Les emplois d’avenir ou du passé ?
Faire financer les emplois par un Etat surendetté, voilà les emplois d’avenir. Avec évidemmenet une loi ; Un problème : une loi, souvent une taxe ; là le contraire une subvention. En fait des emplois totalement fiancés par l’Etat et temporaires (3 ans maxi). Pour 10 000 jeunes. Coût éhorbiatnt1.5 milliards. Certes on va réinsérer mais où à terme ? Puisque les diplômes ‘ « insérables » ne trouvent pas d’emploi. En fait une politique d’emploi qui ignore l’économie, c’est la compétitivité qui crée l’emploi et non la taxe ou la subvention. Tant mieux s’il y a réinsertion de jeunes via en fait la formation mais pourquoi ne pas financer entièrement avec les fonds de la formation permanente où les 30 milliards annuels de ressources servent surtout aux structures à se gaver. Monsieur Hollande est parait-il membre de la cour des comptes, il devrait connaître les rapports de cette cour qui dénonce les scandales de la formation permanente. Au fait , il a fait quoi Hollande à la cour des comptes ? quels rapports a-t-il écrit ? Sans doute pas grand-chose ; comme beaucoup d’énarques payés par l’Etat et qui se consacrent essentiellement à la politique ; du coup cela explique son rapport à l’économie. Le coup d’envoi de cette mesure emblématique du début du quinquennat Hollande, destinée aux 16-25 ans et largement subventionnée par l’Etat, a été donné par un décret paru au Journal officiel. Les premières signatures, symboliques, devraient avoir lieu le 8 novembre à Chelles (Seine-en-Marne) en présence du président de la République François Hollande. Alors que le chômage touchait 22,7% des 15-24 ans au deuxième trimestre, soit 634.000 personnes, le gouvernement ambitionne de créer 150.000 de ces emplois aidés d’ici 2014, dont 100.000 dès l’an prochain. Dans la cible visée se trouvent notamment les 120.000 jeunes sortant chaque année du système scolaire sans diplôme, pour lesquels le taux de chômage dépasse 40%. Coût estimé pour un dispositif tournant à plein régime: 1,5 milliard d’euros par an. Les emplois d’avenir, « ce sont les emplois de demain », avait lancé le Premier ministre lors de la signature des premières conventions, rappelant que François Hollande a « mis la jeunesse au coeur de sa campagne ». »La priorité des priorités est de commencer, et de continuer, par les jeunes », avait-il ajouté. dispositifs de formation Inscrits dans une des premières grandes lois du quinquennat – adoptée par le Parlement le 9 octobre avec les voix de la gauche et une partie des voix de la droite -, ces emplois d’avenir seront proposés essentiellement dans les collectivités locales et les associations pour une durée de trois ans. A la différence des « emplois-jeunes » de l’ère Jospin, ils sont ciblés sur les jeunes gens peu qualifiés issus des zones urbaines, rurales et d’outremer en difficulté, et devraient être accompagnés de dispositifs de formation. Une dérogation est consentie pour les « emplois d’avenir professeur », dont devraient bénéficier, d’ici 2015, environ 18.000 étudiants boursiers venant aussi de zones défavorisées. Pour remporter la « bataille de l’emploi », le gouvernement à ouvert « plusieurs fronts ». Après les emplois d’avenir suivront en 2013 les « contrats de génération », qui visent à encourager l’embauche de jeunes en contrats à durée déterminée (CDI) et le maintien dans l’emploi des seniors. Le gouvernement mise aussi sur la négociation engagée par les partenaires sociaux pour réformer le marché du travail, qu’il veut voir aboutir avant la fin de l’année. Le président, qui se dit engagé dans « la bataille pour l’emploi », « enjeu numéro un du quinquennat », s’est donné pour objectif d’inverser la courbe du chômage, en augmentation continue depuis 17 mois, d’ici la fin 2013.
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