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Archive mensuelle de décembre 2012

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France : l’austérité a tué la croissance en 2012

France : l’austérité a tué   la croissance en 2012

L’austérité tue la croissance c’est ce que prouve l’INSEE ; La France aurait pu connaître une croissance de près de 1%, au lieu de cela elle sera proche de la récession. Les prix du pétrole et la crise de la dette ont, ces deux dernières années, particulièrement ralenti l’activité en zone euro. Une étude de l’Insee souligne que tous les pays n’ont néanmoins pas été logés à la même enseigne. Dans ce document publié ce jeudi, l’Institut national de la statistique indique que le pétrole a amputé la croissance de la zone d’un quart de point en 2011 et en 2012, «un peu plus en France et en Allemagne». Sur cette période, la crise des dettes souveraine a davantage pénalisé l’Europe du Sud que l’Europe du Nord. De fait, les taux ont augmenté en Italie et en Espagne, pesant sur «l’investissement via la progression associée des taux privés», souligne l’étude. En revanche, les croissances françaises et allemandes en ont bénéficié, «leur dette publique ayant statut de valeur refuge», souligne l’Insee. Les ajustements budgétaires décidés pour rétablir la situation des finances publiques ont été «ambitieux». Mais, à court terme, «ils ont un effet négatif car ils pèsent sur la consommation». L’Insee chiffre ainsi leur poids sur la croissance à plus d’un point de PIB en 2012 en Italie et en Espagne, et à 0,8 point en France en 2012, ce qui est colossal sur une croissance totale estimée à 0,3 point par le gouvernement. Au total, les deux chocs auraient freiné l’activité dans l’Hexagone à hauteur de 0,7 et 1,1 point de croissance en 2011 et 2012, «l’effort de consolidation y contribuant pour moitié en 2011 et aux trois quarts en 2012», conclut l’étude

Croissance zone euro : toujours la récession

Croissance zone euro : toujours la récession

 

L’indice PMI composite de Markit, qui mesure l’activité de milliers d’entreprises de la zone euro, est remonté à 46,5 en novembre, contre 45,7 en octobre, dépassant la première estimation de 45,8 faite il y a dix jours. L’indice n’en reste pas moins nettement sous le seuil de 50 qui marque la limite entre contraction et croissance, pour la quatorzième fois en quinze mois, et en l’absence de perspective de nouvelles mesures de soutien à l’activité, il y a peu de raisons d’espérer un rebond à court terme. Selon Markit, la révision à la hausse de l’indice PMI par rapport aux estimations flash pourrait s’expliquer par un surcroît d’activité à la fin du mois, aucune autre raison ne pouvant être avancée. « C’est une bonne nouvelle car cela pourrait être un signe que l’activité a atteint un plancher au troisième trimestre », estime Annalisa Piazza, économiste chez Newedge Strategy à Londres. « On ne voit cependant aucun signe d’amélioration qui laisserait penser que l’économie de l’Union monétaire pourrait rebondir dans un futur proche. Notre scénario de base reste une nouvelle contraction du PIB au moins jusqu’au premier trimestre 2013. »

Economie, politique, société: pages les plus regardées mercredi 5 décembre 2012

 

Conflit Fillon –Copé : le pouvoir pour seule doctrine

Moscovici : impossible d’agir sur le prix du carburant

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Zone euro : nouveau chômage record

Zone euro: Moody’s dégrade d’un cran le Mécanisme européen de stabilité

Groupe Doux : sursis pour 2300 emplois menacés

Florange: pas de nationalisation et avenir très incertain

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

 

Banque mondiale : prix alimentaires élevés ; En cause, la spéculation

Electricité pas de rétroactivité pour la baisse comme pour la hausse du gaz

Patronat et syndicats : les contrats de travail courts en cause

Consommation : nouvelle baisse

Hausse du gaz, un feuilleton bien rodé ou la politique de l’autruche

Concorde: pas de responsable ! Drôle de jugement

Hilary Clinton il faut favoriser la croissance en Europe

Etats-Unis: tassement de l’économie

59% des français pour la nationalisation de d’ArcelorMittal Florange

Inde: croissance ralentie, +0.8% pour le secteur manufacturier

Allemagne : hausse du chômage, une bonne nouvelle !

 

 ump-cope-s ecroule-dans-les-sondages/

 Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Copé-UMP : « pas de referendum »

Sondage : Le FN profite de la crise à l’UMP

Sondage: Ayrault plonge encore

Un repreneur pour ArcelorMittal Florange

La RATP épinglée mais la Cour des comptes débloque

Espagne : 37 milliards de prêts européens pour assainir les banques

Chérèque (CFDT) : Montebourg fait du bluff avec Mittal

Prix Carburant : Hollande renie sa parole

 

 

chomage-encore-de-mauvais-chiffres-en-octobre-et-ca-va-continuer/
 

bettencourt-banier-pourrait-recuperer-son-assurance-vie-ou-la-justice- -sociale bafouee-et-ridiculisee/
    Sanofi: 2000 postes menacés et une demande de réunion tripartite
une-peugeot-low-cost-la-301/
deserts-medicaux-le-changement-c est-pas-pour-maintenant/
mittal-chez-hollande/
 
ump-rien-n est-regle-et-sarkozy-doit-agir-vite-pour-sauver-les-meubles/

 

60-milliards-a-economiser-dans-les-depenses-de-l etat-pour-hollande/
taxes-foncieres-hausses-deux-fois-plus-que-l inflation-et-ce-n  est-pas-fini/
zone-euro-davantage-d integration-ou-eclatement/
spinetta-remet-de-l ordre-dans-air-france-klm/
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plus-values-les-pigeons gagnent-au-senat/
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  Chômage : encore de mauvais chiffres en octobre et ça va continuer    71% des français pour de nouvelles élections à l’UMP Montebourg  » plus de Mittal en France », la nationalisation à l’étude

 

 

 

 

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Conflit Copé-Fillon : Sarkozy largué !

Conflit Copé-Fillon : Sarkozy largué !

Les rivaux de l’UMP ont fait semblant de discuter mardi pour échapper à la menace de Sarkozy ; En fait, ils n’ont pas trouvé d’accord. Le but était d’écarter Sarkozy du combat car ce dernier est aussi dans la bataille pour 2017, ni Copé, ni Fillon n’ont intérêt à voir Fillon revenir dans le jeu même si l’UMP doit y laisser des plumes. Du coup, Sarkozy laisse filer .  Les deux hommes s’étaient déjà retrouvés lundi par deux fois lundi.  Président proclamé de l’UMP, mais contesté, Jean-François Copé propose un nouveau vote mais après les municipales de 2014. François Fillon le veut pour sa part « dans les meilleurs délais ».  Interrogé sur le dépassement de la date butoir fixée par Nicolas Sarkozy pour parvenir à un accord, l’ex-ministre de l’Intérieur et un de ses plus fidèles, Brice Hortefeux a dit sur BFMTV que le « message » de l’ancien chef de l’Etat avait « été entendu » et « son souhait concrétisé », puisque les deux hommes dialoguaient.  Le souhait de Nicolas Sarkozy était la reprise du dialogue » et « ce souhait a été concrétisé. Il y a des signaux très positifs depuis 48H00″, a-t-il souligné.  Excédé par la crise d’un parti qui lui avait permis d’accéder au pouvoir en 2007, Nicolas Sarkozy avait haussé le ton vendredi, leur donnant à chacun jusqu’à mardi pour trouver une solution, faute de quoi il dirait « publiquement » qu’ils sont « disqualifiés » pour diriger le parti.  La reprise de ce dialogue ne semble donc pas avoir pâti de l’officialisation mardi à l’Assemblée du nouveau groupe filloniste, Rassemblement-UMP, qui a été doté d’un temps de parole, alors que les copéistes en avaient fait un point de rupture.  Le R-UMP, qui regroupe 72 fillonistes (contre 123 UMP), devait poser deux questions au gouvernement, contre quatre pour l’UMP, à partir de mercredi.  Il se dissoudra quand Jean-François Copé acceptera un nouveau vote rapide à l’UMP, sous contrôle d’une commission indépendante, ont répété les fillonistes.  Les temps de parole ont été accordés au R-UMP lors de la conférence hebdomadaire des présidents, à laquelle assistait M. Fillon.  L’ex-Premier ministre y a côtoyé les chefs des six autres groupes constitués en juin, dont, pour l’UMP, Christian Jacob, un proche de Jean-François Copé.  Chef de file des députés PS, groupe majoritaire, Bruno Le Roux s’est insurgé: « On se sert du règlement pour régler la rivalité entre deux factions. C’est un dévoiement de nos institutions ». Même indignation chez le Vert François de Rugy.  Les députés R-UMP, qualifié de groupe « dissident » par Jean-François Copé, et ceux de l’UMP n’ont pas changé de place dans l’hémicycle.  Interrogé sur le contenu des discussions entre MM. Fillon et Copé, le porte-parole de l’ex-Premier ministre, Jérôme Chartier, avait affirmé lundi soir que les deux hommes entendaient « mettre tous les sujets sur la table, « sans interdit ».   »Ils ne parlent pas que des élections internes à l’UMP », a dit un copéiste. « Ils parlent de tout, de l’organisation et de l’avenir du parti ».  Mais, les discussions butent principalement sur la date d’un nouveau vote militant pour désigner le président.  Proclamé deux fois président du mouvement, M. Copé a proposé dimanche de revoter, mais en 2014, après les municipales.  Une proposition qu’il veut soumettre aux militants par référendum en janvier. Ils se prononceraient également sur un changement des statuts de leur parti.  François Fillon, qui estime avoir été spolié de la victoire le 18 novembre, veut au contraire un vote très rapide.  Selon M. Copé, le président de l’UMP en place en 2016 doit s’engager à ne pas concourir à la primaire qui désignera le candidat du parti à la présidentielle. Si c’était le cas, il devrait se retirer de la direction du parti.  Emmenés par Bruno Le Maire et Nathalie Kosciusko-Morizet, les « non-alignés » de l’UMP ont précisé mardi leurs desiderata: une élection pour la présidence du parti au printemps 2013, avec congrès préalable pour fixer les règles du jeu.

 

Autoroutes : nouvelle augmentation

Autoroutes : nouvelle augmentation

 

Nouvelle augmentation des tarifs alors que les bénéfices ont atteint 2 milliards en 2011 et alors que l’Etat a vendu ces autoroutes 15 milliards au privé. Une rare activité gérée par l’Etat qui rapportait, une manière de se débarrasser des bijoux de famille soi disant pour se désendetter en réalité pour boucher les dépenses de l’Etat.  Après une hausse moyenne de 2,6% cette année, les tarifs des autoroutes vont progresser une nouvelle fois l’an prochain.  Une mauvaise nouvelle pour les automobilistes? Sans doute. Mais pour les sociétés d’autoroutes, ces chiffres, au contraire, sont synonymes de juteux profits. D’autant que la fréquentation de nos « chères » voies rapides n’a jamais été aussi importante.  Ces chiffres, surtout, ne vont pas manquer de relancer une énième polémique sur les privatisations menées pendant la dernière décennie des sociétés gérant et entretenant plus de 8000 km d’autoroutes. L’Etat a-t-il fait un cadeau en or au secteur privé? Sept ans après la vente des trois grandes principales entreprises du secteur (ASF, APRR et Sanef) à plusieurs grands groupes du BTP pour 15 Mds€, la question est à nouveau posée. Au vu de leur rentabilité, l’Etat a bradé son patrimoine, estime le sénateur écologiste Ronan Dantec. « On se rend compte qu’il fallait vendre deux fois plus cher ces sociétés. Le retour sur investissement des groupes qui ont racheté ces sociétés est complètement délirant », s’insurge l’élu. « Ce raisonnement ne tient pas », réfute Hervé Mariton, député UMP de la Drôme. Pour lui, à l’époque, tout a été fait dans la transparence. Surtout, « l’Etat a récupéré plus d’argent que ce que laissaient présager les estimations ». De l’argent qui lui a permis d’investir et de se désendetter. S’il avait conservé la mainmise sur les sociétés d’autoroutes, l’Etat aurait-il été plus doux sur les tarifs des péages? Sans doute pas mais au moins les bénéfices auraient été pour les caisses de l’Etat.

 

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

 

L’union européenne faiat encore semblant se croire aux perspectives de rééquilibrage budgétaire en Grèce. Elle accorder 2 ans de plus là où elle aurait pu accorder 20 ans. De toute manière, la Grèce ne s’en sortira pas ; les saignées imposées tuent sa croissance et ses rentrées fiscales. Responsables, ceux qui ont fait entrer la Grèce dans l’Euro: Draghi en premier en tripatouillant les comptes (avec Goldman Sachs), l’Allemagne contente de vendre ses produits, les autres pays, la Grèce elle-même. Tout cela finira soit par une faillite, soit par une annulation de la dette ( qu’envisage maintenant Merkel). « Les ministres ont approuvé les mesures donnant à la Grèce deux ans de plus pour corriger son déficit excessif, suite à un accord entre le gouvernement grec et la troïka des créanciers », ont-ils indiqué dans un communiqué.  Athènes aura donc jusqu’en 2016, et non plus 2014, pour ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% du PIB, soit dans les clous européens.  Les ministres ont fondé leur décision sur les efforts entrepris par la Grèce en termes de réformes et d’ajustement budgétaire. Le pays a adopté un programme musclé comprenant des économies de 18 milliards d’ici 2016, et un budget pour 2013 imposant 9 milliards d’euros d’économies.  Conscients de ces efforts, la zone euro, le FMI et la BCE avaient décidé le 12 novembre d’accorder deux ans de plus à la Grèce pour ramener ses finances publiques à l’équilibre. Mais ce délai avait un coût d’environ 32 milliards d’euros. Une solution pour le financer a finalement été trouvée la semaine dernière.  La zone euro et le FMI se sont mis d’accord la semaine dernière sur les moyens de réduire nettement la dette grecque, avec l’objectif de la ramener à 124% du PIB d’ici 2020.  Parmi ces mesures, figurent en premier lieu une très complexe opération de rachat de la dette grecque par Athènes, une réduction significative des taux d’intérêt des prêts bilatéraux déjà consentis à la Grèce, un allongement de la durée de remboursement des prêts et un report pour le paiement des intérêts.

 

Supervision bancaire: la confusion

Supervision bancaire: la confusion

La supervision bancaire européenne, ce n’est pas pour demain. D’abord il y a désaccord sur la taille des banques à superviser mais surtout parce ce projet doit concerner les 27 alors que la BCE, qui ne regroupe que les pays de l’euro, aura de grandes responsabilités dans le mécanisme. Ber l’éternel problème de la dimension de l’Europe avec  comme toujours les anglais qui ne veulent faire partie de rien mais être à égalité dans les instances de décision. « Je pense que nous approchons d’un accord », a déclaré le ministre chypriote, Vassos Shiarly, dont le pays assure la présidence tournante de l’UE. Mais « il reste quelques problèmes », a-t-il reconnu. Les ministres des Finances de l’UE se réuniront donc de nouveau le 12, à la veille du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement, a indiqué la présidence chypriote. « Nous sommes prêts à travailler dans les heures et les jours qui viennent pour travailler à un compromis », a assuré le commissaire européen aux Services financiers, Michel Barnier.  Pour le ministre français, Pierre Moscovici, la réunion, bien que non conclusive, a été « utile ». Il a jugé « important que les ministres des Finances travaillent d’arrache-pied pour obtenir un accord » avant la fin de l’année.  La mise en place d’une supervision commune des banques de la zone euro, confiée à la Banque centrale européenne (BCE) avec l’appui des superviseurs nationaux, est la première étape de l’union bancaire souhaitée par les dirigeants européens pour tenter d’empêcher de nouvelles crises.  Elle passe par la création, au sein de la BCE, d’un conseil de supervision chargé de la surveillance de l’ensemble des banques de la zone euro.  Mais les discussions ont buté mardi sur plusieurs difficultés. M. Shiarly a cité « la répartition du travail entre la Banque centrale européenne et les autorités nationales de supervision ».  Alors que Berlin souhaite que la BCE se concentre sur la supervision des grandes banques et de celles qui posent un risque à l’ensemble de l’économie, la France veut « un système qui s’applique à toutes les banques et dans lequel la BCE soit le décideur ultime », a expliqué M. Moscovici.  Sur le fond, les positions ne sont pas si éloignées, mais il reste à régler la « question des seuils », a souligné M. Barnier. Autrement dit, il faut déterminer à partir de quelle taille une banque sera placée sous la supervision directe de la BCE.  Une autre difficulté consiste à régler la question du poids de la BCE au sein de l’Autorité bancaire européenne (EBA).  Si, en tant que superviseur unique de la zone euro, elle vote au nom des 17 pays au sein des instances de l’EBA, les 10 autres craignent de se retrouver automatiquement mis en minorité. Une question hautement sensible pour Londres et sa place financière. Mais pour Paris, il est hors de question de trouver un système de vote qui permette aux Britanniques de disposer d’un droit de veto.  Enfin, les 27 doivent trouver un compromis qui prenne en compte les desiderata des pays non membres de la zone euro qui veulent participer au mécanisme de supervision, comme la Suède. « Nous pensons qu’il devrait y avoir une égalité de traitement entre tous les pays de l’Union européenne qui veulent rejoindre le conseil de supervision », a insisté le ministre suédois, Anders Borg.  Une autre question fait débat, celle d’une stricte séparation entre les fonctions de supervision de la BCE et ses fonctions traditionnelles de garant de la politique monétaire de la zone euro. Le ministre allemand, Wolfgang Schäuble, a insisté sur ce point.  La réunion des ministres européens des Finances, qui a duré en tout plus de neuf heures, a également permis d’aborder la mise en oeuvre de la nouvelle réglementation bancaire dite de « Bâle III ». Visant à renforcer la capacité des banques à faire face à des crises futures, notamment en augmentant leurs fonds propres, elle doit théoriquement entrer en vigueur le 1er janvier.  Tout en se montrant optimiste sur la possibilité de parvenir à un accord dans les temps, M. Shiarly a reconnu qu’il restait « un certain nombre de points cruciaux à résoudre » dans les discussions entre les Etats et le Parlement européen.  Les ministres ont enfin avalisé l’octroi à la Grèce de deux ans supplémentaires pour ramener ses comptes publics à l’équilibre, et décidé de mettre fin à la procédure de déficit excessif visant Malte.

 

Les syndicats de Florange chez Ayrault pour dénoncer un accord d’amateurs

Les syndicats de Florange chez Ayrault pour dénoncer un accord d’amateurs

 

« Un accord d’amateurs entre Mittal et le gouvernement » que dénonce les syndicats notamment la CFDT. De fait, comme sur beaucoup d’autres dossiers le gouvernement révèle son incompétence économique qui s’ajoute au cynisme. Pas étonnant dans ce gouvernement de fonctionnaires qui n’ont qu’un rapport très approximatif avec les réalités économiques. Le contenu de l’accord conclu avec le gouvernement, tel qu’il a été dévoilé mardi par Le Monde, a confirmé leur scepticisme sur les investissements prévus par ArcelorMittal. Sur les 180 millions d’euros promis pour le site lorrain, moins d’un tiers concernerait des investissements stratégiques.  Le reste se décompose notamment entre « le flux d’investissements courants » et « la maintenance exceptionnelle ».  Le document consulté par le quotidien confirme également « la mise sous cocon » des installations de la phase à chaud (production d’acier brut, qui comprend les hauts-fourneaux), qui seront arrêtées « en toute sécurité à l’issue de la procédure légale ».  Cet arrêt programmé des installations est combattu par les syndicats qui estiment, qu’il rendra impossible de remettre sur la table l’option d’un repreneur pour Florange.  Enfin, l’accord confirme que des activités de « packaging » (acier destiné à l’emballage alimentaire) seront transférées du site de Basse-Indre (Loire-Atlantique) vers celui de Florange. Le Premier ministre avait lui-même confirmé cette information, tout en démentant tout accord secret avec ArcelorMittal privilégiant le site de Basse-Indre.  Les syndicalistes de Florange, interrogés par l’AFP, n’ont pas semblé surpris par ces nouvelles informations.   »Nous depuis le début on sait que c’est un marché de dupes, nos inquiétudes sont confirmées », a expliqué Jean Mangin (CGT). « C’est ce qu’on avait déduit » vendredi, a également déclaré Walter Broccoli (FO), estimant que Mittal « continue à détruire l’outil de travail ».   »Le gouvernement a fait une grosse erreur », et la rencontre de mercredi avec M. Ayrault, « c’est l’occasion de le lui dire », a poursuivi M. Broccoli.  Edouard Martin, délégue CFDT, a quant à lui estimé sur France Info que l’accord était « d’un amateurisme à rougir ».  Quant aux salariés du site de Basse-Indre, dans la région de Nantes, ils ont fait part de leur inquiétude pour leur avenir après la confirmation d’un transfert d’activité vers Florange, même si ce dernier est prévu sans suppressions d’emplois.  Sur la question des investissements promis par ArcelorMittal, le chef de file des députés PS Bruno Le Roux a annoncé qu’un « comité de suivi » verrait le jour au sein de l’Assemblée nationale.  Ce comité sera « ouvert à tous les groupes politiques » et devra « vérifier que les engagements qui ont été pris soient tenus », a-t-il précisé, à l’issue d’une réunion de son groupe à laquelle assistait le Premier ministre.  Depuis vendredi, syndicats et responsables politiques – y compris au sein du gouvernement – ne cachent pas leurs doutes face à l’accord annoncé par Matignon, qui avait mis l’accent sur le fait qu’il n’y aurait pas de plan social à Florange.  La ministre de la Culture Aurélie Filippetti, élue de Moselle, a ainsi estimé mardi qu’il n’y avait « pas de confiance » dans la parole de l’industriel Lakshmi Mittal, ajoutant qu’il faudrait en revenir à une solution de reprise si « les engagements n’étaient pas tenus ».  Le Front de gauche (FG) a dénoncé mardi « un marché de dupes avec Mittal », qu’il a qualifié de « diable de l’acier » et a réaffirmé « la nécessité d’une nationalisation » du site.  Ce scénario avait été envisagé par le gouvernement, et défendu par Arnaud Montebourg, dans la perspective de la recherche d’un repreneur, avant d’être écarté.  Plusieurs médias ont fait état du nom du repreneur qu’avait évoqué le ministre du Redressement productif avant l’annonce de l’accord avec Mittal. Il s’agirait selon eux de Bernard Serin, le président du FC Metz (National de football), et surtout président de CMI, un groupe notamment spécialisé dans la sidérurgie et basé à Seraing en Belgique.

Tunnel Lyon-Turin ; Bruxelles dénonce les contradictions de la France et de l’Italie

Tunnel Lyon-Turin ; Bruxelles dénonce les contradictions de la France et de l’Italie

 

 

Dun coté, la France et l’Italie demandent  un financement européen à hauteur de 40% pour ce projet discutable ; de l’autre, elles ont fait rogner le budget européen prévu à cet effet pour l’affecter à l’agriculture. La cohérence habituelle des pays latins ! La Commission européenne a invité mardi les dirigeants français et italien à défendre ses demandes de fonds pour les grands projets d’infrastructures dans le budget 2014-2020 afin de pouvoir cofinancer la liaison ferroviaire à grande vitesse entre Lyon et Turin.   »Un cofinancement de 40% pourrait venir du budget européen, mais cela dépend d’un soutien très fort des dirigeants français et italien pour le +Connecting Europe Facility+ » (le mécanisme européen d’interconnections dans les Transports, l’énergie et les télécommunications), a averti Helen Kearns, porte-parole du commissaire aux Transports, Siim Kallas.   »Il s’agit d’un fonds très important qui est sur la table comme partie inhérente du budget pour la période 2014-2020 pour financer des infrastructures clé en Europe », a-t-elle rappelé.  La Commission a demandé de doter cette initiative de 40 milliards d’euros sur la période, dont 15,5 milliards pour les grands projets d’infrastructures.  L’enveloppe a été amputée de 9 milliards d’euros au fil des projets de compromis présentés par le président du conseil européen, Herman Van Rompuy, lors du sommet sur le budget en novembre. Mais les coupes opérées dans les demandes de la Commission ont été jugées insuffisantes par plusieurs Etats.  La dotation demandée pour les actions pour la croissance et l’emploi, dans laquelle est intégré le mécanisme pour les interconnections, devrait encore servir de variable pour tenter d’arracher un accord lors du prochain sommet prévu au début de l’année 2013, ont indiqué à l’AFP plusieurs négociateurs.  La France et l’Italie portent une grande responsabilité dans ces coupes, car ils ont réclamé l’affectation d’une partie des fonds retirés aux actions pour la croissance à l’enveloppe destinées à financer les aides directes à l’agriculture, dont ces deux pays sont les principaux bénéficiaires.  Le président français François Hollande et le chef du gouvernement italien Mario Monti ont confirmé lundi le lancement du projet controversé de liaison ferroviaire à grande vitesse (LGV) Lyon-Turin, sans toutefois lever l’obstacle de son financement qui requiert une importante contribution européenne.  Le budget européen peut théoriquement financer 40% des 8,5 milliards d’euros que coûtera la construction d’un tunnel transalpin de 57 km, soit 3,4 milliards. L’Italie prend à sa charge 2,9 milliards et la France 2,2.

 

Cahuzac : un compte en Suisse ?

Cahuzac :  un compte en Suisse ?

Selon les informations de Mediapart, le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, aurait détenu un compte bancaire non déclaré en Suisse, à l’UBS de Genève, durant plusieurs années. Ce compte serait désormais clos. Mediapart précise que « les avoirs auraient été ensuite déplacés vers un autre paradis fiscal, en Asie, selon des sources informées de l’opération ». A Singapour, plus précisément.  Ce compte semble avoir été ouvert à la fin des années 80, lorsque Jérôme Cahuzac travaillait au cabinet de Claude Evin, ministre de la Santé. Un agent du fisc, Rémy Garnier, cité dans l’enquête de Mediapart, a alerté sa hiérarchie dès le mois de juin 2008 évoquant des « sources extérieures à l’administration fiscale », qui « convergent vers les mêmes conclusions » : un compte bancaire ouvert en Suisse par Jérôme Cahuzac.  Interrogé par Mediapart ce mardi matin, le ministre du Budget a menacé :  « Je n’ai pas de compte en Suisse et n’en ai jamais eu. Il est clair que si vous publiez ça, j’attaquerai. Je suis un personnage public. Je crois avoir montré que je n’ai pas été en arrière de la main quand j’étais président de la commission des finances. C’est peu dire que j’ai mis l’épée dans les reins de l’administration fiscale pour qu’un certain nombre de dossiers sortent. » Le média en ligne affirme disposer de plusieurs documents prouvant l’existence de ce compte, notamment la « trace » d’une conversation privée de Jérôme Cahuzac avec un chargé d’affaire. Le ministre prononce cette phrase :  « Ce qui m’embête, c’est que j’ai toujours un compte ouvert à l’UBS. Ça me fait chier d’avoir un compte ouvert là-bas, UBS, c’est quand même pas forcément la plus planquée des banques. » D’autres éléments confortant cette thèse, notamment l’acquisition d’un appartement parisien, sont développés dans l’article de Fabrice Arfi.

Transport, immobilier, services : les plus touchés par la crise

Transport, immobilier, services : les plus touchés par la crise

 

60 000 défaillances d’entreprises en un an surtout dans les transports, l’immobilier et les services.  Selon Euler Hermes, les défaillances ont progressé en un an de plus de 29 % pour les sociétés réalisant plus de 15 millions de chiffre d’affaires. De plus de 23 % pour les sociétés entre 5 et 15 millions d’euros de chiffre d’affaires. Quant à celles qui réalisent entre 2 et 5 millions de chiffre d’affaires, les défaillances ont bondi de plus de plus de 13 %. Le fabricant de carrosserie SEG qui employait 358 personnes en Vendée et la société de services informatiques Alpes Software (677 salariés) en Isère ont ainsi fait faillite. En région parisienne, la défaillance de Game France, filiale d’un groupe britannique de jeux vidéo, a, quant à elle, touché près de 500 personnes. Ces noms s’ajoutent à une liste déjà longue comprenant Neo Security (sécurité et gardiennage), Mory Team et Sernam (transport routier) , Petroplus, dont le tribunal de commerce de Rouen a annoncé mardi qu’il déciderait dans deux jours s’il autorise ou non la prolongation d’un mois, jusqu’au 16 janvier, de l’activité. Cette proportion croissante de grandes entreprises défaillantes explique pourquoi le tribut payé à l’emploi est si élevé cette année: 225.471 salariés touchés entre octobre 2011 et octobre 2012, alors que 200.000 sont en moyenne détruits chaque année depuis 2000, exception faite du pic de 2009 (255.000 emplois). Quelques secteurs souffrent plus que d’autres. Les transports, l’immobilier, les services aux entreprises, les cafés, les hôtels et les restaurants affrontent la tempête. Touchées une première fois par la crise de 2009, les entreprises les plus fragiles n’ont pas réussi à restaurer leur situation financière. N’étant plus assez profitables, elles sont à la merci d’un fournisseur incapable de payer. «Les entreprises qui sont touchées, sont notamment celles qui exportent sur le marché européen. Elles ont du mal à supporter de nouveaux chocs économiques», observe Maxime Lemerle.  Dans le transport par exemple, c’est la concurrence européenne qui tue les marges. Les premiers mois de 2013 s’annoncent donc difficiles. «Je ne prévois pas de retournement de tendance avant le deuxième semestre 2013», assure Jennifer Forest.

Grand Paris Express: « petit » supplément de 10 mds ; encore un projet sous-évalué

Grand Paris Express: « petit » supplément de 10 mds ; encore un projet sous-évalué

La sous évaluation chronique des grands projets, une maladie bien française. Hier c’était le projet de tunnel alpin entre la France et l’Italie ;  aujourd’hui,  c’est le Grand Paris Express ; Une « légère » différence 30 milliards au lieu de 20 ! Le président PS de la région Ile-de-France Jean-Paul Huchon a évoqué un surcoût de 10 milliards d’euros pour le projet de supermétro automatique Grand Paris Express, lors de son audition mardi devant la commission du développement durable de l’Assemblée nationale. « Bien sûr qu’on sait que cette opération sera fatalement plus coûteuse, on le sait depuis le début », a déclaré M. Huchon, parlant d’un chiffre « qui risque d’être de l’ordre de 30 milliards au lieu de 20 milliards ». La ministre de l’Égalité des territoires en charge du Grand Paris, Cécile Duflot, a mandaté Pascal Auzannet, ancien de la RATP, pour rédiger un rapport qui doit faire le point sur le coût estimé de ce projet majeur d’infrastructures de transports. Ce rapport, qui doit être remis de manière imminente, doit permettre au gouvernement de décider de l’étalement des travaux. « Une grande partie des choses que M. Auzannet va rajouter pour arriver à ces 30 milliards, ce sont les interconnexions, les nouvelles gares », a ajouté Jean-Paul Huchon devant les députés. Egalement président du Stif, l’autorité organisatrice de transports en Ile-de-France qui a en charge la maîtrise d’ouvrage d’une partie du projet, Jean-Paul Huchon a mis en cause la Société du Grand Paris (SGP), la structure ad hoc créée par le gouvernement Fillon. Le Grand Paris Express, ce sont près de 200 km de nouvelles lignes de métro et 72 gares à l’horizon 2025, essentiellement en rocade autour de Paris, destiné à désengorger un réseau vieillissant, saturé et passant systématiquement par le centre de la capitale.

 

Nouvelle taxe sur les transactions immobilières

Nouvelle taxe sur les transactions immobilières

 

Encore une mauvaise nouvelle pour l’immobilier dont les ventes s’effondrent. Le gouvernement français projette d’alourdir de 3% à 5%, à compter de 2014, la fiscalité des plus-values immobilières (foncier bâti) supérieures à 100.000 euros, selon l’édition de mercredi des Echos. Les cessions de biens imposables (hors résidences principales), actuellement taxées à 19%, verront leur fiscalité alourdie de 3% si elles donnent lieu à une plus-value de plus de 100.000 euros et de 5% si celle-ci dépasse 150.000 euros, précise le quotidien économique sur son site internet. Le taux s’échelonnera de 22% à 24% si la plus-value excède ces montants. Ce dispositif devrait rapporter quelque 150 millions d’euros par an à partir de 2014, selon Les Echos.

Pierre Moscovici patron de l’Eurogroup ?

Pierre Moscovici patron de l’Eurogroup ?

« Moscovici est le favori du moment mais toute reste entièrement ouvert », a déclaré à Reuters une source participant aux discussions, ajoutant cependant: « Il y a une certaine opposition contre lui. » A son arrivée à Bruxelles mardi matin pour la réunion mensuelle de l’Ecofin, Pierre Moscovici s’est refusé à tout commentaire sur son éventuelle candidature. « Laissons d’abord M. Juncker remplir la tâche qui est la sienne jusqu’à son terme, il a dit fin janvier », a dit le ministre français. « Prenons le temps. (…) Nous avons le temps et il faut faire ça dans un esprit très collectif. » Son homologue autrichienne, Maria Fekter, a estimé pour sa part que le successeur de Jean-Claude Juncker devrait avoir un profil de   »C’est un poste pour un chef de gouvernement et comme vous le savez, je ne suis pas chef de gouvernement. Ce sont les grands patrons qui en décideront », a-t-elle répondu aux journalistes lui demandant si elle-même était candidate.Le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker a confirmé lundi soir sa décision de prendre du recul à la fin de l’année. Il préside depuis 2005 la réunion mensuelle des ministres des Finances de la zone euro.

Economie poltique société: pages les plus visitées mardi 4 décembre 2012

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