Saga- Trierweiler-Royal : Ségolène en Jeanne d’Arc ! pathétique
« Au Moyen Age, j’aurais été brûlée ! ». Dans un article paru jeudi dans l’hebdomadaire Le Point, Ségolène Royal revient sur ses échecs depuis 2007 : la présidentielle, le congrès de Reims, la primaire socialiste et sa défaite, dimanche dernier, contre le dissident Olivier Falorni dans la première circonscription de La Rochelle. L’ancienne candidate à la présidentielle en profite aussi pour régler ses comptes avec Valérie Trierweiler.Ségolène Royal n’a toujours pas encaissé le tweet de la Première dame, qui a apporté son soutien à Olivier Falorni, entre les deux-tours des législatives. « C’est l’inversion des rôles. C’est moi dont la famille a été bousillée, c’est moi qui pourrais avoir de la rancœur », estime l’ancienne compagne de François Hollande. « Je lis des articles sur les monarques, leurs maîtresses, leurs femmes. Mais c’est horrible ! Je suis une femme politique, je me bats, et je suis ravalée au rang de feuilleton, de théâtre de boulevard, de machin à trois, de trio ! » Au Point, Ségolène Royal a aussi confié qu’elle avait dû réconforter plusieurs fois sa fille Flora, qui était « effondrée au téléphone ». L’ancienne candidate à la présidentielle revient aussi sur la campagne de 2007 et sur l’’absence de soutien de François Hollande. La faute, selon elle, à Valérie Trierweiler qui aurait contraint le premier secrétaire du PS à s’éloigner d’elle. « En 2007, je me suis dit : ça va passer, ça va s’arranger. Donc j’ai encaissé, a-t-elle confié au Point. [Valérie Trierweiler] a profité de la situation. C’était facile, elle suivait le PS, elle suivait le premier secrétaire. Dans un pays anglo-saxon, le jour même, c’est le licenciement », lance, vacharde, Ségolène Royal.
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