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Archive mensuelle de décembre 2012

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Hollande « la crise est derrière nous » ; oui, tout près, de nous rattraper !

Hollande « la crise est derrière nous » ; oui, tout près, de nous rattraper !  

 

La méthode Coué pout Hollande qui craint évidemment que l’Italie ne replonge dans des difficultés financières et contamine toute la zone Euro ; la crise est en effet derrière nous mais prés à nous rattraper avec le danger que représente l’Italie et autres Grèce et  Espagne. «Je ne peux pas encore lever l’alerte complètement, je suis prudemment optimiste», a pour sa part déclaré dans un entretien télévisé la chancelière allemande, Angela Merkel, réagissant ainsi indirectement aux propos du président français. Autant de déclarations qui interviennent alors que l’Italie, fragilisée par une nouvelle période d’agitation politique, se retrouve dans le viseur des marchés. Cela n’a pas empêché le président français de lancer: «La crise de la zone euro, je l’ai déjà dit, elle est derrière nous.» «Le pire – c’est-à-dire la crainte d’un éclatement de la zone euro -, oui, est passé», estimait-il dès le 17 octobre, assurant dans les colonnes de plusieurs journaux européens à propos de la sortie de la crise de la zone euro: «Nous en sommes près, tout près.» Ce lundi, François Hollande a étayé son affirmation par une énumération : «La Grèce, nous avons enfin apporté les fonds qu’elle attendait. L’Espagne, nous avons permis au secteur bancaire d’être renfloué. L’Italie, même s’il y a une incertitude politique, je suis sûr que les Italiens vont y répondre.» «Et donc, a-t-il poursuivi, tout ce que nous avons à faire ce n’est plus simplement de sortir de la crise de la zone euro: c’est fait.» Louant son action, le président de la République a lancé: «Depuis six mois je me suis engagé pour régler les problèmes.» Selon lui, «maintenant il faut sortir de la crise», soit «apporter de la croissance, apporter de l’emploi, apporter de la confiance pour les jeunes». François Hollande s’est par ailleurs dit «convaincu que ce qui vient de se passer permettra à l’Italie de trouver un gouvernement stable après les élections du mois de février». Lui dit avoir «senti qu’il y avait chez M. Monti non pas de l’abattement, nullement, mais au contraire de l’envie de s’engager pour son pays». La nouvelle crise politique qui frappe la péninsule a agité les marchés ce lundi. Suite à l’annonce du retour du Cavaliere Silvio Berlusconi et de la démission du chef du gouvernement Mario Monti, la Bourse de Milan a clôturé en forte baisse. De quoi raviver le souvenir des heures noires de la crise de l’euro et ranimer le spectre de la contagion au sein de la zone euro.

Economie, politique, société: pages les plus regardées lundi 10 décembre 2012

lundi 10 décembre 2012

 

 

 

 

 

Conflit Fillon –Copé : le pouvoir pour seule doctrine

Moscovici : impossible d’agir sur le prix du carburant

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Florange : Montebourg, victime de l’accord entre l’Etat et ArcelorMittal ?

Zone euro : nouveau chômage record

Zone euro: Moody’s dégrade d’un cran le Mécanisme européen de stabilité

Groupe Doux : sursis pour 2300 emplois menacés

Florange: pas de nationalisation et avenir très incertain

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

 

Banque mondiale : prix alimentaires élevés ; En cause, la spéculation

Electricité pas de rétroactivité pour la baisse comme pour la hausse du gaz

Patronat et syndicats : les contrats de travail courts en cause

Consommation : nouvelle baisse

Hausse du gaz, un feuilleton bien rodé ou la politique de l’autruche

Concorde: pas de responsable ! Drôle de jugement

Hilary Clinton il faut favoriser la croissance en Europe

Etats-Unis: tassement de l’économie

59% des français pour la nationalisation de d’ArcelorMittal Florange

Inde: croissance ralentie, +0.8% pour le secteur manufacturier

Allemagne : hausse du chômage, une bonne nouvelle !

 

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 Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Copé-UMP : « pas de referendum »

Sondage : Le FN profite de la crise à l’UMP

Sondage: Ayrault plonge encore

Un repreneur pour ArcelorMittal Florange

La RATP épinglée mais la Cour des comptes débloque

Espagne : 37 milliards de prêts européens pour assainir les banques

Chérèque (CFDT) : Montebourg fait du bluff avec Mittal

Prix Carburant : Hollande renie sa parole

 

 

chomage-encore-de-mauvais-chiffres-en-octobre-et-ca-va-continuer/
 

bettencourt-banier-pourrait-recuperer-son-assurance-vie-ou-la-justice- -sociale bafouee-et-ridiculisee/
    Sanofi: 2000 postes menacés et une demande de réunion tripartite
une-peugeot-low-cost-la-301/
deserts-medicaux-le-changement-c est-pas-pour-maintenant/
mittal-chez-hollande/
 
ump-rien-n est-regle-et-sarkozy-doit-agir-vite-pour-sauver-les-meubles/

 

Elections partielles: cruelle défaite du PS, le gouvernement condamné

Elections partielles: cruelle défaite du PS,  le gouvernement condamné

 

 

Ce n’est pas une défaite  mais une déroute ; les élections partielles condamne en fait la politique du gouvernement ; les sondages avait démontré que cette politique était très majoritairement rejetée par les français ; Comme d’habitude, on va tenter d’expliquer ce résultat par l’abstention, par des erreurs de communication («  on va faire passer des messages positifs » à dit , sur France-Info, Peillon qui va recruter 43 000 fonctionnaires pour un coût de 2 milliards alors que la croissance s’écroule !). Du coup ce gouvernement ne pourra pas tenir encore des mois avec une telle impopularité, avant l’été 2013, il faut s’attendre à des changements qui d’ailleurs n’en seront pas et provoqueront une crise politique majeure en France. Le Parti socialiste a logiquement essuyé dimanche une cuisante défaite lors de trois élections législatives partielles, se retrouvant même éliminé du second tour dans le Val-de-Marne, au profit de la droite qui a réussi à éviter que la guerre interne à l’UMP ne profite au Front national. Comme habituellement lors des scrutins partiels, l’abstention a été élevée, tant dans le Val-de-Marne que dans l’Hérault, où la députée socialiste sortante est devancée par l’UMP, et dans les Hauts-de-Seine, où Patrick Devedjian (UMP) est largement en tête.  La plus grande surprise est venue de la 1ère circonscription du Val-de-Marne, où le député sortant UDI investi par l’UMP Henri Plagnol et le dissident UMP Sylvain Berrios sont arrivés en tête, le candidat du PS ayant été éliminé.  M. Plagnol, qui a obtenu 26% des voix, selon les premières estimations du PS, devance M. Berrios qui recueille 23,3% des suffrages. Avec 19,9% des voix, le candidat du PS Akli Mellouli ne sera pas présent au second tour, n’atteignant pas 12,5% des électeurs inscrits.  Le Conseil constitutionnel avait annulé l’élection de M. Plagnol en juin car son suppléant était aussi celui d’un sénateur, ce qui est interdit.  Dans la 6e circonscription de l’Hérault, le candidat de l’UMP Elie Aboud est arrivé largement en tête au premier tour, devant la députée sortante, la socialiste Dolorès Roqué qu’il affrontera en duel au second tour dans une semaine.  La candidate du Front national France Jamet, arrivée en troisième position, a été éliminée, faute d’avoir obtenu 12,5% des inscrits.  M. Aboud avait été battu de 10 voix au second tour des élections législatives de juin par Mme Roqué, invalidée par le Conseil constitutionnel en raison de 23 procurations irrégulières. Il a obtenu 42,61% des suffrages, contre 27,73% à la candidate socialiste et 23,37% à Mme Jamet.  Elie Aboud, qui profite aussi d’un moindre éparpillement des candidatures qu’en juin, progresse de neuf points, tandis que son adversaire socialiste régresse d’un peu plus d’un point et que le FN progresse d’à peine un point.  Le scrutin a été marqué par un taux d’abstention de 58,46%, supérieur de près de 20 points à celui du premier tour en juin.  Dans la 13e circonscription des Hauts-de-Seine (Antony, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry et Sceaux), Patrick Devedjian, président du conseil général et ancien ministre UMP, arrive en tête du premier tour avec plus de 49% des voix, devant le candidat chevènementiste (MRC) Julien Landfried, qui a enregistré 32% des suffrages. L’abstention a atteint 63%.  M. Devedjian ne l’avait emporté en juin qu’avec 200 voix d’avance sur Julien Landfried, soutenu par le PS, mais son élection avait été annulée pour la même raison que celle de M. Plagnol.  Le résultat dans l’Hérault constitue une déception pour la présidente du Front national, Marine Le Pen, qui s’était déclarée samedi « convaincue que France Jamet (pourrait) arriver devant le candidat de l’UMP ». Le vice-président du FN, Florian Philippot, a pourtant jugé « exceptionnel » qu’en partielle, « avec une si faible participation », son parti atteigne « de tels scores ».  A l’UMP, Jean-François Copé et François Fillon se sont tous deux réjouis de ces résultats « encourageants ». Pour le président proclamé et contesté du parti, le score de Elie Aboud « montre à la fois son remarquable ancrage local mais aussi la forte mobilisation de l’électorat de l’UMP ». Selon l’ancien Premier ministre, les pourcentages recueillis de Elie Aboud et Patrick Devedjian « sont clairement un avertissement au gouvernement de Jean-Marc Ayrault ».

 

Croissance : la Banque de France annonce la récession pour 2012

Croissance : la Banque de France annonce  la récession pour 2012

Contrairement aux prévisions des différents gouvernements, il n’y aura pas de croissance en 2012, on entrera même en récession au second semestre d’après la Banque de France ; Initialement la croissance devait être de 1% (Sarkozy), elle a ensuite été révisée à 0.4% (Ayrault). Rien de surprenant puisque la production industrielle s’écroule en octobre et que la consommation stagne ; Les hausse d’impôts se font déjà sentir (nettement les impôts locaux) et l’envol du  chômage fait privilégier l’épargne à la consommation (record pour les livrets A)°. Bilan : non seulement moins de croissance, moins d’emplois mais moins de recettes fiscales et un accroissement du déficit budgétaire. La Banque de France a donc confirmé lundi prévoir une légère récession en fin d’année en France avec une baisse de 0,1% de l’activité économique au quatrième trimestre après un recul équivalent estimé pour le troisième trimestre.  Elle donne dans son enquête de conjoncture dans l’industrie et les services de novembre la même estimation de l’activité au quatrième trimestre que dans celle d’octobre publiée il y a un mois.

 

Gaz : augmentation de 2,4% le 1er janvier

Gaz : augmentation  de 2,4% le 1er janvier

La comédie a encore fonctionné, GDF demande 4%, le gouvernement faiat semblant de refuser, le conseil d’Etat condamne le gouvernement qui finalemenet accorder 2.4%. Les tarifs réglementés du gaz de GDF Suez augmenteront donc de 2,4% au 1er janvier, a annoncé lundi sur France Inter la ministre française de l’Ecologie et de l’énergie, suite à la décision du Conseil d’Etat qui avait jugé insuffisante la hausse de 2% accordée au groupe en octobre. attendu, le gouvernement va modifier la formule de calcul des tarifs de GDF Suez afin de limiter l’augmentation, a expliqué Delphine Batho. « On aurait dû appliquer au 1er janvier prochain une hausse de 4% », mais « nous avons demandé à GDF Suez de renégocier ses contrats d’approvisionnement, c’est ce qui permet de limiter ce mouvement à 2,4%, et nous allons dans le même temps étendre à 830.000 personnes supplémentaires » les tarifs sociaux du gaz et de l’électricité « , a indiqué la ministre.  Cette extension concernera « les personnes éligibles à l’équivalent de la couverture maladie supplémentaire », a précisé la ministre, et elle sera mise en place en attendant l’adoption de la proposition de loi Brottes sur l’énergie, qui permettra de les étendre à 8 millions de personnes.  C’est une mesure de lutte contre la précarité énergétique », et cela permettra de limiter l’impact de la hausse « sur les catégories populaires les plus exposées aujourd’hui aux problèmes de pouvoir d’achat », a assuré la ministre.  De plus, le mécanisme de révision des tarifs du gaz va être changé. La formule de calcul sera désormais revue chaque année, et les tarifs seront modifiés tous les mois et non plus tous les trimestres, « avec la possibilité d’une clause de sauvegarde », qui permettra à l’Etat de « reprendre la main » en cas de hausse excessive, a-t-elle indiqué.

 

Croissance : nouvelle chute de la production industrielle en octobre

Croissance : nouvelle chute de la  production industrielle en octobre

Mauvaise nouvelle pour le gouvernement avec la baisse de la production industrielle qui pourrait faire rapidement faire basculer la croissance vers la récession. La production industrielle en France a une nouvelle fois baissé en octobre par rapport au mois précédent, de 0,7%, après une chute de 2,7% en septembre, a annoncé lundi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Dans la seule industrie manufacturière (hors énergie et mines), la diminution est encore plus marquée, de 0,9% en octobre après un recul de 3,4% le mois précédent (chiffre révisé à la baisse).  Au cours des trois mois allant d’août à octobre, la production est quasiment stable par rapport aux trois mois précédents dans l’ensemble de l’industrie (-0,1%) tout comme dans le seul secteur manufacturier (+0,1%).  Sur cette période, elle est en hausse dans l’agroalimentaire (+1%), les matériels de transport (+0,5%) et les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (+0,5%). Elle est en nette baisse dans le raffinage (-2,1%).  La production de ces trois mois est en repli de 2,3% par rapport à la même période de 2011: -2,4% pour les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines mais aussi les matériels de transport, -9,9% pour le raffinage.  En octobre, le recul concerne le caoutchouc, le plastique et les minéraux non métalliques (-3,5%), la métallurgie et les produits métalliques (-1,5%), et la chimie (-1,4%), tandis que le secteur textile, habillement, cuir et chaussure grimpe de 3,4%.  La production diminue de 2,4% dans les matériels de transport (-2,4%), avec une forte baisse de 4,7% dans l’automobile. Elle recule aussi dans les équipements électriques (-3,4%) mais monte dans les produits informatiques, électroniques et optiques (+0,7%).  Enfin, la production augmente dans le raffinage (+3,6%) après une forte baisse en septembre (-11,2%).

Plus-values immobilières : une nouvelle taxe à partir de 50.000 euros, dès 2013.

Plus-values immobilières : une nouvelle taxe à partir de   50.000 euros, dès 2013.

Les amendements surprise du gouvernement au collectif budgétaire créant deux nouvelles taxes sur l’immobilier, déposés mercredi dernier, ont été votés à l’Assemblée nationale. La taxe sur les « logements vacants » a été supprimée avant même d’avoir été votée. Le projet était vivement critiqué par le président de la commission des Finances, Gilles Carrez (UMP), pour qui cela revenait à créer une nouvelle taxe d’habitation sur les résidences secondaires dans les grandes agglomérations et les zones touristiques.  En lieu et place, les députés ont élargi l’assiette de la surtaxe sur les plus-values immobilières, dont la création a été elle-aussi initiée par le gouvernement mercredi. L’objectif de ces mesures est de compenser la suppression du prélèvement sur les organismes de HLM, annoncée en septembre, et qui créée un manque à gagner de 245 millions d’euros par an. Ce dispositif proposé par le rapporteur général, avec l’aval du gouvernement, se limite donc à l’instauration d’un seul prélèvement, une surtaxe progressive sur les plus-values de cessions de biens immobiliers imposables (les résidences principales ne sont donc pas concernées), ciblant les sommes les plus élevées, et entrant en vigueur dès 2013. La surtaxe démarre à 50.000 euros, avec un taux de 2 %, et gagne 1% par tranche de 50.000 euros, pour atteindre 6 % sur les plus-values de plus de 250.000 euros. Les plus-values immobilières, actuellement taxées à 19 % auxquels s’ajoutent les 15,5 % de prélèvements sociaux, pourraient ainsi être imposées jusqu’à un peu plus de 40 %. Bercy proposait initialement deux taux pour cette surtaxe : 3 % pour les plus-values de plus de 100.000 euros, et 5 % au delà de 150.000 euros.  Le produit de cette taxe pouvant être affecté au financement du logement social sera toutefois plafonné, en vertu de l’amendement déposé, dans des conditions qui seront définies dans le projet de loi de Finances 2013. Le texte revient en effet en deuxième lecture à l’Assemblée la semaine prochaine.

 

Livret A : un succès qui va figer le taux de commission des banques

Livret A : un succès qui va figer le taux de commission des banques

 

 

Le gouvernement doit choisir abaisser le taux de commission contre moins de centralisation des livets A à la CDD. Il risque de rien décider, c’est-à-dire de maintenir le taux actuel de centralisation à la CDC, qui lui permet de faire fiancer nombre de politiques dont celles du logement et des collectivités locales.  Le succès historique auprès des épargnants du relèvement depuis le 1 er octobre du plafond du Livret A et du Livret de développement durable (LDD) risque de compliquer la réforme promise à la fin de l’année par Bercy sur l’épargne réglementée pour en optimiser le dispositif. Le mois dernier, les deux produits ont collecté 21,29 milliards d’euros. Cet afflux de dépôts dépasse le dernier record de 18,9 milliards d’euros, lors de l’ouverture, en janvier 2009, de la distribution du Livret A à tous les réseaux bancaires. Ce raz-de-marée devrait se poursuivre, le gouvernement s’étant engagé à relever encore de 25 % le plafond du Livret A à la fin de l’année.  Dans ce contexte, les banques s’élèvent contre toute baisse de leur commission de 0,5 % à 0,4 % en échange de la distribution des produits d’épargne réglementée. Une telle baisse permettrait de diminuer le coût des prêts aux bailleurs sociaux pour construire de nouveaux logements. Mais les banques estiment ne pas être étrangères au succès du Livret A et conditionnent la baisse de leur rémunération à la réduction du niveau de centralisation de la collecte du Livret A et du LDD à la Caisse des Dépôts, actuellement de 65 %.  Un argument auquel Bercy n’est pas insensible, mais dont la Caisse des Dépôts (CDC) ne veut pas entendre parler. Selon son directeur général Jean-Pierre Jouyet, le supplément de collecte permettra au Fonds d’épargne qui gère l’épargne réglementée de remplir les multiples missions que lui confie le gouvernement. Le président de la République a notamment annoncé l’ouverture, début 2013, d’une enveloppe de 20 milliards d’euros de crédits long terme aux collectivités locales pour 2013-2017. « Il est nécessaire de réduire les taux de commissionnement et de maintenir le taux de centralisation », a conclu hier Jean-Pierre Jouyet lors de son audition à la commission des Finances du Sénat. Modifier le taux de centralisation apparaît aussi politiquement sensible, la majorité présidentielle ayant soutenu par le passé le principe d’une centralisation forte de l’épargne réglementée. « Bercy semble coincé et il ne serait pas étonnant que la réforme soit reportée », conclut un proche du dossier.

 

Italie : avec le départ de Monti, reprise de l’instabilité en Italie et en zone euro

Italie : avec le départ de Monti, reprise de l’instabilité en Italie et en zone euro

 

Le départ de Monti risque de provoquer une nouvelle crise en Italie et en zone euro. L’austérité imposée par Monti avait calmé les marchés mais la dette de l’Italie, la plus importante d4europe risque de faire remonter les taux d’intérêt non seulement de l’Italie mais de l’ensemble de la zone euro. . Ce week-end, le premier ministre italien a décidé de jeter l’éponge de manière «irrévocable». Si l’on en croit les sondages, le parti de Silvio Berlusconi a peu de chances de reprendre la main. Mais la question demeure: quel qu’il soit, le premier ministre qui sortira des urnes début 2013 aura-t-il le mandat, la patience et la force de mener à bien les réformes? L’Italie, troisième économie de l’euro, pèse lourd et l’ironie du sort veut que son mauvais génie réapparaisse au moment précis où la Grèce, boulet de la monnaie commune depuis trois ans, semble provisoirement tirée d’affaire. Les deux pays, fameusement sermonnés par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy lors du sommet de l’euro du 23 octobre 2011, avaient changé de cap en même temps. Georges Papandréou avait démissionné le 11 novembre, Silvio Berlusconi le 12. Depuis, Athènes a connu elle aussi l’intermède d’un gouvernement d’experts. Mais depuis les législatives de juin, c’est un politique, le premier ministre conservateur Antonis Samaras, qui mène le redressement. Personne n’imagine que le chef du Pasok grec puisse un jour remonter en selle. Le patron du PDL italien, lui, n’a pas changé d’un pouce. À 76 ans, Silvio Berlusconi entend livrer bataille aux impôts, à la récession et à la rigueur tous azimuts imposée par Mario Monti. Ce n’est pas tant le Cavaliere qui fait peur qu’«une campagne entièrement construite contre l’Europe, contre l’Allemagne et contre l’austérité budgétaire», relève le quotidien économique Il Sole/24 ore. Signe révélateur, l’accélération de la crise politique à Rome a tendu dès vendredi le marché de la dette publique italienne, l’une des plus lourdes de l’UE (2000 milliards d’euros). Après des mois d’accalmie, l’écart avec le taux de référence allemand à dix ans est remonté à 325 points. La démission de Mario Monti, confirmée, risque d’agiter à nouveau les marchés dès lundi. Les capitales européennes restent encore discrètes sur le défi surgi de Rome. Personne ne veut croire que Silvio Berlusconi puisse arracher un quatrième mandat. Mais beaucoup s’inquiètent qu’il donne le ton de la campagne. «Les Italiens ne doivent pas céder à l’illusion qu’il existe des solutions magiques», assure le président de la commission, José Manuel Barroso. Depuis Francfort, c’est le ténor allemand de la BCE Jörg Asmussen qui apporte déjà sa voix à Mario Monti: «Il a beaucoup fait en peu de temps, dit-il au quotidien Bild. Quiconque l’emportera dans l’isoloir aura à poursuivre avec la même détermination.»

La Chine achète le loueur d’avions ILFC ; danger pour Airbus et Boeing

La Chine  achète le loueur d’avions ILFC ; danger pour Airbus et Boeing

 

A court terme, sans doute pas d’inquiétude mais à terme, il est évident que la vente du loueur d’avions va menacer Airbus et Boeing. La Chine ambitionne en effet de concurrencer les deux constructeurs d’ici une dizaine d’années.  La transaction sonne donc comme un coup de tonnerre dans l’industrie aéronautique. L’assureur américain AIG vient d’officialiser la vente de sa filiale de location d’avions ILFC à un groupe d’investisseurs chinois composé des fonds New China Trust, China Aviation Industrial Fund et P3 Investments. Ce dernier a accepté d’acquérir «80,1% d’ILFC pour environ 4,23 milliards de dollars, avec une option pour racheter 9,9% supplémentaires», précise un communiqué d’AIG ce lundi. L’assureur avait confirmé vendredi mener des discussions avec un pool d’investisseurs chinois et avait mentionné parmi eux New China Life Insurance ainsi que la branche d’investissement de la première banque chinoise, ICBC. Depuis plusieurs années, AIG cherche à sortir de ce métier qu’il juge non stratégique. Il a plusieurs fois évoqué la piste d’une mise en Bourse d’ILFC où elle aurait pu être valorisée entre 6 et 8 milliards de dollars. Mais les yo-yo des marchés financiers ont rendu l’opération difficile.  À la tête de la plus importante flotte mondiale – un millier d’avions – ILFC est un des plus gros clients d’Airbus et de Boeing auxquels il a commandé 200 appareils dont des A 320 Neo, des 737-800 ainsi que des A 350 XWB et 787 Dreamliner. «ILFC représente 22 % de notre carnet de commandes», précise un porte-parole d’Airbus. ILFC, dirigé par Henri Courpron, un ancien haut dirigeant d’Airbus, est aussi un partenaire financier crucial des compagnies. Il compte 200 clients dans 80 pays. En Chine, il est leader avec 30 % du marché du leasing avec une flotte de 175 appareils auprès de 16 compagnies. Gros clients des constructeurs occidentaux, la Chine assemble des A 320 à Tianjin dans le cadre d’un partenariat avec Airbus. Mais elle ambitionne de devenir un grand de l’aéronautique. Son constructeur Comac a développé le C 919, futur rival des A 320 et 737. Les Chinois veulent aligner un appareil dans tous les segments du marché. «Le risque serait de voir, à terme, ILFC ne plus commander d’Airbus et de Boeing mais seulement des avions chinois tout en usant de son pouvoir de nuisance pour contrarier les programmes futurs des deux avionneurs», souligne un observateur averti.

 

Chine : très net tassement des exportations en novembre.

Chine : très net tassement des exportations en novembre.

 

Signe de la dépression économique mondiale, la Chine voit ses exports très nettement ralentir. Les exportations chinoises ont augmenté en novembre mais à un rythme beaucoup plus faible que prévu tandis que les importations sont restées sables. Les exportations de la deuxième économie mondiale ont augmenté de 2,9%, nettement en dessous des attentes qui se situaient à 9% et par rapport au rythme de 11,6% en octobre, selon les chiffres publiés lundi. Ces résultats sont les moins bons pour les exportations et les importations de la Chine depuis le mois d’août. « Le ralentissement des exportations montre que la demande extérieure est confrontée à des incertitudes liées aux inquiétudes provoquées par le problème du ‘mur budgétaire’ américain », estime Zhang Zhiwei, économiste chez Nomura à Hong Kong. « Malgré tout, cela ne modifie pas la perspective d’une forte reprise de la croissance au quatrième trimestre car celle-ci est principalement dictée par le marché intérieur », a-t-il ajouté. Les statistiques gouvernementales publiées dimanche montraient une croissance de la production industrielle de 10,1% en novembre par rapport à l’année précédente, soit son rythme le plus rapide depuis mars et au-dessus des attentes.

Japon-récession : – 0,9% au 3e trimestre

Japon-récession : – 0,9% au 3e trimestre

Le produit intérieur brut du Japon s’est contracté de 0,9% au troisième trimestre (juillet-septembre) 2012 par rapport au trimestre précédent, selon les chiffres fournis par le gouvernement et publiés lundi. Ce résultat est conforme aux premières estimations du mois dernier, l’économie japonaise devant faire face à une demande mondiale hésitante et à un yen fort. Il est en revanche supérieur au consensus des économistes qui tablaient sur une baisse de 0,8%.En données annualisées, la contraction s’établit à -3,5%, là encore, un résultat conforme aux premières estimations gouvernementales de novembre. Le consensus des économistes s’établissait à -3,3%. Le gouvernement nippon a également révisé les chiffres du PIB pour la période avril-juin signalant une légère baisse montrant que l’économie nippone s’est contractée pour le deuxième trimestre consécutif.

 

Economie, politique, société: pages les plus regardées

dimanche 9 décembre 2012

 

 

 

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FNAIM : « Les prix immobiliers ne vont pas s’effondrer en 2013″ ; c’est déjà fait sauf dans les grandes villes et c’est pas fini !

FNAIM : « Les prix immobiliers  ne vont pas s’effondrer en 2013″ ; c’est déjà fait sauf dans les grandes villes et c’est pas fini !

 

Le président de la FNAIM (comme les notaires) prend ses désirs pour des réalités en affirmant que les prix ne vont pas s’effondrer en 2013. C’est déjà fait sauf dans les grandes villes. En province les prix peuvent baisser jusqu’à 50%. En fait, il n’y a pas d’acheteurs car ces derniers attendent une autre baisse des prix, les vendeurs, eux, maintiennent les prisx de départ et ne vendent pas. Pour les primo accédants, il faut en moyenne un revenu minimum de 5000 euros mensuels, autant dire que beaucoup sont écartés par les banques. On comprend évidemment le discours des agents immobiliers et des notaires qui se rémunèrent sur les prix de vente.  à quelques jours de l’ouverture du Congrès national de la FNAIM à Paris, son président, Jean-François Buet, nous livre ses analyses ou plûtot se sepoirs. ( interview le Fiagro)

 

 

LE CLUB IMMO (. Comment jugez-vous l’année 2012 dans votre secteur ?

JEAN-FRANÇOIS BUET : Cette année aura été une année difficile, une année de changements importants avec un recul très fort de l’activité, de l’ordre de 20 % sur une période très courte. En revanche, les prix de l’immobilier n’ont connu qu’une très faible baisse, d’environ 5 % en fonction des zones. Les prix ont beaucoup moins bougé sur les zones tendues, même si la hausse est stoppée, que sur les zones détendues, où l’on constate des baisses de prix supérieures à 5 %.

 

LE CLUB IMMO. Comment le marché va-t-il évoluer en 2013 ? Est-ce le moment d’acheter ?

JEAN-FRANÇOIS BUET : Je considère que les six premiers mois de l’année 2013 vont être sur la tendance de ce que nous venons de vivre en 2012. Il n’y aura pas d’effondrement de prix et l’activité sera toujours ralentie, avec un attentisme très fort, tant de la part des acquéreurs que des vendeurs. Ce qui signifie que l’on ne sait pas trop ce qui va se passer en fin d’année prochaine. Quant à l’opportunité d’acheter, les conditions semblent en effet réunies car les taux sont très bas. Mais il manque une condition essentielle, c’est la vraie confiance des Français dans la politique économique du pays.

 

LE CLUB IMMO. Les mesures prises par le gouvernement pour relancer votre activité (mobilisation foncière, loi SRU, investissement locatif…) vont-elles dans le bon sens ?

JEAN-FRANÇOIS BUET : Nous avons besoin d’une vraie politique stable du logement en France. Les intentions du gouvernement sont bonnes. Vouloir relancer 500 000 constructions de logements neufs par an va dans le bon sens. Cela étant, les récentes dispositions fiscales ne vont pas créer le choc d’offre de terrains qui permettrait à madame Duflot de réaliser ses projets.

 

LE CLUB IMMO. Quelles sont vos pistes pour relancer l’activité immobilière ?

JEAN-FRANÇOIS BUET : Il faut tout d’abord de la confiance. Elle ne se décrète pas. Elle viendra si l’on a une politique claire et lisible. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Sur les douze derniers mois, nous avons connu beaucoup d’effets d’annonces et de changements, en matière de fiscalité notamment. Je crois aussi que, pour aider les primo-accédants, ceux qui ont les revenus les plus modestes, il faut un prêt à taux zéro social pour pouvoir constituer l’apport personnel minimum demandé par les banques. Il faut aussi un dispositif d’investissement locatif pour le bailleur, que ce soit dans le neuf ou dans l’ancien, sans que cela soit considéré comme une niche fiscale. Cela permettra d’avoir un statut pérenne permettant d’investir en ayant un vrai retour sur son investissement.

 

LE CLUB IMMO. Dans quelques jours, les 10 et 11 décembre, vous organisez à Paris votre congrès annuel. Dans quel état d’esprit sont les professionnels de l’immobilier ?

JEAN-FRANÇOIS BUET : Qu’ils soient agents, administrateurs de biens, experts ou conseils, ils sont très inquiets de la baisse de l’activité, de l’attentisme des consommateurs. Aujourd’hui, nos clients sont perdus. Nous souhaitons instaurer un dialogue régulier avec les pouvoirs publics pour que les mesures prises le soient dans la stabilité, la pérennité, ce dont nous avons tous vraiment besoin.

 

 

sondage Ifop : trop d’assistanat pour 80%

sondage Ifop : trop d’assistanat pour 80%

Huit Français sur dix jugent qu’il y a « trop d’assistanat », selon un sondage Ifop . L’opinion selon laquelle « il y a trop d’assistanat et beaucoup de gens abusent des aides sociales » rencontre l’assentiment de 80 % des personnes interrogées, contre 79 % en novembre 2011 (également dans un sondage Ifop). 75 % (76 % il y a un an) pensent que « l’islam progresse trop en France, 70 % (contre 69 %) qu’il faut que « l’État donne plus de libertés aux entreprises », 66 % (comme en 2011) qu’il y a « trop d’immigrés en France » et 66 % (contre 68 %) que « seules les familles les plus aisées peuvent choisir l’établissement scolaire de leurs enfants ». La majorité est nettement moins forte sur deux autres opinions: 56 % (comme en 2011) jugent qu’on « ne se sent en sécurité nulle part », 51 % (contre 53 % il y a un an) que « les chômeurs pourraient trouver du travail s’ils le voulaient vraiment ». Les évolutions sont plus fortes, comme d’autres sondages l’ont montré, sur deux sujets d’actualité. 52 % sont opposés à l’opinion selon laquelle « les couples homosexuels devraient pouvoir adopter des enfants », alors que 53 % y étaient favorables il y a un an. Et 57 % sont hostiles à ce que « tous les étrangers résidant en France depuis plusieurs années » aient « le droit de vote aux élections municipales », alors que la moitié des sondés (49 %) approuvaient cette idée en novembre 2011. Enfin, 41 % (contre 46 % en novembre 2011) estiment qu’il « faut généraliser l’impôt sur le revenu à tous les foyers car actuellement les plus modestes, soit un ménage sur deux, n’en payent pas ». Par ailleurs, 72 % des sondés pensent qu’ »avec tous les traités que la France a signés, le gouvernement n’a plus aujourd’hui vraiment de marges de manoeuvre », soit presque autant que lors d’un précédent sondage Ifop réalisé le 22 avril dernier (74 %).

 

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