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Economie politique société: derniers articles

samedi 27 octobre 2012

 

 

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Frais professionnels déplacement : impôts en hausse

Frais professionnels déplacement : impôts en hausse

Lors de l’examen du projet de budget pour 2013, les députés ont voté des amendements qui alourdiront l’impôt sur le revenu de ceux qui ont opté pour une déclaration au réel de leurs frais professionnels et possèdent une voiture de plus de six chevaux fiscaux. Deux conditions assez rapidement atteintes. De fait, la plupart des berlines, françaises et allemandes, dépassent les six chevaux. Par exemple, les chevaux fiscaux d’une Citroën C4 Picasso diesel vont de sept à dix. En outre, nombre de cadres et de dirigeants ont choisi, en matière d’impôt sur le revenu, le régime des frais réels. Un régime qui leur permet de déduire de leur salaire imposable les frais qu’ils ont réellement supportés (par opposition au régime consistant à imputer sur son salaire un abattement de 10 %). Aujourd’hui, les barèmes en matière de frais de véhicule au réel conduisent à rembourser des frais de plus en plus importants à mesure que la puissance du véhicule augmente. Si les amendements des députés sont confirmés au Sénat, ce ne sera plus le cas: toute voiture de sept cheveux fiscaux et plus se verra appliquer le même barème qu’un véhicule de six chevaux. Résultat, le propriétaire d’une berline déduira moins de frais et payera plus d’impôt. Dans quelle ampleur? Comme toujours en matière d’impôt sur le revenu, tout dépendra de la situation du contribuable (marié ou célibataire, avec ou sans enfants, etc.). Mais généralement, la facture finale ne devrait pas dépasser la centaine d’euros par an. Il n’empêche, cette mesure, qui s’ajoute à une série de décisions défavorables (taxation des plus-values, relèvement des charges sociales des indépendants), est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. D’autant qu’elle s’appliquera dès les revenus de 2012, imposés en 2013. L’argument de Bercy, qui défend la mesure au nom de l’écologie, ne passe pas. «Une belle voiture, c’est le petit plaisir que s’accorde le dirigeant de PME. Pourquoi le pénaliser?» s’insurge Jean-Eudes du Mesnil, secrétaire général de la CGPME. Qui voit poindre un autre problème : «Les cadres demanderont certainement à l’entreprise de compenser le surcroît d’impôt. Mais cela sera souvent impossible.» De son côté, l’Union nationale des professions libérales (UNAPL) qualifie la mesure «d’inacceptable» et veut obtenir son retrait, en mettant en avant les cas d’infirmières et de médecins parcourant des kilomètres en zone rurale. Les opposants ont aussi un argument choc: la défense de l’industrie automobile française. Bientôt un nouveau mouvement des «pigeons»?

 

Epargne : les Français fuient les actions et les obligations

Epargne : Les Français fuient les actions et les obligations

L actions et les obligations détenues en direct occupent désormais une place marginale dans le patrimoine des ménages. Elles ne pèsent plus que 2 % contre 4 % en 1995, selon IODS (Insead OEE Data Services), un cabinet qui analyse l’épargne financière des Européens. «Les épargnants ont été échaudés par les différentes crises boursières et il n’y a plus d’opérations de privatisations», explique Didier Davydoff, directeur général d’IODS. L’augmentation des dividendes, qui ont été multipliés par 2,6 entre 1995 et 2012, n’a pas réussi à fidéliser les actionnaires. Pour les mêmes raisons, les épargnants ont aussi délaissé les OPCVM (actions, obligations). Leur poids dans les patrimoines a carrément été divisé par deux, passant de 15 % en 1995 à seulement 7 % aujourd’hui. L’épargne bancaire, autrement dit les livrets, les comptes à terme et les dépôts, s’en sortent mieux (- 10 % depuis 1995). Au fil des ans, l’assurance-vie est devenue prépondérante dans le patrimoine financier des ménages: son poids a doublé entre 1995 et 2012, pour atteindre fin septembre 40 % du patrimoine (contre 21 % en 1996). Fait plus surprenant, la part des actions non cotées a elle aussi doublé dans les portefeuilles, passant de 8 % à 15 %. «Notamment parce que davantage de personnes créent une entreprise», explique Didier Davydoff. L’épargne financière (hors immobilier) a rapporté 3,9 % net de frais de gestion en moyenne par an entre 1996 et fin septembre 2012. Et 2,6 % à 2,7 % après impôt, soit bien plus que l’inflation (1,6 %) selon IODS. «Ce qui est honorable», souligne Georges Pauget, président d’IODS. Mais, sur une période plus courte, la performance est nettement moins florissante: entre début 2000 et aujourd’hui, les placements financiers n’ont rapporté que 2,6 % par an en moyenne (soit environ 1,90 % après impôt) alors que l’inflation atteignait à 1,8 %. Traditionnellement, plus fourmis que cigales, les Français ont toujours un bas de laine important (le taux d’épargne avoisine 16 % des revenus). Anticipant des baisses de revenus et des hausses d’impôts, les épargnants devraient rester prudents. Les Français consacrent une partie de plus en plus faible de leurs revenus aux placements financiers. «Les liquidités sont moins abondantes car les ménages ont moins de plus-values immobilières à réinvestir et parce que leurs revenus baissent», souligne Didier Davydoff.

 

 

Banque UBS : 10.000 emplois menacés

Banque UBS : 10.000 emplois menacés

UBS supprimera sans doute jusqu’à 10.000 emplois dans le monde entier, exposée qu’elle est à une baisse de ses revenus et à des exigences de fonds propres devenues plus strictes, a déclaré aujourd’hui une source proche de la première banque suisse. La banque devrait annoncer ces suppressions de postes à l’occasion de la publication de ses résultats du troisième trimestre la semaine prochaine, a ajouté la source.  En juin dernier, la Banque centrale Helvétique (BNS) avait déjà appelé UBS et Crédit Suisse, à augmenter leurs fonds propres dans l’optique d’une aggravation de la crise de la zone euro. Interrogé , Jean-Pierre Danthine, membre de la direction de la BNS, avait déjà signalé que « la dotation en fonds propres de première qualité des grandes banques restait en dessous du niveau qui permettrait d’assurer une capacité de résistance suffisante». Les capitaux étaient en tout cas insuffisants pour compenser une perte financière qu’UBS avait connue en 2008.

 

Confiance des ménages : en baisse

Confiance des ménages : en baisse 

La confiance des ménages st  en baisse ; en cause, surtout le  pouvoir d’achat, le  matraquage fiscal, le  chômage  La confiance des Français a continué de se détériorer en octobre. Une lente érosion, constatée depuis mai dernier, qui se traduit aujourd’hui par un niveau d’inquiétude rarement atteint: les ménages sont de plus en plus nombreux à voir leur «situation financière personnelle future» s’assombrir, selon l’enquête mensuelle publiée hier par l’Insee. Ils considèrent même que leur niveau de vie va encore se dégrader dans les mois à venir.  La séquence budgétaire – qui a marqué tout le début du quinquennat et vient de se terminer – a laissé des traces. Et les Français en ont surtout retenu l’idée qu’un matraquage fiscal les attendait. «Sur ce front-là, nous avons perdu la bataille de la communication», reconnaît-on à l’Élysée, en admettant «des erreurs». Celle d’avoir voulu s’attaquer à des corporations «qui parlent très fort et qui manipulent les symboles». Mais aussi d’avoir sous-estimé que «les Français ont mal, y compris aux impôts qu’ils ne paient pas», concède un proche du chef de l’Etat. Ces erreurs de communication politique, l’exécutif voudrait éviter de les commettre à nouveau. Et vite faire oublier le mauvais départ de l’autre grande séquence qui s’ouvre maintenant, celle de la compétitivité. Histoire de ne pas donner de nouvelles raisons d’inquiétudes aux Français, qui ne savent pas à quoi s’attendre dans ce domaine et entendent parler de hausse de TVA ou de CSG depuis plusieurs semaines. François Hollande a repris la main jeudi soir sur le sujet: devant un parterre de chefs d’entreprise, le président de la République a indiqué qu’il mettrait en œuvre un «pacte de compétitivité» sur le quinquennat, comprenant très certainement un allégement de charges pour les entreprises afin de baisser le coût du travail – mais pas les 30 milliards réclamés par le patronat -, ainsi que des mesures en faveur de l’innovation, la formation, le marché du travail et une réforme de l’impôt sur les sociétés qui devrait davantage favoriser les PME. Réunis vendredi en séminaire à Matignon, les membres du gouvernement, qui n’hésitaient pas, jusqu’à présent, à donner individuellement leurs idées sur la question, sont désormais au clair sur le message qu’ils doivent faire passer: l’objectif du gouvernement est «de conforter l’économie française, de la redresser, pas de la choquer, pas de la brutaliser», a indiqué Pierre Moscovici, à l’issue de la réunion

 

 

Grève générale le 14 novembre contre la politique du gouvernement

Grève générale le 14 novembre contre la politique du gouvernement

La CGT, la CFDT, la FSU, l’Unsa et Solidaires veulent exprimer «leur ferme opposition aux mesures d’austérité qui font plonger l’Europe dans la stagnation économique, voire la récession» et «qui ne font qu’aggraver les déséquilibres et créer des injustices». Cette union de circonstance, entre la CFDT qui a soutenu, seule, la ratification du traité européen et les quatre autres organisations, qui réclamaient l’inverse, est en réalité à visée purement nationale. Cette journée de mobilisation aura en effet lieu deux jours avant que la négociation sur la sécurisation de l’emploi ne rentre véritablement dans le dur avec la présentation d’un premier projet global de texte patronal. Ce «club des cinq» - auquel FO et la CFTC ont refusé de se joindre - entend faire pression sur François Hollande pour qu’il choisisse enfin le camp des salariés contre celui des patrons, comme le répète à l’envi Bernard Thibault. «Dans un contexte de crise sans précédent, il n’est pas question de risquer de fragiliser encore un peu plus la santé financière des entreprises, alors que de nombreuses TPE et PME-PMI sont au bord de l’asphyxie, s’alarme Carole Couvert, de la CFE-CGC. Une journée de manifestations et de grèves dans tout le pays sera de nature à paralyser notre économie déjà bien mise à mal».

 

Le changement d’heure, c’est maintenant !

Le changement d’heure, c’est maintenant !

 

 

C’est le changement d’heure le plus apprécié : le passage à l’heure d’hiver. La nuit de samedi à dimanche se rallongera d’une heure pour tous les pays de l’Union européenne. En France, il vous faudra reculer l’horloge d’une heure, passant de 3h00 du matin à 2h00. Selon le ministère de l’Écologie ce changement d’heure, mis en place suite au choc pétrolier de 1998, aurait permis d’économiser 440 GWh en éclairage en 2009. Soit la consommation d’environ 800.000 ménages. En réalité, on ne sait rien car les économies du soir sont compensées par les dépenses du matin. En outre l’impact environnemental négatif est lui certain.

 

 

Fiscalité : le poker visé, bientôt le PMU et la FDJ

Fiscalité : le poker visé, bientôt le PMU et la FDJ

 

« J’ai reçu, il y a quinze jours, une lettre de la direction nationale des vérifications des situations fiscales m’informant d’un contrôle fiscale », raconte Philippe Ktorza, 4ème joueur français de poker. Après examen approfondi de ses comptes bancaires, l’inspecteur de la rue de Saussure aborde par le détail la pratique du poker. « L’autorité de régulation des jeux dispose pour chaque joueur des montants engagés, des gains et du temps consacré sur chaque site de jeu en ligne, du pain bénit pour le fisc », explique Philippe Ktorza. Et le fonctionnaire d’en déduire rapidement que compte tenu du temps passé à jouer au poker, ce loisir s’apparente à une activité professionnelle et doit donc être taxé comme des revenus. Philippe Ktorza se défend et explique qu’il a une autre activité professionnelle, mais rien n’y fait. Jusqu’à présent, le poker était classé parmi les jeux de hasard, les gains n’étaient donc pas imposables. Mais l’arrivée d’internet permet d’obtenir des informations sur le temps que les joueurs consacrent à cette activité et donc de faire la différence entre les amateurs et les professionnels. « Il change les règles du jeu en cours de route, ce n’est pas loyal », conteste Philippe Ktorza qui a gagné depuis le début de l’année 900.000 dollars. D’après un opérateur de poker en ligne, « les redressements déjà signifiés font état de montant s’échelonnant entre 40.000 et 1 million d’euros ». Des pénalités sévères car le fisc considère que le travail est dissimulé. Les inspecteurs surfent sur internet et scrutent les classements des joueurs qui mentionnent les gains cumulés. Une mine d’info pour le fisc. Le site Poker 52 nous apprend ainsi que Bertrand Grospellier, le numéro un français a gagné près de 1,5 million de dollars depuis le début de l’année. Mais le fisc aura du mal à le serrer car il a quitté la France. D’ailleurs dans le top 10 des joueurs français, la moitié réside déjà à l’étranger. « J’ai une femme et des enfants, mais tous les jours je me pose la question de partir de France », précise Philippe Ktorza. Les joueurs commencent à s’organiser. Ils ont écrit à tous les casinos et opérateurs de jeu pour qu’ils leur fassent parvenir les preuves de droits d’entrée, autant de frais qui pourraient venir en déduction des recettes. Une fédération des joueurs est en cours de constitution. Surtout les gros opérateurs, comme le PMU ou la FDJ commencent à réagir. Ils ont contacté des cabinets d’avocat fiscaliste afin de trouver une réponse à apporter à Bercy. Car les sites de jeu en ligne craignent pour l’attractivité de leur site. D’autant que le fisc a depuis quelques jours une nouvelle cible dans son viseur, les turfistes. De quoi réveiller les équipes de lobbying du PMU

 

 

Hollande : compétitivité, pas de choc, un pacte ; plus chic ou plus toc !

Hollande : compétitivité, pas de choc, un pacte ; plus chic ou plus toc !

 

Pas de choc pour la compétitivité. Alors Hollande sollicite la sémantique pour éviter l’indispensable réforme de la fiscalité qui impliquerait notamment de réduire de manière drastique les dépenses de l’Etat…  Ne parlez plus de « choc » ni de « trajectoire ». Sur la compétitivité, la gauche au pouvoir veut désormais un « pacte » autour duquel tout le monde est prié de s’entendre. C’est François Hollande en personne qui a utilisé le mot jeudi 25 octobre, dans l’espoir de mettre fin aux disharmonies gouvernementales.  »En ces matières, il n’y a pas de formule magique, il n’y a pas de réponse unique, c’est un ensemble de moyens, de dispositions, de politiques, qui doivent être mobilisés. Je propose donc un pacte entre tous les acteurs », a lancé le chef de l’Etat devant un parterre d’entrepreneurs réunis par Oséo.  Le terme est promis à un bel écho médiatique dans les prochains jours. A la sortie d’une réunion à Matignon, ce vendredi, sur la compétitivité (la deuxième de la semaine), Pierre Moscovici l’a repris à son compte.  »Comme l’a dit hier)le président de la République, ce gouvernement, cet exécutif prépare un pacte de compétitivité », a expliqué le ministre de l’Economie et des Finances sans donner aucun détail. En employant ce mot de « pacte », François Hollande cherche à sortir le sujet de la compétitivité de l’interminable débat sur le coût du travail. Et surtout du « choc » de 30 à 40 milliards d’euros, préconisé par le Medef et l’opposition, qui passerait par le transfert massif de cotisations patronales vers un cocktail d’impôts (TVA, CSG, impôt sur le revenu, coup de rabot sur des niches fiscales…). L’argument porte d’autant plus que l’ex-président d’EADS Louis Gallois, missionné par le gouvernement pour faire des propositions, et Frédéric Saint-Geours, directeur des marques de PSA, tous deux étiquetés « patrons de gauche », s’y sont déclarés favorables . Le président de la République a reconnu jeudi que le coût du travail, ou plutôt le poids des cotisations sociales dans le salaire brut, était « l’une des dimensions » du problème « mais pas la seule ». Aussi a-t-il promis un « basculement » des charges. La mise au point est on ne peut plus claire, au moment où les disharmonies au sein du gouvernement rendaient illisibles ses intentions et nourrissaient les procès en incompétence. Rien qu’à Bercy, Benoît Hamon est plutôt contre, Pierre Moscovici et Arnaud Montebourg plutôt pour, à condition pour le premier qu’il vise les bas salaires et pour le second qu’ils soient conditionnés à l’investissemen

Encore une taxe pour les retraités : pour la journée solidarité

Encore une taxe pour les retraités :  pour la journée solidarité

 

Les sénateurs ont adopté la proposition de loi du centriste Gérard Roche visant à élargir la journée de solidarité aux non-salariés et aux retraités. Les socialistes, les écologistes et les communistes ont voté contre; l’UMP, les centristes et quelques indépendants pour. Ce texte, adopté à une courte majorité contre l’avis du gouvernement, prévoit la création de deux nouvelles contributions de solidarité autonomie calquées sur celles en vigueur pour les salariés (0,3% de la rémunération brute). Les deux taxes, dont le produit sera affecté aux départements pour financer l’allocation personnalisée autonomie (APA), seront assises sur les revenus des indépendants et les pensions des retraités les plus aisés. «Il est injuste que l’effort financier de l’APA repose sur les salariés uniquement», a plaidé Gérard Roche. Le sénateur avait «lancé un appel au secours» au motif que le financement de l’APA repose largement sur les conseils généraux. Une quinzaine de départements seraient ainsi au bord de la «faillite». Pour Gérard Roche, une solution devait être trouvée avant la mise en œuvre en 2014 de la réforme de la dépendance. Un avis que ne partage pas le sénateur socialiste Georges Labazée. Pour l’élu, le «cri d’alarme a été entendu» par le gouvernement via, notamment, la dotation cette semaine de 170 millions d’euros au fonds d’urgence pour les départements. Il estime en outre que ce texte, qui n’a aucune chance d’être adopté à l’Assemblée où les socialistes et leurs alliés sont majoritaires, «risque de court-circuiter les travaux en cours en contrariant la stratégie du gouvernement» sur les deux chantiers de la dépendance et de la décentralisation.

 

 

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vendredi 29 octobre 2012

 

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Des croissants au chocolat baptisés « Copé » à la Grande Mosquée

Des croissants au chocolat baptisés « Copé » à la Grande Mosquée

Les musulmans réunis à la Grande Mosquée de Paris à l’occasion de l’Aïd el-Kébir ont pu déguster vendredi matin des croissants au chocolat baptisés « Copé », une initiative du Conseil des démocrates musulmans de France pour lutter contre l’islamophobie.  Pour Abderrahmane Dahmane, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy chargé de la Diversité et président de l’association, il s’agissait de montrer, par cette distribution de « pains au chocolat en forme de croissant », que la « communauté musulmane est unie contre l’islamophobie et le racisme de Jean-François Copé » et qu’elle « inscrit son intégration dans ce pays ».  Le candidat à la présidence de l’UMP avait déclenché une polémique début octobre en évoquant le cas d’un jeune qui se serait fait « arracher son pain au chocolat par des voyous » au motif « qu’on ne mange pas au ramadan ».  Alors que plusieurs milliers de fidèles sortaient peu après 09H00 de la prière de l’Aïd el-Kébir – ou Aïd al-Adha -, plus grande fête de l’islam qui commémore le sacrifice d’Abraham, les membres de l’association ont offert quelque 2.000 viennoiseries.  J’aime beaucoup cette façon pacifique de répondre à M. Copé qui fait campagne sur le dos des musulmans et banalise un certain racisme », explique Kamel Cheklat, 40 ans, universitaire.  Pour un autre fidèle, qui ne veut pas donner son nom, « il faut rappeler que l’Aïd est une fête où l’on partage tout. Il ne faut pas juger les gens, mais respecter leur culture ». Lui aussi se félicite de cette démarche humoristique : « il ne faut pas répondre par l’injure », dit-il.   »C’est pour tourner en dérision ce que dit M. Copé », se réjouit Rachida Aboulhouda, 18 ans. « Si au moins ce qu’il dit était constructif, pour parler du terrorisme par exemple, mais parler d’une histoire de gamins… », déplore-t-elle. « C’est plus de 2.000 croissants au chocolat qui sont partis ! C’est un succès contre le racisme et la stigmatisation ! », lance M. Dahmane à la fin de la distribution. Ex-secrétaire national à l’UMP, il avait été limogé de son poste à l’Elysée en mars 2011 après avoir sévèrement critiqué le débat sur la laïcité et l’islam organisé par l’UMP.

Des faux infirmiers dans les blocs mais de vrais chirurgiens, pour l’instant !!

Des faux infirmiers dans les blocs mais de vrais chirurgiens, pour l’instant !!

 

Y a-t-il un scandale dans les blocs opératoires ? L’Ordre national des Infirmiers a déposé cinq plaintes pour « mise en danger d’autrui » contre des aides-soignants et un agent d’entretien effectuant des actes d’infirmiers dans des blocs opératoires sans y être habilités. « Ce sont des personnes qui n’ont pas de diplôme d’infirmier et exercent des actes normalement dévolus à des infirmiers de bloc opératoire », a indiqué Didier Borniche, confirmant une information du Parisien/Aujourd’hui en France.  Ces plaintes ont été déposées entre février 2011 et juillet 2012 à l’encontre de 14 aides-soignants et un agent d’entretien pour « exercice illégal de la profession d’infirmier et mise en danger d’autrui« , a-t-il précisé.  Les chirurgiens qui les encadraient et les chefs d’établissements des cliniques privées et des hôpitaux sont également visés par des plaintes pour « complicité d’exercice illégal et mise en danger d’autrui ».  Les établissements concernés sont situés en Ariège, en Seine-Maritime, dans le Haut-Rhin, la Meuse et le Tarn-et-Garonne, où des enquêtes préliminaires ont été ouvertes.  En Seine-Maritime, le procureur a saisi l’agence régionale de santé (ARS) pour enquête, a précisé le président de l’Oni.  « Dans l’un de ces établissements, l’enquête en cours confirme les éléments que nous avions », a-t-il ajouté.  L’Ordre infirmier « a dans ses prérogatives de contrôler que les personnes qui exercent cette profession sont habilitées à le faire », souligne Didier Borniche. Selon lui, « le but est d’assurer la sécurité des patients et de faire respecter cette profession ». Créé fin 2006, l’Oni revendique 121.000 inscrits. Mais il ne représente qu’une minorité de professionnels, puisque le nombre total d’infirmiers et d’infirmières est d’environ 515.000, salariés pour la très grande majorité d’entre eux.  La ministre de la Santé Marisol Touraine a récemment souhaité que l’adhésion des infirmiers devienne facultative puisque cet organisme, soutenu par les professionnels libéraux, est assez largement rejeté par les salariés.

 

Chine : 2,7 milliards , fortune du Premier minsitre ou le communisme revisité

Chine : 2,7 milliards , fortune du Premier minsitre ou le communisme revisité

Wen Jiabao aime souvent rappeler ses origines modestes. Mais les révélations du New York Times, selon lesquelles la fortune du Premier ministre chinois est estimée au moins à 2,7 milliards de dollars, risquent d’écorner cette image. « L’examen de registres d’entreprises et de documents juridiques indique que les proches du Premier ministre, dont certains ont le don de la négociation, y compris sa femme, contrôlent des actifs pour une valeur d’au moins 2,7 milliards de dollars », soit 2,1 milliards d’euros, écrit le New York Times. La mère, les frères et sœurs et les enfants de Wen Jiabao auraient ainsi accumulé l’essentiel de leur fortune après sa nomination au poste de vice-Premier ministre en 1998, et avant qu’il soit promu à la tête du gouvernement en 2003. La famille du chef du gouvernement possèderait ainsi des intérêts diversifiés dans des banques, des bijouteries, des stations touristiques, des compagnies de télécommunication et des projets d’infrastructure, en recourant parfois à des entités offshore. Dans beaucoup de ces investissements, certaines des puissantes sociétés d’Etat chinoises jouent un rôle prépondérant. Leurs décisions dépendent souvent des agences gouvernementales supervisées… par Wen Jiabao.  Aujourd’hui âgée de 90 ans, Yang Zhiyun, la mère du Premier ministre, aurait investi, il y a cinq ans, au nom de « Mme Yang » dans une société chinoise de services financiers, pour un montant de 120 millions de dollars. Son frère cadet, qui possède une entreprise de traitement des déchets, a bénéficié lui de plus de 30 millions de dollars de contrats attribués par l’Etat, selon le quotidien américain. La femme de Wen Jiabao, Zhang Beili, surnommée « la reine des diamants » par le New York Times, a elle fait fortune dans les pierres précieuses, un secteur strictement régulé par l’Etat. Quant au fils unique du couple, Wen Yunsong, il a connu une réussite fulgurante en revendant son entreprise de technologie à la famille d’un magnat de Hong Kong, puis en fondant une société de capital-investissement devenue l’une des plus importantes de Chine. Parmi ses associés, figure le gouvernement de Singapour.

 

 

Fillon, le plan de PSA reporté par Sarkozy : oui ou non ?

Fillon, le plan de PSA reporté par Sarkozy : oui ou  non ?

 Jeudi soir, lors de l’émission Des Paroles et des Actes, François Fillon a reconnu l’action de Nicolas Sarkozy auprès du patron de PSA Peugeot Citroën pour repousser son plan social après la présidentielle. « J’ai participé à de très nombreuses réunions, et je n’ai pas le même souvenir », a réagi vendredi matin, sur RTL, Xavier Bertrand, alors ministre du Travail, quelques minutes après avoir annoncé son soutien à… François Fillon. Au gouvernement, on se régale de cette déclaration de l’ancien Premier ministre, qui a tenté de rétropédaler. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a dénoncé sur France 2 « le cynisme absolu » de l’ancien chef de l’Etat qui a contribué à « creuser les difficultés de l’entreprise parce que par définition, plus vous mettez de temps à faire les ajustements nécessaires (…), plus cette crise s’approfondit ». Alors que Jean-Marc Ayrault est chaque jour un peu plus contesté que la veille, la ministre du Droit des femmes a profité de l’occasion pour établir un parallèle entre l’actuel gouvernement socialiste et son prédécesseur mené par François Fillon. « Le premier était dans le cynisme absolu, la recherche de l’intérêt électoraliste pur et à court terme, le second est dans la recherche permanente de solutions », a jugé Najat Vallaud-Belkacem. S’il a fait un sans faute dans son duel avec Jean-François Copé, c’est peut-être dans la course du meilleur sarkosyste que François Fillon a perdu des points, jeudi soir, bien qu’il ait tenté vaille que vaille de justifier la décision de Nicolas Sarkozy : « Il aurait été un peu étrange que juste à la veille de l’élection présidentielle, le président de la République française, qui avait tout fait pour empêcher les licenciements dans l’industrie automobile dise à Varin ‘Mais allez-y, je vous en prie, c’est vraiment le moment de le faire’ ».

 

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