne.  Leur participation se fera au grand jour, alors qu’en 2000 Berlin avait confié la défense de ses intérêts à Daimler. L’Allemagne avait également exigé de l’Espagne et la France créent des paravents juridiques. La France avait confié ses parts à Lagardère qui vote en son nom au conseil administration.  Les Etats doivent donc former une nouveau partenariat mais ils ne pourront plus contrôler, même indirectement, que moins de 30% du capital, et non plus 51% comme à présent.  La loi néerlandaise, qui régit EADS domiciliée aux Pays-Bas, oblige en effet les actionnaires, individuels ou agissant en concert, à lancer une OPA sur l’ensemble de la société dès qu’ils atteignent le seuil de 30%.  Dans le scénario le plus fréquemment évoqué, la participation de la KfW passerait de 1% à 12%. Elle rachèterait 6,5% au fonds d’investissement allemand Dedalus, formé de banques régionales publiques et d’investisseurs privés, et les 4,5% restants à Daimler.  La France détenant 15% du capital, l’équilibre franco-allemand serait préservé en parquant 3% des actions dans une structure juridique séparée, sans droits de vote. D’après La Tribune, Paris aurait un délai de deux ans pour s’en défaire.  En attendant, Paris et Berlin auraient chacun 12% des droits de vote. Même si l’Espagne conserve 5,5% des actions, la barre des 30% n’aura pas été franchie.

Commerce extérieur : des cibles mais pas de stratégie ; surréaliste !

Commerce extérieur : des cibles mais pas de stratégie ; surréaliste !

Le déficit des échanges de biens de la France avec le reste du monde a atteint un record absolu de 73,3 milliards en 2011. En réponse à cette situation, la ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq. A choisi des cibles à défaut de définir des stratégies ; Drôle de conception de reconquête !  Pas étonnant de la part dune ministre qui est un politicienne de métier et qui n’a qu’un rapport approximatifs avec les réalités économiques.  La France a choisi de concentrer ses efforts sur quatre grands secteurs et 47 pays pour résorber d’ici 2017 son déficit commercial hors énergie, a annoncé lundi la ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq. Cette définition de couples pays-produits est destinée à guider l’intervention des pouvoirs publics en France et à l’étranger, ainsi que des régions avec les entreprises, a expliqué Mme Bricq devant un grand nombre d’industriels, présidents de régions, représentants de pôles de compétitivité et journalistes.  Ces quatre « grandes familles » de produits et de services ont été choisies pour leur fort potentiel dû à l’émergence de classes moyennes dans les pays en croissance, au vieillissement de la population et à l’urbanisation. Elles se résument en quatre expressions: « mieux se nourrir », « mieux se soigner », « mieux vivre en ville » et « mieux communiquer », a précisé la ministre, qui avait demandé une étude à la direction du Trésor en association avec Ubifrance.  Le déficit hors énergie pourrait être éliminé si la France passait de 6,3% à 7% de parts du marché mondial sur la première filière, de 8% à 8,6% sur la seconde, de 1,4% à 1,5% sur la troisième et de 3,4% à 3,6% sur la quatrième, a précisé à l’AFP le ministère.   »Mieux se nourrir » comprend les produits alimentaires, le savoir-faire pour la traçabilité et la sécurité des aliments, les équipements agricoles ou destinés à l’industrie agroalimentaire. « Nous sommes un des rares pays au monde qui maîtrisons totalement la traçabilité de nos viandes », a témoigné le PDG de la société Jean Rozé, Dominique Langlois, appelant les professionnels de l’agro-alimentaire à « chasser en meute » plutôt que d’avoir « plusieurs stands sur le même salon ».  Le « mieux vivre en ville » couvre l’ingénierie urbaine, l’architecture, la construction et l’efficacité énergétique, les matériaux et services environnementaux et les transports urbains. Deux tiers des Chinois vivront en ville d’ici 2030, a souligné Mme Bricq.  Mais « il vaut mieux avoir fait une démonstration chez soi avant d’exporter » des villes du futur, « l’Allemagne l’a fait, le Japon l’a fait, tout le monde l’a fait », a lancé Olivier Bouygues, directeur général délégué de Bouygues. Alain Rousset, président de l’Association des régions de France (ARF), a en réponse mis au défi l’Hexagone de mener cette expérience à l’échelle d’une ville de 40.000 habitants.

LGV Lyon-Turin non financé : Hollande et Monti d’accord quand même !

LGV Lyon-Turin non financé : Hollande et Monti d’accord quand même !

 

Pas de financement, (il manque au moins 40% que l’Europe est supposée financer) mais Monti et Hollande sont d’accord pour lancer ce projet pharaonique (en théorie d’un coût de 8, 5 milliards mais dont la facture finale dépassera les 10 milliards). A défaut de politique économique, on lance de grands projets non fiancés, une habitude en France ! Lors d’un sommet bilatéral dans la capitale des Gaules, les deux dirigeants ont également confirmé leur bonne entente sur les dossiers européens.   »Si je voulais résumer la relation entre la France et l’Italie aujourd’hui, je dirais deux mots: unité dans l’action et convergence dans les positions et les propositions à l’échelle de l’Europe et du monde », a déclaré le chef de l’Etat français à l’issue de ce 30e sommet.  Le président du Conseil italien a lui souligné le caractère emblématique « pour la construction d’une Europe efficace » de cette future ligne qui mettra Paris à 4 heures de Turin (contre 7 actuellement). Il a défendu « un usage à bon escient des ressources européennes » pour faciliter au-delà des deux pays les échanges européens est-ouest.  Il a proposé que le prochain sommet franco-italien se tienne en 2013 à Turin.  Mais les deux dirigeants n’ont pas non plus caché qu’il faudrait « convaincre » les instances européennes pour le financement de ce projet titanesque, dont le montage a été critiqué en France par la Cour des comptes et qui surtout intervient dans une période de forte contrainte budgétaire.  Théoriquement, l’Europe doit financer 40% des 8,5 milliards d’euros que coûtera la construction d’un tunnel transalpin de 57 km, soit 3,4 mds, l’Italie prenant en charge 2,9 milliards et la France 2,2.  Cette « autoroute ferroviaire », combinant fret et trafic voyageurs, dont le projet lancé en 1991 a été maintes fois ajourné, devrait finalement entrer en service en 2028-2029. Selon ses concepteurs, elle devrait à terme supprimer au moins un million de camions par an sur les routes.  Elle est pourtant vivement contestée des deux côtés des Alpes en particulier par les écologistes, qui jugent le projet démesuré par rapport au trafic.  Environ un millier d’opposants, français et italiens, ont d’ailleurs manifesté lundi après-midi dans le centre de Lyon, tenus à distance de la préfecture où se déroulait le sommet. La ministre du Logement Cécile Duflot, ex-dirigeante d’Europe Ecologie-Les Verts, avait jugé dimanche que l’opposition des écologistes était motivée par le contexte économique et non par des objections de principe.

 

Le FMI pour le contrôle des flux de capitaux

Le FMI pour le contrôle des flux de capitaux

 

Changement d’idéologie ou simplement constat des dégâts de la part du FMI ? « Il n’est pas acquis qu’une libéralisation totale des flux de capitaux  soit un objectif approprié pour tous les pays et à toutes les périodes », écrit le Fonds dans un rapport, fruit de deux années de concertation sur un sujet de discorde récurrent entre ses 188 Etats-membres.  Depuis le début de la crise, certaines puissances émergentes assurent être déstabilisées par un afflux de capitaux alimenté par les plans de relance massifs déployés en Occident (taux d’intérêts nuls, rachats d’obligations d’Etat…).  Principaux accusés, les Etats-Unis ont, depuis 2008, injecté plus de 2.300 milliards de dollars pour soutenir leur économie. Mais une partie de ces fonds est accusée de déferler dans des pays plus dynamiques, au risque de doper artificiellement leur monnaie ou de faire naître des bulles spéculatives.  La libéralisation des flux de capitaux comporte des risques, qui sont amplifiés quand les pays (destinataires, ndlr) n’ont pas encore atteint un degré suffisant de développement de leur système financier », écrit le Fonds monétaire international, précisant que certains pays « ouverts » aux capitaux, notamment en Europe, avaient eux aussi été déstabilisés.  Depuis le maelström de la crise, le FMI avait déjà écorné le dogme d’une libéralisation à tout crins. Mais il ne l’avait jamais fait dans un rapport représentant l’avis de l’institution.  Dans son rapport, le Fonds souligne ainsi que la libre circulation des capitaux « a souvent » été suivie de tempêtes financières (Mexique en 1994-95, Turquie en 1994…) et note que les économies « moins ouvertes » ont mieux résisté aux crises récentes.  Dans ce contexte, l’institution ne voit désormais plus d’un si mauvais oeil les mesures que certains pays (Brésil, Corée du Sud…) ont prises pour restreindre les mouvements de capitaux et atténuer leurs effets néfastes.   »Quand un pays fait face un brusque afflux ou une fuite de capitaux, l’introduction de mesures de contrôle peut être appropriée en fonction des circonstances », indique le FMI.  Cette question ravive des souvenirs douloureux au Fonds. Pendant la crise asiatique (1997-1998), l’institution avait déconseillé tout contrôle de capitaux à des pays (Thaïlande, Indonésie…) qui s’étaient enfoncés dans la récession alors que la Malaisie, qui avait délibérément pris le parti inverse, s’était rétablie plus vite.  Plus récemment, l’Islande s’est relevée de la violente crise de 2008 en restreignant arbitrairement la fuite de capitaux hors de son économie.

Etats-Unis : baisse de l’activité manufacturière

Etats-Unis : baisse de l’activité manufacturière

 

 

La  baisse plus importante que prévu de l’activité des industries manufacturières en novembre aux Etats-Unis, après deux mois de hausse et la   crainte d’une impasse dans les discussions sur le budget font souffler un vent de pessimisme.  Les Etats-Unis sont confrontés à la menace d’un « mur budgétaire », une cure d’austérité forcée qui s’imposera au pays début janvier si républicains et démocrates ne parviennent pas à s’entendre.  Mais le secrétaire au Trésor américain Timothy Geithner a déclaré dimanche qu’il n’y aurait pas d’accord au Congrès sans augmentation des impôts pour les plus riches.  Et le président républicain de la Chambre des Représentants a de son côté estimé lundi que les propositions des démocrates « contenaient peu de choses sur lesquelles on puisse s’entendre ».  Les investisseurs s’étaient pourtant réjouis à l’ouverture de « nouvelles en provenance de Chine et d’Europe » qui « indiquent que la situation économique mondiale pourrait s’améliorer », a remarqué Peter Cardillo, de Rockwell Global Capital.  L’activité manufacturière en Chine a en effet enregistré une expansion en novembre et si elle s’est contractée sur le Vieux continent pour le 16e mois de suite, elle y a reculé moins fortement qu’en octobre.  Le fait que la Grèce ait pu lancer sa délicate opération de rachat de dette, clef de voûte d’un accord avec les créanciers du pays, « est aussi un élément positif » pour les courtiers, a ajouté M. Cardillo.

La Banque de France attaque la City, Londres réplique

La Banque de France  attaque la City, Londres réplique

 «Il n’y a aucune raison» d’accepter que le centre financier le plus actif sur le marché des euros se trouve «offshore», a affirmé le banquier central français  Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France  dans le Financial Times, en marge d’un forum financier à Tokyo. «La plupart des échanges en euros devraient se dérouler à l’intérieur de la zone euro», a-t-il ajouté. «C’est lié à la capacité d’une banque centrale de gérer sa liquidité et d’assurer la surveillance de sa propre monnaie», a indiqué Christian Noyer, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE. Devant la presse, le banquier central français a cité l’exemple des États-Unis. «Les autorités américaines ne sont pas opposées au fait que le dollar soit échangé à Londres, mais elles font très attention à ce que l’essentiel des transactions ne soient pas réalisées en dehors des États-Unis. New York reste le principal centre financier pour le dollar américain», a rappelé Christian Noyer. Le sang des Britanniques, déjà chauffé par les projets d’union bancaire européenne, n’a fait qu’un tour. «C’est contradictoire avec ce que disent des banquiers français sérieux,pour qui un centre financier britannique fort est bon pour l’Europe», a indiqué Vince Cable, le ministre britannique des Entreprises, en visite à Paris. «Nous supportons les efforts de la zone euro pour sortir de la crise et stabiliser le secteur financier, mais les réformes doivent respecter le marché unique. Des mesures anticompétitives ou protectionnistes porteront préjudice à l’image de l’Europe en tant qu’endroit où faire des affaires», indique Mark Boleat, responsable de la stratégie à la City. La Grande-Bretagne redoute les projets de régulation financière européenne, notamment l’union bancaire. Londres craint de se voir imposer une régulation excessive qui réduirait la compétitivité de la City. «En tant que capitale financière de l’Europe, Londres n’est pas uniquement un atout britannique, mais un atout européen!», insiste Mark Boleat. Très sensibles au sujet, les Britanniques ont, semble-t-il, surinterprété les propos de Christian Noyer, qui ne cherche pas à relocaliser le marché des changes sur le continent, une tâche hors de portée Il se fait plutôt le porte-parole des inquiétudes de la BCE, qui voit le contrôle de sa liquidité lui échapper, ce qui handicape sa politique monétaire.

 

Aide européenne : 35 milliards pour les banques espagnoles

Aide européenne : 35 milliards pour les banques espagnoles

 

Les banques espagnoles recevront la semaine prochaine une aide européenne de 39,5 milliards d’euros, a déclaré lundi le président de l’Eurogroupe Jean-Claude Juncker. « La mise en oeuvre du programme est dans les temps, respectant toutes les mesures de conditionnalité telles qu’illustrées par le protocole d’accord », a dit Juncker, à l’occasion de la réunion de l’Eurogroupe (ministres des Finances de la zone euro). « Nous saluons en outre la décision du conseil d’administration du MES (Mécanisme européen de stabilité) d’autoriser la première tranche du programme de 39,5 milliards d’euros au plus. Le déboursement en sera fait en milieu de semaine prochaine ». Jean-Claude Juncker a également dit qu’il quitterait ses fonctions de président de l’Eurogroupe en fin d’année ou au début de l’an prochain.

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Florange : Montebourg menace de démissionner

Florange : Montebourg menace de démissionner

Montebourg est évidemment le grand perdant du pseudo accord avec Mittal (et avec lui les salariés et les sous-traitants) ; Il a donc bien menacé de démissionner mais Hollande préfère pour l’instant le garder au chaud, même discrédité, au gouvernement, c’est moins dangereux que de le laisser s’agiter à l’extérieur. Selon Libération, le ministre du Redressement productif, désavoué par Jean-Marc Ayrault, a menacé François Hollande de quitter le gouvernement. Journée houleuse samedi à l’Elysée. Désavoué la veille au soir sur le dossier des hauts-fourneaux Florange, Arnaud Montebourg a menacé de démissionner du gouvernement, lors d’une rencontre avec François Hollande. Le ministre du Redressement productif a eu du mal à digérer les propos de Jean-Marc Ayrault, qui avait écarté sans ménagement sa proposition de nationalisation du site mosellan d’Arcelor Mittal. «J’ai dit [à François Hollande] que si rien n’était fait avant ce soir (samedi, ndlr) pour réparer les dégâts sur cette question de nationalisation, je ne resterai pas au gouvernement, et la dislocation va commencer. Il m’a demandé de n’en rien faire», a déclaré Arnaud Montebourg à Libération . Selon le quotidien, la colère du ministre éclate samedi matin, lorsqu’il prend conscience du désaveu qu’il vient subir de la part du premier ministre. Dans son allocution télévisée, vendredi soir, Jean-Marc Ayrault avait assuré, contrairement à Arnaud Montebourg, qu’il n’y avait pas de «repreneur sérieux» et balayé d’un revers de la main «la menace de nationalisation». Dans le bureau de François Hollande, Arnaud Montebourg exige que «le repreneur» et le principe de nationalisation soient réhabilités. «Ce n’était pas une question personnelle. Derrière ce dossier, il y a des gens», explique le ministre à Libération.

 

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